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COKY ► De mes mains, tu mourras !

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De mes mains, tu mourras !
Cole S.-Wildingham & Lucky E. Burberry
Le toutou jusqu'à ce soir, ça toujours été moi et cela remonte à son histoire avec son ex escorte machin Kyla. Ensuite, j'ai répondu à ses appels et à ses envies lorsque monsieur avait envie de se vider, ensuite il ne s'est pas prié pour se mettre en faux couple avec miss perfection sachant bien que ça allait me tuer, ensuite, ensuite ensuite... Je crois qu'aucune femme ne serait prête à offrir à l'homme qu'elle aime, le droit d'en toucher une autre sous ses yeux... Les "ensuites" sont tellement longs que j'en aurais pour demain. Mais lui  ? Qu'avait-il fait  ? Qu'avait-il sacrifié  ? Son amitié avec ses potes  ? Oh non il continuait de les mentir et les messages de son pote Abelard sont encore gravés dans ma tête, abandonner son statut de vice-président  ? Oh non c'est bien pour ce statut qu'il ment sur la paternité de son propre gosse. Alors comment  ? Comment puis-je croire encore  ? J'en ai même plus la force. Là tout ce dont j'ai envie, c'est d'envoyer tout chier. Et donc jouant avec mon tel, je n'ai pas envie de croiser son regard. C'est plus facile comme ça d'abandonner, de baisser les bras, de cesser de me battre pour un amour à sens unique. Du moins, c'est comme ça que je le voyais ce soir et depuis quelque temps. Je crois même... Enfin, que ça toujours été à sens unique. « Ne m'oblige pas à le répéter... » Qu'il s'en aille. Encore plus si c'est pour entendre cette suite amère de mots. Il s'acharnait à vouloir m'énerver avec cette histoire de paternité et je vous garentie que je suis sur le point de faire vraiment un meurtre. Mais ça lui ferait trop plaisir de me voir perdre les boules. Alors je me retiens du mieux que je peux. Je ne laisse entrevoir aucune peur dans mes yeux. « Plutôt comment larguer mon connard de mec  ! T'as le num ? » Je laisse échapper un semblant de soupire avant de me redresser sur le banc en plongeant mon portable dans la poche de ma veste. Je tends les bras des chaque côté et je laisse la brise de vent me caresser le visage. « T'es comme cette brise, de passage. Je saurais m'passer de toi à présent ! » Bonjour je crache mon venin parce que wala, je suis enceinte et il ne faut pas emmerder une femme enceinte. « Casse-toi parce que maintenant, les doux mots et les promesses ça ne marche plus... » Oui je ne suis plus dupe maintenant, je veux des preuves, je veux des gestes ou sinon, qu'il m'oublie ce que je pense qu'il fera très facilement dans les bras d'une autre dès ce soir ou demain... Peu importe.
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 Elle ne voulait pas répéter, elle me soufflait de ne pas l’obliger à le faire, ce qui aurait du me mettre la puce à l’oreille sur le fait que j’avais très bien compris ce qui était en train de se produire. Peut être que j’aurais du en rester là, tourner les talons, faire volte face et come back à la Eliot House, sans plus de bruit, me faire tout petit et attendre que l’orage passe… Mais non, fallait que j’insiste, fallait que j’appuie, je voulais que les choses soient dites clairement. Mon imitation narquoise de ces pubs débiles eut le mérite de lui faire décrocher les yeux de l’appareil et au moins, de la clarté, j’en eus avec sa réplique sur le même ton narquois que le mien. « Pas besoin du numéro. Pas besoin d’envoyer de texto, ça va j’ai compris. » répondis-je sèchement avec un regard mauvais. Elle rangea son téléphone alors, mais lancée sur le sujet, on ne l’arrêtait désormais plus. J’avais voulu du clair et de l’explicite, j’étais servi : voilà qu’elle me comparait à la brise, simplement de passage dans sa vie, ajoutant qu’elle n’avait pas besoin de moi, qu’elle voulait que je me casse, précisant que mots doux et belles promesses ne prendraient désormais plus. Mes paupières se plissèrent un instant alors que je la détaillais, cherchant si dans sa colère elle était sincère ou si c’était simplement le coup des hormones, les célèbres hormones de la grossesse qui ont le dos large et qu’on rendait responsable de tout, neuf mois durant et même un peu plus, justifiant ainsi crise de nerfs et crise de larme. Ouais, elles étaient bien pratiques, ces fameuses hormones, surtout quand on n’avait pas envie de se voir jeter de la sorte. On se rassurait en se disant que ce n’était que ça, que les hormones… Et je décidais d’essayer le meilleur moyen de l’éprouver, de tester, de savoir si véritablement elle ne voulait plus rien avoir à faire avec moi. En quelques pas, je réduisis la distance entre nous, tendant la main pour m’emparer de la sienne, l’attirant doucement à moi en soufflant : « Et ça est-ce que ça marche ? » Et sans lui laisser le temps de répondre, je fondis sur elle, mes mains venant encadrer son visage et mes lèvres capturant soudain les siennes pour l’embrasser. Un fiévreux baiser. Peut être le dernier… C’était le test ultime, pour vérifier sa réaction. Et dans mon élan, j’en oubliais l’endroit où on se trouvait, les risques de se faire choper, ou bien celui qu’on nous aperçoit simplement…
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De mes mains, tu mourras !
Cole S.-Wildingham & Lucky E. Burberry
Mes membres me parurent lourds. Je me sentais apathique. Comme si plus jamais l'énergie ne reviendrait à mon corps, à cet esprit devenu inutile, embrouillé et fallacieux. Au fond, ne suis-je pas un échec  ? C'était évident. C'est peut-être moi qui suis passagère en fin de compte. Ces mots qui sortaient de ma bouche sont pesés, sont dites avec tant de déceptions. J'ai comme l'impression de revivre un chagrin d'amour et cela me tue parce que pour la première fois de ma vie, j'avais l'impression d'aimer le bon. Mais comme on dit, la vie nous réserve bien des surprises. Au moins là, il avait compris et ne comptait pas me demander de le répéter. Tant mieux, je n'en aurais pas eu le courage me facilitant ainsi la tâche. Quoi que.... Non, au moment où je croyais qu'il allait enfin s'en aller, je ne sais pas comment et ni pourquoi, mais je me suis sentie voler dans les airs pour atterrir carrément sur le torse de Cole. Ouvrant rapidement mes yeux, ses lèvres épousaient fiévreusement les miennes. Je ne comprenais pas trop ce qui se passait et ce n'est pas ce à quoi je faisais allusion, mais bordel ce que c'était bon de sentir ses lèvres contre les miennes. Je suis faible, je suis inutile et je ne suis même pas capable de repousser cet homme. Mes doigts agrippent son col alors que je me libère avec difficulté et surtout à contrecoeur. « Non...Ce.... P'tain j'te déteste ! » Haussais-je avant de fondre à mon tour sur ses lèvres. Bravo Lucky, c'est complètement contradictoire du message que tu essayais de lui faire passer depuis t'aleurs. Il va encore en profiter. Mais je l'aime bordel et c'est en train de me rendre dingue. Je suis dingue de lui. Mes lèvres quittent un instant les siennes histoire de renverser les places pour qu'il se retrouve à la mienne. Je le pousse à s'asseoir sur le banc tandis que je prends place à califourchon sur ses cuisses. Mes mains lâchent son col pour glisser dans sa nuque et je reprends possession de sa bouche. Un baiser plus fougueux, retenant même ma respiration. Je me déteste d'être aussi faible et en même temps je n'y peux rien. L'amour rend aveugle parait-il. « T'as 24h... » Que je murmurais entre deux baisers langoureux avant de stopper et de me redresser légèrement pour être un peu plus au-dessus de sa tête. « 24h pour décider de notre avenir ensemble. Soit on cesse de s'cacher, soit tu prends le risque de me perdre. » L'ultimatum est tombé s'ayez. Je voulais des preuves et maintenant nous allons en avoir parce que voilà, je veux pouvoir lui tenir la main sans avoir peur qu'on nous chope. Je veux pouvoir vivre pleinement cette relation car vu les circonstances, une relation cachée ne nous réussit pas plus que ça finalement. Anyway, l'une de mes mains se pose sur sa joue que je caresse du bout des doigts pour à nouveau posséder ses lèvres pour un baiser beaucoup plus tendre.
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  La situation, la conversation, tout s’était envenimé jusqu’au point de non retour, et mon sarcasme et autres remarques narquoises n’avaient probablement aider en rien à apaiser la fureur et la rancœur de la brune. Alors comme elle concluait, annonçant sans la fin sans que j’ai mon mot à dire, affirmant clairement que belles paroles et autres mots doux seraient inutiles, j’optai pour quelque chose de clair, de parlant, plus qu’un long discours, qu’un speech fiévreux, la parlotte n’ayant jamais été mon truc… Je saisis sa main, l’attirai à moi pour l’embrasser : discussion façon Cole Wildingham. Ma façon à moi de faire passer mon message. Et de tester aussi la volonté de Lucky à véritablement se défaire de moi. Si elle tenait vraiment à ce que je me casse, c’était à ce moment là que j’allais sentir ses mains me repousser, sa paume s’abattre contre ma joue dans une claque sonore ? Rien de tout cela ne se produisit. Elle ne se débâtit pas, se laissa embrasser quelques instant avant de se décoller, doigts accrochés à mon col, me soufflant qu’elle me détestait. Et l’instant d’après, c’était au tour de ses lèvres d’emprisonner les miennes. Mes mains glissèrent le long de sa taille, venant s’ancrer sur ses hanches, répondant avec la même envie à ce nouveau baiser auquel elle coupa à nouveau court, quelques secondes seulement, le temps d’inverser nos places et de me pousser contre le banc. Assis là, je la vis alors se positionner au dessus de moi, et nos bouches ne tardèrent pas à se retrouver avec fièvre, urgence et envie… En fait, j’aimais bien les disputes. Juste pour ce moment là. La hargne que l’on mettait à s’embrasser. Comme si nos bouches, nos corps, mettaient toute l’énergie pour faire comprendre à l’autre tout ce que les paroles n’avaient su expliquer… Mais un baiser ne pouvait pas dire ce qu’elle avait en tête. Alors elle s’écarta, pour clarifier ce qu’elle voulait : 24 heures. Bon déjà il n’était plus question d’une rupture immédiate. Mais 24 heures ? Y’avait beaucoup trop de trucs qui se jouaient dans ma tête. Y’avait l’enjeu de ma position, clairement, que je risquais de perdre au sein de la confrérie. Oksanna ne me ferait pas de cadeau, elle avait beau être ma demi sœur, elle était intransigeante et vu qu’en ce moment, elle était célibataire, qu’elle s’était fait abandonné par son mec, elle risquait de ne pas être très réceptive aux arguments gnan gnan que je pourrais me risquer à avancer. Il allait falloir que je sois stratège et malin, si je voulais conserver la place de Vp. Et puis il y avait aussi tous mes amis… Non, en 24 heures, c’était mission impossible. Elle m’embrassa plus doucement, sa main sur mon visage me faisait un instant perdre le fil de mes pensées. Mes paupières se fermèrent pour savourer ce contact… J’aurais pu juste acquiescer, profiter de ce sursis de 24 heures et demain, à la même heure, retenter le coup de ce baiser pour à nouveau grappiller du temps et reculer un peu ce moment où l’on se dirait définitivement adieu… Ou alors, je pouvais rouvrir les yeux, réfléchir, agir, et réussir le challenge. Il me fallait simplement plus de temps. Mes prunelles finirent par se planter dans les siennes, mes doigts venant caresser ses cheveux avec tendresse alors que je reprenais la parole, marchandant : « Laisse-moi… Un mois ? » Un mois, ça me laissait le temps de voir venir, de trouver une stratégie pour être gagnant sur tous les plans.  
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De mes mains, tu mourras !
Cole S.-Wildingham & Lucky E. Burberry
En homme fier qu'il était, je savais que Cole n'aurait jamais fait le premier pas, mais il y a des moments où il doit mettre de côté cet ego et penser un peu plus aux autres. Les filles le voyaient comme un type parfait sans savoir qu'il était tout à fait capable de semer la tristesse sans aucun remords. C'était bien d'apparaître comme le type idéal mais lorsque l'on n’est pas capable de penser aux autres ou bien de rendre la fille qu'on aime heureuse, à quoi bon  ? Moi, je suis tombée amoureuse de son imperfection et je ne le vois pas comme un homme parfait, puis pourquoi se mentir  ? La perfection n'existe pas. C'est comme ça, je l'ai choisi lui plutôt qu'un d'autre. Il y a des moments où il me fait regretter mon choix, mais d'autres où il me surprend. J'ai beaucoup souffert et j'en souffre encore aujourd'hui avec lui, mais je me bats parce que c'est lui l'homme que je veux et si je suis encore là aujourd'hui, c'est parce que je refuse de croire qu'il soit incapable de se battre lui aussi. Et ce soir si je pensais que sa fierté prendrait le dessus, il me surprenait encore. Il est buté certes, mais je l'aime et je ne peux vraiment pas le nier. Regardez, je n'ai même pas osé le regarder dans les yeux lorsque j'étais en train de couper le cordon. Sérieusement, nous étions tous les deux pathétiques à en faire presque pitié à se vouloir sans savoir se prendre, à s'aimer sans savoir profiter. Et moi j'aimais sa façon de m'embrasser, dispute ou pas dispute. Parce que lorsqu'il m'embrasse, il trahit son silence, il avoue ses sentiments sans avoir besoin de prononcer les mots magiques, ceux que je n'entendais pas, mais que je sentais à travers ses baisers. C'est aussi pour cela que lorsqu'il m'embrasse, je fonds rapidement et je baisse les armes. Ma bouche contre la sienne ainsi, du monde pourrait débarquer que je n'en aurais rien à foutre. Mais j'avais un ultimatum à poser dans le but de le faire réagir, car en ayant ainsi la lourde tâche d'y mettre fin, cela le réveillera peut-être et lui fera prendre conscience qu'il ne trouvera pas deux comme moi. Que c'est moi et uniquement moi qu'il lui faut. Assise sur lui, je plonge dans ses yeux et j'attends le verdict. Verdict qui tombe bien vite sur mes épaules et qui me laisse un peu perplexe. Je colle mon front contre le sien en me laissant quelques minutes de réflexions, sentant son souffle chaud s'écraser sur mes lèvres. Puis-je lui faire confiance  ? J'en ai envie et pour la toute dernière fois en espérant qu'il ne la trahira pas. Inspirant et expirant, je décolle mon front et je replonge à nouveau dans ses yeux. « C'est d'accord... Allons-y pour un mois... » Et par cette réponse, je lui montrais toute la confiance que je plaçais en lui, ma main caressant toujours sa joue. « Plus de déceptions s'il te plaît... » À son tour de m'en faire la promesse. Je ne lui demandais pas la lune après tout, juste quelques efforts de son côté. « Et je te promets d'être moins... rageuse  ? » Du moins, j'allais essayer de me contrôler ou bien au pire, j'irais au cours de relaxation et yoga pour les femmes en cloques. Mais présentement, je suis plus apaisée, surtout en sentant ses doigts glisser dans mes cheveux. Ça m'avait manqué ces derniers temps, depuis l'annonce de ma grossesse où je sentais qu'il s'éloignait de moi. Puis soudain, un énorme gargouillement vint gâcher ce semblant de romantisme, mon ventre. Je fais exprès de tousser en même temps espérant pouvoir camoufler ce bruit, mais en vain... Je regarde ailleurs parce que c'est vraiment awkward comme moment. Faut surtout avouer que pour une femme enceinte, je ne me nourris pas assez, disons que j'avais perdu tout appétit et il semblait bien de retour maintenant, choisissant le mauvais moment. « Wow t'as faim à ce point ? » Ça ne va pas marcher Lucky, car à ce jeu-là, ton mec est bien plus fort. Mais qui ne tente n'a rien non ?
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 J’aurais pu croire que c’était gagné, quand son –je te déteste- mourut étouffer par nos lèvres qui s’unissaient à nouveau. J’aurais pu crier victoire oui… Enfin si le baiser en soit était bien plus parlant que les mots, Lucky avait malgré tout des choses à me dire. Comme quoi embrasser n'effaçait pas tout. Et bien que j'affectionnais ce mode de communication, il me fallut quelques instants me tenir sage, assis sur ce banc, Lucky sur moi, pour écouter ce qu'elle avait à me dire : un ultimatum. 24h pour assumer enfin notre relation sinon ça serait inévitablement la fin. Je cogitais, plusieurs minutes, restant silencieux, commençant déjà à réfléchir à un moyen de concilier tout ça pour gagner sous tous les plans... Et il me parut évident qu'il me fallait une petite rallonge. 24h c'était trop short. Un mois me parut mieux. Ça me laissait jusqu'à fin mars pour faite éditer les règles de la Eliot House ou encore pour faire changer Lucky de confrérie, qu'elle quitte sa bande de toxico dépravés qui lui servait de deuxième famille... Oui, en un mois c'était jouable. Ce fut donc ce que je réclamais, et je crains un instant que mon marchandage lui ait déplu car elle resta silencieuse. Son front se posa contre le mien, nos souffles s'emmêlèrent, nos visages étant tous proches. Et elle s'éloigna, ensuite, se redressant pour plonger son regard dans le mien et m'annoncer qu'elle m'accordait ce rab, ce sursis... Je souris, malgré moi. J'étais habitué à tirer sur la corde, à pousser à bout mes amies et petites amies. Alors quand elle me réclamait -plus de déceptions- c'était limite si mon nez ne s'allongeait pas lorsque je répondis : « Promis ». Et histoire qu'on ne me traite pas de menteur, j'ajoutai : « Je vais essayer. » Ma façon de me dédouaner, de dire que j'y mettrais de la bonne volonté mais que peut être, des déceptions, il y en aurait encore, malgré mes efforts. J’avais beau avoir eu un nombre impressionnant de demoiselle dans mon lit, en terme de relations de couple, j’étais quasiment novice. Et disons qu’à chaque fois, les quelques essais que j’avais à mon actif c’était fini plutôt mal, et non sans éclats de voix. Et je n’étais pas le seul à promettre des efforts. Lucky me souffla également l’engagement qu’elle prenait d’être moins rageuse. « Garde toute ta fougue pour nos étreintes… » répondis-je alors avec un sourire amusé. Je commençais à me faire au caractère de la brune, que ce soit son petit côté jaloux ou ses instants de colère comme ce soir. L’espace d’un instant, c’était de nouveau paisible entre nous, quelques secondes de connexion parfaite, ses doigts sur ma joue, les miens dans ses cheveux… Et ce bruit. « Waw, le vermicelle grogne déjà comme ça ? » Alors faudra me donner un cours d’anat hein : utérus versus estomac. J’avais surement du trop regarder alien pour croire que le petit machin pouvait se faire entendre in utero. « On rentre ? » proposai-je alors, puisque très clairement miss Burberry avait des fringales nocturnes. « J’avais pas tout faux en fait tout à l’heure, quand j’ai parlé des fraises… » repris-je donc, avec amusement, le sarcasme acide et énervé ayant cette fois disparu complètement de ma voix.
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De mes mains, tu mourras !
Cole S.-Wildingham & Lucky E. Burberry
Un mois, c'est largement suffisant à l'eliot pour officialiser notre histoire. Et aussi parce que j'en avais marre de mentir à tout mon entourage, marre de voir des nanas se permettre de l'embrasser où de le toucher quand ça leur chante parce qu'elles savent que monsieur ne sait jamais dire non à de l'ambiguïté. Mon mec est pire qu'une tepu. VDM. Cela ferait un beau titre n'empêche. Je n'étais pas du genre jalouse, mais quand j'aimais vraiment quelqu'un de toute la passion qui m'anime, cette jalouse apparaît et ce n'est pas toujours beau à voir. Si je ne prenais pas sur moi, j'aurais déjà cassé des gueules d'anges. Et le fait qu'il me promette d'essayer me touchait un peu, mais je sais aussi que ça ne dure jamais avec lui. Un jour il t'en fait la promesse et l'autre, il en oublie. Mais bon, un mois c'est pas long, alors on verra bien ce qu'il a dans le pantalon et je ne parle pas de la bête qui s'y trouve ein, mais je voulais juste voir comment il viendra à bout de toute cette histoire. « Essayer c'est déjà un bon début. » Rétorquais-je en lui offrant mon plus beau sourire. Ça compte déjà pour moi ça, mais inutile de le lui dire, sinon monsieur ne se contentera que d'essayer. Il fallait qu'il y arrive. Il aura tout mon respect s'il arrive a faire imposer notre couple. Zak et Alexys sont bien arrivés, alors je ne vois pas pourquoi nous n'y arriverons pas. C'est pas facile, mais quand on veut on peut, alors s'il me veut, il peut. « T'inquiète pas pour ce côté-là, tu seras servi. D'ailleurs je ne sais pas si c'est la grossesse ou quoi, mais j'ai plus d'envies de sexe que d'envies de manger quelque chose en particulier. Sérieux. » Je parie qu'actuellement, je peux lui pomper toute sa force jusqu'à ce qu'il me supplie de faire une pause. Genre même si ça part jusqu'au matin, je serais toujours d'attaque. Et comme si nous avions besoin d'une perturbation, mon bide se mettait à crier famine. « C'est pas un vermicelle, c'est un petit haricot tout mignon à qui je ne nourris pas assez. » Ayant perdu l'appétit, normal. Enfin, je me redresse lorsqu'il propose de rentrer. Ma main glisse dans la sienne avant d'entamer une marche et de faire volte-face pour me retrouver face à lui, attrapant son autre main pour marcher à reculons. « On rentre au studio et tu me fais goûter à ton talent culinaire ? Dis-oui s'teuplaiiiit  ! » Je sors la petite moue made in Lucky pour le faire craquer. « Non j'ai plutôt envie d'chocolat  ! » D'une voix sensuelle, ma main s'écrase d'un coup contre son entre-jambe là où se trouvait la bête. « Ce chocolat-là » Coquine au beau milieu de la nuit. Oui oui, elle venait bien de donner un nouveau surnom à la partie intime de Cole. J'ai une fraise entre les jambes et lui un chocolat, on fera une fraise au chocolat. Miam.
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Je ne galérais pas trop pour obtenir un joli rab, car passer de 24h à un mois, tout ça avec si peu de négo’ c’était beau. Et puis j’étais content car j’avais déjà quelques idées qui fusaient pour régler le truc, je ne me doutais absolument pas du véritable challenge qui m’attendait et puis pour l’heure, j’avais juste envie de profiter un peu de l’apaisement qui s’opérait entre nous. Promettant des efforts, elle en fit autant. Oh, on était doués en belles paroles quand on voulait. « J’adore ce sourire… » soufflai-je en venant caresser ses lèvres des miennes quelques instants. Et pour son côté rageux qu’elle promettait de calmer, je lui conseillai de garder cela pour nos nuits torrides. Sa réponse fit s’agrandir mon sourire : les hormones avaient un effet aphrodisiaque sur elle apparemment. « C’est intéressant… Mais tu ne sais que je ne crois que ce que je vois. » Il allait donc me falloir éprouver ces affirmations et tester ce désir exacerbé. L’idée m’enchantait déjà, c’était que j’allais y trouver mon compte finalement, dans cette grossesse. Sauf que l’instant d’après, quand le sujet s’oriente sur le vermicelle, ça avait plutôt un effet inhibiteur immédiat sur moi. Je n’aimais pas les gosses, c’était su et connu de tous. J’essayais de ne pas trop laisser entrevoir ma crispation, et puis de toute manière, si ce gosse l’empêchait de se nourrir comme il faut, il valait mieux rentrer. Pas envie de me retrouver encore à l’emmener aux urgences pour un malaise d’hypoglycémie cette fois. Elle avançait à reculons, se glissant devant moi en me tenant les mains et en me réclamant une démo de mes talents culinaires. Un rire franc s’échappa de ma bouche. « La dernière fois que j’ai du m’essayer à la cuisine c’était avec toi… Le jour où t’essayais de faire ce gâteau et que tu t'étais brûlée… » Et la suite, c’était qu’on avait fini par faire sauvagement l’amour sur le plan de travail : oui voilà mon talent culinaire en fait. La seule chose que je savais cuisiner, c’était les orgasmes de ma copine. Et elle le savait très bien puisqu’elle me réclamait du chocolat, désignant ensuite mon entrejambe, venant y plaquer sensuellement sa main, aguicheuse. « On rentre tout de suite au studio oui… » Sinon, c’était dans ce parc que j’allais finir par lui faire l’amour, si elle continuait à me chauffer ainsi… « Ma Rolls est là bas viens. » fis-je en l’entrainant vers mon véhicule garé à quelques mètres de là.
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Cole S.-Wildingham & Lucky E. Burberry
Alors comme ça, monsieur adorait mon sourire. Bah là ça me donne envie de le garder scotcher sur mes lèvres rien que pour le voir adorer ce sourire. « Et bien tu vois, c'est toi qui viens de le provoquer. Tu vois que tu sais aussi me faire sourire. » Quand il est comme ça, quand il oublie tout, le temps de passer un bon moment avec moi, quand il ne pense à rien d'autre qu'à moi, à nous. Cole ne savait pas que me faire pleurer, il sait aussi me faire sourire c'est pour cela que je crois qu'il est capable de tout. Et lorsque je lui avoue que ma libido a quadruplé, il n'hésite pas à me provoquer sur une remarque qui éveille mes sens. « Et tu verras, je ne vais faire qu'une bouchée de toi Smythe. » Parole d'une femelle très très très en chaleur. Et si je dis que j'ai envie de sex, faut le prendre très au sérieux. Je ne sais même pas si c'est ma grossesse qui provoque ça, ou parce que je suis en manque de lui. Ça fait quand même quelques jours voir une semaine que je n'ai pas eu de gâterie alors ein. Nah mais sérieux j'ai vraiment envie de sexer tous les jours. « Je vais te pomper toute ton énergie tu vas rien comprendre, t'auras même plus de force pour te lever prendre un bain. » Ouai ouai faut pas que je parle trop vite, car si ça se trouve, il sera plus endurant que moi et ce sera moi qui n'aura plus de force pour bouger. En parlant de cuisine, je me suis beaucoup améliorée en pâtisserie et j'ai même essayé de faire du chocolat pour la Saint-Valentin, mais bon, j'ai dû les manger toute seule parce que monsieur fêtait ça avec sa confrérie. Un genre de speednasemachundate. Moi qui pensais que ce n'était pas son genre. Fin, j'ai mis ça sur le compte de son statut de vice-président en me disant qu'il devait y être pour faire acte de présence. « Et qu'ensuite on a carrément fini sur le plan de travail. J'ai adoré ce jour. Nah mais je suis certaine que t'as du talent. Je t'aide si tu veux. » Je pense surtout que si c'est sa première fois ou deuxième fois, il aura besoin d'aide. Ne serait-ce que pour allumer le gaz puisque monsieur a l'habitude de se faire servir. Et puis c'était à mon tour de le provoquer le plus sensuellement possible en attrapant doucement son entre-jambe de ma paume tandis que sa réaction ne se fit tarder. Un rire s'échappe de mes lèvres alors que je boude en croisant mes bras et en faisant semblant de grogner. « Ta Rolls est de retour  ? Pourquoi  ? C'est la première femme de ta vie, je vais me faire piquer la place. VDM. » C'était trop beau pour être vrai, si vite remplacée. Il n'aura yeux que pour elle à présent. Je garde mon sérieux quelques instants, puis j'éclate de rire. « Let's go  ! » Nous nous rendons jusqu'à la voiture où Cole démarra enfin. Comme je suis une vilaine fille, je me penche légèrement vers son oreille que j'agrippe entre mes dents, susurrant sa lobe. « Tu paries combien que j'arrive à te faire jouir avant d'arriver  ? » Ouai et sans même passer à l'acte. Juste le toucher et l'embrasser là où il faut. D'ailleurs, je commence mon petit jeu en glissant une main entre deux boutons de son chemisier, caressant sa peau du bout des doigts. Mon autre main se hisse sur sa cuisse près de son entre-jambe pour la caresser sans toucher la bête pour l'instant.
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