BASTIAAN LEINIGEN ► louis garrel

C’est un beau jour de janvier que vit le jour pour la première fois, le jeune Bastiaan. C’était un bébé absolument magnifique. Il avait de grand yeux d’un marron intense et déjà la tête pleine de cheveux, étonnant pour un nouveau née. Il faisait le bonheur de l’empire de ses parents. Il est née exactement le 23 janvier 1987, à 23:38 dans le nord de la France. C’est la belle capitale du pays de la gastronomie qui l’accueillit en son sein.


La famille Leinigen tenait un des plus grands empire du business européen. Son père avait hérité d’une entreprise innovante qui a fait un carton dans le continent. Les parents Leinigen pouvait se compter comme une des fortunes les plus importante, les milliardaires ne manquèrent de rien. Mais l’argent fait souvent plus de mal que de bien. On ne peut pas dire que le jeune Bastiaan avait manqué de quelques choses durant toute sa vie. Excepté de la tendresse. Et une présence. Ses parents avaient investi dans un très grand château, des voitures de luxe, dans les dernières technologies qu’ils avaient prototypé eux même et à peu près tout ce qui coutent de l’argent. Mais ils en avaient jamais vraiment profité. Ils n’étaient jamais à la maison, leurs travail prenait tout leurs temps a défaut de leur prendre tout leur argent.


Bastiaan n’avait pas eu d’autre choix que de grandir tout seul, simplement aidé un week-end par mois par ses parents, et le reste du temps par sa nourrice jusqu’à qu’il soit en âge de s’occuper de lui tout seul. Même cette amour, ses parents lui ont retiré. Des parents inconscients de laisser leur fils seul, inconscient d’être de mauvais parents. Bastiaan s’est en quelques sortes réfugié dans ce qu’il savait le mieux faire. Le théâtre. Il prenait des cours, lisait tous les classiques, apprenait toute les pièces qui avait le malheur de croiser son chemin et les interprétait comme si c’était lui, son histoire, son personnage. Il avait le don de s’approprier n’importe quelle émotion qu’il percevait.


Pour lui, pour Bastiaan, ça avait toujours était la littérature. Il a toujours adoré ça. Et c’est sans surprise qu'il intégrait une grande école sur Paris. Sa ville. Il se donnait à fond dans ce qu'il voulait. Ce qu'il avait toujours désiré. Bastiaan était quelqu'un de posé. Pas quelqu'un de bavard. Quand il parlait, il parlait bien. Sinon se taisait. Mais c'était aussi quelqu'un de plutôt froid. On pourrait qualifier Bastiaan de virile. Vraiment virile. Évidemment il pouvait être doux, volé un baiser à son amoureuse mais c'était pas le genre de personne extrêmement fidèle, trop romantique ou niais.


Le jeune homme eu son diplôme avec brillo, encore une fois sans surprise. Ses parents avaient eu les moyens de lui payer toute ce qu’il avait eu besoin pour réussir. Bastiaan choisit doucement sa voix, se dirigeant vers la philosophie. Bastiaan n’était cependant pas un rêveur, c’est pas le professeur de philo qu’on imagine dans sa tête avant de l’avoir vue. Il était sévère, froid. Telle était sa place de professeur. Ce qu’il avait choisit. Mais le jeune Leinigen récupéra à son tour l’entreprise familiale et jongler entre ses deux travails, l’argent tombé sur son compte aussi facilement que lorsqu’on remplis une bouteille d’eau. ll ne tardera pas à devenir plus riche que son paternel.


C’est un jour où la pluie coulait à flot sur la ville petite ville de Paris qu’il la rencontra. Ca n’a pas était le coup de foudre, loin de là. Mais petit à petit il s’est imposé une routine qui leur plaisait. Le sexe, rien de doux, rien de passionnelle, les sortis, rien de très personnel. Mais c’est ce qu’ils étaient. Ils finirent pas se marié. Ils emménagèrent dans une belle maison, spacieuse, avec une grande cours. Plus le temps passait, plus Bastiaan était égoïste avec elle. Cela la dérangeait, pas lui. Il savait que son fric avait était un rôle important pour elle dans leurs relation. Cela faisait maintenant 10 ans qu’ils étaient mariés. Pas forcément fou amoureux l’un de l’autre mais il s’aimait un minimum pour se supporter. Marina tomba enceinte. Bastiaan n’était pas fou de joie. Il n’était pas sûr de vouloir un marmot. Mais il avait déjà 30 ans, plus le temps d’hésiter. Elle voulut déménagé a Boston, en Amérique.


Bastiaan aimait plutôt bien l’idée. Ils emménagèrent une semaine plus tard. Tout était radical pour lui. Vite fait, bien fait. Mais c’était sans compter les jolies américaine. Il en avait rencontré une. Elle était vraiment magnifique. Cependant il n’avait aucun mal a tromper sa femme. Il n’y avait plus rien a part du sexe. Et ça resterait ainsi. Enfin pour lui. Il savait que sa femme était d’une jalousie sans nom et était toujours “amoureuse” de lui mais elle n’avait jamais vraiment aidé non plus pour que la flamme reste allumé.


Mais c’était sans compter les petite jeunes Américaine. Il en avait d’ailleurs rencontré une. Il l’appréciait sincèrement. Avec elle il se sentait bien, pas besoins d’être quelqu’un d’autre. Il fréquenta plusieurs fois la jeune femme. Elle était belle. Gentille. Douce. Si il comparait sa femme et la belle blonde alors il n’y aurait que des différences. Deux opposés. En tout cas quand ils étaient tout les deux.

Bastiaan s’était fait muter et il avait atterrit dans la plus prestigieuse des universités qu’il connaissait. Il n’aurait pu rêver mieux. Harvard le voulait pour sa réputation et peut-être même son talent. Il ne pouvait rêver mieux. Jusqu’au jour où il l’a vit assis, au fond de sa classe. Comme si elle était étudiante dans sa classe. Ah… Mais… Enfaite c’est exactement ce qu’elle était.
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