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La rencontre qui peu tout changer [Noé]

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Enchantée ? Euh je ne pense pas que c'est le mot qui qualifie l'humeur de Noé en apprenant qu'il va falloir se prévoir un moment ce week end pour terminer..... enfin.... commencer notre devoir.  C'était a moi de lui prouver que ses préjugé envers ma petite personne était complètement fausse.
J'ai l'habitude de travailler seul que se soit pour mes devoir comme au boulot et il est clair que pour ce dernier je devais trouver du renfort si je souhaite un jour grandir.
Ce week end je n'avais rien de prévu, je passerais surement voir ma sœur comme chaque week end et  passer le reste du temps a la salle de sport et au boulot donc lui consacrer un peu de mon temps était tout a fait possible. Lorsqu'elle me dit qu'elle n'aura pas de temps pour moi, me voilà donc déçus et pendant un petit laps de temps je me résous a devoir terminer ce devoir tout seul et d'essayer un minimum de la juger sur le peu que je connaît d'elle.... c'est a dire rien du tout … une mauvaise note surment m'attends et rien que de penser a ça, ça me donne la nausée, Je soupire car j'aime pas l'échec, c'est un qualité que ma mère ma transmis, je suis perfectionniste, blanc c'est blanc et pas gris, du coup je passerais certainement tout mon week end sur ce devoir mais il sera terminée lundi matin 8h c'est certain !!
Puis elle me tend un petit bout de papier, j'étais évasif, je ne savais plus si je devais lui répondre ou non, elle venait de m'envoyer sur les roses … moi rancunier ? ….juste un tout petit peu. Après sa petite explication je m'empare finalement de ce morceau de papier. « merci » j'ai bien cru que ce mot n'aller jamais sortir de ma bouche, mais je suis un garçon bien élevé, la politesse fait partie de mon éducation.  J'allais devoir certainement changer mes plans mais je trouverais une solution pour que l'on puisse se voir quelque heure et puis l'heure ne me pose aucun problème, pour le journal il m'est déjà arrivé de passer des nuit blanche du coup ne pas dormir ou très peu ne me fait pas grand chose. « je t’appellerais …. sans faute …. enfin ...un SMS» elle me croirais certainement pas mais, c'est sûrement sur ce point que je vais la surprendre. Il était temps pour notre professeur d'aborder un autre sujet … les critiques politique journalière de notre nouveau président ,,, j'ai horreur de la politique et pourtant c'est un sujet quotidien dans le monde du journalisme pour le moment j'en parle très rarement dans mon petit magasine. « arfff mon opinion politique n’intéresse personne ,,, »  très vite le prof me regarde et m'interpelle « Cavendish veut prendre la parole visiblement, sachez jeune homme que, l'opinion d'un future « grand journaliste » nous est égale en effet mais si cela peu nous lancer dans un débat passionnant je suis preneur. » Un sadique ? Je crois bien car c'est bien connu sur ce terrain la les avis sont différent et heureusement et donc les querelles, les divergences peuvent poser certain problème si il ne sont pas correctement contrôlées,
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Son « merci » me donne l'impression de lui arracher la bouche. Ça fait vraiment le mec poli, mais qui ne le pense pas vraiment. Bon, il faut dire que je ne suis pas facile, que je ne fais que le renvoyer bouler depuis qu'il s'est assis à côté de moi. Et même si le fait de lui donner mon numéro de portable ne me fait pas plus plaisir que ça, je le fais quand même. Il pourrait me harceler par téléphone, il pourrait faire n'importe quoi, le hacker, je n'en sais RIEN. Mais pour moi, ça veut dire que je lui fais un tout petit peu confiance. En tout cas, c'est un début, un petit pas en avant pour lui montrer que je suis quand même prête à ce qu'on se parle... Au moins un minimum pour écrire un sujet sur lui. Allez Noé, arrête donc te faire ta mauvaise tête et sois un peu plus sympathique. Aller boire un café pour parler de nous deux et essayer de nous connaître mutuellement partait d'un bon sentiment en fait. Je crois que ça fait un moment maintenant que je n'ai pas été boire un verre ou juste un café avec un homme, une éternité même. Déjà parce que je n'ai eu qu'une seule vraie relation, trop passionnelle pour que je puisse même penser à boire un verre avec un autre homme. Et ensuite parce que je préfère ne plus rencontrer d'homme d'un point de vu sentiments. Mais en fait, peut-être que ça me manque un peu. J'allais lui dire qu'en fait, ça me faisait un peu plaisir de le revoir demain, mais le prof nous coupe pour nous parler de Trump. Je me tourne vers mon voisin de table, qui semble ne pas vouloir parler de ses opinions politiques. Le professeur a du l'entendre parler et le coupe pour lui demande son avis. Un sourire en coin, je m'appuie sur la table pour le regarder dans les yeux. « Ah si Cavendish, perso, j'veux bien savoir ce que tu en penses de tout ça. » Clin d’œil. Ce prof est mon idole, il sait toujours comment nous mettre mal à l'aise. Allez, fait ta petite tirade, de toute façon, le cours est bientôt terminé.


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L'heure tourne et voilà que le prof nous parle de politique, comme ci on en entendais pas assez ses dernier temps. J'avais bien évidemment mon opinion mais je refusais d'en parler publiquement car selon moi chacun pense ce qu'il veut. Les parties politiques de chacun peuvent être différent et je ne les jugerais pas car on est libre de penser ce que l'on veut. Puis je fus sacré moi surpris lorsque Noé me parle différemment. En effet, son regard, le son de sa voix avait changé et ceci me donne le sourire car depuis que je me suis assis a ses coté c'est la première fois qu'elle s'intéresse vraiment a ce que je pense. Et pour le coup, on me demande de partager mes opinion politique avec une cinquantaine de personne qui j'en suis sur, pour la plupart, pense différemment.
Sur le moment j'hésite a prendre la parole et regarde Noé dans les yeux puis me lève, regarde droit devant moi et prend ma respiration avant d'ouvrir la bouche. J'étais pas du tout stressé mais je me dis que si je suis trop expressif je vais me faire des ennemis, « Trump a de bonne idée comme de moins bonne. Ce qui m'a marqué c'est qu'il exécute rapidement ce qu'il a promis en campagne, Visiblement il aime signer son nom un peu partout et montrer au caméra qu'il prend plaisir a prendre des décisions qu'il juge utile au bien être des américains. Il n'a aucune expérience en politique et pourtant il est a la tête d'un pays les plus puissant au monde. Doit on avoir peur de l'avenir ou nous nous faisons de fausse idée sur lui ? Je le trouve mystérieux, intelligent, conscient de ce qu'il fait, je pense que c'est un américain comme les autres avec un gros compte en banque, un égaux surdimensionné et qui a surpirs un bon nombre d'américain qui le qualifier de perdant avant même qu'il eu l'idée de se présenter a la tête du pays. » Je m'assoie, assez satisfait de ma prise de parole qui est resté brève, évasive et honnête. Le prof reste de marbre avant de m'applaudir … est il sérieux ou juste un peu moqueur ? Je l’ignore j'ai du mal a le cerner mis a part que c'est un bon prof. Puis histoire de ne pas rester sur ça fin il invite ma voisine a prendre elle aussi la parole. Je ne la quitte pas du regard un instant jusqu'au moment ou celle ci ouvre la bouche.
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J'écoute Cavendish parler, et en fait, je trouve qu'il ne s'en sort pas si mal que ça. Il arrive à parler du nouveau président sans vraiment nous dire ce qu'il en pense réellement. Moi et ma grande bouche, on est plutôt du genre à dire ce que l'on pense. Souvent, je joue l'avocat du diable, j'ai cette tendance a être bonne avocate. Mais si on me demande ce que j'en pense réellement, je peux crier ma haine contre mon client. Là, puisqu'on me demande mon avis, je vais être bien moins évasive que mon voisin. S'il n'a pas l'air d'aimer la politique, je crois que je pourrais me permettre de l'agacer jusqu'à ce qu'il me dise vraiment ce qu'il en pense. Et je crois que s'en suivrait une joute verbale assez importante, mais que je n'ai pas envie de partager avec le reste du monde, ou même avec notre promotion en journalisme. Un petit sourire à mon voisin, et me voici rapidement debout pour prendre la parole. Pas ma parole de journaliste, ma parole de femme, ma parole d'immigrée sur cette belle terre d'accueil qu'est l'Amérique. Je commence par attaquer gentiment mon voisin, comme si la première phrase lui était totalement dédiée. « Un égo sur dimensionné ? C'est certain, rien qu'à sa façon de parler. Et je n'évoque même pas ses paroles envers les femmes. Remettre en cause le droit à l'avortement me paraît déjà énorme. Et cette façon de cracher sur les journalistes pour ensuite leur demander d'être présent pour chaque petites signatures de décret. Je crois qu'il veut nous enfermer entre « bons » américains, avec si peu d'ouverture sur le monde. Être un bon chef d'entreprise ne veut pas dire être un bon président. Mais bon, faire et défaire, c'est toujours travailler dit-on... » Parce que je crois que ce qui m'a le plus marquée, c'est de vouloir toucher aux droits des femmes du monde entier. J'ai tendance à être un peu violente quand on commence à dériver sur le sujet... l'avortement, les violences conjugales et tout ce qui s'en suit. Je finis par m'asseoir, ruminant toute seule mon agacement et griffonnant sur mon calepin. Le prof fait parler d'autres élèves. J'ai réellement hâte que tout cela se termine.


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Me voilà assis de nouveau et regarde ma voisine prendre la parole. Vu d'en bas elle est assez bien foutu faut l'avouer mais attention faut que je reste discret car si elle me vois entrain de la mater, il est sur et certain que je me prend son poing sur la figure. Du coup pour ne pas paraître insistant je détourne le regard et écoute son discourt.
Bon il est sur, elle ne le porte pas dans son cœur notre fameux président. A vrai dire je pense que très peu de femme le vénère. J'affiche alors un sourire lorsque Noé termine et s'installe de nouveau sur son siège. Le prof donne la parole a d'autre élève alors je profite pour chuchoté a ma voisine quelque mot. « j'ai adoré ton intervention ... » Remarque ironique ou sincère ? A vous de deviner. Mais dans ce qu'elle a dit je partage ses dire notamment sur le fait qu'un bon chef d'entreprise n'est pas forcément un bon président. De plus vis a vis des journalistes c'est pareil elle a raison mais dans ce métier on doit s'attendre a tout, être prit pour cible, se prendre tout un tas d'objet ou d'insulte en pleine figure ou le contraire, être bien vu, avoir des exclusivités bref c'est toutes ses petites choses qui me font aimer ce métier car on ne sais jamais ce qui nous attend demain.
« il va falloir que tu apprenne a te canaliser, tu montre trop vite en pression … fait du yoga tu verra ça détend » Du yoga non mais mdr quoi !! Par ce que toi tu en fais peut être Cavendish ? Voilà la réflexion que je vais me prendre … je sais déjà ce qu'elle va me dire c'est pas beau ça ? Cette fille … je sais pas mais elle a vraiment un truc différent des autres et franchement j'aimerais que l'on se revoi, ailleurs qu'ici, pour parler de tout et de rien … Il restait encore quelque minute de cours et je sais pas pourquoi mais j'avais pas trop envie que cela s’arrête. Je n'est pas vu les deux heures passer, un cours passionnant avec une voisine tout autant passionnante que demander de plus.
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Cette discussion m'a énervée. Oui, on ne peut pas dire que notre nouveau président soit vraiment dans mon cœur, et ça se sent à ma façon de parler. Quand je veux, je ne cache rien du tout. Je dessine en appuyant de plus en plus sur la mine. Mon voisin me lance quelques mots. Il a aimé mon intervention ? Allez arrête ton baratin. D'un coup de colère un peu plus vive, je casse la mine de mon crayon de papier en ronchonnant en russe. Même pas une seconde je pense que sa remarque pouvait être positive. J'ai tendance à tout prendre au pied de la lettre quand je suis remontée comme une pendule. Et il enchaîne en me parlant de mon caractère et surtout il me dit qu'il faudrait que je fasse du yoga. C'est une blague Cavendish ? Genre toi, tu fais du yoga ? Enfin, t'as l'air assez calme, plus que moi en tout cas. Et peut-être que t'es assez souple oui, mais en fait, j'veux pas savoir. Merde. J'crois que j'ai des images étranges de lui dans des positions plus ou moins compromettantes qui se dessinent dans ma tête. Je ferme les yeux fermement, essayant de penser à autre chose que cette vision vraiment trop bizarre. Allez, il faut que je pense à un match de hockey, à la glace, aux coups. Et rapidement les matchs importants reviennent à la place du jeune homme. Un peu blasée, de cette histoire de yoga tout ça, je me tourne vers lui et lui fais un doigt d'honneur. Je cours se termine peu de temps après. Je me lève rapidement et attends qu'il se lève pour passer. Je balance mon sac sur mon épaule, en bandoulière. J'attrape sa main vivement pour qu'il se retourne vers moi avant de partir, et lui mettre un petit coup de pression. « 4h tapante Cavendish ! Pas une seconde de plus... mon temps est compté ce week-end. Allez, à tout à l'heure. » Et je pars en direction de la sortie de l'amphi. J'crois que je vais penser un peu à lui au taf, c'est certain, même si ça va m'agacer...


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