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I'm your Bonnie, you're my Clyde • Ashrin (jour 3)

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Avant le départ au spring break, tu avais eut l'idée avec Marin de foutre le bordel dans la chambre de Denys. Pourquoi ? Bonne question, l'idée vous étiez juste venue et la trouvant agréablement conne, vous avez sauté sur l'occasion. Aussitôt arrivée en Jamaïque, tu avais contacté le winthrop pour savoir quel jour il était dispo pour faire ce petit bordel. D'un commun accord, c'est pour le dimanche que vous aviez décidé de mettre en place votre plan. Le dimanche étant journée libre c'était parfait, même si la veille avait eu lieu la première soirée ici et que tu avais donc rejoint Lucky et Léo au bar de la plage puis Agathe et Nora dans la nuit. Quelle idée d'avoir des copines mathers ? Aucune qui peut te faire lever le pied au lieu d'enchaîner les verres les uns après les autres. Mais pas question d'annuler avec Perol, même si tu avais plus d'alcool que d'heures de sommeil dans le corps. Denys était pas dans sa chambre, quant à ses colocs non plus, tu avais guetter le tout avant de faire signe à ton acolyte de débarquer. Comme promis, tu avais enfilé une tenue noire pour te la jouer en mode mission impossible. Dieu merci que l'hôtel avait la climatisation parce que vu la chaleur en Jamaïque autant dire que tu aurais été morte, raide sur le carreau, avant même de commencer la mission. Prêt ? Le sourire aux lèvres, tu ouvres la porte avec un pass que tu avais réussi a gratter à l'accueil et quand la poignée se baissa et que le petit "clic", signe que la porte était déverrouillée, se fit entendre, ton sourire s'agrandit. Entrant à l'intérieur de la pièce, tu te poussa pour que Marin te suive et refermer la porte à clé derrière vous. Cette chambre tu y étais déjà venue deux jours plus tôt pour mettre en place ta vengeance suite à ce que tu avais découvert, tu la connaissais bien, et tu pouvais décerner facilement l'odeur de Denys parmi celle de ses colocs. Tu avanças dans la suite et te jeta sur le lit de ton meilleur ami. C'est celui de Denys dis-tu à Marin vu qu'il ne savait pas. Sautillant sur le matelas, tu fis l'ange, bougeant les bras et jambes, bien pour défaire le lit qui de base était tout bien fait -merci les femmes de ménages-. Mais ça c'était gentil et pas grand chose. Tu proposes quoi ? On étale ses caleçons un peu partout dans la pièce ? On cache sa brosse à dent sous son oreiller ? Afin qu'il remarque bien que quelqu'un soit passé par là et la brosse à dents étant sacré en plein spring break surtout, s'il la trouvait pas ça allait être compliqué pour pécho. De quoi te venger que monsieur te privait de pécho pendant ce spring break. J'ai emmené un rouge à lèvres aussi, on peut écrire des trucs sur le miroir, répartir ses produits de beauté de partout dans la chambre. Son pot de gel par ci, le gel douche par là, le dentifrice dans ce coin etc. Tu te serais bien vu de foutre du shampoing carrément sur les draps mais ça tu l'aurais fait à un ennemi pas à ton meilleur ami pour une petite blague. Appuyée sur les avants bras, redressée sur le matelas, tu attendais l'approbation du rouge et d'autres idées qu'il aurait.

@Marin N. Perol
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Ashrin était de retour pour vous jouer un mauvais tour et ce même en Jamaïque. Les meilleurs espions ne prennent jamais de vacances et c'était notre cas. Après le malheureux accident arrivé durant l'une de nos manœuvres pendant la saint valentin, nous étions prêt à recommencer pour cette fois-ci une mission bien spéciale. Oui puisqu'elle concernait Denys, mon bon pote de la mather house. Même si je l'aimais d'un amour infini malgré nos différences, je ne pouvais qu'écouter la connerie qui me démangeait face à lui. Désolé Den mais.. c'est le spring break, je veux que tu t'en souviennes. Ayant attendu le jour trois, et les conseils de la mather, j'arrivais enfin sur le lieu du crime dans mon short de bain. J'en changeais à chaque fois que j'y pensais, et étant un fan de fête, j'étais en folie depuis notre arrivée ici. Tellement que les cernes se lisaient sur mon visage. Mais j'étais un peu comme le Kévin des Marseillais. Plus aucunes filles canons ne trépassaient. Maintenant que j'étais là, je mettais mes talents de dragueur en action. Malgré les nombreux pays que j'avais visité au cours de ma vie, la Jamaïque n'en faisait pas partis, d'où ma double excitation. Je voulais absolument tout faire. Danser, draguer, chanter, explorer, vivre tout simplement et me faire plaisir. Les premiers examens sont finis et je n'attendais qu'une chose, c'est de mourir sous l'effet de l'alcool carrément. « Bien-sûr que je suis prêt. J'ai attendu ça pendant deux jours. C'est long deux jours. » Dis-je en souriant tandis que je suivais la jeune femme, ouvrir et rentrer à l'intérieur de la pièce en question. La jolie blonde se jeta immédiatement sur un lit en me certifiant qu'il était bien celui de notre pote en commun. C'est alors que mon regard tomba sur sa tenue que je n'avais pas bien analysé. Mais elle est dingue. Elle va mourir de chaleur ou même pire fondre. « Je propose qu'on retourne tout et la brosse à dent, j'ai une petite idée. » Un sourire plein de malice s'affichait sur mon visage tandis que je fonçais dans la salle de bain avant de me rendre compte que je ne savais pas laquelle était la sienne. « En parlant de beauté, tu sais reconnaître son odeur du matin aussi ? » Demandais-je face à un dilemme que je ne maîtrisais pas. « Il a pas des objets qui lui tiennes à coeur qu'on puisse cacher aussi ? Et j'adore ton idée pour le rouge à lèvres. » Ma tête boulottait de l’entrebâillement de la porte de la salle de bain. « Et j'espère que t'es sûr qu'il arrivera pas tout de suite parce que là, on risque de se faire démonter. » J'aimais le challenge et l'excitation que cela provoquait de faire ça en douce. Un peu comme si je couchais avec une femme déjà en couple. C'est le même principe.
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Ce qui était bien avec Marin c'est qu'il était aussi timbré que toi. Il aimait lui aussi faire des coups foireux, des conneries et faire chier le monde. C'était une des raisons qui faisait qu'entre vous le feeling passait à merveille. Vous étiez similaires sur plusieurs points, notamment pour faire de la merde. La preuve en étant avec cette idée de foutre le dawa dans la chambre de ton meilleur ami. Oh que tu t'en réjouissais déjà d'avance. Telle une enfant impatiente d'ouvrir des cadeaux de noël, tu avais presque envie de sautiller sur place en ouvrant la porte menant à vos bêtises. Tu rigoles devant le ton de sa voix. Deux jours seulement ? Toi, à la minute où tu en avais parlé avec lui tu attendais ça avec impatience. Tu t'attaques au lit, histoire de le foutre en bazar mais le truc c'est que t'as peu dormi la veille à faire la fête à gauche puis à droite, alors vaut mieux que tu te redresses, au risque de t'endormir sur le matelas. Non, non, non, Marin te laissera jamais faire une sieste, et pas question que tu en fasses une. Je la sens diabolique ton idée de brosse à dents. Son sourire tu l'avais vu et tu sentais qu'il allait préparer un bon truc connaissant l'énergumène. D'ailleurs, il se dirigea vers la salle de bain, enfin une des salles de bain, mais c'était la mauvaise. L'autre dis tu en pointant la porte de ton index. Tu le savais car tu étais venue là deux jours auparavant et que tu lui avais emprunté sa salle de bain pour te préparer à mettre ton plan vengeance en action. Appuyée sur tes avants bras, tu regardais au loin le winthrop, qui envisageait de planquer des objets auquel Denys tiendrait. Olala que ça allait être drôle tout ça. Si je crois, il doit avoir des photos de ses frangins et ses neveux/nièces quelque part, parce que tu te souvenais les deux photos accrochées sur la pore de son casier au garage où il avait travaillé. Obligé il en avait avec lui aussi dans sa valise ou quoi. Puis probablement une chaîne qu'il porterait autour de son cou. Mais ça il l'aurait surement déjà sur lui, à moins qu'il ait oublié de la mettre aujourd'hui. Tu te redressas quand il évoqua le potentiel retour du mather. Non t'inquiète, je lui ai demandé, il m'a dit qu'il allait se baigner et surfer un peu. Cette activité ça prenait du temps, c'était pas en dix minutes qu'il allait revenir, ça vous laissait donc une bonne heure devant vous, facile. Direction les placards, tu ouvrais les tiroirs à la recherche du dressing du jeune homme. Connaissant parfaitement le style de ton coloc de Boston, tu savais reconnaître les jeans qui étaient à lui. Dieu merci, ça éviterait de foutre en l'air les vêtements de ses colocs du spring break au lieu des siennes. Attrapant une pile de hauts, jeans et caleçons, tu commenças a éparpiller le tout, lâchant un caleçon sur une chaise, un haut blanc sur le sol, un jean sur le lit, un autre caleçon sur la lampe de chevet. Tu faisais le petit poucet mais en version plus bordélique. Tu prenais ton temps, tu choisissais des endroits stratégique, déposant même un caleçon sur la poignée de la porte. Ses colocs allaient être SUPER contents de découvrir les sous vêtements du grec un peu de partout. Ca manque de musique alors tu sortis ton smartphone et navigua sur youtube. Le son n'était pas fort, les chambres bien insonorisées alors c'était parfait. Tu te dandinas aux premières notes de chained to the rhythm de Katy Perry (dédicace ;)) Ton tél posait sur une table de la suite, tu rejoints Marin dans la salle de bain pour voir les conneries qu'il prépare, tandis que tu sors ton rouge à lèvres, bien rouge, pour écrire sur le miroir. Je marque quoi ? Des trucs cochons ? Histoire que ce soit drôle non ?
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Okey. A peine avais-je mis les pieds dans cet endroit que mes poils se hérissaient de plaisir. Parfois je me dis que je suis taré, mais bon en compagnie d'Ash, ça passait mieux et puis surtout c'était un moment qu'on partageait ensemble avec plaisir. Un peu comme une partie de tennis. Voilà, on va dire que c'est notre partie de tennis, un moment de jeu, de rire et d'excitation. Tout ça sans même penser une seule fois à du sexe, applaudissez-moi, oui oui. Juste une bonne tranche de rigolade en dépit de Denys bien évidemment mais je le connaissais. Il saura nous le rendre un jour, j'avais pas de doute là-dessus. Regardant dans la salle de bain, espace clos et surtout individuel, je remarquais qu'il y avait une tonne de produit de beauté pour homme pour le visage, pour les mains et j'en passais. Prenant l'une des crèmes, j'en déposais une noisette sur ma main pour me l'appliquer ensuite. Ça sent bon cette connerie. Je devais peut être essayer d'en acheter la prochaine fois. Sortant de la salle de bain puisque je n'étais pas dans la bonne, je m'y rendais avec un sourire diabolique. Prenant sa boîte de cire pour cheveux, je tartinais généreusement sa brosse à dent dans cet amas gluant voir gélatineux. Ni vu ni connu, je rangeais le tout tandis que la mather revenait vers moi en regardant ce que j'avais bien pu accomplir. « Je suis diabolique. » Dis-je en souriant tandis que je sortais de cet espace réduit pour laisser la place à la mather. D'ailleurs elle avait fait du bon boulot, c'était un réel bordel dans sa chambre déjà mais je ne comptais pas en rester là. « Bon boulot. » La gratifiais-je pour par la suite regarder le rouge à lèvres et sa marque rouge sur le miroir. « Ouais marque des trucs cochons. J'aime l'idée. » Laissant mon acolyte dans son plan, je me ruais sur sa valise et son sac à dos pour trouver ce que Ash m'avait dit. Une photo ou bien sa chaîne. Concentré sur le rythme de la musique, je fouillais comme si c'était mes propres affaires. Et une photo apparu alors, une où on le voyait avec ses frères, du moins c'est ce que j'imaginais vu leurs regards complices. Je ne connaissais pas du tout la famille de Denys. « J'espère qu'il va se casser la gueule beaucoup de fois sur sa planche alors, parce qu'on a de quoi faire là. » Sortant un chewing-gum de ma bouche, je le mâchais profitant de son arôme fruitée avant de le poser à l'arrière de l'objet et de le coller délicatement en dessous de sa table de chevet. En lieu sûr. C'est au tour de ses draps de payer, les enlevant avec un malin plaisir. C'est gamin, je l'admets mais ça m'éclate.
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Tu t'étais pas trompée, son idée de brosse à dent tu la sentais vraiment mal, mais un mal bien puisque pour toi ça allait être drôle. En effet, en venant dans la salle de bain, après avoir éparpiller des vêtements et caleçons de partout dans la chambre, tu vis Marin en pleine action. Plongeant la brosse à dent dans quelque chose de... gluant ? Du gel ? T'étais pas sûre mais en tout cas tu n'avais pas envie d'être ton meilleur ami qui risquait de se brosser les dents avec ça. Tu compatissais avec lui, à distance, tandis que le rouge se réjouissait de sa connerie. Ce qui te fit rire. Vous êtes irrécupérables. Deux grands gamins. Mais c’est bien de garder ce côté enfantin, de pas perdre son humour et de profiter de la vie comme elle vient. Ca vous réussit à vous deux, même si parfois ça vous fait mettre dans des situations de merde comme au zoo. Il approuve alors ton bazar dans la chambre, puis l'idée des mots cochons sur le miroir. Un clin d'oeil à Perol, tu te penches au dessus du robinet et tu écris un premier truc : prend moi. Explicite et bien remplit d'arrières pensées, c'est le genre de truc que quand il va lire il va pas penser à autre chose que du sexe. Tu rigoles et tu rajoutes d'autres mots. "Plus fort". "Plus vite". "Oh oui comme ça". "Défonce moi". Et tu t'arrêtes là, tu te recules un peu, contemple ton chef d'oeuvre, mais t'es pas satisfaite. Quelque chose te dérange, il manque un truc. Tu te regardes dans le miroir et tu appliques le maquillage sur tes lèvres que tu pinces. Tu viens alors déposer deux baisers sur le miroir afin d'y laisser la marque de tes lèvres. Là c'est un peu mieux. Tu ajoutes un petit dessin, un petit coeur, puis également un D pour son prénom. Satisfaite, tu sors de la salle de bain pour voir Marin en train d'enlever les draps du lit du mather. Tu te prends pour la femme de ménage maintenant ? que tu te moques de ton complice quand une idée te vient en tête. Tu te tournes pour être dos au rouge, tu passes tes mains sous ton haut noir afin de défaire les agrafes de ton soutien gorge. Passant une main par la première manche gauche, tu enlèves ta bretelle de l'épaule et tu fais de même avec celle de droite. Tu tires sur le soutif par le milieu de ton haut et tu déposes celui ci sur la taie d'oreiller du lit de ton meilleur ami. Un soutif noir, simple, mais dont il va pas comprendre d'où il sort, ni à qui il appartient. Puis tu te mets à danser dans la chambre, secouant la tête de droite à gauche, tes cheveux volants de tous les côtés pour alors te jeter sur le matelas et continuer à danser. Tu prends le lit pour un trampoline et on dirait un enfant de cinq ans. Sautillant, riant comme une folle, tu fais signe à Marin de faire de même. Et quand tu sautes, tu t'essayes à des figures, les jambes repliées, les mains en l'air. Ou les jambes écartées en essayant de toucher tes orteils avec tes doigts. Ou bien retombant sur le matelas sur les fesses...
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Rien n'avait plus d'importance de se dépêcher avant que le vert ne revienne parce que je savais très bien qu'en voyant notre bazar, il nous foutrait à la porte plus vite que prévu. Et puis sans parler de sa colère qui viendrait nous frapper sans y être invité. Même si je doutais qu'il le prenne au sérieux, je préférai ne pas être là quand il découvrirait le bordel ici. Je m'appliquais donc pas du tout à tirer ses draps si bien fait auparavant pour les mettre par terre. Je fouillais même sous le matelas au cas où, ou le jeune homme cacherait de la drogue ce dont j'avais bien envie dans l'instant. Entendant la mather embrasser le miroir, je relevais ma tête d'un coup en regardant dans sa direction en souriant. Elle est dingue cette fille. Etre prêt à embrasser un miroir où des gens ont peut être fait des choses avec, c'est du courage. « Je suis une très belle femme de ménage, appelle moi Marina. » Dis-je en changeant ma voix, la rendant soudainement beaucoup plus aigue et surtout ridicule. Je ne dénigrais nullement le métier mais j'aimais me travestir de temps à autre avec ma voix. « MA-RI-NA. » Répétais-je encore une fois mais en français pour montrer la différence de prononciation. Et que personne ne vienne me dire que cet accent est moche parce qu'il fait son effet sur l'île et bien plus que je ne l'aurais imaginé a vrai dire. Ashleigh, retire son soutien-gorge pour le poser sur l'oreiller du brun tandis que je le regarde en hochant la tête impressionné. « Tu fais une taille plus que ce que je pensais. Vraiment, je suis éberlué. Sans parler de ta technique pour l'enlever. Chapeau. Apprends-moi. » Dis-je presque admiratif avant d'ajouter « Maintenant dans ta combinaison, tu vas pointer. » Et ça, ça me faisait vraiment rire pour une raison qui m'échappait. Elle se mit alors sur le matelas sautant et dansant sur la musique, me demandant de faire de même. Elle est folle. Elle m'a cru pour sa copine, riant et criant avec une voix d’écervelée ? Jamais. De mon vivant, jamais. Et même s'il ne faut jamais dire jamais, et bien je le dis. Jamais. Je la regardais en souriant avant d'attraper un cousin et de lui viser le figure. Bim, 1000 points pour moi. « La prochaine fois que tu me verras me déhancher et sauter sur ce lit, je serai soit un fantôme soit mort. » Répondis-je en riant machiavéliquement.
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Chacun occupé à sa tâche, toi sur le miroir à écrire des mots cochons et bien explicite, Marin à s'occuper des draps du lit du mather, tu le rejoints dans la pièce principale, commentant son action. Et tu pouffes de rire en l'écoutant se prendre pour une meuf, avec la voix qui va avec itout. Il insiste en plus, sur ce prénom, avec un accent que tu devines français ? Tu sais pas trop, t'es jamais allée là bas, en France, t'as juste Ivy et Maxime qui y sont d'origines et qui t'ont déjà dit quelques mots dans la langue, alors tu devines que c'est ça l'accent français, si tes souvenirs sont bons. Ca me donne envie de te foutre une perruque, du maquillage, une robe et des talons dis-tu en éclatant de rire, ayant cette image d'un Marin déguisé en fille. Pourquoi pas ? Ca serait pas virile mais surement très drôle. Puis tu le laisses continuer, tandis que toi tu retires ton soutien gorge pour le poser sur l'oreiller. Si Denys découvre que ceci vient de vous, surtout de toi, tu peux dire au revoir à ta vie, ou à votre amitié ? Après tout la veille, si ta vengeance avait bien commencé, qu'il avait marché dans ton plan et qu'il avait plus que était réactif à tes baisers et tes charmes, si tu t'étais aussi laissée aller pour reprendre le contrôle et le stopper quand ça commençait à devenir sérieux. La suite avait été bien plus catastrophique. Normalement c'était la dispute et ensuite le sexe en réconciliation, non ? Avec vous ça avait été le contraire. D'un moment d'attraction, ça avait finit en règlement de compte. Alors lui laisser ton soutif s'il découvrait que c'était toi, en plus des mots sur le miroir, tu risquais de te faire assassiner sur le champ... Mais tu étais là pour t'amuser avec ton complice, pour faire les andouilles et ainsi te changer les idées. Si tu es éberlué rien qu'en voyant le soutif, imagine sur moi, te rendant compte que tu lui disais d'imaginer tes seins, tu repris aussitôt : enfin non, n'imagine pas hein. Tu te mis à rire et encore plus quand il envisagea que tu pointes. T'es con lâchas-tu avec un nouveau rire, venant alors te jeter sur le lit pour t'en servir de trampoline. Une vraie gosse, t'avais besoin de faire des conneries, de rire, pour te changer les idées. Marin était clairement le meilleur pour ça, la preuve, même s'il réfuta l'idée de venir sauter sur le matelas avec toi, le coussin qu'il t'envoya dans la tronche, étira un sourire sur tes lèvres. Tu seras mort sous peu répondis-tu avec une voix mystérieuse et joueuse, te baissant sur le lit pour chopper un oreiller. Celui ci en main, tu donnas un premier coup au winthrop dans les côtés. Puis un autre. Pas trop fort, juste pour rire. Bataille d'oreilleeeeeeeeer ! Tu donnas un troisième coup un peu plus fort. Avec un peu de chance, les oreillers allaient craqué et foutre desplumes de partout dans la chambre, de quoi faire un bordel encore plus grand. Y en avait vraiment pas un pour sauver l'autre. Riant comme une folle, tu remarquais pas que la musique c'était coupé. Tu t'éclatais juste avec le rouge, à faire les cons, ne te doutant pas que Denys était sur le chemin pour revenir à la chambre.
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J'étais assez fier de nous, de ce qu'on avait accompli ensemble. Et pour une fois rien n'avait entravé notre petite mission qui était cette fois-ci bien spéciale. Et rien que d'imaginer la tête de Denys face à ce foutoir, je jubilais finalement. Il m'aime, il ne pourra pas m'en vouloir. Du moins pas longtemps. Imitant parfaitement une jeune femme sous le doux prénom de Marina, je ne pouvais réprimer un sourire de travers. Enfin, pas longtemps puisque la mather me soumettait l'idée de me transformer complètement. « Essaie juste de me mettre un trait de je sais pas quoi, je te défonce Strauss. » Répliquais-je en étant presque sérieux. J'avais un traumatisme encore bien présent à cause de mes deux soeurs avec leur merveilleuse idée de justement me maquiller comme une fille. Mon reflet dans le miroir m'avait paru être un cauchemars. Une horrible blague. Depuis je protège ma virilité comme mes bijoux de famille. « C'est trop tard, j'ai imaginé là. » J'avais ouvert les yeux en grand, restituant aux mots de la jeune femme son soutient gorge à elle-même. Et ça me faisait bien rire qu'au finale ça puisse la mettre complètement mal à l'aise. « Me mets pas des idées comme ça dans la tête aussi, je suis faible je te rappelles. » A ce niveau-là ouais, surtout quand ça concernait les femmes en général et jusqu'à preuve du contraire, Ash est une femme. C'est alors qu'elle me donna un nouveau petite surnom tout à fait mignon, avant de monter sur ce lit, de rire en dansant avant de se prendre un bel oreiller dans la gueule. En plein dans le mille, j'étais carrément heureux. Bonne journée en perspective. Mais c'est sans compter le retournement de situation, voulant se venger, elle m’assénait de coup alors que j'étais à découvert. Mais ça me faisait marrer. Me protégeant de ses coups à l'aide de mes bras, je remarquais soudainement le silence qui tombait sur nous. Et des bruits de pas. « Ash, arrête. Mais vraiment. Y'a quelqu'un qui arrive. Prends ton téléphone, faut qu'on se casse au cas où.  » Mais trop tard, la lumière en dessous de la porte venait tout juste de s'assombrir signe qu'il fallait vraiment se barrer et maintenant. Sans lui demander la permition, j'attrapais le coude de la jeune femme et fonçait dans l'armoire en refermant les portes. Bien sûr, c'était du grand n'importe quoi et notre position à l'intérieur aussi mais au moins, nous étions cachés.

@DENYS ZACHARIAS
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Marin qui se la joue meuf avec une voix aïgue et rajoutant un "a" à son prénom afin de le rendre féminin, c'était trop tentant pour ne pas l'imaginer déguisé en meuf. Lui ça le faisait bien moins rire vu qu'il en venait tout de suite aux menaces. T'es pas drôle quand tu t'y mets le taquines-tu en lui faisant un clin d'oeil. T'étais certaine que ça devait être comique à voir. Tu continuais de rajouter du bordel dans la chambre du mather, ton soutif sur l'oreiller, qui en vint vite à une discussion sur ta poitrine et tes tétons. Du Marin tout craché. Ca te faisait rire tout de même car entre vous c'était sans filtres, tu lui avais bien proposé une pipe au zoo, juste pour le mettre mal à l'aise, faisant semblant de déboutonner son jean pour qu'il y croit. Vous étiez comme ça, deux grands gamins, aussi timbrés l'un que l'autre. C'est ce qui faisait votre charme et la beauté de votre amitié. Amitié pas mal rythmé par les conneries, comme en ce moment. Tu rigolas devant son explication, genre c'était ta faute de lui mettre de telles idées sur ta poitrine. Monsieur jouant bien sur le fait qu'il était faible face aux femmes. Tout prétexte était bon à prendre surtout pour lui, mais t'étais la même, avec les hommes par contre. Pervers lui lanças-tu en riant. Puis, tu sautas sur le lit comme une enfant, finissant par te prendre un oreiller dans la tronche. Aimant avoir le dernier mot, rendre les coups, tu te fis pas prier pour t'attaquer à lui en le frappant avec le coussin. Pas un, ni deux, mais trois coups. Il tentait de se protéger mais tu continuais, n'entendant pas les pas qui se rapprochaient de vous, trop concentrée sur les coups que tu portais au winthrop. Tu ne vis pas que Marin se raidit. Ses paroles tu les entendirent mais n'y fit pas trop attention, jusqu'à qu'il te tire par le coude, t'entraînant avec lui vers un des placards. Lâchant l'oreiller dans la foulée, tu n'eus pas le temps de récupérer ton smartphone. C'est dans un placard, dans le noir, collée à Marin, que tu te retrouvais bloquée. Evidément, au vu de la situation avec le rouge, tu te mis à pouffer de rire, venant plaquer ta main sur tes lèvres pour empêcher tout son de sortir. Marin, te met pas a bander dis-tu dans un souffle en pouffant à nouveau. La situation te faisait clairement rire. Marin au fond, toi devant lui, ton dos contre son torse, ouais c'était pas le moment que son entrejambe se réveille. Tu savais que ça serait pas le cas, mais impossible de pas lui sortir cette vanne. Tu entendis alors la porte s'ouvrir, se fermer, et des pas rentrer dans la pièce. Impossible de voir qui c'était, tu priais juste pour pas que ce soit Denys, ou vous pouviez dire au revoir à vos proches et bonjour au paradis, ou à l'enfer en ce qui vous concerne.

@Denys Zacharias tu peux poster I'm your Bonnie, you're my Clyde • Ashrin (jour 3) 3997999705
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Sortie surf écourtée aujourd’hui. Les vagues n'étaient juste pas au rendez-vous et une mer trop calme c'est une mer plate... Et une mer plate en surf, c'est comme une fille plate au lit : pas très excitant. Donc je ramenai la planche au magasin, renfilai tongs, t-shirt et bermuda et c'est dans les poches de ce dernier que je retrouvais mon téléphone. Cinq appels en absence mon australien de grand frère, ça sentait pas bon. Il avait du apprendre ma participation au SB et je voyais d'ici que j'allais en entendre parler."Ouais Priape c'est moi. T'as essayé d'appeler ? " le rappelai-je tout en prenant le chemin du retour direction l'hôtel. Blablabla, argumentaire, reproches sur ma fâcheuse tendance à tout prendre à la légère... Je levai les yeux au ciel, et lorsque j'arrivai devant ma porte de chambre, la discussion n'était toujours pas finie. "Mais non je suis pas à découvert. C'est une copine qui m'a payé le voyage..." continuant de converser, téléphone coincé entre mon oreille et mon épaule je déverrouillai l'entrée avec mon pass et pénétrai dans la pièce. "Mais oui je vais la remb... " Je me figeai, scotché sur place, oubliant même de finir ma phrase. "Je te rappelle plus tard je crois qu'on vient de cambrioler ma chambre." Soufflai-je en raccrochent. Oui la première pensée qui me venait en découvrant le dawa ambiant c'était ça. Sauf qu'en y regardant de plus près... C'était MES fringues par terre et pas ceux de mes colocs, MON lit qui était défait et oh... C'était quoi sur l'oreiller ? Je saisis le sous vêtement féminin du bout des doigts ça ne pouvait être qu'une blague de mes potes... Je m'attendais presque à les voir surgir en se marrant... Mais pour l'heure, aucune envie de rire mais plutôt de les prendre sur le fait et de les engueuler. J'avais pas de temps pour ces conneries. Je me dirigeai donc vers la salle de bain en pensant les trouver là mais je découvris une pièce vide. Mon regard s'arrêta alors sur le miroir. Bouche bée, j'étais partagé entre l'envie d'exploser de rire et de les tuer... Je ne remarquai pas encore la petite surprise sur ma.brosse à dent, ça, ça serait pour ce soir. En lisant les bêtises sur ma glace, dans ma tête c'était forcément un coup de mes roomates. Lassés de m'entendre les bassiner avec Ashleigh, ils me faisaient passer le message d'aller conclure avec d'autres nanas et profiter du SB, dans ma tête c'était ça. "C'est bien les gars vous vous êtes bien amusés. J'espère que vous avez prévu la perruque blonde en plus du rouge à lèvre et du soutif, sinon aucune chance de conclure avec moi..." Annonçai-je à voix haute, me disant qu'ils étaient peut-être encore dans la pièce. Alors quand j'entendis un rire étouffé et un chuchotement provenir d'une des armoires, je bondis pour en attraper la poignée et l'ouvrir à la volée, persuadé que j'allais trouver les gars à l'intérieur. "Je savais bien que t'étais fou de moi Max..." Ma phrase resta en suspend. En retrouvant les deux coupables, j'en perdis ma voix...
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