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feat. carter & oswald
« Tu te souviens ? Si ça ne va pas, tu n’hésites pas à réveiller ton oncle, d’accord ? » Mon regard tombe sur James bien au chaud sous les couvertures, les bras le long de son corps. Elle opine doucement et je lui adresse un petit sourire avant de déposer un baiser sur son front. L’idée de la laisser toute seule me dérange, surtout en ce moment, mais je n’ai pas vraiment le choix. Inutile d’ajouter plus de stresse en ayant ma fille avec moi et puis elle a besoin de dormir, si la soirée dure trop longtemps je m’en voudrais qu’elle s’endorme ailleurs que dans un lit. J’éteins la lampe de chevet et je tire la porte vers moi jusqu’à laisser assez d’espace pour que la lumière du couloir pénètre dans sa chambre et je m’éloigne jusqu’à tomber sur mon frère « S’il y a besoin j’ai mon portable. » Dis-je en joignant le geste aux paroles en montrant mon iPhone et je quitte l’appartement une fois que je suis certaine de n’avoir rien oublié. Le logement où je vis avec Arthur et son garde du corps, Liam, est désert ce soir. Je n’ai pas la moindre idée d’où sont les garçons mais ça ne me dérange pas, ce soir je veux uniquement me focaliser sur Carter, sur l’aide que je peux essayer de lui apporter. Une fois rentrée, je me débarrasse de ma veste et de mes chaussures et je m’en vais dans la cuisine me servir un verre de jus de fruits. J’ai à peine le temps de poser la bouteille que l’ascenseur s’ouvre sur Carter. Je regarder brièvement ma montre et manque de me donner une claque sur le front. « Carter ! » Je l’interpelle en allant dans sa direction. Une fois à sa hauteur je la prends doucement dans mes bras puis me détache en lui souriant. « J’allais me boire un jus de fruits, ça te tente ? Je sais que quand j’attendais James je pouvais en boire des litres. » Je lève les yeux au ciel, amusée. Pour être franche, durant ma grossesse j’aurais pu manger et boire mon poids, j’aurais été capable d’avaler n’importe quoi tant j’avais l’impression d’être incapable de faire disparaître ma faim. « Allez, suis-moi ! » Je l’entraîne avec moi jusque dans la cuisine où je la laisse s’asseoir tandis que je sors un verre de plus que je bosse à côté du mien. Je la regarde avec un doux sourire. Je ne sais plus à quand remonte la dernière fois que je l’ai vu, avec tout ce qui s’est passé ces derniers mois j’ai eu le temps de rien et, oui, je m’en veux.


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feat. Oswald & Carter
Aujourd’hui, du moins ce soir, tu allais en direction de l’endroit où vivait Oswald qui était ton ancienne copine, mais maintenant une amie très proche. Tu te rendais compte que tu étais amie avec toutes tes anciennes histoires, tu étais toujours très attaché à eux et tu avais toujours besoin de les protéger. Mais ce n’était pas le cas avec Roman, tu n’étais plus tellement proche de lui sauf pour le bébé. Cette histoire n’était clairement pas comme les autres, tu démarrais ta voiture avant de prendre la direction du bâtiment et de rejoindre la jolie brune. Tu avais besoin de ses conseils, tu savais que tu pourrais compter sur elle, c’était une évidence surtout en ce qui concerne la grossesse. Elle avait une petite fille de deux ans alors, tu ne savais pas qui pouvait mieux t’aider sauf elle. Tu avais une confiance aveugle en elle, autant le dire alors, tu finirais par suivre ses conseils. Tu te garas, tu restais un moment dans la voiture, tu posas ta main sur ton ventre qui se voyait de plus en plus. Ouais, tu étais réellement en train de te demander ce que cet enfant serait capable de te faire vivre, comment tu allais en prendre soin et surtout qu’elle mère tu serais grâce à lui. C’était une question plus qu’importante pour toi, tu secouas la tête avant de sortir de ta voiture pour rejoindre la jeune femme. Tu devais lui demander des conseils, tu devais réellement savoir ce que tu devais faire par la suite pour vivre le mieux possible cette grossesse sachant que le début n’avait pas été simple pour toi, il faut le dire. Ta langue se glissait sur tes lèvres une dernière fois avant que la porte s’ouvre, un sourire se dessina immédiatement sur tes lèvres en voyant la brune. Depuis combien de temps tu n’avais pas passé du temps avec elle ? Beaucoup trop de temps s’était écoulé depuis la dernière fois, mais tu n’avais le temps pour rien en ce moment, tu avais assez honte de ça pour être honnête. « Oswald ! » Tu entouras tes bras autour de son corps pour la serrer contre toi un instant avant de l’écouter te proposer de boire quelque chose, pas d’alcool bien évidemment. Tu devais t’y faire maintenant, c’était fini pour toi toutes ses âneries. « Je veux bien. » Tu souris encore une fois avant de la suivre vers la cuisine, tu t’installas en la regardant faire. Le silence était présent entre vous, cela pouvait faire du bien par moment, mais tu avais toujours cette impression qu’il était de trop avec la belle brune. « Je commence déjà à grossir, c’est horrible. J’ai juste l’impression que je vais me transformer en baleine ou en montgolfière, je sais pas trop en faite. » Un petit rire sortit de ta bouche ne pouvant pas faire autrement, tu voulais détendre en quelque sorte l’atmosphère.

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« Je veux bien. » J’acquiesce, mon sourire toujours dessiné sur mes lèvres. J’ouvre à nouveau la brique de jus de fruits et remplie un verre pour Carter avant de le glisser dans sa direction. En toute honnêteté, ça me fait du bien de voir la jeune femme, du bien de penser à ce que pouvait être ma vie avant tout ça. Depuis que j’ai accepté de travailler pour les Windsor – et plus particulièrement pour Arthur – j’ai l’impression que ma vie prend sans cesse un tournant auquel je n’étais pas préparée. C’est encore pire depuis que j’ai accepté de vivre sous le même toit que lui quand bien même je commence à m’habituer. Mais parfois j’ai des regrets, ceux de ne pas avoir vécu un peu plus et mes amis me manquent au point de me rendre compte à quel point je les vois peu. Imperceptiblement, je secoue la tête pour redescendre sur terre et je pose mon regard sur Carter puis sur son ventre qui commence à se voir. « Je commence déjà à grossir, c’est horrible. J’ai juste l’impression que je vais me transformer en baleine ou en montgolfière, je sais pas trop en faite. » Je ris à mon tour. Je crois que c’est ce que toute femme enceinte pense au début de leur grossesse et ça ne fait qu’empirer au fur et à mesure que les mois passent. « Oh je t’assure que pour le moment ça va, attends d’avoir passé le cap où tu ne verras même plus tes pieds, là baleine et montgolfière te sembleront être faible. » Je me souviens encore des douleurs dans mes reins et à quel point j’étais essoufflée lorsque je faisais ne serait-ce qu’un petit effort. Je prends place sur un tabouret en face de la jeune femme et croise mes mains sur le plan de travail qui nous sépare. « Tu te sens comment ? » Je lui demande en attrapant mon verre. « Autant physiquement que mentalement je veux dire. Quand j’étais enceinte de James je me suis posée tous un tas de questions, genre vraiment plein de questions et j’étais sans arrêt fatiguée. » Je lève les yeux au ciel en me rappelant toute cette période qui ne me semble pas si lointaine que ça. Et puis si elle a la moindre question je veux qu’elle sache que je suis là pour elle, pour l’aider au mieux étant déjà passée par là.


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Tu souris à la jeune femme ne pouvant pas faire autrement, tu sortais de moins en moins enfin le soir. Tu restais chez toi, à dormir ou à regarder la télé, tu préférais faire venir les gens que de bouger parce que ta grossesse faisait réellement en sorte que tu étais fatiguée. Tu devais te calmer, tu devais moins courir mais bon tu étais comme cela, c’était dur pour toi de faire une pause sur ta vie, sur la vie que tu menais. Entre tes cours, le club humanitaire, le fait que tu essayais de voir le plus de monde possible pour t’occuper l’esprit. Les moments détentes étaient presque impossibles, mais bientôt tu allais prendre un léger créneau pour commencer le sport, suivant les consignes de ton gynécologue. Tu pris une gorgée du verre qui était devant toi avant de sourire à la jeune femme, tu savais que tu allais prendre du poids, tu te doutais même que dans quelques mois tu serais incapable de faire ce que tu pouvais faire à l’heure actuelle. Tu avais un peu peur de tout ça, de tous ses changements qui commencent doucement à arriver. « Je t’avoue que je ne suis pas spécialement pressée d’arriver à ce moment-là. Je pense même que c’est le moment que je redoute le plus. » Pas à cause de la prise de poids, parce que tu ne pourrais plus être autant indépendante que tu l’étais actuellement et tu ne te voyais clairement pas demander de l’aide à tout le monde dès que tu en avais besoin. Tu ne te voyais pas non plus arrêter les cours parce que tu devrais rester allonger, que tu devais te ménager avant l’arrivée de l’enfant. En gros, tu redoutais la fin de la grossesse, mais tu étais tout autant impatiente. Deux sentiments parfaitement contradictoire, mais ce n’était pas choquant pour une femme enceinte de ressentir tout ça, du moins tu le supposais. « De plus en plus fatiguée, j’arrive pas à passer une journée sans m’allonger au moins une heure pour me reposer un peu. » Tu passas ta langue sur tes lèvres avant de laisser tes mains jouaient avec le verre qui était devant tes yeux, tu te mordis la lèvre avant de répondre, tu savais que moralement tout était confus dans ta tête, que tu étais perdue entre ce que tu voulais et ce que tu devais faire pour le bébé. « Moralement, je suis perdue. J’ai réellement peur de cette grossesse, pas que cela se passe mal ou quoi. Mais peur de voir comment je serais une fois que j’aurais ce bébé entre les mains, de voir si je serais capable d’être une mère ou pas. En même temps, je commence à me faire au fait d’être mère, je sais juste pas quoi faire encore, mais j’essaye de ne plus refaire les mêmes bêtises qu’au début, ce qui est déjà pas mal pour moi. »

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« Je t’avoue que je ne suis pas spécialement pressée d’arriver à ce moment-là. Je pense même que c’est le moment que je redoute le plus. » Un léger rire m’échappe parce que je comprends que trop bien ce qu’elle sous-entend. Même si je dois avouer que j’étais assez épanouie durant ma grossesse – chose qui m’a beaucoup surpris – il y a eu beaucoup d’inconvénients. La prise de poids était le moins pire de la liste. Bien trop active pour réduire mes déplacements, j’ai fini par ne pas avoir d’autres choix autant pour ma santé que pour celle du bébé. J’ai dû abandonner des activités auxquelles je tenais et diminuer pas mal de petites choses au point de rêver du jour où je donnerais enfin naissance à cet enfant. Je pense connaître assez Carter pour deviner qu’elle-même n’a pas spécialement envie de voir son indépendance se réduire à cause du petit être qui grandi en elle. « Tu peux compter sur moi pour t’aider à le surmonter en tout cas. Tu pourras t’énerver et crier autant que tu le veux et, crois-moi, ça te soulagera bien plus que tu ne l’imagines. » A l’époque c’est mon frère qui a tout pris mais étant du genre à s’énerver assez rapidement, ça donnait pas mal de disputes entre nous même s’il a fini par comprendre que ma colère n’était en rien tourner vers lui. La grossesse a parfois de mauvaises passes et certaines personnes peuvent ne pas comprendre le comportement d’une femme enceinte dans ces moments et n’étant pas de ceux-là, je m’offre d’être son punchingball sans la moindre hésitation.

« De plus en plus fatiguée, j’arrive pas à passer une journée sans m’allonger au moins une heure pour me reposer un peu. » J’agites la tête sans pour autant prendre la parole. A la façon dont elle joue avec le verre, je comprends que ma question la travaille et je m’en veux un peu de la poser. Je ne veux en rien la brusquer alors je reste silencieuse, la laissant parler lorsqu’elle se sentira prête. « Moralement, je suis perdue. (…) En même temps, je commence à me faire au fait d’être mère, je sais juste pas quoi faire encore, mais j’essaye de ne plus refaire les mêmes bêtises qu’au début, ce qui est déjà pas mal pour moi. » Un petit sourire vient étirer le coin de mes lèvres tandis que je glisse une main dans sa direction pour la poser sur l’une des siennes. « Si tu m’avais dit le contraire je me serais inquiétée. » Oh bien sûr il y a des femmes faites pour la grossesse et qui n’ont peur de rien, mais la grande majorité se posent des questions et ont peur. « Ça viendra naturellement. C’est peut-être difficile d’y croire maintenant mais tu verras. Quand j’ai eu James j’ai cru que le monde autour de moi allait s’effondrer parce que je n’étais pas du tout prête à être mère. » J’avais accepté cette grossesse qu’en tant que mère porteuse, jamais je m’étais imaginée devenir la mère de cette enfant et je me suis retrouvée du jour au lendemain avec cette pression, ce rôle pour lequel je n’étais pas préparée. « Tu feras forcément des erreurs et y a même des moments où tu vas vouloir baisser les bras mais c’est normal. Dis-toi que tu ne seras jamais toute seule … et moi je suis persuadée que tu vas t’en sortir. » J’affirme en serrant un peu plus sa main dans la mienne. « Et puis si j’ai pu réussir la terre entière le peu ! »


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Tu savais que cette grossesse faisait en sorte que tu te poses beaucoup de questions, beaucoup trop même au fond. Mais tu devais faire avec, tu devais faire avec tes sautes d’humeur et tout le reste. Tu ne doutais pas une seule seconde que tout cela allait être compliqué pour les personnes qui étaient proches de toi, surtout pour Roman en faite comme il était le père de l’enfant, tu n’allais sûrement pas l’épargner, malheureusement pour lui. Tu passas ta langue sur tes lèvres en la regardant, tu laissas un sourire se dessina sur tes lèvres en entendant sa remarque. Tu étais heureuse qu’elle reste présente dans ta vie malgré tout, vous étiez toujours proche et cela comptait réellement pour toi. « Merci d’être là, Os. Je sais pas du tout ce que je ferais sans toi et je sais que quoi qu’il arrive, tu serais toujours là pour moi. Je serais aussi toujours là pour toi, tu sais ? » En faite, elle le savait peut-être déjà, mais tu préférais lui redire. Tu étais là pour elle, quoi qu’il puisse se passer, pour garder sa fille ou simplement pour qu’elle lui parle de ses soucis ce genre de chose. Tu n’étais pas la seule qui devait se soulager alors, elle pouvait clairement compter sur toi si elle en avait besoin.

Tu continuas de jouer avec ton verre tout en étant dans tes pensée, tu ne savais juste pas quoi penser. Pour tout dire, tu n’avais jamais pensée que tu serais mère aussi jeune, comme cela, sans être en couple, sans avoir une vie à peu près stable. Franchement, tu avais presque l’impression que tous tes cauchemars étaient en train de se réaliser à l’heure actuelle, mais tu faisais avec. Tu continuais de rire, de sourire, comme ci tu étais la femme la plus heureuse du monde alors pas du tout. Tu venais clairement de tout lui dire, de lui raconter ce que tu pensais, comment tu ressentais tout cela. Tu te rendais enfin compte que tu n’avais jamais réellement pris le temps de faire une telle chose, de lui parler de ce que tu pouvais ressentir. Ouais, définitivement tu avais une grande chance de l’avoir dans ta vie, d’avoir cette femme dans ta vie quoi qu’il puisse s’être passé entre vous. Tu laissas un petit rire sortir de ta bouche ne pouvant pas faire autrement et tout en étant soulager à la fois qu’elle te dise qu’elle serait inquiète d’entendre l’inverse. « J’ai toujours adoré les bébés, je me posais jamais ce genre de question quand je devais en garder un ou quelque chose comme cela. Mais là, quand je pense que ça sera le mien, j’ai l’impression que je ferais tout à l’envers. » Tu te mordis la lèvre inférieure ne pouvant pas faire autrement, ouais c’était surtout cette partie là dont tu avais le plus peur, tu avais peur de ne pas être la mère la plus parfaite du monde. Tu ne voulais pas qu’on te dise que tu serais incapable de faire son bonheur parce que tu ne supporterais clairement pas ça. « J’ai peur de ses erreurs là et j’ai encore plus peur qu’on se retrouve médiatiser à cause du statut du père de l’enfant. J’ai peur de perdre tout ce qui compte pour moi, mon anonymat et tout le reste. » C’est ça d’être enceinte d’un prince héritier, tu ne regrettais pas d’avoir l’enfant de Roman, tu l’aimais et c’était en quelque sorte logique de porter son enfant, non ?

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« Je sais. » Je réponds en souriant alors que Carter me dit qu’elle aussi sera toujours présente pour moi. Quelque part, je l’ai toujours su. Ce n’est pas seulement notre passé ensemble, c’est aussi cette relation qu’on avait avant et que nous avons su conserver par la suite. Elle fait partie des personnes qui me sont chères, de ceux pour qui je serais capable de donner ma vie sans la moindre hésitation si on me le demandait. Je ne suis pas certaine que j’aurais imaginé ma vie avec elle, ce qui est sûr en revanche c’est qu’elle a compté et qu’elle compte encore aujourd’hui. Etre là pour elle c’est le moins que je puisse faire. Je suis passée par cette période pleine de questions et effrayante qu’est la grossesse. J’ai été entourée mais ça ne m’a pas empêché de craindre le pire une fois l’enfant né. Je sais que trop bien ce qu’elle ressent et si je peux l’aider, je le ferais. « Ça arrivera peut-être. » Je lance en lui adressant un petit sourire. Ce n’est pas très rassurant, je m’en rends vite compte, mais je ne fais qu’être sincère avec elle parce que j’aurais aimé qu’on le soit avec moi. « Seulement c’est en faisant des erreurs qu’on apprend. Et puis franchement je ne connais pas un seul parent qui n’a pas fait des erreurs avec son enfant. C’est normal, c’est nouveau mais tu verras aussi que ça viendra naturellement. L’histoire d’instinct maternel c’est plutôt vrai. » Trop scientifique pour y croire avant la naissance de James, je me suis vite rendue compte que j’étais capable de faire la différence entre les pleurs dus à la faim ou ceux dus à une douleur.

Il y a plein de petites choses que j’ai fait d’instinct, comme si un sixième sens s’était développé. Je relève les yeux vers Carter dès qu’il est question des médias. Non seulement Carter est mon amie, mais Roman est celui d’Arthur. Je sais que porter l’enfant d’un prince – hors mariage – n’est pas simple et je n’aimerais pas que ça m’arrive – même si l’idée de porter les enfants d’Arthur un jour me fait sourire. « Là-dessus je ne sais pas quoi te dire. Malheureusement la presse est curieuse, parfois trop. Ma famille est à la tête d’une grosse entreprise implantée quasiment dans le monde entier et adolescente les journalistes ne me laissaient pas tranquille. La moindre petite chose pourrait être un scoop avec eux. » Je soupire, débitée même si je sais que tout le monde doit faire son métier comme il le peut, mais je juge qu’il y a certaines limites à ne pas dépasser. « Quand je me suis installée ici, chez Arthur, les journaux anglais nous ont directement déclarés comme étant en couple et j’ai immédiatement penser à James. Les journalistes ne te lâcheront pas parce que Roman est prince mais c’est notre rôle de protéger nos enfants. Tu verras qu’être sous les projecteurs tu l’accepteras, mais que tu feras tout pour mettre ton enfant à l’abri et tu y arriveras. Et puis tu es entourée, je te promets de tout faire pour t’aider, je ne t’abandonnerais pas. » Je pourrais me coller une droite à un journaliste pour elle, ça ne me dérange pas. Je me fiche pas mal de faire la une pour ça, du moment qu’ils arrêtent de violer la vie privée de mes proches.


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Tu souris à la jeune femme devant toi, c’était une évidence que tu serais présente pour elle si elle en avait besoin. Généralement, tu étais toujours là pour tes proches et ça ne changera pas même si elle est une femme avec qui tu avais pu partager un moment dans ta vie. Elle restait une amie, une amie proche et tu étais comme ça, tu étais toujours là pour ceux qui en avait besoin. Tu mettais parfois ta vie de côté, tu pensais plus aux autres qu’à toi, ce qui était une très mauvaise chose depuis que tu étais enceinte, mais tu ne pouvais pas mettre de côté cela, c’était dans ton caractère. Tu passas ta langue préférant savoir qu’elle était honnête avec toi et c’était le cas quand elle affirmera qu’une erreur arrivera quand ton enfant sera né. Tu préférais entendre ça qu’elle te mente en te faisant croire que tu serais la maman de l’année alors que ça ne serait pas le cas. Tout le monde avait ses faiblesses et tu risquais d’en avoir sachant que tu refusais de changer ton mode de vie, même pour ce bébé, même pour ton enfant. « Je n’en doute pas. Je risque d’en faire c’est évident, mais c’est quand même là comme peur. Je sais que je serais pas la mère de l’année, de toute manière c’est pas mon but. Mais j’aimerais jute en faire moins et j’espère réellement que j’aurais aussi cet instinct dès le début. » Tu savais que certaines mères pouvaient refuser leur enfant dès la naissance, tu ne voudrais pas que cela t’arrive alors tu espérais silencieusement que l’instinct maternel apparaisse rapidement dans ton cas. Tu avais peur de tellement de chose, comme le baby blues après la naissance de ton enfant, tu avais surtout peur des choses négatifs, que cela puisse t’arriver.

Puis ce n’est pas seulement le fait de prendre soin de ton enfant qui te faisais peur, c’était aussi le monde dans lequel tu rentrais sans réellement le vouloir. Avant, quand tu étais en couple avec Roman ce n’était pas aussi terrifiant que maintenant. Là, tu voulais juste pas que ton enfant soit au milieu des médias, qu’on parle de ton passé et surtout qu’on dise des choses fausses sur ta personne. Tu n’étais pas avec Roman pour son argent ou même son statut, tu étais juste amoureuse de lui, bien trop amoureuse de lui, parfois tu n’en revenais pas et ça te faisait peur, trop peur même. « C’est parce que je n’ai pas l’habitude que j’ai peur, j’aimerais que ce soit pas comme ça. Qu’on me suive pas tout le temps pour savoir comment je gère ma grossesse, comment je suis en dehors. J’aime pas savoir que ma vie serait de A à Z sur des magazines. » ça te faisait peur parce que tu n’avais rien de plus que d’autres pouvaient avoir, tu étais comme tout le monde, tu étais banale alors pourquoi quelqu’un voudrait suivre ta vie, comment tu es capable d’élever ton enfant. Enfin tu n’avais pas envie, clairement pas envie qu’on puisse te voir partout. « Je sais qu’ils ne nous lâcheront pas, je sais que maintenant ça sera constamment parce qu’il est prince, parce qu’il aura entre ses mains la direction d’un pays. J’espère que j’y arriverais, j’espère réellement que je pourrais le protéger contre tous. Merci d’être là, je sais pas du tout ce que je serais capable de faire si tu n’étais pas là. »

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Quand j’y pense, la grossesse je l’ai découverte toute seule. Si j’ai eu certains de mes proches à mes côtés pour soutenir, aucun n’avait de réponses à me donner. J’avais des questions, bien trop de questions et j’ignorais vers qui me tourner à l’époque. Je n’étais pas supposée traverser ça toute seule, Reagan était sensée vivre cet étape pas à pas avec moi avant la naissance de James … sa fille. Mais on m’a arraché ma meilleure amie et le fiancé de cette dernière est parti à l’étranger me laissant affronter ça comme une grande. J’ai été terrorisée pendant neuf mois et la naissance n’a pas été mieux. Ça je ne le souhaite pour rien au monde à Carter. En tant qu’amie je compte bien l’aider autant que je le peux, répondre à ses questions en toute franchise. A quoi servirait de lui mentir de toute manière ? « Mère de l’année tu le deviendras avec le temps j’en suis sûre. » Je n’arrive pas à voir les choses autrement. Il faut du temps pour apprendre, c’est comme pour toutes choses, seulement je suis persuadée que Carter saura parfaitement se débrouiller dans ce rôle. « Je suis même persuadée que tu vas l’aimer ce petit bout, le simple fait que tu sois aussi inquiète m’amène à le penser. » Il est clair qu’elle ne veut pas faire les choses de travers, ça signifie qu’elle tient déjà cet enfant avant même de l’avoir tenu dans ses bras, à mes yeux ça veut dire beaucoup de choses. Et puis il n’y a qu’à entendre la suite. Elle veut déjà le protéger contre le monde dans lequel il va grandir. Non vraiment, Carter sera formidable je n’en doute pas un instant.

« Tu peux peut-être essayée d’imposer certaines limites ? Si tu leur en donne un peu, ils peuvent faire l’effort de te donner de l’espace ? » Je suggère même si j’ignore comme fonctionne la relation entre une monarchie et la presse. « Je sais que mes parents avaient accepté de leur donner des clichés et des interviews, mais ils devaient laisser mon frère et moi en dehors de ça durant notre enfance et adolescence. » Plus adolescence qu’enfance pour ma part puisque j’ai été adoptée. Ma mère ne supportait pas l’idée que le moindre de nos faits et gestes soient épiés alors que nous étions que des enfants et puisque notre famille est tout de même moins importante que d’autres, la presse a accepté. « Je leur botterais les fesses s’ils ne vous laissent pas tranquille ! » Je lance avec assurance. Le pire est que j’en serais parfaitement capable avec mon caractère. « Et de rien, les amis sont faits pour ça et aussi pour couvrir cet enfant et la future maman de cadeaux ! Mon dieu tu ne vas pas pouvoir m’empêcher d’aller claquer le peu d’argent que j’ai pour vous deux, j’adore passer des heures dans les boutiques pour enfants. » Je suis sûre que j’en ai presque les yeux qui pétillent. C’est parce que j’aime bien trop les enfants que je n’ai pas pu me diriger vers la pédiatrie, les voir mal au point m’ait insupportable. « Pendant que j’y pense, je dois encore avoir quelques trucs qui appartenaient à James si tu veux ? Je doute qu’ils me servent dans un avenir proche. » Je déclare dans une petite grimace. Premièrement il faudrait que ma relation avec Arthur soit officielle, deuxièmement il faudrait qu’on soit mariés – détail très important – et troisièmement … et bien les deux premières conditions sont déjà pas mal.


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Depuis que tu étais revenue tu te rendais compte que cette grossesse tu étais loin de la vivre toute seule comme tu avais pu penser dès le début. Beaucoup de personnes étaient là pour toi, essayer de faire en sorte que tu vives au mieux cette grossesse que tu acceptés de plus en plus. C’est vrai que ce n’était pas facile de vivre cette grossesse en étant en quelque sorte en guerre contre le père de l’enfant, ce que tu espérais réellement c’était que ce qu’il se passait avec Roman se calme pour enfin vivre une grossesse comme il fallait. C’était la partie la plus dure dans l’histoire, c’était presque impossible enfin c’était ce que tu pensais, tu n’en savais trop rien. Tu finis par te mordre la lèvre inférieure face à ce que Oswald venait de te dire, tu ne savais pas trop quoi répondre parce que justement, tu pensais l’inverse même si tu étais prête à te donner à fond, même si tu étais prête à faire tous ce qu’il fallait pour que cet enfant soit le plus heureux possible. « Je…Je sais même pas quoi te répondre. » Tu avais déjà envie d’être une bonne mère avant d’être celle de l’année, tu avais besoin de voir que tu pouvais réussir cette chose qui te rendait folle, qui te faisais vraiment très peur parce que tu n’avais jamais cru que tu serais mère aussi tôt, aussi rapidement et surtout sans être en couple avec le père. « Au début j’avais du mal, mais c’est vrai que je commence à l’aimer de plus en plus. J’aimerais juste qu’il ait une vie sans souci, juste une vie simple. » Tu haussas les épaules, tu ne voudrais pas qu’il subisse la même vie que toi, t’aimerais juste rendre ton enfant heureux et tu savais parfaitement que ce n’était pas dans le monde de Roman qu’il sera heureux. Puis tu ne supporterais pas d’être autant surveillé alors le souci était réglé à tes yeux.

« Je pourrais.. Enfin pour ça il faudrait que j’en parle à Roman aussi. Je peux pas prendre la décision toute seule, même si parfois j’aimerais bien. Je ne connais pas du tout les habitudes de la presse par rapport à sa famille alors au fond j’espère qu’ils seront capable de faire une telle chose. » Tout ce que tu savais c’était qu’il était suivi, que ses actions étaient regardés par de nombreuses personnes, tu ne savais pas comment avait pu être son enfance et tu espérais pouvoir en quelque sorte garder des choses pour toi. Tu gardais l’idée de ton amie dans un coin sachant que tu devrais en parler avec Roman. « Peut-être que je devrais faire ça, enfin donner des clichés du bout de chou pour être tranquille ensuite. » Tu passas ta langue sur tes lèvres, tu avais encore quelques mois avant que ton bout de chou ne vienne au monde, avant que tu n’aies à le protéger. Tu laissas un petit rire sortir de ta bouche ne pouvant pas faire autrement face à ce que tu étais en train d’entendre de la bouche de la jeune femme. «Tu sais que tu es folle ? Puis je refuse que tu te mettes dans la merde pour le bébé alors j’espère que tu feras pas trop de cadeau pour ce bébé puisque j’ai déjà pris quelques trucs pour lui alors il sera loin d’être malheureux. » Elle était adorable, elle était plus qu’importante pour toi et tu étais réellement heureuse de la voir aussi pétillante face à l’arrivée de ton bout de chou. Ça te faisait juste plaisir, plus que ça même, c’était juste quelque chose de bien qui te donnait réellement envie d’enfin l’avoir dans ses bras. « Je veux bien. Puis dis, ça te dirais de venir avec moi quand je devrais préparer sa chambre ? Je sais pas du tout ce que je devrais prendre et tout ça, donc je pense que j’aurais besoin de ton aide. »

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