Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(andris) 911 emergency
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €


(andris) 911 emergency

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Assise sur mon lit, je souffle difficilement. " Ça va aller " Oui, ça va aller. Ça va très bien aller. Je vais m'en sortir. Il fait chaud, terriblement chaud alors je me lève et me dirige vers la salle de bain. En sous vêtements, je me glisse dans la douche et allume l'eau fraîche. Ça va aller. Je ne cesse de me répéter ces mots et je reste une bonne heure sous l'eau fraîche. Seulement, rien n'y fait, j'ai mal au crâne comme pas possible et je décide donc de sortir de l'eau et d'aller sur le balcon pour que le vent me sèche. Ça ne met pas longtemps à arriver, l'air est tellement chaud que je suis vite sèche, mes sous vêtements aussi. Rapide retour sur le lit avec une serviette humide sur le visage. Je souffle doucement et grimace en posant mes mains sur mon ventre rond. " Non ça va pas aller " Grimaçais-je alors que je sens une crampe dans le bas de mon ventre. Je me redresse rapidement, les cheveux dans tous les sens, les yeux fatigués et cernés. J'enfile une robe simple en coton blanc, une paire de chaussures blanches aux pieds et j'attrape mon sac à mains. Je file vers la chambre de Paris, une main sous mon ventre et frappe frénétiquement avec l'autre contre la porte. J'alterne entre poing fermé et main plate contre le bois de la porte. " Paris ! Y a un problème avec le bébé " Lâchais-je à travers la porte, m'excitant sur cette dernière, complètement paniquée. Pas un nouveau problème, par pitié.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Paris était étendu comme une merde sur son lit, dormant de tout son saoul. Il était crevé ces derniers temps car il n’avait pas chômé pour préparer le voyage de la Dunster House tout en gérant ses cours et sa salle de boxe. Ces vacances étaient la plus belle occasion pour lui de dormir et se reposer. Malheureusement un petit con avait visiblement décidé de l’emmerder en tambourinant contre sa porte. Son premier réflexe avait été de plaquer un oreiller sur sa tronche tout en grognant. A ses côtés, sa femme le poussa avec son pied comme pour lui dire : fous ce crétin à la porte qu’on puisse dormir tranquille. « Putain mais qui que ce soit, je vais le virer d’un coup de pompe dans le derch » râla-t-il en se passant une main sur le visage. Pour une fois qu’ils se couchaient pas trop tard durant le Spring Break, fallait qu’on leur casse les couilles. « QUOI ?! » lâcha-t-il, la gueule enfarinée qui se mua en inquiétude quand il vit Andrea en face de lui, paniquée. « Qu’est-ce qui se passe ?! » lui demanda-t-il en la faisant entrer, vérifiant simplement que Summer ne s’était pas réveillée et surtout était couverte. « Viens… » dit-il en lui prenant le poignet pour l’amener dans la salle de bain et baisser le truc des chiottes pour lui permettre de s’asseoir. Il était vraiment inquiet pour elle et cela se lisait dans son regard.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me sens vraiment mal et j'en peux plus de ce temps, de cette chaleur. Pourquoi je suis venue sérieusement ? Le Mexique ne m'a pas suffit ou comment ça se passe ? Le Spring Break est l'évènement le plus important dans l'année universitaire d'un américain alors j'ai voulu y participer une fois encore. J'espère que cette fois il n'y aura pas trop de problèmes comme l'année dernière. Je me souviens encore mon état en ne sachant pas si Priape allait bien. J'étais morte d'inquiétude à ce moment là. Et là, j'étais toujours autant morte d'inquiétude. Et s'il se passait quelque chose de mauvais pour le bébé ? Et si je faisais une fausse couche tardive ? J'avais tellement peur que j'en devenais folle. Cette porte ne m'a rien fait et pourtant... Je m'acharne dessus comme une hystéro et ça fait peur à voir, vraiment. Le ton de Paris me fait sursauter et j'ai ma main en l'air, immobile, et mon visage se décompose. Je n'arrive pas à parler quand il me demande ce qu'il se passe. Je le suis dans la salle de bain, ne faisant même pas attention au corps échoué de Summer dans le lit. Assise, je le regarde. " Ça va pas du tout Paris. Le bébé ... " Y a un soucis avec le bébé et je ne sais vraiment pas lequel et, franchement, ça m'inquiète vraiment. " J'ai comme des contractions, je sens que ça se contracte en bas " Pas besoin, ni même envie, de lui expliquer exactement ce que je ressens. " J'ai peur " Soufflais-je en ayant toujours ma main portée à mon ventre. J'ai super peur, il faut que j'aille à l'hôpital et plus vite que ça. Mais seule ? Je ne crois pas. Je ne saurais même pas y aller... Et je perdrais mes moyens une fois là haut, c'est sur.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Paris n’était pas médecin mais à son stade de grossesse, ce n’était pas bon d’avoir des contractions n’est-ce pas ?! Cela pouvait être une fausse alerte comme quelque chose de grave. « Bon sang Andy, tu aurais dû aller à l’hôpital et non ici » dit-il plus inquiet pour elle que par réelle colère. Elle savait de tout de manière qu’il avait tendance à avoir des réactions plus violentes qu’autre chose. Enfin là, il tentait de nuancer ses propos en prenant l’une de ses mains dans les siennes. « N’aie pas peur, respire calmement » dit-il en se redressant pour attraper une serviette qu’il mouilla d’eau froide pour la passer sur son visage. « Calme toi » reprit-il sur un ton plus calme en tamponnant son visage avec le linge humide. « Je vais m’habiller, tu restes là et je t’amène à l’hôpital okay ? ». Il n’attendait pas vraiment de réponse. Il se retenait à grande peine de courir vers Summer pour la réveiller car elle avait fait des études de médecine après tout mais elle était fatiguée de sa journée. Paris sortit de la salle de bain en faisant le moins de bruit possible pour attraper un jean et un T-shirt, des chaussettes et ses baskets. Une fois habillé, il attrapa les clés de la voiture de location et retourna dans la salle de bain. « Je t’amène à l’hôpital, j’ai laissé un mot à Summer au cas où elle se réveillerait. Tu veux que je te porte ? » lui demande-t-il prêt à tout pour l’aider dans cette galère.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je le regarde paniquée et me retiens de pleurer. " Je voulais pas être toute seule si jamais... " Si jamais je venais à faire une fausse couche. J'ai préféré venir chercher mon meilleur ami dans les bras duquel je pourrais pleurer comme une enfant plutôt que de me retrouver toute seule là haut, sans savoir quoi faire, avec seule ma peine pour compagnie. J'imagine le pire parce qu'il n'y a que le pire qui m'arrive en terme d'enfants, de grossesse et tout ce qui va avec. J'imagine le pire mais je tente, tant bien que mal, de tenir la barque. Je peux pas couler parce que les mauvaises ondes peuvent être néfastes pour le bébé. C'est ce que je me dis du moins. Mon regard rivé dans le sien, je vois la paniquer prendre possession de son visage. Enfin, je ne sais pas trop si c'est de la panique mais ça a l'air d'être ça. J'acquiesce et ferme les yeux quelques secondes, les mains sur mon ventre rond alors qu'il passe une serviette fraîche sur mon visage. Ça fait du bien. " Merci " Soufflais-je alors que je lève un bras pour la maintenir sur mon front, le laissant filer pour s'habiller. Putain la galère, putain putain putain ! Pourquoi ça m'arrive à moi ce genre de choses hein, pourquoi ?! Je suis une vraie boule de stress pour le coup et je me sens terriblement mal. Il revient rapidement et je pose la serviette sur le lavabo. " Je peux marcher... Mais donne moi la main " La main, le bras, ce qu'il veut, il faut juste qu'il me soutienne. " Tout va bien, tout va bien, tout va bien " Chuchotais-je en quittant la chambre, le bras de Paris dans le bas de mon dos pour m'aider, pour me soutenir au cas où... Tout va bien. T'as compris bébé, tout va bien. Ou pas. Parce que je sens comme des contractions et je serre les dents comme pas possible. " Paris... Si ça se passe mal... " Je veux pas y penser, absolument pas. Tout doit aller comme sur des roulettes, absolument tout !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Y a pas de « si jamais » qui tienne ma belle ! » l’interrompit-il afin qu’elle ne poursuive pas sa phrase. Il était hors de question qu’elle perde ce bébé car il n’était pas idiot : Andrea avait eu une chance miraculeuse de tomber enceinte. Elle stressait sûrement pour rien et tout irait bien. Il voulait y croire même s’il aurait tout donné pour réveiller sa femme et qu’elle s’occupe de la Dunster. C’était elle l’ex étudiante en médecine. Lui, son domaine, c’était les sciences, l’astrophysique. Paris la laisse alors le temps de s’habiller, revenant le plus rapidement possible vers elle pour lui proposer de la porter. Elle décline, s’appuyant contre lui. Alors, le jeune homme passe son bras autour de sa taille pour la soutenir du mieux qu’il le peut tout en l’amenant vers la voiture de location . « Arrête tes conneries, ça va bien se passer. Ils vont calmer tout ça… tu verras, tout rentrera dans l’ordre, tu dois essayer de te calmer et de positiver… Bordel, pour une fois que je me montre optimiste, fais un effort » râla-t-il à croire que c’était son seul moyen d’expression en ce bas monde. Le Dunster lui ouvrit la portière passager et l’aida à s’asseoir avant de fermer la portière et de contourner la voiture pour s’installer derrière le volant. Armé de son GPS, il chercha le premier hôpital. « Il y a un hôpital à une trentaine de kilomètre, on va se dépêcher donc en attendant, tu essaies de respirer calmement et de te détendre » dit-il en démarrant pour mieux sortir du complexe hôtelier et prendre la direction indiquée par le GPS. Il se fichait de rouler vite, trop vite car il y avait urgence. Il ne pourrait jamais se le pardonner s’il arrivait quelque chose à sa meilleure amie.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je panique comme pas possible et ce n'est pas moi. Oh non, ce n'est clairement pas moi. Parce que je suis Andrea Doniya Cermolacce, la petite fille qui a vécu tellement de choses en Afghanistan que tout ça, cette vie ici, c'est genre le paradis sur terre. Sauf que là, je n'arrive pas à positiver à ce point, j'en suis terriblement incapable. J'ai peur, j'ai peur de perdre ce bébé auquel je me suis déjà terriblement attachée. Après tout, j'ai quitté la France pour être sur qu'il vive bien et qu'il ne soit pas obligé de croiser ses demi frères et soeurs à chaque coin de rue et tout ce qui va avec. Je devrais me dire que tout va bien mais non. Je suis déjà maman en soit. Et quand mon bébé va mal, je panique en un quart de seconde. Et bien entendu, celui que je viens embêter est mon bourru de meilleur ami. Je sais qu'il a raison et pourtant.. Alors qu'on sort de la chambre et qu'on marche vers la voiture de location, je souffle doucement. Inspire, expire. Tout va bien se passer. " Envoie moi dans l'espace, je suis qu'avec la gravité, il remontera et y aura aucun soucis " Soufflais-je avec un léger sourire sur le visage. Oui, ça serait drôle ça. Mais je pense plutôt que le décollage et tout ce qui va avec serait super mauvais pour le bébé qui grandit en moi. Assise dans la voiture, je passe la ceinture sur moi et pose mes deux mains sur mon ventre. Le visage baissé, je souffle " Tout va bien se passer... C'est tonton Paris qui est là et il parait qu'il ne peut rien arriver quand on est avec un homme fort, il parait hein " Oui, je suis carrément entrain de parler à mon ventre et alors ? J'ai tous les droits, merci bien. Je le regarde et souris. " Je vais faire ça, souffler doucement, me détendre et... lui dire qu'il aura pas le choix, tu seras son tonton préféré, son super tonton " J'avais pris Sienna et Priape en parrain-marraine et je me demandais bien pourquoi à ce moment précis. Je veux dire, ils sont à des centaines -milliers- de kilomètres et c'est Paris qui est à mes côtés... Pas grave, ça sera super tonton. Je l'imagine avec une cape rouge et des collants bleus et j'éclate de rire. C'est plus fort que moi. Mais au moins je ne pense pas à tout ce qu'il se passe plus bas.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Désolé ma belle mais je risque d’avoir un peu de mal à t’envoyer dans l’espace ! » rétorque-t-il. « A la limite, je peux te pendre par les pieds, ça reviendra au même, il sera obligé de rester au fond » ajoute-t-il pour essayer de la détendre avec son humour de merde tandis qu’il l’aidait à s’installer dans la voiture. Il était hors de question qu’elle perde ce bébé ne cessa-t-il de se répéter. Il se souvenait encore de son accident de voiture avec Leanne et la manière dont elle avait perdu son enfant. Il était hors de question que cela se reproduise. Un faible sourire étira ses lèvres quand elle se mit à parler à son bébé. Si elle savait comment l’homme fort balisait comme une lopette en son for intérieur, pas certain qu’elle garde son calme encore très longtemps. La chance était tout de même avec eux car l’hôpital ne se trouvait pas loin, à une trentaine de kilomètre. Il n’y avait plus qu’à espérer qu’ils ne se fassent pas arrêter par les flics en plein excès de vitesse car il parlait pas un traitre mot d’espagnol… D’ailleurs, c’était l’espagnol la langue parlée dans ce pays ? Il avait un affreux doute. « Je peux savoir ce qu’il y a de drôle ? » demande-t-il alors qu’elle venait d’éclater de rire sans raison apparente. Oui là, il était un peu paumé. Elle n’avait quand même pas bu avant de venir le chercher ? A moins qu’elle ait fumé la moquette de sa chambre d’hôtel… Franchement, les réactions de femme enceinte l’effrayait par moment.


©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cette idée d'aller dans l'espace est complètement ridicule mais j'essaye de me détendre, ce qui n'est vraiment pas facile, on ne va pas se voiler la face. J'ai tellement peur mais j'ai surtout l'impression qu'en pensant au pire, le pire risque d'arriver. J'ai toujours été comme ça pour moi, à penser au pire, à imaginer le pire alors que je suis la première à vouloir que mes amis soient positifs et aillent bien, pour que même mes patients voient le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. Mais quand ça me concerne, tout ce que je préconise ne s'applique pas. Je panique, je pleure presque, je m'imagine déjà rentrer aux États-Unis seule, sans ce petit être qui grandit en moi depuis quelques mois déjà. J'ai tellement peur... Perdre un deuxième enfant, je ne m'en remettrais pas, pas alors que la grossesse a été si loin. Ma première fausse couche, tout était bien différent, je n'en avais pas idée mais là... Je déglutis difficilement et regarde Paris quand il monte dans la voiture, continuant de parler à cette crevette qui doit rester au chaud. Y a pas d'autre solution. " J'étais entrain de t'imaginer en collant bleu avec une culotte rouge par dessus " Soufflais-je en riant doucement, continuant de passer mes mains sur mon ventre. " Super tonton quoi... Ça t'irait vraiment bien " Lâchais-je avec un large sourire alors que je souffle doucement pour contrôler ma respiration et me calmer un peu. " Et du coup, ça fait de Summer... Loïs Lane ? Dommage, je la trouvais tellement chiante dans la série avec Tom Welling " Lançais-je normalement. Parler de tout sauf de ce qu'il se passe dans mon utérus. Absolument tout.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Oh pitié… tu as rien de plus tue l’amour comme vision de moi ? » râla-t-il alors qu’Andrea lui confiait l’avoir imaginé en collant bleu et culotte rouge par-dessus. « De tous les super héros, il faut que tu m’affubles du costume de Superman ?! C’est le plus débile même si j’aime bien la tenue d’Henry Cavill dans les derniers films. Au moins, ça fait moins gay » grommela-t-il. Pour sa part, Paris était fan de Shazam. C’était un héros qui lui parlait et surtout, cela avait été longtemps un grand fantasme. En même temps, un gamin qui devenait un homme adulte par le pouvoir d’un mot et qui réglait ses comptes aux méchants… Comment ne pas l’apprécier ? Surtout lui qui avait vécu l’enfer quand il était gosse. Le Dunster aurait aimé plus d’une fois pouvoir se transformer en un super héros et casser la gueule à ceux qui le tyrannisaient comme son ex-beau-père. Aujourd’hui, il n’avait plus besoin de ça mais ce héros restait gravé dans son esprit et dans son cœur. « Bon, tu te rattrapes avec le super tonton… D’ailleurs, j’espère bien être le parrain sinon je t’éjecte de la voiture » plaisante-t-il tandis qu’Andrea poursuivait dans son délire en comparant Summer à Lois Lane. « J’ai jamais regardé cette série… Pour moi, rien n’égalera les aventures de Clark et Lois dans les années 90 ! Teri Hatcher était trop sexy » rigole-t-il tout en espérant que cette conversation réussisse à la calmer.


©TOWNTROTTER.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)