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Why does my heart cry ? × Bilhan

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Why does my heart cry ?
— with @Billie Monaghan

Je ne savais pas quoi faire. Elle me hantait depuis cette nuit, depuis qu'on s'était embrassés, encore et encore. Mon cœur saignait, pour elle, pour l'image que j'avais d'elle dans mon esprit. Feu rouge, je le grillais. Les voitures me klaxonnaient. Allez vous faire foutre. J'étais jeune, con et je voulais me défouler. Personne ne m'arrêterait, vous entendez ? Personne. J'étais seul, un pauvre homme de vingt-trois ans qui ne trouvait rien d'autre à faire de ses soirées que boire, coucher, foutre la merde. Et j'aimais ça. C'était sûrement le pire dans l'histoire, quand le loup, après avoir mangé les trois petits cochons, ne culpabilisait même pas. Voilà ce que j'étais, le loup. Celui qui profitait des femmes pour les laisser comme des merdes le lendemain. Elles le haïssaient, le blâmaient et lui il recommençait le lendemain. Qu'il était con. Que j'étais con. Pourquoi avoir un cœur quand celui-ci vous faisait souffrir ? Tout ça pour l'une de mes victimes. Pour Billie. Cette brune aux yeux bleus qui, en un regard, m'avait mis à terre. On aurait jamais dû commencer à se voir, à se fréquenter parce que, maintenant, j'étais foutu. M'approchant du bar, je sortais un billet pour me payer de la vodka avant de laisser tomber : il y avait trop de monde. Tant pis il ne me restait plus qu'à passer au plan séduction. Tournant la tête, je cherchais du regard une belle jeune femme, digne de moi, facile à séduire. Hors de question de me prendre la tête ce soir. Mais, la vie, cette putain d'humoriste, avait décidé de rigoler ce soir. Mon regard se posa sur cette brune qui brisait mon cœur, dansant sensuellement avec un autre. Et ce fut l'apocalypse dans ma tête. Plus aucun neurone ne marchait, laissant la place à mon ego. Elle m'avait fait croire qu'elle tenait à moi, m'avait confié qu'elle était vierge, pas prête à se donner à un homme. Mais là elle me donnait une toute autre impression. « Ça va ? Tu t'amuses bien avec elle ? Si ça te dit on peut se faire un plan à trois ! Par contre, je te préviens, elle sait pas s'y prendre, faut tout lui apprendre, tu vois le truc ? » Le mec, complètement débile, ahuri, me regarda sans rien comprendre tandis que mon regard se fixait sur Billie. « Bah alors bébé t'es pas contente de me voir ? »

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Why does my heart cry ?
— with @Ilhan H. Eastwood

Ce n'est pas évident de te sortir de mes pensées, ni même de t'oublier. Pourtant, j'ai envie de t'étrangler, de te frapper, de te faire souffrir au même point que moi, présentement. Je n'arrive pas à oublier les sms qu'ils se sont échangés. Ni même le fait que j'apprenne tout juste qu'ils étaient des ex. Ça signifie quoi tout cela ? Je n'étais qu'un petit pion pour que tu puisses reconquérir Carter ? Même elle j'ai envie de la frapper. Je ne comprends pas pourquoi ma meilleure amie a agis de cette manière-là. Alors, que j'ai toujours été présente pour elle. Dans les bons comme les mauvais moments. Je n'arrive pas à comprendre. Tout est chamboulé dans ma tête, dans mon cœur. J'ai simplement envie de t'oublier. Quitte à commettre l'irréparable, je m'en fichais comme de la dernière pluie. C'est bien pour cette raison que je m'étais décidée de rejoindre le People's Republik ce soir après avoir déménagé toutes mes affaires du duplex. Je ne pouvais pas rester vivre dans le même appartement que ma meilleure amie. Hors de question. Bref, je m'étais commandé un verre de vodka que j'avais bu d'une seule traite. Ensuite, je m'étais dirigée vers la piste de danse où je commençais à bouger mon corps au rythme de la musique. Avant d'entrevoir un charmant jeune homme qui m'était complètement inconnue. Sans réellement réfléchir à mon acte. Je me dirige vers lui pour danser coller/serrer. Il n'avait pas l'air d'être dérangé de la situation. Bien au contraire, il venait à mettre ses mains sur mes hanches sans la moindre gêne. Ce n'est pas pour autant que je m'arrête de danser, loin de là. Je m'amusais comme une petite folle. C'est le seul moyen que j'ai trouvé pour oublier le dégoût et la déception de deux personnes qui étaient importants pour moi. Sauf, que l'un d'entre eux débarque sans que je m'y attende avant de faire déguerpir mon charmant inconnu. C'était le comble. L'hôpital qui se fout de la charité. Je n'en revenais pas mes yeux. « Je t'emmerde Ilhan. Et je fais ce que je veux de mon corps ! Dégage maintenant ! » Je ne mâche pas mes mots avec lui. En même temps, je ne vois pas pourquoi je le ferais. Je viens à le bousculer pour qu'il recule de moi, pour lui faire comprendre que je n'étais pas prête à rigoler ni même à lui céder ce soir. Encore moins les autres soirs également. « Vraiment pas ... tu es même la dernière personne que j'avais envie de voir ! » Rétorque-je avant de disparaître dans la foule de la boite de nuit. Je me dirigeais vers le comptoir pour réclamer une deuxième vodka que je bois d'une seule traite, encore une fois.

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— with Billie

La jalousie me tuait à petits feux. Depuis le départ, rien n'avait été simple avaec Billie, elle ne me devait rien. Mais, la voir en train de danser sensuellement avec un autre homme, la voir désirer quelqu'un d'autre, je ne pouvais pas. Ne me fais pas ça Billie, ne me trahis pas. Tu n'as pas à agir comme ça ce soir, à donner ton corps ainsi, peu importait la raison. C'était aussi un peu pour ça que je venais t'arrêter, faisant fuir l'homme que tu convoitais. Comment pouvais-tu faire ça ? Comment pouvais-tu me dire pouvoir faire ce que tu voulais de ton corps quand il n'y a pas si longtemps tu m'avouais que ta virginité te tenait à cœur ? En fait tu t'étais bien foutue de ma gueule tout ce temps là. Et pourtant je ne pouvais pas m'empêcher de te suivre, bousculant les personnes sur la piste de danse pour ne pas perdre ta trace. « Eh vas y doucement c'est pas de l'eau ! » Elle n'était pas dans son état normal, buvant son verre d'une traite, comme si l'alcool ne lui ferait aucun effet. En plus, avec le bruit et la musique autour, cet endroit devenait impossible pour parler. « Viens. On sort ». Prenant sa main, je ne lui laissais pas vraiment le choix et la traînais dehors avant de la lâcher. Il était hors de question de la laisser seule dans un endroit plein d'hommes ne pensant qu'à une chose : le sexe. Des hommes comme moi en fait. Et c'était justement pour ça que je connaissais le danger qu'elle courait si jamais elle finissait bourrée. « T'as que ça à foutre de danser collé serrée contre un mec ? Tu comptais faire quoi après ? Le laisser te sauter comme une vulgaire femme ? J'croyais que c'était important pour toi le sexe, que c'était pas un truc que tu donnais à un inconnu, que c'était pour ça que t'avais pas voulu avec moi le premier soir. Alors dis moi t'es juste une pute en manque ou tu te foutais de ma gueule ? » Mes mots étaient durs mais mon cerveau n'était plus à sa place. Quand ça touchait à Billie, jamais rien n'était à sa place. Et ce soir, ça n'échappait pas à la règle.

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— with @Ilhan H. Eastwood

Que tu sois jaloux ou quoi que ce soit, je m'en fiche si tu savais. Je m'en fiche depuis l'instant où j'ai compris que tu t'étais bien foutu de ma gueule. Avec l'aide de ma meilleure amie, la seule personne pour qui j'aurais donné ma vie. À croire que tu t'étais donné le mot avec Carter. Puisque même elle n'avait pas eu le courage de me le dire. Ce que je trouve honteux c'est que j'ai tout découvert moi-même. J'aurais aimé que vous avez le cran de me le dire. Je pensais qu'aucun mensonge était permis entre nous. Encore une belle foutaise que tu m'avais promise. Je ne vois pas pourquoi, je continue à t'écouter. Tu me donnes la gerbe Ilhan. J'ai seulement envie de vomir quand je te vois et pareillement avec Carter. Ma virginité à l'instant présent n'était pas ce qui m'importait le plus. Non c'est ce que je peux ressentir en ce moment. C'est-à-dire de la tristesse, de la déception, de la haine, du mépris. Chose que je n'avais jamais ressenti de toute ma vie. Du moins, tout à la fois. Je m'étais évaporé dans la foule pour aller boire un deuxième verre de vodka. Sauf, que tu me suis à la trace ... comme pour pas me perdre. Mais, c'était trop tard. « Tu me prends vraiment pour une conne ? » Évidemment que je sais que ce n'est pas de l'eau qui se trouve dans mon verre. Cependant, si j'ai envie de le boire d'une seule traite je ne vois pas ce qui peut m'empêcher de le faire. Je n'ai pas eu le temps de te répondre que je n'avais pas envie de te suivre, que je me retrouve avec ta main sur mon bras pour me tirer hors de la boite de nuit. Qu'est-ce qui te prend Ilhan ? Tu n'as aucun droit sur moi, ni même du pouvoir. Tu n'es plus rien à partir de maintenant. Où simplement une erreur de parcours. Certes mes mots dépassent mes pensées mais, c'est la haine qui parle à ma place. Je n'y peux rien. Je te fais front dehors alors, que j'étais en train de prendre légèrement froid. Puisque l'hiver n'était pas encore fini. « Et si j'avais envie qu'on me saute comme une pauvre merde dans les toilettes de la boite, ça ne regarde que-moi ! » Darda-je avec un regard noir. Je n'avais plus de cœur ce soir. Non je parlais qu'avec ma tête. Mon cœur me fait bien trop souffrir pour penser avec celui-ci. « Justement je me posais la même question que toi. » Réplique-je avant de prendre une grande inspiration ... « Tu t'es bien foutue de ma gueule avec Carter ... Bravo ! Vous êtes les rois de la dissimulation ... vous me donner envie de vomir tous les deux. Retourne la voir, je suis sûre qu'elle sera contente que tu la chauffes à mort ton ex. » Rétorque-je en le poussant, presque les larmes aux yeux. Je m'étais promis de ne pas pleurer, toutefois c'est bien plus fort que moi.

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— with Billie

Tais toi Billie, ne dis pas ça. Tu ne le pensais pas, tu ne voulais pas qu'on te saute dans les toilettes comme ça, t'étais pas ce genre de fille là. Et c'était justement pour ça que j'étais tombé amoureux de toi, pour ça que je me prenais la tête avec toi là tout de suite alors que j'aurais très bien pu tirer une croix et me barrer avec une autre femme. Il y avait tellement de haine dans tes paroles que je ne te reconnaissais pas. Où était passée celle qui m'avait dit qu'elle m'aimait ? Celle qui m'avait dit vouloir me passer sa virginité ? Apparemment elle avait disparu au moment où nos messages avec Carter étaient apparus. « Mais putain Billie il s'est rien passé avec Carter ! C'étaient juste des messages ok ? Une petite blague qu'on se faisait ! » Mensonge. Il y avait eu bien plus qu'une petite blague, des baisers échangés, ça avait même failli aller plus loin. Mais je ne pouvais t'avouer ça de peur de te perdre, encore. « De toute manière on n'est pas en couple, si j'ai envie de chauffer une fille, je le fais t'as compris ? Je te dois rien. Contrairement à toi je n'ai jamais prétendu quelque chose ». Ouais, toi tu prétendais tenir à ta virginité quand t'étais prête à coucher avec un mec dans les toilettes d'une boîte de merde. Alors j'avais peut être mes torts mais t'étais pas blanche non plus. De toute manière, rien n'était blanc ou noir dans la vie, tout était de la merde et il fallait s'y faire. « Et comme tu l'as dit c'est mon ex, c'est fini avec elle. Tu crois vraiment que je serais là avec toi si c'était elle que je voulais ? Mais qu'est ce qui ne tourne pas rond chez toi au juste ? » Reporter la faute sur les autres pour soulager ma culpabilité, c'était ce que je savais le mieux faire, en dehors de mentir et tromper. Sauf que là, ça marchait mal, étant donné que je t'avais bel et bien trahi avec ta meilleure amie. « Pleure pas Billie, il s'est rien passé j'te dis. » Parce que je voyais clairement que les larmes te montaient aux yeux. Peut-être que tu me haïssais au fond de toi, peut-être que ouais t'avais envie de vomir en nous voyant mais j'espérais encore avoir une chance avec toi. L'amour rendait con apparemment. L'amour faisait peur. L'amour nous aveuglait. Là, je subissais les trois tandis que je serrais les dents pour ne pas m'énerver. C'était pas contre toi Billie, j'avais juste envie de me frapper. Alors gifle moi si le cœur t'en dis. Je l'ai mérité, même si je n'assume pas.

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— with @Ilhan H. Eastwood

Évidemment que je ne pensais pas une seule seconde à mes propos. Je parle sous la colère, sous la haine que je te vouais à l'heure actuelle. Je suis tellement énervée contre toi, que je serais capable de te dire des mots qui seraient susceptibles de te blesser au plus profond de ton âme. Étant donné que je t'avais fait la promesse de rester vierge, je tiendrais ma promesse même si j'ai envie de tout faire péter ce soir. Quitte à me faire passer pour la salope de service, ça m'importait tellement peu. Puisque j'ai encore les mots que tu avais échangés avec Carter sur ses sms. « Des messages plus qu'explicite Ilhan. Arrête de me prendre pour une conne. Même avec des blagues, on ne balance pas de mots aussi fort ! » Surtout pas après que tu m'ais avoué que t'éprouvais des sentiments pour moi. Je passe pour quoi à la fin ? Pour la pauvre femme qui essaie d'être persuadé que tu étais un homme bien. Belle foutaise. « Très bien. On n'est pas en couple et, on ne le saura JAMAIS. Alors va te taper la première salope qui se présentera devant toi. » J'accentue sur la fin de ma phrase, pour que tu imprimes ce que je t'avoue. Tu as foutu en l'air toutes les chances que tu avais d'être avec moi. Aujourd'hui, c'est terminé. Je tire un trait définitif sur un possible avenir entre nous. Que dis-je. Je ne sais même pas s'il en avait un de ton côté. Vu ce que tu es capable de faire derrière mon dos. En réalité, je n'étais pas prête à perdre ma virginité ici dans un endroit aussi miteux qu'était le People's Republik. Je tiens trop à celle-ci pour fiche en l'air ce que j'ai entretenu pendant des années. Je comprends enfin le sens de la phrase qui dit. La vie est loin d'être un fleuve tranquille. Ça prend un sens complet dans ma vie. « Depuis quand on chauffe l'une de ses ex ? C'est toi qui ne tourne pas rond. Tu oses me dire m'aimer alors que derrière ça ne t'empêche pas de te rabattre sur la première venue. N'inverses pas les rôles. » Je n'étais pas d'humeur à t'attendre dire que tout était de ma faute. Que je me fais une parano. Puisque c'est loin de l'être. Je me pose des questions sur vous. Déjà quand elle m'avait avoué que tu étais son ex. Je n'avais plus envie de te fréquenter mais, elle m'a poussé vers toi. Pour, quoi au final ? Rien. Nada. Nothing. Retour à la case départ. J'éclate en sanglot parce que ces mots, sa façon de se conduire, sa façon de me traiter ... je n'y arrivais pas. Plus. J'avais besoin de pleurer, d'évacuer toutes ses émotions qui s'amplifiaient ... « Ne me donne pas d'ordre. » J'en ai pas besoin. J'ai simplement besoin de pouvoir respirer, de pouvoir crier. Ce n'est pas en ayant ta présence à mes côtés que j'y arriverais. J'ai besoin de prendre du recul ... De partir quelques temps pour oublier tout ça. Pour tirer un trait de toute cette histoire. Je continue de pleurer tandis que je prends une dernière respiration avant de dire. « Je vais partir quelques temps ... » Dis-je en passant une main sur ma joue pour essayer de calmer mes larmes. Je commence à tourner mes talons doucement pour marcher doucement vers l'entrée de la boite de nuit. Je n'avais pas envie de te gifler, parce que ça serait te donner encore de l'importance. Alors, qu'à l'heure actuelle ... je ne sais pas si tu en as encore. Je ne sais même plus ce que je ressens, ni même ce dont j'ai réellement envie. C'est pour dire.

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Je n'aurais jamais dû envoyer ces messages à Carter, jamais dû l'embrasser mais je n'avais pas pensé à mal. Je m'étais même arrêté pour toi Billie, parce que je t'aimais. Parce que je t'aime encore. Tu m'avais montré une partie du monde que je ne connaissais pas, la partie qui pouvait me rendre heureux. Et maintenant tu t'en allais, me virant de ce bout de paradis, me laissant seul avec ma culpabilité. Ne me laisse pas Billie, j'avais besoin de toi. On était un tout tu vois ? Moi sans toi ça ne marchait plus. Tu te souviens quand je disais que j'étais comme une horloge déréglée qui subissait les affres du temps ? Eh bien, cette horloge ne marchait plus du tout. Pas en t'entendant dire que tu partirais quelques temps. T'avais le pouvoir de me détruire avec juste ces quelques paroles. Et mon cœur lui, bon sang, tu l'avais brisé en mille morceaux quand t'avais prétendu qu'on ne serait jamais en couple. Personne ne m'avait fait aussi mal avant toi. Je t'avais dit que ces messages ne voulaient rien dire alors pourquoi tu t'acharnais ? Pourquoi tu ne me laissais pas t'aimer de la seule manière dont je savais aimer ? C'est-à-dire en faisant des erreurs et en me rattrapant après. Peut-être parce que tu ne supportais plus mes conneries. Au fond, je comprenais, je ne me supportais pas moi-même. « Attends » réussis-je finalement à dire. Sans attendre plus longtemps, je t'agrippais le bras. « Attends » répétais-je comme si c'était tout ce que je savais dire, tout ce que je voulais là tout de suite. « Je voulais pas te faire de mal Billie. Ces messages, ça veut rien dire pour moi mais si tu ne le supportes pas que j'ai chauffé Carter alors je comprendrais. Mais ne la blâme pas elle, s'il te plaît, elle va assez mal comme ça. » Sois pas trop dur avec elle, elle est quand même enceinte d'un mec qu'elle aime et qui ne veut pas se remettre avec elle. Elle va avoir besoin de sa meilleure amie ces prochains jours, ça, j'en étais sûr. « Je veux pas me taper d'autres salopes, je veux pas que tu me laisses alors pars pas, pas pour moi. » Dis moi que tu resteras ici, que je pourrais venir te voir de temps en temps, que tu me gueuleras dessus parce que je ne laisserais pas tomber et que, comme dans les contes de fées, on se tombera dans les bras. « Je t'en supplie... » Ne pars pas. Laisse moi me rattraper. Fais en sorte que le mec qui n'a jamais cru au bonheur, aux contes de fées, y croit à nouveau. Fais lui vivre une belle histoire, une qu'il n'oubliera jamais car c'était tout ce qu'il demandait.

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— with @Ilhan H. Eastwood

Finalement, je n'aurais jamais dû prendre le téléphone de Carter pour essayer d'envoyer un sms à Roman. Jamais, je ne serais pas tombé sur ses messages qui m'ont littéralement anéantie. Je lui avais offert ma virginité, ce qui me tenait le plus à cœur pour lui prouver que j'étais sincère. Et lui ? Il ne se gênait pas pour chauffer son ex. Le pire ? C'est qu'ils osaient parlés de moi dans leurs messages. C'est tellement ironique. Que je préférais partir quelques temps, le temps de réussir à remonter la pente. De réparer ton cœur déchiré, brisée. Pourtant, tu ne semblais pas être de cet avis. Tu préférais que je reste en ville. C'est la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Tu me prenais pour une conne et, en plus je devais rester pour que tu sois heureuse de pouvoir me croiser. Je veux bien être gentille mais, faut pas pousser le bouchon trop loin non plus. Surtout que j'ai osé te dire qu'on ne saura, jamais un couple. En même temps, comment tu veux que j'arrive à te pardonner cette erreur ? C'était plus fort que moi. Si cela avait été avec une inconnue. Peut-être que j'aurais pu faire l'effort à un moment donné. Sauf, que c'était avec ma meilleure amie. La seule personne qui me permet de garder la tête hors de l'eau. Je commençais à marcher vers l'entrée de la boite de nuit quand tu oses me rattraper le bras, une énième fois de plus. Tu voulais vraiment que je m'énerve, j'étais déjà au paroxysme là. « Je vous blâme tous les deux ... elle aurait pu mettre un stop à tout cela. Pourtant, elle ne l'a pas fait. En sachant qu'elle savait très bien ce que tu représentais pour moi. » Tu crois que je n'aurais pas eu besoin de ma meilleure amie quand j'aurais eu le cœur brisé un de ces jours. Elle n'a même pas pensé à moi quand elle a accentué votre petit jeu par sms. Je ne peux pas, pas la blâmer. C'est me demander l'impossible. Vous êtes tous les deux fautifs dans l'histoire, il y en a pas un pour rattraper l'autre. « Ce n'est pas ce que tu prétendais dans tes sms. De pouvoir toucher un autre corps, un corps que tu connais bien mieux que le mien. Celui que tu as désirée pendant quoi ? Quelques mois ? Tu ne me l'as fait pas à moi. Pas ce soir, du moins. » Rester dans la même ville que ces deux idiots, c'était trop fort pour ma petite personne. J'avais l'impression de mourir à petit feu. Que j'étais à deux doigts de commettre l'irréparable. Je me demande même si je suis censé rester en vie. « Je resterais peut-être en ville, ça serait vous rendre la tâche trop facile si je disparais. Ce n'est pas pour autant que de vous voir tous les jours, je vais apprécier. Je vais aller m'installer dans un hôtel miteux peu fréquentable. » Je peux m'offrir que cela en réalité. Ce n'est pas avec mon petit salaire malheureux de mon job, que j'arriverais à m'offrir le luxe.

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— with Billie

Alors ça y est, c'était comme ça que ça devait se terminer ? Devant une boîte minable, toi me reprochant mes erreurs et moi essayant de m'en sortir comme un gosse de cinq ans pris sur le fait ? Je ferais tout pour que tu me pardonnes Billie mais là j'avais aucune idée de comment nous en sortir. On était pris au piège, foutu. Tu me dis que tu nous blâmes tous les deux parce qu'elle a continué le jeu en sachant ce que je représentais pour toi. Mais j'étais quoi pour toi exactement ? Un connard à qui tu avais passé ta virginité ? Celui que tu avais réussi à conquérir et dont tu te débarrassais maintenant ? Je n'arrivais pas à savoir. « Dis moi ce que je peux faire Billie. » Pardonne moi d'être un idiot fini, de n'être pas digne d'une femme comme toi. Toi il te fallait un prince mais j'étais un pouilleux, un voleur. Je prenais ce qui était le plus cher aux autres pour les faire regretter ensuite. Je pensais qu'avec toi je serais différent, apparemment non. J'étais une cause perdue, un putain d'orphelin dont personne ne voulait, que la vie avait abandonné à son sort. Finalement je t'avouais que les autres salopes ne comptaient pas pour moi. Mais tu ne me croyais pas, te fiant aux sms et non à ma parole. « Mais putain Billie j'ai pas non plus couché avec elle ! Ça s'est arrêté aux messages ok ? On pensait pas à mal, on voulait juste... » Juste quoi ? En fait j'en savais rien parce qu'on s'était quand même embrassés, on avait presque passé un stade. Mais Billie ne devait pas savoir ça, déjà que tu ne me pardonnais pas pour les messages alors si jamais t'apprenais que c'était allé plus loin... Non. Hors de question. L'illusion était parfaite ainsi. Parce que, ouais, tout ça c'était une illusion. Un putain de cliché. Le mec qui a fantasmé sur la meilleure amie de celle qu'il aime. Comme dans les films d'amour pourris à l'eau de rose. Sauf que là, on n'était pas dans un film, t'étais pas la fille au cœur d'or qui pardonnait tout en voyant le meilleur dans les gens et j'étais pas ce mec gentil qui n'avait rien à se reprocher. Mais, lui et moi, on avait un truc en commun : on était prêt à t'offrir la lune, à te donner tout ce que tu désirais. Tu n'avais qu'un mot à dire et j'étais à toi. « Tu fais  bien de pas partir ». Parce que ça m'aurait brisé le cœur, enfin si c'était possible d'empirer son état. C'était comme si une main serrait mon cœur, tentant de le faire sortir de ma poitrine. Il battait la chamade. Dieu que j'avais mal. « T'as pas à t'installer dans un hôtel miteux, tu peux aller chez un ami, il y en a bien un qui t’hébergera ? » Ou chez moi si tu veux. Ouais, on était d'accord, mauvaise idée de proposer ça alors que tu m'en voulais à mort.  

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— with @Ilhan H. Eastwood

Au fond de moi, j'étais prête à succomber à nouveau. Ce n'est pas raisonnable. J'en suis consciente. Mais, tes lèvres, tes mains sur ma peau, ton odeur ... tout à la fois me manquait ... Je ne devrais pas. Tu dois souffrir comme je suis en train de souffrir. Je ne joue pas un jeu. Je suis réellement anéantie, détruite. Je lui ai donné ce que j'avais de plus important à mes yeux. Pour au final, finir seul et le haïr à un point inimaginable. En prime, je venais de perdre ma meilleure amie. Je sais même plus où je suis censé être. Peut-être dans cette boite minable au bras d'un inconnu. Un homme que j'aurais immédiatement stoppé à la dernière minute. Puisque je ne veux pas finir comme les pétasses qui ne pensent qu'à baiser le premier venu. Je n'ai pas envie que cela se termine entre nous ... alors, qu'on a eu un départ tumultueux. Cependant, c'était toi qui avait décidé ça. Sans me consulter, sans rien me dire. Je devais subir tes agissements, contre mon gré. « À l'heure actuelle, pas grand-chose malheureusement ... » C'est bien trop facile. Même si j'aimerai que tu me prouves que tu n'es pas un connard. Que tu n'es pas le genre d'homme à faire n'importe quoi avec les femmes. Prouve-moi que je suis la seule que tu aurais désirée dans ta vie. C'est trop te demander, je le sais bien. Pour cette raison que je ne te le dis pas. Je n'ai pas envie de te perdre ta liberté, celle que tu apprécies bien trop. Je n'arrive plus à savoir quand tu es sincère où quand tu me mens. J'y peux rien, mes neurones sont complètement déconnectées depuis ses messages qui sont apparus dans ma vie misérable, soit-elle. « Seulement quoi ? Fini ta phrase ! » Autant apprendre toute la vérité maintenant. Ça serait le mieux pour toi. Au moins, je serais énervée contre toi qu'une fois. Ça t'évitera de me briser encore plus que je ne le sois déjà. Les actes sont trop frais, pour que je puisse te pardonner aussi facilement. Puis, ça ferait de moi, quelqu'un de faible. Je ne veux pas être celle qui est faible. Pas face à toi. Hors de question. J'ai bien trop de fierté pour l'être. Quand tu m'avoues que je fais bien de ne pas partir. J'ai comme la sensation que ces mots étaient plus pour te soulager toi, que de me conseiller de rester. C'était sarcastique de ta part. Sincèrement. « On va dire que je n'ai plus trop confiance en mon entourage ... je préfère m'isoler un peu, diriger toute cette affaire monstrueuse. » Si c'est pour terminer chez un ami, tu serais capable de me traiter de salope où me piquer une crise de jalousie. Pas question. Je n'ai pas envie de t'avoir encore sur mon dos. Déjà que ce soir je fais un effort considérable pour t'adresser la parole. M'en demandes pas trop.

© LOYALS.
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