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ARTWALd + I see my future in your eyes

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Oh, I never knew you were the someone waiting for me
feat. Artwald
Ne bougeant pas d’un pouce, je tenais les hanches de James, à genoux sur la chaise devant moi. Elle essayait de me mettre du phare à paupières bleu, qui faisait ressortir mes yeux d’après elle. J’avais promis à Oswald de la garder, mais je ne m’étais pas du tout attendu à jouer à la coiffeuse, dont le cobaye en question était moi. Mais j’avais finis par céder, ne résistant pas à son jolie minois. Liam était rentré dans le salon à un moment, bière à la main, j’avais désespérément envoyé un signal de détresse, James l’invitant à venir s’asseoir pour qu’elle s’occupe de lui, aussi, mais il déclina prétextant qu’il devait s’occuper de ma propre sécurité. « Un garde du corps ne baisse jamais la garde, James. » avait-il dit sourire aux lèvres ; Mon cul. Il allait simplement s’enfermer dans la chambre le temps qu’Oswald rentre de sa garde. Le salaud. « Tu penses que ce rouge à lèvre ira Arthur ? » J’haussais les épaules. Au point où j’en étais, mes cheveux remplies de pinces, de barrettes, mes yeux totalement maquillés, mes joues rosées, mes ongles de toutes les couleurs, elle pouvait bien s’occuper de mes lèvres. « Essaye. Et si tu ne trouves pas ça beau, on enlèvera et tu pourras recommencer » Elle sautilla sur place avant de commencer son premier essai. Je ne bougeai pas d’un poil, la contemplant encore et encore. Ces yeux parfait, son visage de poupée, ses petites boucles aux reflets dorées qui retombaient sur ses épaules. Je m’étais autant attaché à elle, qu’à sa mère. Et à vrai dire, ça me faisait peur. Peur parce que je n’avais jamais ressenti ça. Même, avec Ivanka. Pour tout avouer, j’étais content de passer un moment avec elle, parce qu’elle arrivait à me faire oublier cette dernière, ces sms qui en révélaient trop, de ce qu’ils pouvaient signifier, et ce qu’ils pouvaient changer. J’avais simplement envie de m’accrocher à cette réalité avant qu’elle ne m’échappe pour de bon. Elle me tendit un miroir et continua : « T’en penses quoi ? » « Ça fait un peu trop…rouge non ? » « T’as raison ! Rose, c’est mieux ! » Elle prit un mouchoir et tenta d’effacer au maximum mes lèvres rouges, ce qui au final faisait qu’étaler. Satisfaite – ou du moins abandonnant l’idée d’enlever totalement le rouge, elle s’attaqua au rose, tandis que la porte d’entrée se claqua rapidement. « MAMAN ! » cria-t-elle en se tournant rapidement, sautant sur sa chaise et couru vers elle. J’étais resté là, assis sur cette chaise sans bouger, avec une énorme trace rose qui partait de mes lèvres pour mourir sur ma joue. Oh, Oswald, tu vas regretter ta promesse…pensais-je au moment où elle entra dans mon champs de vision.


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OH, I NEVER KNEW YOU WERE THE SOMEONE WAITING FOR ME.
ft. artwald
A peine arrivée devant la porte de l’appartement je prends conscience de l’enveloppe que je tiens toujours dans la main si fort que je pourrais la réduire en boulette. A vrai dire je meurs surtout d’envie de la déchirer ou de la brûler, ça me détendrait l’espace de quelques minutes mais à la place je la range dans mon sac. Elle est bien trop grande, bien trop visible pour ne pas être remarquée et à je n’ai pas la moindre envie d’en parler, je me connais assez pour savoir que je vais m’effondrer si je le fais. C’est la colère qui me permet de tenir le coup et ce soir je voudrais juste oublier. Les dents serrées, je la range donc et entre dans l’appartement en me faisant la promesse de ne pas laisser tout ça gâcher ma soirée – même si c’est très mal parti. Mais je n’ai pas le temps d’y penser. A peine la porte d’entrée s’est-elle claquée derrière moi que j’entends quelqu’un sauter au sol juste avant que la voix de ma fille ne me parvienne. « MAMAN ! » Les cheveux dans tous les sens, la tornade arrive droit sur moi et je la rattrape au vol, un large sourire aux lèvres.

« Hey Jamie monkey ! » Je l’embrasse sur le front et passe une main sur son ventre en prenant la direction du salon. « C’est quoi ce ventre tout tendu ? Les garçons t’ont encore fait manger de la pi… » Mon regard se pose sur Arthur et aussitôt la fin du mot reste coincée dans ma gorge. J’ignore ce qui m’a d’abord frappé : le far à paupières bleu ou bien le rouge à lèvres étalé sur son visage mais l’effet reste le même, j’éclate de rire en laissant descendre James. « Mon dieu, je suis désolée mais … » Un rire me coupe la parole et la respiration, mes yeux se mettant immédiatement à pleurer. « Tu devrais voir ta tête. » Je pourrais sortir mon portable pour immortaliser le moment mais je ris tellement que je n’y pense pas. La tête que me lance Arthur me fait clairement comprendre que je vais regretter mais c’est vraiment trop drôle. « Il est beau hein ? Mais le rose aurait été mieux. » Affirme James en allant se placer devant Arthur comme pour admirer son œuvre. « Magnifique ! Arthur Windsor vous êtes incroyablement sexy comme ça. » Et j’en pleure encore. Je laisse tomber mon sac au sol et vais me mettre juste derrière ma fille, les bras croisés contre mon torse et les lèvres pincés pour essayer de me retenir de rire une nouvelle fois.


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« C’est quoi ce ventre tout tendu ? Les garçon t’ont encore faire manger de la pi… » Sa voix se porta jusqu’à moi, et j’eus envie de répliquer que non, pour une fois, elle avait mangé sainement. Du moins, c’est ce que j’aurai répondu, si elle ne s’était pas arrêter pour me dévisager, le regard limite choquée. « Mon dieu, je suis désolée mais… » « Ne…Ne ris pas ! » Dis-je d’une voix autoritaire. Voilà ce qu’il se passait quand une gamine de 4 ans prenait le contrôle, et que sa pauvre mère était incapable de venir à ma rescousse. Elle se mit à rire, et roulant des yeux, je me jurais à moi-même qu’elle allait probablement regretter ça. « Tu devrais voir ta tête. » « Elle va bien, merci. » Je fis la moue, peu satisfait qu’elle puisse autant rire de ça. « Il est beau hein ? Mais le rose aurait été mieux. » La petite s’approcha de moi, ses cheveux rebondissant à chaque pas. « T’aurai pu au moins bien le mettre » Mon index désigna l’énorme trace sur la joue, alors qu’elle rigolait par pure innocence. « Magnifique ! Arthur, Windsor vous êtes incroyablement sexy comme ça. » Elle s’avança vers James, et de son visage coincée comme pour éviter de rire encore, elle me regarda. Je lui rendis son regard intense, en mettant tout du miens. Oh, tu vas le regretter Mademoiselle Holmes. « Et si je redevais ce magnifique Prince que vous adorez tant toutes les deux hein ? » « Mais Liam t’a même pas vu ! » Oh là ce serait le comble. J’en entendrai parler des années durant. Valait mieux que ça reste pour nous. « Il doit être trop occupé à chasser les mouches. Tu veux bien aller me chercher de quoi m’enlever tout ça ? » Dis-je en me penchant vers la petite. Elle opina finalement, courant dans la salle de bain. « Tu devrais avoir honte, Holmes » Je me m’y à enlever une pince par une pince dans mes cheveux, alors qu’Oswald commença à s’approcher. M’arrêtant rapidement, je glissais mes mains sur l’arrière de ses jambes, jusqu’à remonter à ses fesses. « Tu devrais limite avoir peur des représailles. »


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Ne pas rire est impossible, totalement impossible. Entre ce maquillage affreux – le rouge à lèvres étalé sur son visage principalement – et les différentes pinces appartenant à James qu’il a dans les cheveux ça donne une vision tout ce qu’il a de plus absurde et hilarante. Après ma journée, ce fou rire me fait un bien fou et je refuse de m’arrêter, pas même lorsque je me mets à en pleurer. Arthur a l’air tellement agacé par ma réaction que ça ne fait que me faire rire un peu plus tandis qu’il réprimande James en lui disant qu’elle aurait pu s’appliquer un peu plus. Elle n’a que quatre ans, je suis déjà étonnée qu’elle soit capable d’appliquer du far à paupière correctement – et je sens que je vais apprécier découvrir qu’il s’agit de mon propre maquillage. « Et si je redevenais ce magnifique Prince que vous adorez tant toutes les deux hein ? » Je fais une légère moue. Je ne suis pas certaine de le vouloir, ce prince-là me fait tout de même bien rire. « Mais Liam t’a même pas vu ! » Imaginer son garde du corps le voir comme ça me fait pouffer. Oh si ça devait arriver il ne le lâcherait pas durant les mois à venir si ce n’est pas les années et ça Arthur le sait mieux que moi. « Il doit être trop occupé à chasser les mouches. Tu veux bien aller me chercher de quoi m’enlever tout ça ? » Je passe une main dans les cheveux de James avant qu’elle ne coure en direction de la salle de bain et ce n’est que lorsqu’elle disparait de mon champ de vision que je reporte mon attention sur Arthur dont je me rapproche. « Tu devrais avoir honte, Holmes », « Tu peux parler avec ton maquillage baveux. » Je lâche en riant. Je m’approche un peu plus et sentant ses mains glisser de mes jambes à mes fesses je frissonne. « Tu devrais limite avoir peur des représailles. », « Ah ouais ? » Je demande en prenant place sur ses jambes. « Et qu’est-ce que tu vas faire ? M’attacher au lit ? » Je souffle contre son oreille avant d’embrasser sa joue puis ses lèvres toujours rouges. J’en oublie l’endroit où nous nous trouvons et les personnes qui peuvent nous surprendre prise par cet élan, ce besoin de me sentir mieux contre lui. « Je savais que c’était ton amoureux ! » Je me fige et hésite un instant avant de me tourner vers ma fille qui sourit en montrant toutes ses dents. « Ça veut dire que je vais devenir princesse ? », « James ! Les lingettes ! » Je me relève et tends les mains vers le paquet qu’elle finit enfin par me donner.


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« Tu peux parler avec ton maquillage baveux » Je levais les yeux au ciel un instant avant de répliquer : « Tu t’enfonces t’en as conscience ? » Elle pouvait me dire n’importe quoi, elle était foutue. Ce soir, je sortirai l’artillerie lourde, à son plus grand désarroi. Elle l’avait cherché, et à vrai dire, je pourrais supporter milles fois ce maquillage en imaginant ce qu’elle allait devoir subir par mes soins. « Et qu’est-ce que tu vas faire ? M’attacher au lit ? » Elle avait rejoint mes jambes, et mes mains s’étaient automatiquement remis là où elle était, à la frontière son jean, ou doucement, mon pouce s’aventura sur sa peau dégagé. Sa bouche déposa un baiser sur ma joue, puis mes lèvres, m’embarquant un peu trop vite. C’était comme ça avec elle. Un baiser, un simple baiser et je m’enflammais comme de la braise. J’approchais mes lèvres de son oreille que je mordis une seconde avant de lui souffler : « Tu veux vraiment savoir ? Je vais t’attacher au lit, t’enlever chaque morceau de tissu que tu portes délicatement, embrasser chaque partie de ton corps, avec un glaçon, pour que tu ressentes chaque baiser. Je continuerai jusqu’à ce que tu me supplies de te faire l’amour. Et même à ce point-là, je prendrai tout mon temps, bébé, pour te donner ce dont tu as réellement envie. » Un éclair se diffusa dans ses yeux à cet instant, alors qu’elle répliquait ses lèvres contre les miennes. J’étais en train de reculer, en lui soufflant : « C’est plus accessible jusqu’à ce soir ça » quand James refis son entrée : « Je savais que c’était ton amoureux ! » Oswald se fige regardant sa fille, moi je la lâche instantanément, ne sachant comment réagir. « Ça veut dire que je vais devenir princesse ? » Je pince mes lèvres pour éviter de rire. « James ! Les lingettes ! » C’est tout ce qu’elle avait à dire ? Les lingettes ? Elle se leva et saisis le paquet et en sortie une. Elle revint vers moi, alors que James la suivis de prêt en me regardant : « Je le savais ! J’avais dit à mon ami Bianca que maman allait épouser un Prince, mais elle ne m’a jamais cru. » Mon regard croisa celui d’Oswald qui commençait à rougir, et haussant les épaules j’émis un petit rire : « C’est ce qui s’appelle être pris en flagrant délit »


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Merde, merde, merde ! C’est presque comme une litanie que je me répète encore et encore à l’entente des mots que prononcent Arthur. Subitement, je meurs de chaud, j’ai du mal à supporter les vêtements que je porte mais aussi ceux qui me séparent de sa peau. Je parviens à retenir mes tremblements mais pas mon cœur qui bat trop vite alors que je meurs d’envie de l’embrasser … seulement Arthur recule. « C’est plus accessible jusqu’à ce soir ça » On peut difficilement faire plus frustrée que moi à cet instant, toutefois ce sentiment laisse bien vite place à la panique tandis que la voix de James me parvient. Merde, merde, merde ! Pourtant, elle n’a pas l’air plus perturbée que ça, elle semble même très heureuse. Arthur est le seul homme que ma fille ait connu véritablement, le seul que j’ai laissé entrer dans sa vie et l’attachement qu’elle lui porte aurait dû me rassurer quant à sa réaction face à notre relation. Seulement la panique ait toujours plus forte et là c’est encore elle qui me fait agir. Je me retrouve avec le paquet de lingettes dans les mains et je retourne m’asseoir auprès d’Arthur pour commencer à nettoyer son visage. « Je le savais ! J’avais dit à mon ami Bianca que maman allait épouser un Prince, mais elle ne m’a jamais cru. » Je lève les yeux vers le brun incapable d’empêcher mes joues de virer au rouge. « C’est ce qui s’appelle être pris en flagrant délit », « Qui se paye la tête de l’autre maintenant ? » Je lance en retirant tout le rouge à lèvres qu’il pouvait avoir pour ensuite m’attaquer à ses yeux. « Tu n’as pas des dents à brosser jeune fille ? » Je lance en tournant la tête vers la demoiselle qui semble bien trop excitée. « C’est fait ! Je t’attendais pour mon histoire. » Je secoue doucement la tête et passe au dernier œil d’Arthur. « Va dans ton lit, j’arrive. » James hésite un instant et part en courant dans sa chambre. « Je te préviens que la décevoir à partir de maintenant est une très mauvaise idée. » J’attrape une autre lingette pour m’assurer qu’il n’y ait plus aucune trace de maquillage et lorsque Arthur ouvre ses yeux je me perds dans ces derniers. « Il va juste falloir attendre pour le mariage. », « MAMAN ! ARRETE DE FAIRE DES BISOUS A ARTHUR ! » Dans un grognement je laisse tomber ma tête contre l’épaule d’Arthur. Achevez-moi, pitié. Toutefois, je me lève et tends la main vers lui. « Tu viens avec moi. Y a bien assez de place dans son lit pour lire l’histoire à deux et de toute manière elle va t’ordonner de venir. »


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« Qui se paye la tête de l’autre maintenant ? » J’haussais les épaules presque amusé, alors qu’elle enlevait le rouge sur mes lèvres. Sentir redevenir moi-même me plaisait, mais je devais avouer que j’aimais plutôt pas mal ces moments avec James. Cette gamine était extraordinaire. « Tu n’as pas des dents à brosser jeune fille ? » « C’est fait ! Je t’attendais pour mon histoire. » Je regardais Oswald avec un air hautain, presque trop fier. « Elle sait écouter un Prince, même lorsqu’il faut aller se brosser les dents » D’accord, elle avait voulu que je la porte pour qu’elle atteigne le lavabo et je m’étais amusé à lui faire des grimaces à travers le miroir. Mais, ça Oswald n’était pas obligé de le savoir. « Va dans ton lit, j’arrive. » La petite part en courant, et c’est alors qu’elle me regarda avec son air bien trop sérieux. « Je te préviens que la décevoir à partir de maintenant est une très mauvaise idée. » « Je ne compte décevoir personne » Ma voix était direct, rauque, sincère. Elle saisit une autre lingette et s’assura qu’il ne restait rien. « Il va juste falloir attendre pour le mariage » Je me m’y à rire. « T’as pas idée du protocole qu’il faut suivre pour rentrer officiellement dans la famille » C’était compliqué. Il fallait amener la nouvelle venue doucement, comme si on présentait un nouveau visage à un pays entier. Il fallait passer par des soirées mondaines et quand bien même celle-ci était accepté, pour les fiançailles c’était un peu plus spécial. Mais passons. « MAMAN ! ARRETE DE FAIRE DES BISOUS A ARTHUR » Je ne pus m’empêcher de sourire à nouveau, et alors qu’elle se leva, je roulais des yeux : « Oui, bébé arrêtes donc d’embrasser ces lèvres interdites pour ce soir » Je me pinçais la lèvre, son bras m’invitant à me lever. « Tu viens avec moi. Y’a bien assez de place dans son lit pour lire l’histoire à deux, et de toute manière elle va t’ordonner de venir. » « Telle mère telle fille hein » Elle me tapa à l’épaule, tandis que je me levai. Béquille à la main, je la suivis dans la chambre aménagée d’Oswald. La petite nous regardait, souriante. « C’est pas trop tôt ! Je suis fatiguée moi ! »  Oswald vint s’allonger d’un côté, et après avoir déposé mes béquilles un peu plus loin, je fis de même de l’autre côté. « Vous êtes trop mignon ! » dit-elle en me prenant le bras le plus proche. Elle le souleva automatiquement et vint se lover sur mon torse. Je caressai sa chevelure bouclée, et regarda Oswald, légèrement surprise de ce geste. Je plongeai mon regard dans le sien, et murmura : « Tu devrais lui lire son histoire avant qu’elle s’endorme… »


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Il y a cette magie dans ce moment que je souhaiterais ne jamais voir disparaître. J’ai laissé de côté inquiétude et colère au moment où mon regard est tombé sur James et Arthur. Je me suis sentie totalement sereine dès le moment où j’ai eu la sensation de retrouver ma famille. Ça me fait un choc de penser ça autant que ça m’est agréable. Ici nous sommes dans notre bulle, plus rien ne compte vraiment hormis nous et ce que nous partageons. Même si nous nous taquinons, même s’il me cherche et qu’il me fait un peu peur en parlant de protocole à suivre avec sa famille, j’aime tout de ce moment, plus particulièrement la partie où je l’entraine jusqu’à la chambre de James. « C’est pas trop tôt ! Je suis fatiguée moi ! », « Vous devenez un petit peu trop exigeante mademoiselle. » Mes sourcils se froncent légèrement tandis que James s’enfonce un peu dans son lit mais je prends tout de même place à ses côtés, Arthur s’installant de l’autre. « Vous êtes trop mignon ! » Je secoue la tête et attrape le livre sur la table de chevet. Mon regard tombe sur la scène la plus adorable qui soit mais aussi la plus surprenante. Ma fille contre Arthur et Arthur caressant tendrement ses cheveux. Mon cœur se serre et je dois ravaler les larmes que je sens monter en pensant qu’il pourrait tout briser. « Tu devrais lui lire son histoire avant qu’elle s’endorme… » Me murmure Arthur lorsque je croise son regard. J’acquiesce, me racle la gorge et commence à lire. Ce n’est que lorsque j’entends le souffle calme de James que je lève les yeux et la voit complètement endormie contre Arthur. J’ai du mal à sourire, je pense trop à cette maudite enveloppe dans mon sac qui pourrait m’arracher tout ça. D’une main tremblante, je caresse la joue de James et relève la tête vers Arthur. « Il faut que je te parle de quelque chose. » Je lui murmure en me dégageant aussi discrètement que possible du lit. Une fois seule, James remue légèrement mais reste endormie. J’attends que nous ayons quitté tous les deux la pièce pour fermer la porte et me tourner vers le brun. « C’est à propos de Maël. »


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feat. Artwald
La voix d’Oswald était apaisante alors qu’elle lisait un conte pour enfant. Caressant doucement la chevelure de James, je sentis sa respiration se ralentir au fur et à mesure de l’histoire, m’embarquant moi-même dans un état second de calme. Je ressentais alors toute la fatigue accumulée ces derniers jours m’envahie, et profita de ce moment délicieux pour contempler doucement Oswald. Elle était belle, lorsqu’elle s’occupait de sa fille. Elle n’eut même pas le temps de finir l’histoire que la petite était déjà endormie. « Il faut que je te parle de quelque chose. » Je fronçais aussitôt des sourcils, et la regarda se relever doucement, m’indiquant qu’on allait en discuter dehors. Je pris mon temps pour me relever afin de ne pas réveiller James, lui remis la couverture en place, saisis mes béquilles et sautilla doucement vers la porte. Le regard d’Oswald changea aussitôt, plus sérieux, plus difficile à lire. « C’est à propos de Maël » A ce simple nom, mes cheveux se hissèrent sur la tête. Lui, si je pouvais l’encastrer, je le ferai. Je me pinçais les lèvres, passa devant Oswald et me dirigea vers le salon. Si on devait parler de lui, ce ne sera près de la petite. Elle m’y un temps à me suivre, mais elle le fit, me voyant m’asseoir sur le canapé, jetant à la va vite mes béquilles. Elle me rejoint sans un mot, les yeux baissés. Pourquoi je sentais que je n’allais pas aimer ce qu’elle allait dire ? Avait-elle cédé de nouveau avec lui ? Nous n’étions pas officiellement ensemble, elle avait entièrement le droit d’aller voir ailleurs…Mais rien qu’à cette pensée, j’eus mes poings qui se sont refermés. Elle se mis à l’autre bout du canapé, m’évitant un peu. Putain, c’est ça. « Dis-moi, Oswald. » Ma voix était soutenue, au bord du précipice.

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ft. artwald
Par où commencer ? Telle est la question que je me pose alors que nous nous éloignons de la chambre de James. J’ai l’estomac qui se noue tandis que nous arrivons dans le salon. J’ai repoussé cette discussion depuis que je suis rentrée. J’ai voulu me perdre dans cette bulle de bien-être que nous avons partagé tous les trois et là, la voir totalement éclater me donne envie de pleurer. Je sens toute la tension qui se dégage d’Arthur lorsqu’il prend place sur le canapé et je me sens tellement mal que je m’assois un peu plus loin. C’est idiot, je devrais être près de lui, chercher auprès de lui le réconfort et le courage dont j’ai besoin mais je fais l’inverse par peur. « Dis-moi, Oswald. » Le désespoir dans sa voix me fait redresser immédiatement la tête. Je le fixe la bouche ouverte sans prononcer le moindre son. Il a cette inquiétude dans le regard qui me retourne l’estomac et mon cerveau tourne à mille à l’heure comprenant presque aussitôt ce qu’il s’imagine. J’ai parlé de Maël et je prends mes distances, bien sûr qu’il imagine le pire. Qu’on soit ou non officiellement ensemble, je serais incapable d’aller voir ailleurs, je l’ai compris il y a un moment déjà. « Ce n’est pas ce que tu penses ! Je n’ai … » Je m’arrête en soupirant. Je me relève et vais m’asseoir plus près de lui. « Arthur … » Je pose une main sur sa cuisse et penche ma tête de sorte à croiser son regard. « … ça fait un moment que je sais que je serais incapable d’aller voir ailleurs. Je ne peux pas et je ne le veux pas. » Je laisse quelques secondes de silence appuyer mes propos puis je me penche pour attraper mon sac et en sortir l’enveloppe dans laquelle se trouve ma convocation. Je la tends d’une main tremblante vers lui. « Il me l’a donné avant que je parte tout à l’heure. C’est la raison de son retour, il veut la garde de James … sa garde totale. » Mes yeux commencent à me piquer. Je suis à deux doigts de pleurer. Quatre ans. Quatre ans que j’élève ma fille seule et voilà qu’il arrive avec ses gros sabots et décide de tout briser, de m’arracher mon bébé.


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