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« Voilà, tu as tout compris » dit-il avec un sourire en coin. Elle avait le droit de se moquer car avec le recul, il avait eu une dégaine des plus débiles dans cette robe mais au moins, sa pudeur avait été sauve. Bonaventure n’était pas du genre exhibitionniste. Il avait fait simplement une fois, une plage naturiste avec son meilleur ami Jarod pour voir comment ça se passait. En dehors de cela, il était plus adepte du : j’en montre moins, ça entretient le mystère. « Je pense que c’était surtout une connerie de défi ou un truc du genre et que j’étais la cible rêvée car j’étais loin de mes fringues » râla-t-il pour la forme. Ce soir-là, il était bien plus occupé à soulager son dos qu’à autre chose. « Dommage, ce soir-là, j’étais privé de présence féminine sans quoi, j’aurais apprécié de ne plus avoir de vêtement » la taquina-t-il sans se douter qu’elle puisse vouloir le mettre à l’épreuve. Remarquez, cela pourrait être amusant de la prendre à son propre jeu ! « Je t’assure, c’est une vraie crème mais si tu as peur de lui, je peux aller fermer la porte de ma chambre pour ne pas qu’il vienne nous déranger » lui proposa-t-il afin de ne pas lui imposer la présence de Pikachu. Tout le monde n’aimait pas les furets, il ne pouvait pas lui en tenir rigueur mais il était certain qu’il ne se débarrasserait jamais de son compagnon à quatre pattes même pour les beaux yeux de sa petite-amie. « Il est brun tirant sur le roux. Une adorable petite boule de poil » répondit-il après coup, comme un père fier de son fils. Ce type était quand même une vraie mère poule avec son furet mais il assumait totalement. Pikachu lui apportait bien plus que n’importe quel être humain, il était toujours là dans les bons comme dans les mauvais jours, lui arrachant des sourires même quand son cœur était lourd. Il était son fils, son meilleur ami, son ange gardien, tout cela à la fois.

« Nop, je risque d’être un peu trop raide pour t’offrir un show digne de ce nom » rétorqua-t-il en secouant la tête, accompagné d’un petit rire. Bonaventure ne dirait pas non contre un striptease car à une certaine époque de sa vie, cela lui avait rendu un fier service. Heureusement qu’il ignorait que Mira bossait de temps en temps au Nirvana… un club qu’il avait assidument fréquenté quand il était en fauteuil roulant. « Je dors mais pas toute la nuit. En fait je peux passer deux trois jours avec des insomnies et dormir une nuit complète le jour d’après. Du coup, je m’arrange toujours pour dormir avec toi quand je sais que je peux passer une nuit tranquille. Je n’ai pas envie de te réveiller avec mes insomnies » lui explique-t-il. Mira serait encore fichue de lui dire que cela ne la dérange pas mais à la longue, elle en aurait marre et c’était bien normal. « Oui, tu pourras toujours m’appeler, je répondrai présent. J’ai le sommeil léger donc j’entendrai toujours ton appel » lui répondit-il en hochant la tête. Est-ce que cela avait un bon côté d’être insomniaque ? Pas forcément car même s’il était habitué à dormir peu, lors de ses plus crises d’insomnie les plus fortes, il devait se contrôler davantage pour maintenir son masque de bienheureux sur son visage. Il s’agaçait plus vite et ses nerfs lui jouaient de drôles de tour. « On peut dire ça oui » termine-t-il par dire avec un sourire en coin.

Bonaventure afficha une mine angélique quand elle commença à lui demander ce qu’il avait fait vis-à-vis de Suzanne. « Qu’est-ce que j’ai fait ? Tout de suite, tu me penses coupable de quelque chose ? C’est pas comme si je m’étais servi de toutes ses réponses à ses fichus questionnaires pour faire en sorte qu’elle rencontre l’homme idéal par le plus grand des hasards… » lâcha-t-il d’une voix trainante. Ce n’était pas fairplay mais il avait besoin qu’elle le libère rapidement de ce foutu mariage donc aux grands maux, les grands remèdes. « Il y a beaucoup de recherches à faire… il faut se tenir au courant des dernières rumeurs. En fait, tout dépend des dossiers que je traite. Il y a des enquêtes beaucoup plus simples qui demandent juste quelques photos ici et là… Puis y en a d’autres qui nécessitent des enquêtes plus poussées » tente-t-il de lui décrire un peu le boulot de détective mais c’était pas évident. « Mais ouais c’est à peu près la même chose sauf que tu dois suivre un protocole assez stricte et qu’à la fin, tu coffres le méchant. En tant que détective, je ne peux pas intervenir. J’offre des réponses à des gens qui parfois, ne sont pas en état de les découvrir. Un jour, j’ai dû apprendre à une famille que leur fils disparu était mort depuis des mois.. Ce n’est pas évident d’enlever l’espoir à quelqu’un mais je suis payé pour cela » soupire-t-il. Mira l’interrogea alors sur ses années d’études qui lui restaient : « Encore deux ans… enfin l’année prochaine, j’en ai terminé et toi ? »lui demande-t-il en retour. Il sait qu’elle est plus jeune que lui et qu’il doit surement lui rester encore quelques années de fac.

« A la truite fumée en réalité mais on peut dire que ça se rapproche niveau gout » répondit-il avant de sourire. Il était heureux que cela lui plaise. « Ce n’est pas du surgelé. Moi vivant, je ne ferais jamais de surgelé » avoue-t-il en amoureux de la gastronomie. L’étudiant aurait très bien pu devenir chef d’un restaurant dans une vie parallèle tant il aimait cuisiner. « Oui, je la garde pour le moment histoire de pouvoir laisser à Khali un peu d’indépendance »




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« Oui oui, bien sûr, c’est surtout ce qu’il faut se dire pour être rassuré. Tu sais si ça se trouve, cette personne te suis tous les jours, elle sait où tu habites… Peut-être qu’il s’agit en fait de ta voisine. » dis-je en haussant un sourcil, un léger sourire aux lèvres, essayant de le faire flipper un peu. Les chances pour que ça marche . Je dirai 10 %... c’est déjà pas mal non ? Assez pour lui mettre le doute. « M’ouais… mais dis-moi… pourquoi tu te baignais nu ? » demandai-je en fronçant les sourcils, pas sur que c'est autorisé dans une piscine en plus, pas très hygiénique tout ça. « Ton histoire est vraiment bizarre quand même… » dis-je avec un petit sourire avant de m’intéresser un peu plus à son furet, une rencontre que j’appréhende un peu il faut dire, n’ayant pas vraiment l’habitude de ce genre d’animaux. Je secoue doucement la tête à sa proposition avant de prendre la main du Quincy. « Non non, il n’est pas question qu’il soit enfermé à cause de moi ! Je ne veux pas avoir le rôle de la méchante belle-mère. » dis-je avec un petit sourire « Tu sais… on a qu’à aller le voir maintenant… ça me fera un stress en moins pour la soirée… » répondis-je en attrapant ma lèvre entre mes dents. Je sais que Bon' tient à son furet plus que tout… et il faut que j’apprenne à vivre avec son animal de compagnie, et surtout à ne pas en avoir peur, alors autant chasser de mon esprit l’image de l’animal qui fait pour essayer de le voir comme Bonaventure le voit…comme une adorable boule de poils.

« Arrête, je suis sûr, que tu te déhanches super-bien … et il n’y a pas forcément besoin d’être debout pour retirer des vêtements. » dis-je en continuant de me mordre la lèvre en le regardant, ce dernier m’ayant donné envié d’avoir un strip-tease… ou simplement de le voir se déshabiller devant moi, être la seule spectatrice de ce show privé. « ou alors, on peut très bien dire que c’est toi qui es assis, à me regarder, pendant que c’est moi, qui m’occupe de retirer tous ces morceaux de tissu qui recouvrent mon corps. » dis-je calmement, laissant mon regard se perdre dans le sien, passant doucement ma langue sur mes lèvres. Je suis certaine que ce genre de numéro me permettra de le tenir éveillé, insomnie ou non. « Tu calcules tout . Mais t’es pas obligé d’être comme ça, si tu ne dors pas… c’est pas grave. Je ne tiens pas à ce que tu t’empêches d’être la nuit avec moi, car tu ne dors pas… Je ne dors pas forcément bien non plus la nuit... je fais des cauchemars souvent mais je tiens pas à ce que ce soit un frein pour te voir. » dis-je en haussant les épaules. Nous avons beaucoup de différences, que nous ne pouvons pas forcément surmonter aussi facilement, comme notre peur de parler, mais ce genre de soucis, d’insomnie ou quoi, je ne tiens vraiment pas à ce que Bon' s’empêche d’être avec moi car il a peur de m’empêcher de dormir. C’est ridicule.

« Tu l’as inscrit sur un site de rencontres ? » demandai-je en haussant les sourcils, un léger sourire aux lèvres, trouvant ça… diaboliquement drôle, et ne pouvant m’empêcher de rire en passant mes bras autour du cou de mon petit ami, déposant mes lèvres tendrement sur les siennes. « tu joues les cupidons en plus, ce que tu es romantique. » dis-je en riant, même si ces techniques sont un peu … Malhonnête, espiègle, cela part d’une bonne intention je pense. L’idée de voir sa femme en couple lui permettrait également d’accepter plus facilement la demande de divorce peut-être, et ne pas vouloir continuer de pourrir la vie de Bonaventure. Je hoche doucement la tête lorsque la conversation devient un peu plus sérieuse concernant son boulot de détective. Si lui peut venir quand il le souhaite me voir travailler, c’est loin d’être réciproque, et savoir ce qu’il fait de ses journées est quelque chose que j’estime important selon moi. « Tu fais vraiment comme dans les jeux d’enquêtes que tu m’as passés… c’est certainement plus excitant que de servir des bières ou des cafés. » dis-je avec un petit sourire. Parfois je trouve mon boulot ennuyé, il n’y a pas vraiment d’action au Lord Hobo, et quand il y en a ce ne sont que des bagarres, la violence, tout ce dont j’ai horreur ! « Oui mais tu les libères quand même Bona'. Vivre dans l’espoir, ce n’est pas toujours bon non plus. Il faut savoir faire son deuil je pense. Et s’il te demande de l’aide, même si tu leur apportes une mauvaise nouvelle, tu les aides malgré tout je pense. »dis-je en haussant les épaules, ne voulant pas qu’il dénigre son métier ou qu’il croit qu’il fait du mal à des gens. Non bien au contraire . « je ne sais pas si je vais aller au bout de ma maîtrise. » dis-je en m’écartant un peu de Bonaventure, passant une main dans mes cheveux avant de m’asseoir sur le canapé. « Logiquement, j’en ai encore jusqu’à 2 ans après celle-là mais… je commence à en avoir marre » dis-je en soupirant. Les études, ça n’a jamais vraiment été mon truc, j’ai toujours préféré sécher que de devoir me taper une énième heure de cours… Sans oublier qu’Harvard coûte atrocement cher et j’aimerai pouvoir dire que je suis totalement indépendante, et que je ne dois plus rien à ma mère et son mari. « J’ai jamais été très « scolaire » et avec le boulot à côté…. C’est assez compliqué. »

« Je ne savais pas que tu étais doué pour la cuisine. Je ne savais même pas que ça existait la truite fumée. » dis-je en riant légèrement=. La gastronomie, je ne connais pas vraiment il faut dire, me contentant de manger des pâtes, des steaks ou autre bricole du genre la plupart du temps. « tu comptais garder ce talent encore longtemps ? » dis-je avec un sourire se formant au coin de mes lèvres, hochant doucement la tête à ces dires. « Oui je comprends… je préférerais que tu viennes chez moi, plutôt que de te retrouver à la Quincy mais les immeubles avec ascenseur sont un peu trop cher pour moi. » dis-je avec un petit soupir.
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« Tu regardes trop de films policiers toi » éclate-t-il de rire. « Et puis qui sait, c’est peut-être un psychopathe qui veut me tuer et essaie de découvrir mes habitudes. Si tu n’as plus de nouvelles de moi dans quelques jours, tu pourras aller faire une déposition à la police en leur disant que j’étais surement aux prises d’une harceleuse » s’amusa-t-il à dire. Il n’était franchement pas du genre à sombrer dans la psychose mais c’était bien essayé. « Bah j’allais pas me baigner dans la mer habillé ! Tu n’as jamais pris de bain de minuit toi ? J’avais mal au dos, l’eau était fraiche… c’était la meilleure façon de me soulager… Je ne vois pas ce qu’il y a de bizarre là-dedans. Tu n’as jamais piqué les fringues de quelqu’un ? Quand j’étais adolescent, avec mon meilleur ami, c’était notre délire. Mes parents ont une maison secondaire dans le Colorado et il y a un lac pas loin. L’été, il n’est pas rare que des jeunes viennent s’amuser et faire des bains de minuit. Du coup, on piquait les fringues pour les planquer plus loin et on les regardait hurler » dit-il avec un grand sourire. Jarod lui manquait pour cela car il n’y avait qu’avec lui qu’il pouvait vraiment se lâcher comme ça. « Attends… posons-nous un petit peu et on ira le voir après… Tu n’as pas à stresser. C’est pas un requin que tu vas voir mais une boule de poil qui aura bien plus peur de toi, que toi d’elle » rétorqua-t-il quand elle parla d’aller faire la connaissance de Pikachu tout de suite.

Sincèrement, Mira ne l’avait jamais vu danser sans quoi, elle ne dirait pas ça. « Petit cœur, je sais absolument pas danser en rythme, laisse tomber… par contre, je ne dis pas non à ce que tu m’offres un striptease » rigole-t-il. Bonaventure ne mentait pas, il était très mauvais danseur et avait tendance à avoir deux pieds gauches. Heureusement, il était beaucoup plus doué avec un ballon de basket entre les mains. Enfin c’était pas la question puisqu’ils abordèrent la question de l’insomnie. « Tu fais des cauchemars ? A quel sujet ? » l’interroge-t-il afin d’en apprendre un peu plus sur elle. Il avait envie qu’elle se livre mais il savait déjà qu’elle allait balayer sa question. Il commençait à avoir l’habitude avec Mira : dès que cela touchait un point sensible, elle esquivait pour ne pas répondre. Peut-être se trompait-il, il verrait bien à sa réponse.

« Non j’ai engagé un comédien afin qu’il la détourne de notre mariage et qu’elle signe les papiers plus vite… Pour le coup, tu me prêtes de trop bonnes intentions » répondit-il avec un sourire amusé, pour mieux l’embrasser tendrement, ses bras s’enroulant autour de sa taille pour la rapprocher de lui. Leur conversation se poursuivit, quittant Suzanne pour embrasser leurs carrières et études respectives. « Crois-moi, poireauter devant un motel n’a rien de passionnant. En fait, ça dépend des enquêtes mais la plupart se résume à une vulgaire histoire d’adultère » hausse-t-il des épaules avant de froncer les sourcils. Elle ne voulait pas continuer ses études ?! « Et tu comptes faire quoi ? » lui demande-t-il curieux. Un petit sourire étira ses lèvres quand elle s’étonna de ses talents culinaires. « Qu’est-ce que tu crois, j’ai des talents cachés mademoiselle… Ce serait pas marrant si je ne pouvais plus te surprendre non ? » la taquine-t-il avant de redevenir sérieux. « En parlant de ça… j’ai vu avec mon chirurgien et je vais tenter une dernière opération pour mon dos. Si elle fonctionne, je pourrais remarcher normalement et même reprendre le basket… mais il y a un risque pour qu’elle aggrave mon état et que je me vois à nouveau cloué dans un fauteuil sans possibilité de remarcher. Elle est programmée à mon retour du spring break » lui apprit-il en déposant un baiser léger sur ses lèvres pour mieux se lever et la tirer par la main. « Mais j’ai confiance en ce médecin, c’est le meilleur de la région donc tu n’as pas à t’inquiéter… On va voir Pikachu ? »



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[color=#e8a43f]« une ou un harceleur… Tu sais, je suis certaine que tu peux plaire aux homosexuels également. Ne va pas croire que tu en as l’allure, mais bon j’ai déjà été dragué par une fem . « Bah si mais quand c’est comme ça je me baigne en sous-vêtements, pas toute nue ! » dis-je en riant en secouant la tête. Il ne manquerait plus qu’on me prenne en photo lorsque je sors de l’eau « Pis surtout… un boxer ça peut largement faire office de maillot de bain pour vous ! » dis-je avec un petit sourire avant de l’écouter raconter l’un de ses souvenirs souriant un peu plus. « Disons que j’étais plutôt que je faisais partie des jeunes qui se baignaient en Californie … mais on ne m’a jamais piqué mes fringues… "dis-je avec un sourire amusé. Ce genre de soirée au bord de la plage, avec un bon feu de camp, me manque. La Californie me manque, même si je ne veux pas vraiment le reconnaître.

« Parce que tu crois que je sais danser ? » dis-je en haussant un sourcil, secouant légèrement la tête. L’excuse de la danse n’en est vraiment pas une pour moi. « Autant je suis plutôt adroite lorsque je tiens un plateau en équilibre sur ma main, autant sur une piste de danse, je deviens une vraie catastrophe. » dis-je en levant les yeux au ciel avec un sourire aux lèvres. « un strip-tease de ma part est une possibilité que je n’exclus pas mon chéri. » dis-je avec un nouveau clin d’œil. Après tout, il n’a pas encore eu son cadeau… mais rapidement mon sourire est remplacé par un léger soupir s’échappant de mes lèvres, tandis que je passe une main dans mes cheveux. « Je revois des scènes de ma vie, que je préférerais oublier… mais ils sont beaucoup moins fréquents maintenant. » dis-je avec un haussement d’épaules, ne voulant pas qu’il s’inquiète. Après tout, il y a quelques années ces cauchemars étaient bien réelles, et plus le temps passe, moins ils sont présents dans mon esprit la nuit. J’ai envie de croire que le temps efface les blessures. Je dépose finalement mes lèvres sur les siennes avec tendresse, lui souriant doucement, comme pour clore le sujet. J’accepte de répondre à certaines de ses questions, voulant lui faire confiance tout comme il a eu confiance en moi pour me parler de son addiction aux médicaments… mais qu’il n’en demande pas trop d’un coup.

« T’es sérieux ? » dis-je en affichant une mine assez choquée tout de même, ne m’attendant pas du tout à cela de lui. J’ai vraiment pensé qu’il l’avait inscrite sur un site mais là… je tombe de haut, en effet je lui prête de trop bonne intention. « c’est vraiment nécessaire chat . C’est méchant de jouer avec les sentiments je trouve. » dis-je avec une petite moue. Je n’aime pas sa femme… mais si elle tombe amoureuse de cet homme, elle aussi va tomber de haut, et je ne souhaite pas ça non plus. « Pourquoi on essaie pas ma méthode, que je pensais être la tienne : le site de rencontres ? » dis-je continuant de faire la moue, avant de hausser les épaules face à sa question. « Je sais pas… j’essaie de mettre en place ma propre collection, mais il me faut du temps…" dis-je en soupirant. Dans ce boulot, on ne devient pas créateur du jour au lendemain malheureusement et les diplômes ne prouvent pas grand-chose « enfin il faut que je réfléchisse, ce n’est pas une décision à prendre à la légère… et il faut que je voie avec ma mère surtout. » dis-je en levant les yeux au ciel… ça promet une très longue discussion. Tout comme son dos. Je hausse un sourcil en l’écoutant parler d’une dernière opération : la dernière chance ? « tu es sûr de toi ? tu es prêt à prendre le risque . »demandai-je en me mordant légèrement la lèvre. La peur de le voir clouer dans un fauteuil roulant est présente, je n’ai pas envie de le voir comme ça, sachant très bien que ce serait un enfer pour lui de se retrouver de nouveau avec des roues à la place des jambes. « Mais quoi qu’il se passe… je serai là Bona’. Si tu lui fais confiance…Je lui fais confiance, et je suis avec toi. Si tu as une chance de retrouver toutes tes capacités, je ne vois pas de raison de ne pas essayer » dis-je finalement en attrapant sa main pour me lever avec lui, lui adressant un sourire. « Mais si tu changes d’avis pour le médecin, mon beau-père pourra te conseiller. Il est chirurgien, et je crois qu’il connaît… presque tous les chirurgiens des Etats-Unis. » dis-je avec un petit sourire. Je tiens à ce qu’il sache que je le soutien dans cet aventure… même si j’ai très peur. Tout comme pour voir Pikachu… finalement le fait de rencontrer sa boule de poils me fait beaucoup moins peur à présent. Je souffle doucement tandis qu’on arrive devant sa chambre. « il a pas de griffe hein’ ? »


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« Tu chercherais pas à me faire peur ? Non parce que ça ne marcherait pas petit cœur mais c’est bien tenté. Remarque, tu as raison, je devrais peut-être accepter finalement le garde du corps que mon père s’échine à vouloir que je prenne… Il me proposait une femme, beauté fatale.. Une belle brune aux yeux noisettes » la taquine-t-il pour jouer sur sa jalousie. Il n’avait rien contre les homosexuels étant donné que la plupart de ses amis étaient bisexuel. Bonaventure partait du principe qu’il ne fallait jamais se bloquer dans une sexualité. Qui sait si à l’avenir, il ne pourrait pas virer de bord en voyant un bel homme songea-t-il un brin amusé. Il y avait peu de chance car il aimait bien trop les femmes pour cela mais qui pouvait dire : fontaine, je ne boirai jamais de ton eau ?! « Un bain de minuit, ça se prend nu sinon c’est pas amusant » rétorqua-t-il d’un docte avant de lui dire qu’avec son meilleur ami, il avait plutôt tendance à piquer les fringues des baigneurs pour s’amuser. « Tu n’as pas été baptisé donc… il faudra que tu vives au moins une fois cette mésaventure pour dire que tu as réellement pris un jour, un bain de minuit » rigole-t-il.

Mira était visiblement une aussi bonne danseuse que lui -ça promettait pour le bal de fin d’années. « Oh mais ne l’exclut pas, ce serait dommage que tu me prives d’un si joli spectacle » rétorqua-t-il avec un petit sourire en coin, lui donnant un petit air de séducteur. Néanmoins, leur discussion n’était pas aussi légère qu’elle n’y paraissait car sa petite-amie lui confia qu’elle faisait des cauchemars sur des scènes de sa vie bien qu’elle ne souhaitait pas s’attarder sur les détails. C’était toujours mieux que rien songea-t-il, un peu dépité. Bonaventure commençait à se dire qu’il n’en apprendrait jamais plus et peut-être valait-il mieux qu’il lâche l’affaire. Si Mira ne voulait pas parler de son passé, qu’elle n’en parle pas. Le présent était le plus important après tout, ils pouvaient laisser derrière eux leur passé, quand ils étaient ensemble décida-t-il de cesser de se faire des nœuds au cerveau à propos de sa jolie blonde.

« Je suis sérieux ! » hausse-t-il les épaules au sujet de ce comédien qu’il avait engagé pour détourner Suzanne de leur mariage. « Ta méthode reste aléatoire et surtout trop longue. Je me fiche bien qu’elle retrouve l’amour ou qu’elle soit heureuse Mira. Suzanne joue avec mes nerfs et elle joue également avec ma vie. Au-delà du fait que j’ai envie de ne plus être marié et être réellement libre pour être avec toi… J’en ai assez d’être dans cette mascarade. Elle ne veut pas signer les papiers non pas parce qu’elle amoureuse de moi, elle ne le veut pas car elle veut en tirer le maximum de profit » répondit-il d’un ton froid. « Il faut que tu apprennes une chose sur moi : je peux être très gentil tout comme je peux être le pire des connards quand on me cherche. Elle a voulu jouer la première à ce jeu maintenant, à mon tour d’entrer dans la partie et comme tu le sais : j’ai horreur de perdre » ajouta-t-il. Il se fichait bien de la choquer pour le coup car peut-être était-ce mieux ainsi : qu’elle sache à quoi s’attendre. Le Quincy était adorable avec ses proches mais il pouvait se montrer retord et intraitable quand on se mettait en travers de sa route. Au moins, leur discussion sur les études lui permit de revenir à une humeur plus joyeuse. « Je suis sûr que tu y arriveras petit cœur, tu es faites pour cela » dit-il en portant sa main à ses lèvres pour y déposer un baiser au creux de sa paume. Il avait foi en ses possibilité tout comme il voulait croire en ses chances de rémission.

« J’en ai assez de vivre avec cette canne, de ne pas pouvoir voyager comme avant parce que je dois prendre en compte mon dos. C’est un risque et il est temps que je le prenne. Ne t’inquiète pas, il est très compétent… S’il juge qu’il y a une chance de réussite, je veux y croire. Après, si jamais l’opération devait échouer, je te le dis tout de suite : je ne m’attends pas à ce que tu restes auprès de moi. Etre la petite-amie d’un handicapé, ce n’est pas simple tous les jours et je ne veux pas t’enfermer là-dedans alors tu n’as pas de promesse à me faire… » reprit-il avec douceur car il ne voulait pas qu’elle se force à quoique ce soit. Il préférait ne pas se voiler la face une seconde fois.

Le couple se leva du canapé et Bonaventure la tira par la main jusque dans sa chambre. La décoration était à l’image de ses passions, portée sur les super-héros : des goodies un peu partout, des posters. Une chambre de mec en somme. Au milieu du lit, en boule, dormait son compagnon de route, une petite culotte sous sa gueule. Bon, pas certain que Mira apprécie qu’il ait une culotte d’une autre fille mais c’était une longue histoire. « Si mais il ne va pas te sauter à la gorge » la rassure-t-il en allumant la petite lampe de chevet pour éclairer la pièce. Bonaventure s’allongea sur le lit jusqu’à ce que son visage s’enfouisse contre la boule de poil qui couina légèrement pour montrer son mécontentement d’être réveillé. « Hey buddy… j’ai quelqu’un à te présenter » murmura-t-il en caressant le furet qui s’étira avant de relever la tête vers Mira. A peine l’avait-il vu qu’il tenta de se glisser sous la chemise de son maitre. « Hey n’aie pas peur, elle est toute gentille » rigole-t-il en prenant le furet dans ses bras. « Tu veux le toucher ? »



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« En sachant que tu aimes les films d’horreur, oui je pensais que tu aimerais avoir peur, mais tant pis je trouverai une autre astuce. » dis-je en haussant les épaules, n’étant pas du genre à baisser les bras si facilement, mais ayant bien d’autres atouts dans ma manche, et la jalousie qu’il tente de faire naître en moi n’a pas vraiment d’effet pour le coup. « M’en fiche, tu m’auras pas comme ça… pis les gardes du corps femmes, sont souvent pleines de muscles, ont une mâchoire carrée et rien de sexy… tout le contraire de moi. » dis-je avec un sourire ironique aux lèvres. Non franchement, le fantasme du garde du corps, ça marche si c’est un mec, pas une femme désolée. « très bien, alors la prochaine fois que des amis masculins me demanderont de prendre un bain de minuit, tu ne verras pas d’inconvénient à ce que je me mette nue… et eux aussi. » dis-je en me mordant légèrement la lèvre en le regardant. « Après si l’ami en question est toi … le bain de minuit, risque de durer un peu plus longtemps. » dis-je avec un clin d’œil à son intention avant de rire. « T’as vraiment envie de voir ta petite amie nue, et morte de froid ? »

J’adresse un sourire mystérieux et sexy à Bonaventure. L’idée de lui faire un striptease, tout de même bien présente dans mon esprit. Ayant déjà eu l’occasion de me rendre à plusieurs reprises au Nirvana, je connais quelques mouvements, certes je ne me déhancherais pas aussi bien que ces femmes sur une scène, mais je pense être capable de me débrouiller un minimum sans tomber sur Bonaventure pour autant. J’adresse un fin sourire au jeune homme lorsqu’il ne relance pas la conversation concernant mes cauchemars, l’en remerciant silencieusement ainsi. Je ne suis pas prête… pas encore. Le serai-je un jour ? Je ne sais pas, j’aimerais pouvoir lui en parler, voyant que cela pèse pour lui de ne pas en savoir plus sur moi, mais il faut que je l’accepte moi-même. Le vivre dans des cauchemars est une chose… avouer qu’ils ont bien été réels en est une autre. Par contre je ne peux m’empêcher de hausser les sourcils lorsqu’il m’apprend ce qu’il est en train de tramer autour de son ex, trouvant ça assez… Dégueulasse oui. En tant que romantique, fan de conte de fées, j’ai beaucoup de mal à imaginer cela : qu’une personne est capable de jouer avec des sentiments aussi fort. « Je sais qu’elle n’est pas amoureuse de toi, qu’il faut qu’elle signe les papiers mais… je ne suis pas fan désolé… faire souffrir une personne n’est jamais la solution pour moi ! » dis-je en haussant les épaules. Je veux bien le comprendre, je peux même le comprendre, voulant également être libre de l’aimer, sans avoir l’impression de l’obliger à tromper sa femme. Mais je sais ce qu’est de souffrir, physiquement comme mentalement, et je ne le souhaite tout simplement à personne. « Ne sois juste pas connard avec moi… » dis-je simplement. N’essaie pas de me faire souffrir, d’une quelconque manière. Je ne revivrai pas l’impression d’être inférieure, misérable, même avec quelqu’un que j’aime. C’est peut-être pour cette raison que j’aimerais créer ma collection et réussi à éviter toutes ces étapes du boulot où mon rôle consistera à servir des cafés. Un sourire naquit sur mes lèvres tandis que je croise le regard de Bonaventure. Le soutien qu’il m’apporte m’est vraiment précieux… sans entourage vous encourageant, il est difficile de croire en ses rêves. « Merci, de toute façon, si je réussis… Tu seras le premier à essayer mes collections. » dis-je avec un petit sourire, avant de m’intéresser à un sujet bien plus important pour moi. « Je comprends mon cœur, s’il y a une chance de réussite, que tu puisses retrouver toutes tes facultés, pouvoir réaliser de nouveau tes passions, je ne te freinerais aucunement. Mais ce n’est pas à toi de prendre la décision que je sois avec toi ou non. Je t’aime, et si tu ne veux pas que je te le promettes, je ne le ferais pas mais je ne t’abandonnerais pas. » dis-je doucement, un petit sourire aux lèvres, ayant très envie de croire que cette opération puisse marcher…

Je ne suis pas très à l’aise en rentrant dans la chambre, plongé quelques instants dans le noir. Mon regard se pose sur les murs, la décoration comptant beaucoup pour moi, permettant de cerner la personnalité d’une personne en quelques secondes, et je reconnais rapidement mon petit ami. Ses passions sur les murs, sur les objets qui lui appartiennent, il est clair que cette pièce n’a pas la même allure que le reste de l’appartement. Je pose finalement mon regard sur l’animal, avançant très lentement tandis que Boanventure lui parle. À première vue, en effet il n’a pas l’air effrayant du tout, plutôt effrayé. Je relève mon regard vers Bonaventure qui le tient dans ses mains à présent, m’asseyant à ses côtés sur le lit, tendant la main vers la bête en me mordillant légèrement la lèvre. Je laisse mes doigts à quelques centimètres de Pikachu, comme pour le laisser me renifler, et surtout être sûr que je ne l’effraie pas. « c’est vrai que ce n’est pas la petite bête qui va manger la grosse. » dis-je doucement, un petit sourire aux lèvres avant de finalement m’autoriser à toucher le bébé de Bonaventure, effleurant à peine ses poils, de peur de lui faire mal.


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