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a long time ago, you loved me. ■ artka

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Si on m'avait informer que je prendrais le premier vol pour Boston, j'aurais rigoler en pleine figure de mon assaillant. La raison ? Simplement pour liquider un vieil homme sauf que pour ma part, c'était plus sa petite fille qui m'intéressait. Oswald. Cette pauvre petite prétentieuse ignorais à qui elle avait affaire et surtout, depuis que j'avais appris qu'elle fréquentait Arthur. Pauvre lui mais si je ne pouvais pas l'avoir, personne n'allais l'avoir. C'est pour cette raison évidente que je me suis permise à le suivre à la trace, savoir les endroits qu'il avait l'habitude de fréquenter et à quels moments il serait seul. Je suis au courant que ce dernier ne pouvait pas me résister, c'était une attraction hors du commun. Marchant donc d'un pas léger, je plaçais l'une de mes mains dans mes cheveux afin de les balayer dans le vent. Je reconnu l'homme à qui j'avais éprouvée de nombreux sentiments il y avait quelques années. Cette carrure, ces cheveux bruns mais que voyais-je ? Une chaise roulante ? Arquant un sourcil, je fis tout de même un merveilleux sourire avant de croiser mes bras contre ma poitrine. « Malheureusement pour moi, je te trouvais beaucoup plus attirant sans ces barres de métal qui te sert de chaise roulante mais t'as conservé ton joli minois. » Glissant donc l'une de mes mains contre son épaule, je fis le tour de son corps afin de me poser en face de lui. J'avais tellement la bouche en coeur que j'avais presque envie de me frapper. La seule chose que je voulais, c'étais qu'il puisse me retomber dans les bras afin d'oublier cette brunette une bonne fois pour toute. Sauf, j'étais loin de m'imaginer que ça allait être aussi difficile.
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Je remarchais. Pour moi, c’était un grand pas. Ce n’était pas la meilleure allure que j’avais, je n’étais pas encore à l’aise avec les béquilles, mais je pouvais enfin sentir mes jambes me soutenir. Seulement, voilà, le médecin m’avait ordonné de faire plus d’exercice. Oswald étant assez occupée en ce moment, j’avais décidée d’aller m’entraîner tout seul. Lâchant mes béquilles pour les mettre derrière ma chaise roulante, je fis le chemin comme un grand jusqu’au grand complexe, ou je finis par en jogging et petit débardeur commencer à faire de simples mouvement. Etre à proximité d’un bassin me réconfortait et me motivait : J’allais pouvoir reprendre le sport, la natation, tout ce que j’aimais. Un. Deux. Je musclais mes jambes sans m’arrêter, jusqu’à épuisement. J’avais bien fait de venir en chaise, si avant je ne les sentais absolument plus, aujourd’hui, elles me lançaient signe d’un trop gros effort. Revenant dessus, je m’essuyais rapidement le visage lorsqu’une voix m’interpella dans le dos : « Malheureusement pour moi, je te trouvais beaucoup plus attirant sans ces barres de métal qui te sert de chaise roulante mais t’as conservé ton joli minois » « Ivy… » Cette voix. Je la reconnaitrais entre milles. La seule et l’unique, Ivanka. Comment ne pas le savoir ? Elle avait été longtemps la fille avec qui on ne devait pas me faire chier. Et a vrai dire, en sachant qu’elle était de nouveau à boston, j’eus tous ces souvenirs ensembles qui me revinrent en pleine gueule. Mais j’avais Oswald. Ces bons temps étaient passés, c’était tout ce qu’ils étaient. Sans attendre, elle passa ses mains sur mes épaules, ce qui me fis légèrement frissonner, tandis qu’elle me contourna. « Quand je t’ai proposé hier qu’on se voit, je pensais pas…là, de suite. » dis-je en fronçant des sourcils. Oh, j’étais content de la revoir, vraiment. C’était une personne qui m’était chère, j’arrivais à voir en elle son meilleur, comme elle arrivait à voir le mien. Mais au plus profond de moi, je savais que maintenant, tout avait changé, et que j’allais devoir maintenir mes positions choisies. « Qu’est-ce que tu fais ici ? »

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Lorsque mon paternel me donnait un ordre, je devais lui obéir puisque sinon j'allais le regretter. Il est hors de question que ce dernier puisse me traiter de lâche une dernière fois puisque depuis la mort de ma mère, je ne le reconnaissais plus. Un manque dans ma vie, voilà le fameux résultat. J'ai donc pris la peine d'amménager un bureau pour pouvoir faire ces plans verreux et engager quelques personnes afin de travailler pour moi. Sauf aujourd'hui, je me suis décidée de laisser ce plan de côté et de m'attaquer à mon second problème. Arthur. Cela peut vous penser étrange mais je n'ai pas oublier cet homme. Peu importe les querelles qui sont sorties lorsque nous étions un couple, il est impensable pour moi de passer à autre chose. Le lendemain de ces fameuses discussions, j'étais consternée d'apprendre qu'il avait effacer mon numéro de téléphone, moi, la seule et unique qui a sut l'aimer... Pathétique. En ayant des sources fiables, je pût enfin mettre la main sur le beau Windsor. Celui-ci s'entraînait à Harvard, l'une de ses anciennes habitudes qui devait être restée après toutes ces années. Marchant d'un pas très décidé, j'arrivais par derrière avant de glisser ma main le long de son épaule comme j'en avais l'habitude. « Ivy… » Énorme sourire sur les lèvres, je hochais la tête tout en le contournant et arriver en face de lui. « À ce que je vois, tu ne m'as pas oublier. Bien que, j'suis sûre que tu devais t'imaginer ma voix dans tes rêves à tous les soirs. » Retirant donc mes doigts, je croisais mes bras contre ma poitrine et plongeais mes prunelles dans les siennes. Arthur semblait surpris de me voir, là, en face de lui. « Quand je t’ai proposé hier qu’on se voit, je pensais pas…là, de suite. » Laissant sortir un léger rire de ma bouche, je me penchai vers lui tout en posant mes mains contre ses cuisses. « Tu devrais savoir que je suis une femme pleine de surprise. » Pour tout dire, c'est la simple vérité. J'étais à Boston dans la ferme intention de tuer quelqu'un sauf que je pouvais quand même m'amuser à hanter la tête de mon ex. La fin de cette relation m'avait tellement fait du mal, qu'il m'avait fallut plusieurs semaines à m'en remettre. Évidemment, personne n'était au courant et il est hors de question que je puisse m'abaisser à tomber bas à cause d'un homme. « Qu’est-ce que tu fais ici ? » Gardant ce sourire charmeur sur les lèvres, je me redressais presque d'un bond. « Tu sais, Boston m'a toujours fascinée. La Russie, c'est tellement déprimant. La neige, le froid.. Il n'y a rien là-bas. Tandis qu'ici, c'est tout le contraire. Mais en réalité, mon petit doigt m'a dit que tu t'y trouvais alors, pourquoi pas. » Je mentais comme je respirais. Arthur ne connaissais pas mon réel travail et il n'allait pas le savoir. « Toi, qu'est-ce qui t'es arrivé ? T'es tombé dans les escaliers ?. »
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Avec Ivanka, c’était les montagnes russes. Cette femme m’a longtemps rendu fou. A vrai dire, c’était simple. Lorsqu’on se voyait, c’était des étincelles, une attirance, un lit et une belle nuit. Mais il suffisait qu’elle reparte pour rendre cette relation horrible. Elle ne serait jamais parfaite ; elle était faite comme ça. Si je l’avais aimé une période, si j’avais longtemps trompé mes copines pour elle, pour juste…un moment passé avec elle, dans le simple but de satisfaire ce désir qui ne finissait jamais, aujourd’hui je la regardais avec une certaine méfiance. Non, je tenais toujours à elle, elle me connaissait mieux qu’aucune fille que j’avais eu, mais…je savais très bien ce qu’elle avait en tête, ce qu’elle pouvait avoir en tête, et j’avais promis. Bizarrement, cette promesse je désirais la respecter, plus que je n’aurai désiré un jour ; et je chérissais ça chaque jour. Alors en étudiant son visage angélique, ses yeux attractifs, ses lèvres pulpeuses, et son corps parfait, je ne pus que ressentir une méfiance. Parce qu’elle me l’avait dit, et elle avait probablement raison, je n’avais jamais su lui résister. « A ce que je vois, tu ne m’as pas oublié. Bien que j’suis sûre que tu devrais t’imaginer ma voix dans tes rêves à tous les soirs. » C’était le cas, il y a plusieurs mois. Mais j’avais finis par me désintoxifier d’elle, de ses deux années sans nouvelles. Aujourd’hui, elle serait sans doute plus surprise de mes véritables pensées. Alors, pas simplicité, je ne répondis rien. « Tu devrais savoir que je suis une femme pleine de surprise. » J’acquiesçais naturellement, alors qu’elle s’était penchée vers moi, posant ses mains sur ses cuisses. Ce geste me mis – pour la première fois – mal à l’aise et finit par bouger légèrement ma chaise.  « Comme toutes les fois où tu as débarqué sans prévenir, pour baiser une ou deux nuits et repartir aussi vite que possible. » dis-je finalement. Elle n’avait pas bougé, toujours penché au-dessus de moi, son décolleté au niveau de mes yeux. Que cherchait-elle réellement hein ? Juste mon corps ? « Tu sais, Boston m’a toujours fascinée. La Russie, c’est tellement déprimant. La neige, le froid…Il n’y a rien là-bas. Tandis qu’ici, c’est tout le contraire. Mais en réalité, mon petit doigt m’a dit que tu t’y trouvais alors, pourquoi pas. » C’était un volcan glacé, Ivanka. Elle l’avait toujours été, et c’était certainement ça qui m’avait longtemps plu. Notre relation était simple, sans prise de tête. Si autrefois, ça me semblait intéressant et bienfaisant, aujourd’hui, c’était différent. « Toi, qu’est ce qui t’es arrivé ? T’es tombé dans les escaliers ? » Ce fût le coup de grâce. Elle avait toujours eu une grande gueule, mais si elle prétendait un peu me connaître, elle aurait su que ce sujet était sensible. Sauf, que…elle l’aurait su si elle m’avait donné des nouvelles. « Sérieusement Ivanka ? Tu débarques sans prévenir, voulant que je retombe dans tes bras, sans prendre la peine d’avoir un minimum de délicatesse ? Désolé, mais pour moi, c’est fini » Je saisis mon sac de sport, et me retourna ma chaise roulante d’un seul coup, en la laissant bredouille quelque secondes. Je finis par m’arrêter en route, et me retourna rapidement. « J’ai été renversé par une putain de moto. J’ai été dans le coma plusieurs jours. Je n’ai pas marché pendant des mois. Alors, si t’as l’intention de revenir dans ma vie, en faisant des blagues pourries, tu peux passer ton chemin. » Elle m’avait tapé sur les nerfs. Elle était toujours comme ça. Mais, elle avait raison, auparavant, j’aurai tapé ma crise avant qu’elle revienne et que je l’embrasse à lui en couper le souffle. Aujourd’hui, même si mon corps la désirait encore, mon esprit n’était plus. J’avais tourné la page. Fallait bien qu’elle s’y fasse.

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Lorsque je fréquentais Arthur, je ne démontrais en aucun cas ce que je ressentais pour lui. Je suis une femme qui déteste s'affaiblir, surtout quand il s'agissait d'un homme en particulier. C'est de cette façon qu'on m'a élevée et il était hors de question que je puisse me mettre à genou en face de la gente masculine. Certains disaient que j'avais plus de couilles que certains sur cette planète et je n'avais pas de la misère à le croire... Lorsqu'il s'agissait d'une seule nuit en sa compagnie, je le quittais à l'aube alors que ce dernier dormait encore. Le jeune Windsor ne le digérais pas mais je faisais comme si je n'entendait pas ses caprices. Notre relation n'était pas comme les couples normaux, je le voyais lorsque j'en avais envie et nous n'avions pas de projets pour l'avenir. C'étais au jour le jour. Il était hors de question que je puisse penser au mariage ou même fonder une famille puisque mon père n'aurais jamais approuvé cet écart de conduite. Il me laissait quitter la Russie pour m'envoler jusqu'en Angleterre et ça s'arrêtait là. Combien de fois il m'avait frappée lorsque je lui avouais que j'étais amoureuse de lui et à toutes les fois, j'avais le droit à une correction digne de ce nom. Ça, personne était au courant, même pas mon ex petit ami. Ayant ce même sourire séducteur sur les lèvres, je savais qu'il ne pouvait pas résister à ce regard de velours, jamais il n'avait été capable. « Comme toutes les fois où tu as débarqué sans prévenir, pour baiser une ou deux nuits et repartir aussi vite que possible. » Roulant les yeux, je retirais rapidement mes mains de ses cuisses. « Oh arrête, tu trouves pas ça excitant ? À ce que je sache, tu ne t'en plaignait pas tant que ça. Tu sais que l'amour ça n'a jamais été mon fort et ça ne le sera jamais. » Dis-je d'une voix presque glaciale. Ma personnalité, c'était comme un volcan qui pouvait exploser n'importe quand. En une seule fraction de seconde, je pouvais passer d'un sourire à un regard tueur. Arthur était au courant, c'était bien le seul hélas. Lors de mon arrivée à Harvard, je me suis promise d'être gentille, de ne pas faire de scène à personne et de ne jamais montrer ma vraie nature. Je dois admettre que cette petite blague au sujet des escaliers, ça avait sortit malgré moi. Rien qu'à voir son regard, Windsor ne semblait pas vraiment de bon humeur. « Sérieusement Ivanka ? Tu débarques sans prévenir, voulant que je retombe dans tes bras, sans prendre la peine d’avoir un minimum de délicatesse ? Désolé, mais pour moi, c’est fini » Je le laissais parler, les bras croisés contre ma poitrine. Il ne dit pas un seul mot avant de prendre son sac de sport et partir en compagnie de sa chaise roulante. « J’ai été renversé par une putain de moto. J’ai été dans le coma plusieurs jours. Je n’ai pas marché pendant des mois. Alors, si t’as l’intention de revenir dans ma vie, en faisant des blagues pourries, tu peux passer ton chemin. » Soudain, mon regard changea. Je n'ai pas pût garder mon petit sourire bien longtemps. Serrant les dents ainsi que les poings, je pris donc le pas pour m'approcher de la chaise roulante et poser mes mains contre les poignées. « Je décides quand ça doit se terminer, tu devrais le savoir après toutes ces années. » Le poussant donc vers la sortie du stade, je ne dis pas un seul mot, ni rien. Il fallait que je me calme et je savais que ça n'allait pas être si facile que cela. « C'est malheureux de voir que tu n'es plus le même Arthur, je regrette ce temps où tu te laissais faire. »
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« Oh arrête, tu trouves pas ça excitant ? À ce que je sache, tu ne t'en plaignait pas tant que ça. Tu sais que l'amour ça n'a jamais été mon fort et ça ne le sera jamais. » C'était peut être ça, ce qui nous liait au début. L'excitation de se voir en coup de vent, c'était d'autant plus intense. On se voyait l'équivalent d'une journée, ou deux. C'était souvent un one shot, une nuit sans lendemain, qui se répétait sans cesse et sans cesse. C'était bon. C'était simple. Et à vrai dire, elle avait raison, c'était excitant. Je ne m'en plaignais pas, parce que c'était ce que je faisais le mieux. Profiter, sans prise de tête, sans amour, sans attache. Aujourd'hui, quelqu'un m'avait ouvert les yeux. Et bien que ce manque d'Ivanka quotidien revenait en pleine poire à chaque fois que je la voyais, tout avait changé. J'avais changé. Je n'étais plus ce mec qui lui répondait à la lettre quand elle décidait de se pointer. Non, aujourd'hui, j'étais bien différent de la version d'Arthur qu'elle connaissait, et je supposais que ça n'allait pas lui plaire. Parce que ouai, elle n'allait pas du tout aimer cette version, je le savais d'avance. Et c'était peut être ça qui me mettait moi-même en rogne. Ivanka, c'était...la seule fille qui aurait pu changer ma vie auparavant. Celle qui avait longtemps compté pour moi. Je n'avais pas envie de m'éloigner d'elle, mais je savais que notre relation n'était pas du tout compatible avec la vie que je menais actuellement, ce que j'avais envie de vivre, et ce que je désirais vraiment. Rapidement, je m'emportai face à son attitude déplacé, encore une fois. C'était comme ça à chaque fois, et si autrefois je lui aurait répondu autre chose, là, ce n'était pas le cas. « Je décide quand ça doit se terminer, tu devrais le savoir après toutes ces années. » Je déglutis. Je le savais, et c'était pour ça que je n'aimais pas son retour dans ma vie. Elle s'avança vers ma chaise, saisis les poignées et commença à marcher, faisant claquée ces talons haut. Je n'osais rien dire, parce qu'argumenter ne servait à rien. Finalement, une fois dehors, elle ouvrit de nouveau la parole. « C'est malheureux de voir que tu n'es plus le même Arthur, je regrette ce temps où tu te laissais faire. » « J'ai changé, Ivy. Par bien des manières, il faudra que tu l'acceptes. » Je restais vague quant à ses changements, parce que ça reviendrait à révéler ma relation avec Oswald. J'avais promis. Ne jamais pas en parler, ne jamais dévoiler ce que nous vivions pour protéger James et elle des paparazzis. Je repris les rennes de mon fauteuil, pour lui faire face. « Pourquoi t'es vraiment là, Ivy ? »

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On ne m'avait jamais enseigné ce qu'était le vrai amour. Avec un père délateur comme le mien, il était hors de question que je puisse tomber amoureuse d'un homme sinon ce dernier n'aurais jamais approuvé cette union. Je suis au courant que j'avais mal agis en laissant Arthur seul dans son lit vers les petites heures du matin mais c'était comment j'étais. Jamais personne n'allait m'interdire de faire ce que je voulais, certainement pas un homme. Je l'avais aimé à ma façon, sans attaches et sans vraiment connaître mes vrais sentiments envers le jeune homme. Mon métier me forçait à prendre mes distances quand il s'agissait de relations amoureuses. Heureusement pour moi, Windsor n'était pas au courant et c'était mieux comme ça. Lors de mon départ de la Russie, je me souvenait de ce que mon paternel m'avait dit : Ne dit à personne quel est ta vraie nature, sinon je serai forcé de faire quelque chose dont je ne serai pas fier. Voir comment il parlait, je savais que cette histoire allait très mal se terminer. Sans crier gare, je me suis approchée de lui pour empoigner sa chaise roulante et de pouvoir marcher d'un pas décidé. Le bruit claquant de mes talons hauts résonnaient contre l'asphalte. J'avais l'impression que tous les regards s'étaient braqués sur moi puisque je n'étais pas vraiment vêtue de vêtements adéquats pour faire de l’exercice. « J'ai changé, Ivy. Par bien des manières, il faudra que tu l'acceptes. » Rien qu'à cette phrase, un léger rire sortit de ma bouche. Il n'allait tout de même pas me faire gober une sottise pareille. Arthur ne pouvait pas changer en un claquement de doigt. « C'est ça et moi je suis le pape du Vatican. » Dis-je presque sarcastiquement. Arthur Windsor changer ? Non mais il se foutait de ma gueule. Retirant mes mains de ses poignées, le jeune homme fit volte face afin de se poser en face de moi. Croisant les bras contre ma poitrine, je laissais claquer l'un de mes talons hauts d'un rythme rapide. J'attendais presque une explication de sa part. « Pourquoi t'es vraiment là, Ivy ? » Soudain, je retirais cet air dur et froid de mon visage. Il était hors de question que la Ivanka que personne ne connaissait ne vienne à apparaître. Je suis au courant que jamais je ne l'avais démontrée à Arthur puisque ce n'était pas dans ma nature d'être amoureuse d'un homme, d'avoir la bouche en coeur et dire ouvertement ce que j'avais en tête. La seule façon que j'ai eue à faire, c'était de jouer la comédie. J'étais excellente dans un rôle, surtout quand on est tueuse à gage. « Tu m'as quand même manquer pendant toutes ces années Arthur, j'ai eue vent d'une information qui disait que tu étais à Boston alors je me suis dit, pourquoi pas. » Haussant les épaules, je me rapprochais donc de ce dernier. « Ne me dit pas que tu ne t'es pas ennuyer de moi. Rappelles toi toutes les choses qu'on a fait tous les deux, les nuits torrides qu'on a passer... Me dit pas que tu n'as plus envie de ça. » Tout au long de cette phrase, je me suis approchée de quelques pas, penchant mon corps vers le sien, mes lèvres frôlaient presque les siennes. Arthur n'avais jamais résister à mon charme...
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Une partie de moi aurait été content de la voir. C'était toujours un plaisir de voir Ivanka, parce que même si elle avait un caractère souvent de merde, j'étais l'un des rares à voir son bon côté. Je savais qu'il était là, mais elle ne le montrait que rarement. J'aurai du être content, mais ça n'était pas le cas. Elle me m'était hors de moi. Elle était têtue, rancunière et possessive. Tout ce que je n'aimais pas en elle. Voilà, maintenant qu'elle se payait ma tête. « C'est ça et moi je suis le pape du Vatican. » C'était si dur à croire ? De pouvoir changer ? Elle ne m'avait pas vu pendant deux ans, deux ans, c'est long. J'avais changé, c'était indéniable. L'accident avait été le début, Oswald avait été la raison. A vrai dire, j'étais content d'avoir changer, mais ce n'était pas l'avis de tout le monde. « Tu fais dans l'humour maintenant ? » dis-je en roulant les yeux. J'avais simplement envie de partir, mais j'avais posé la question qui me hantait. Pourquoi elle était là ? Vraiment, pourquoi si elle était à Boston, elle était là, à discuter avec moi, alors qu'elle savait que je n'avais pas envie. « Tu m'as quand même manquer pendant toutes ces années Arthur, j'ai eue vent d'une infirmation qui disait que tu étais à Boston, alors je me suis dis, pourquoi pas. » Elle se rapprocha de moi, alors que comme un crétin, je restais là. « Ne me dis pas que tu ne t'es pas ennuyé sans moi. Rappelles toi toutes les choses qu'on a fait tous les deux, les nuits torrides qu'on a passé...Me dis pas que tu n'as plus envie de ça. » J'eus un drôle de flashback : Elle, moi, sous une douche bouillante. Elle, moi, sur la table à manger. Elle et moi...Je clignais des yeux, en sentant ses lèvres frôler les siennes. Je me reculais instantanément, le visage d'Oswald apparaissant rapidement. « Arrêtes ça Ivanka. » Je me reculais doucement, en la laissant dubitative. « J'ai plus envie de ça. Je suis passé à autre chose. » Je plantais mes yeux dans les siens, pour qu'elle saisisse vraiment le message. Je la repoussais, il fallait qu'elle le comprenne. « T'aurais pas du venir si c'était pour moi, t'aurais pas du. » J'aurai du lui dire que je voyais quelqu'un, que j'avais Oswald, mais ma promesse me liait. Je ne pouvais lui en parler, j'espérais simplement que le message était clair.  « Il faut que j'y aille. » C'était ma façon de lui dire que la conversation était close.  

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Je suis au courant que mon caractère de merde allait faire en sorte que Arthur allait se sauver sauf que c'était plus fort que moi. C'est bien pour cela qu'il n'y avait aucun garçon qui était fait pour moi, la seule personne à s'y être fait c'était Arthur sauf qu'aujourd'hui, j'allais rater cette chance de le ravoir près de moi. La chose qui me mettait hors de moi c'est bien le fait qu'il ait changé. Lui qui détestait les relations amoureuse et qu'il n'était pas vraiment capable de s'en tenir rien qu'à une femme. Il baissait beaucoup dans mon estime. « Tu fais dans l'humour maintenant ? » Le voyant rouler les yeux, j'étais au courant qu'il détestait cet humour sarcastique. « Oui, j'excelle d'ailleurs très bien dans ce domaine. » Il fallait vraiment que je me calme et que je m'en tienne au plan qui bondissait dans ma tête. Si je jouais le jeu en étant la petite fille calme et qui était gentille, j'allais certainement avoir une nouvelle chance. De voir arriver son ex à Boston, ça faisait ressortir pas mal de questions. Voilà que je lui expliquait le pourquoi de ma visite, enfin, un nouveau mensonge. Je cherchais une certaine Oswald. Comme je suis une femme de parole, il est sûr et certain que j'allais faire le sale boulot pour mon paternel. La chose que je faisais le mieux, c'était de faire baisser sa garde et attaquer. Approchant donc mon visage près du sien, Arthur ne bougeait pas le moindre petit doigt pour m'empêcher d'aller plus loin sauf que sans crier gare, il me repousse. Je sentais presque le rouge m'envahir. « J'ai plus envie de ça. Je suis passé à autre chose. » Je vint presque à rire sans arrêt. « Passé à autre chose ? Non tu veux rire de moi là. À ce que je sache, tu ne t'es jamais plaint lorsqu'on étaient tous les deux sur cet ilot dans ton appartement. » Je voulais lui faire remonter des souvenirs du plus profond de lui. « T'aurais pas du venir si c'était pour moi, t'aurais pas du. » Je voyais le désarroi dans ses yeux, il était perdu et ça se sentait. Le fait que je sois revenue dans sa vie comme ça, sans crier gare, c'était presque jouissif pour moi. Bien sûr, je n'allais pas en rajouter plus qu'il ne s'était dit. Le voyant clore la conversation, je gardais mes bras encrés contre ma poitrine. Il était hors de question que ça puisse se terminer comme ça. Poussant un long soupir, je glissais ma main dans mes cheveux. « Écoute, je suis désolée d'avoir agit de la sorte. Je sais pas ce qui m'a prise, peut-être les émotions j'sais pas. Mais laisse moi au moins t'offrir un verre ou un café. » J'allais sans doute terminer mes jours en enfer mais je n'allais pas le laisser partir sans rien faire de plus.
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« Passé à autre chose ? Non tu veux rire de moi là.» C'était pas si compliqué à croire non ? J'étais passé à autre chose. Certes, j'avais toujours céder lorsqu'elle revenait me voir, cette fille je l'avais eu dans la peau pendant longtemps. Maintenant, c'était fini. Deux ans de severage, et une rencontre bien plus passionelle : c'est ce qui m'avait fallu pour l'oublier. « À ce que je sache, tu ne t'es jamais plaint lorsqu'on étaient tous les deux sur cet ilot dans ton appartement. » J'haussais les épaules. « Je ne m'étais jamais plainds. Maintenant, c'est différent. » Je lui disais qu'elle n'aurait jamais du venir ici, en tout cas si c'était pour moi. J'avais besoin de partir, parce que si je savais que la conversation continuait, j'allais craqué. Non, pas pour elle. Mais j'allais lui dire que je voyais quelqu'un, et que j'étais complètement dingue d'elle. Mais c'était brisé ma promesse. Alors, j'eus envie de fuir. Mais elle m'en empecha encore une seconde. « Ecoute, je suis désolée d'avoir agit de la sorte. Je sais pas ce qui m'a prise, peut-être les émotions j'sais pas. Mais laisse-moi au moins t'offrir un verre ou un café » Sa voix était plus douce, plus docile. Sa tactique avait encore changé. Allais-je voir maintenant la vraie Ivanka ? Celle que j'appréciais ? Qu'importe. Je soupirai : « D'accord... » soufflais-je en cédant. « Mais plus tard. J'ai vraiment besoin de partir. » De m'éloigner d'elle, de réfléchir à tout ça. Elle m'avait manqué, oui. Mais pas de la manière dont elle le pensait. Les moments simples avec elle me manquait, juste à discuter de nos vies, sans pour autant se prendre la tête. Alors, sans attendre une réponse de sa part, je finis par mettre les roues en marche, et l'abandonner à l'entrer du complexe. Qu'importe de ce qu'elle pensait, je m'éloignais, le coeur finalement apaisé de fuir.

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