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Il ne restait plus que deux petites heures de cours avant le week end. Deux heures de journalisme puis je rentre chez moi. Je me dirige vers l’amphithéâtre, la ou le cours aura lieu, tout en pensant au week end et a ce que je vais bien pouvoir faire. J'ai une vie pas très passionnante en ce moment je ne sort pas beaucoup de chez moi les seul personne avec qui j'ai un contact est ma sœur et ma meilleur amie mais les choses allaient bientôt changer car peu a peu je me reprend en main et me force voir des gens, l faut dire que les nombreuse discutions avec Willa y sont pour quelque chose du coup il faut que je trouve quelque chose a faire ce week end.
J'arrive alors devant l'amphi, les autres élève entre un par un dans la grande salle, je fis de même. Le prof n'était pas encore la, il y avait pas mal de bruit, des commérages, des rires ,,, Du regard je cherche une place libre mais surtout je recherche une jeune femme qui se prénomme Noé. Je ne lui ai jamais parlé mais j'ai déjà pu la remarquer a plusieurs reprise de par son caractère affirmé et ses multiples prise de parole lors des cours que nous avons en commun. Noé est le genre de femme pour qui je pourrais être attiré aussi bien physiquement que moralement, De plus je pense que c'est le genre de fille qui peu plaire a ma sœur même si je sais qu'aucune fille ne lui convienne, au finale je sais qu'elle souhaite que je sois heureux avec une fille qui me corresponde.
C'est en descendant quelque marche que finalement je l'aperçois et par chance le siège a sa droite est libre. Du coup je n'hésite pas un instant et me dirige vers ce fameux siège et m'y installe précipitamment car le prof entre a son tour et prend déjà la parole. Je lance un rapide coup d'oeil vers ma voisine de siège est lui sourie légèrement en la saluant poliment, « salut » ...ok bon c'est un simple salut … c'est un début on va dire.
J'arrive alors devant l'amphi, les autres élève entre un par un dans la grande salle, je fis de même. Le prof n'était pas encore la, il y avait pas mal de bruit, des commérages, des rires ,,, Du regard je cherche une place libre mais surtout je recherche une jeune femme qui se prénomme Noé. Je ne lui ai jamais parlé mais j'ai déjà pu la remarquer a plusieurs reprise de par son caractère affirmé et ses multiples prise de parole lors des cours que nous avons en commun. Noé est le genre de femme pour qui je pourrais être attiré aussi bien physiquement que moralement, De plus je pense que c'est le genre de fille qui peu plaire a ma sœur même si je sais qu'aucune fille ne lui convienne, au finale je sais qu'elle souhaite que je sois heureux avec une fille qui me corresponde.
C'est en descendant quelque marche que finalement je l'aperçois et par chance le siège a sa droite est libre. Du coup je n'hésite pas un instant et me dirige vers ce fameux siège et m'y installe précipitamment car le prof entre a son tour et prend déjà la parole. Je lance un rapide coup d'oeil vers ma voisine de siège est lui sourie légèrement en la saluant poliment, « salut » ...ok bon c'est un simple salut … c'est un début on va dire.
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Je n'arrête pas de penser à ce match important de demain soir. L'équipe compte sur moi, et même si je sais très bien que je peux m'en sortir, jouer au hockey avec une équipe masculine, ce n'est pas toujours simple. Les hommes sont bien plus violents, les hématomes présents sur tout mon corps sont là pour le prouver. D'ailleurs celui à la base de mon cou me fait souffrir aujourd'hui. Je le frôle du bout des doigts et essaye de le cacher sous mon col sans grande réussite. J'ai hâte que ce dernier cours se termine, et heureusement que c'est journalisme avec ce prof toujours très intéressant. Je m'installe dans l’amphithéâtre rapidement et commence à sortir mes affaires quand un jeune homme s'assoit à côté de moi. Un salut lancé à la va vite alors que je tourne à peine la tête vers lui pour l'identifier. C'est une blague ? Nolan Cavendish ? Putain... S'il y avait bien une personne avec qui je n'avais pas envie de passer les deux dernières heures de cours de la semaine, c'est bien lui. Je laisse une long soupire s'échapper d'entre mes lèvres, lasse. Encore un petit Eliot pompeux, trop fils à papa. Ah d'ailleurs, en parlant de Papa Cavendish, dans le passé, son article sur mon père n'a vraiment pas été élogieux. On pouvait remarquer qu'il ne connaît absolument pas mon père. J'ai toujours été dégoûtée par ce genre de presse calomnieuse, juste bonne à cracher son venin sur les autres. Cavendish junior devait sûrement faire parti du même lot, en tout cas, c'est dans le même panier que je l'avais classé. Ma tête se pose sur la paume de ma main alors que je suis du regard le professeur qui descend les marches pour aller à son pupitre. Et sans regarder mon camarade de classe. « T'avais pas d'autres meufs à aller faire chier franchement Cavendish ? » Il a de la chance que ce cours soit intéressant, sinon, je me serais déjà barrée de l'amphi. Allez, deux heures à tenir, c'est quoi dans une vie ?
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Je poursuis donc mon installation en sortant un stylo et un bloc note. On pouvait remarquer aussi la joie immense que Noé affichait sur son visage lorsqu'elle remarque que son voisin et tout autre que...moi ! J'avoue ne pas bien comprendre son mépris qu'elle pouvait ressentir envers moi car il est clair qu'elle ne m'apprécie pas vraiment et ce fut confirmé lorsqu'elle ouvrit la bouche pour me faire remarquer que j'ai pas choisis la bonne place. Bon je me dis alors que j'ai raison sur un point ...Elle a vraiment un sacré caractère. Le cours commence donc. Je ne compte pas changer de place ni lui laisser le dernier mot car j'aimerais vraiment savoir pour qu'elle raison réagit elle ainsi envers moi ?! « Faire chier ? Je ne t'ai encore rien dit, je pense qu'un simple salut ne provoque pas un tels mépris alors soit tu n'aime pas les Eliots, soit tu me juge sans me connaître ce qui revient au même finalement » Un Eliot est un fils ou fille a papa, sans cœur, qui ne vie que pour l'argent et qui n'hésite pas a poignarder dans le dos un obstacle un peu trop envahissant, Du coup inutile de vous dire que les Eliot n'ont pas que des amis. Mais bon moi je suis pas vraiment comme ça, on ne va pas dire non plus que je suis une exception mais je suis pas le genre de personne qui trahi ou qui fait de sale coup pour s'enrichir. Je suis déjà riche, c'est vrai je le montre pas trop, je ne m'en vente pas non plus je reste simple car je sais que dans la vie jamais rien n'est acquis. D’ailleurs ça tombe bien que j'aborde ce sujet la car le prof nous annonce que nous avons une petite heure pour rédiger un article sur notre voisin qui occupe le siège d’à coté. Ceci me fis sourire car je ne l'a connaît pas du tout cette fille et pourtant je dois écrire un article sur elle....c'est pas gagné … « vois les choses du bon coté, toi au moins tu as visiblement un sacré paragraphe a écrire sur moi » … pas comme moi qui ne connaît même pas ton nom de famille …
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Ne pas aimer les Eliots ? Je passe la main sur mon front pour relever une mèche de cheveux. Pas du tout, Noah, Gab, je n'ai absolument rien contre les Eliots, mes meilleurs amis en font parti. Mais là, il est le cliché même, enfin, c'est ce que je pense. En fait, je ne le juge pas que par rapport à la confrérie, mais surtout en lien avec son père. Je ne prends même pas la peine de lui répondre parce que je sais que je vais m'énerver, et ce n'est ni l'endroit, ni le moment. Et la blague continue, comme si le prof pouvait ressentir mon agacement et enfoncer le couteau dans la plaie. Blasée, je me tourne vers lui. « Je pourrais faire une dissertation sur la façon dont ton père a descendu le mien avec son papier de merde. » Mais sur lui en fait, je ne pourrais pas écrire dix lignes. Alors oui, j'ai fait des recherches sur son père quand j'ai lu l'article minable, et ensuite un peu sur lui quand j'ai vu qu'il était à Harvard et que j'allais faire ma mutation. J'aurais tout fait pour l'éviter, jusqu'à aujourd'hui. J'ai envie de lever la main pour demander au prof de changer de place mais je sais déjà ce qu'il va me répondre : Mademoiselle Timchenko, écrire sur l'ennemi est un très bon exercice sur l'impartialité... Ouais grave, et ça ne m'enchante vraiment pas... Du coup, je n'ai pas le choix que d'écrire sur lui, et pour ça, il va bien falloir qu'on parle tous les deux. J'attrape une feuille sur mon calepin et la déchire pour écrire rapidement quelques mots : Fils à papa (c'est bien l'hôpital qui se fiche de la charité, mon père adoptif est tout pour moi), directeur d'une maison d'édition donnée par papa, être dépendant ça fait quoi ? Le travail tu sais ce que c'est ? Sûrement riche à en crever. Assez bon journaliste, mérite sûrement mieux qu'un mag' pour ado, manque d'ambition ? Belle gueule. Sûrement coureur de jupon ?
Les clichés, en écrivant, je me rends compte qu'en fait, je n'ai que ça sur lui. C'est peut-être une façon de l'énerver et qu'il décide de changer de place de lui même ? Et je lui tends le papier en scrutant ses réactions. « Voilà c'que je pense de toi... Il y a sûrement des points où tu vas vouloir me faire changer d'avis... J'suis du genre à aller chercher les infos à la source avant de publier, j'suis pour la vérité moi. » Ouais je sais, j'suis agressive et terriblement rancunière, mais j'ai toujours eu du mal avec ce genre de personnage. Changer d'avis ? Oui peut-être, il va devoir ramer...
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Elle se décide enfin de s'intéresser a moi....euh enfin presque !!! C'est donc ça !!.... La cause de son agressivité verbale a mon égard …..mon père !!! C'est encore une fois, le même refrain, ton père est un misérable petit journaliste qui ne pense qu'a faire du mal au autre. Publier des choses sans fondement c'est sa spécialité … croyez ce que vous voulez en attendant moi je le connait et je sais qu'il a fait des erreurs dans la vie mais aujourd'hui il essai de se reconstruire professionnellement en restant loin de son ancien employeur. En effet, lorsqu'il a publié tout ces « torchons » sur des personnes célèbre et puissante financièrement, il exécuté les ordres de son employeur uniquement mais ça je suis le seul a le savoir et j'en ai la preuve. Je sort de ma poche mon Iphone et affiche une photo d'un papier que j'ai pris en photo et propose a Noé de lire ce texte. Cette photo montre une plainte de mon père envers son employeur qui accuse ce dernier a pratiquer des actions illégale envers ses employées etc etc … bref je n'essai pas de défendre mon père mais je veux juste faire comprendre a la jeune femme que si mon père a pu faire du mal a quelqu'un ce n'était pas voulu. « parfois lorsque tu as peur de perdre ton emplois, qui te rapporte gros, tu es capable du pire, jusqu'au jour ou tu prends conscience que tu ne sais plus vivre avec ça sur la conscience …. » Je ne devais pas payer pour les faux pas de mon père et malgré ça cela devenais régulier que l'on me reproche les « articles » de ce dernier.
Nous avions une heure pour parler de notre voisin et comme je ne l'a connais pas du tout je me contente de mettre deux point d'interrogation sur ma feuille suivi de quelque mot : mystérieuse, forte de caractère, sais ce qu'elle veux, intelligente, rancunière, … suivi de point d'interrogation puis le mot : ravissante, suivit d'un point d'exclamation. Elle me montre ensuite ce qu'elle a écrit sur moi. Je souris puis commente « fils a papa , mon père fait beaucoup pour ses enfants en effet mais il oublie légèrement que son manque de présence pour sa famille ne s'achète pas , certes c'est un cadeau d’anniversaire démesuré mais si j'y mettrais pas les pieds tous les soirs après les cours jusque deux, trois heures du matin je doute que ma modeste société serais encore debout. Le magasine que je publie est entièrement gratuit, il est financé uniquement par les encarts publicitaire qui se trouve a l'intérieur et je t'invite a le lire, tu pourra réaliser que je ne suis pas du tout comme mon père. Je travail 7 a 10 h par jour en plus des cours mais je suis pas a plaindre car j'aime ce que je fais. Riche ? Oui je ne suis pas dans le besoin en effet mais l'argent n'est pas ma priorité première même si je dois avouer que je n'arriverais pas a faire sans. Magasine pour ado « GRATUIT » vaut mieux débuter en bas de l'échelle, j'ai le temps pour ça, je suis jeune je demande qu' a apprendre et a être aidé. Belle gueule ? Ça c'est toi qui le dis, coureur de jupon ? Le physique et l'apparence ne fait pas tout, j'aime plaire en effet mais cela ne veux pas dire que je saute sur tout ce qui bouge. » Je soupire finalement en détournant mon regard car je savais a présent ce qu'elle pense de moi et je me dis que si tout le monde pense comme elle, je comprend mieux pourquoi je me sent si seul ,,,,
Nous avions une heure pour parler de notre voisin et comme je ne l'a connais pas du tout je me contente de mettre deux point d'interrogation sur ma feuille suivi de quelque mot : mystérieuse, forte de caractère, sais ce qu'elle veux, intelligente, rancunière, … suivi de point d'interrogation puis le mot : ravissante, suivit d'un point d'exclamation. Elle me montre ensuite ce qu'elle a écrit sur moi. Je souris puis commente « fils a papa , mon père fait beaucoup pour ses enfants en effet mais il oublie légèrement que son manque de présence pour sa famille ne s'achète pas , certes c'est un cadeau d’anniversaire démesuré mais si j'y mettrais pas les pieds tous les soirs après les cours jusque deux, trois heures du matin je doute que ma modeste société serais encore debout. Le magasine que je publie est entièrement gratuit, il est financé uniquement par les encarts publicitaire qui se trouve a l'intérieur et je t'invite a le lire, tu pourra réaliser que je ne suis pas du tout comme mon père. Je travail 7 a 10 h par jour en plus des cours mais je suis pas a plaindre car j'aime ce que je fais. Riche ? Oui je ne suis pas dans le besoin en effet mais l'argent n'est pas ma priorité première même si je dois avouer que je n'arriverais pas a faire sans. Magasine pour ado « GRATUIT » vaut mieux débuter en bas de l'échelle, j'ai le temps pour ça, je suis jeune je demande qu' a apprendre et a être aidé. Belle gueule ? Ça c'est toi qui le dis, coureur de jupon ? Le physique et l'apparence ne fait pas tout, j'aime plaire en effet mais cela ne veux pas dire que je saute sur tout ce qui bouge. » Je soupire finalement en détournant mon regard car je savais a présent ce qu'elle pense de moi et je me dis que si tout le monde pense comme elle, je comprend mieux pourquoi je me sent si seul ,,,,
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Ouhhh, le dernier Iphone ? Monsieur a les moyens à ce que je vois. En fait, je n'en doutais pas, il me prouve encore une fois que j'ai raison... pour une courte durée. Je lis le texte que je vois apparaître sur l'écran. Une plainte ? Le père Cavendish contre son patron ? Une pression psychologique sûrement. Et l'explication de Cavendish junior ne se fait pas attendre. Est-ce qu'on peut dormir la nuit quand on écrit des choses affreuses sur les autres ? Est-ce qu'on peut se regarder dans un miroir quand on peut briser les gens en publiant des mensonges ? Est-ce que d'ailleurs, on peut prétendre être un bon journaliste ? Je ne sais pas en fait, ça me questionne réellement. Je sais ce qu'est la misère, la vie à l'orphelinat me l'a prouvée mainte et mainte fois. Et mon père adoptif s'est battu pour que je sois toujours honnête avec lui, quoique j'ai pu faire. Alors oui, je comprends que perdre son travail peut faire peur par tout ce que ça engendre. Et il a quand même eu le courage de changer de travail, même si avant cela, il a fait souffrir sûrement beaucoup d'autres hommes. C'était une sorte de survie en fait, mais il a réussi à sortir la tête de l'eau. Je m'enfonce un peu plus dans ma chaise et attrape le papier qu'il me tend. Il n'est pas très curieux pour un journaliste, mais je comprends qu'il n'ait pas voulu entrer dans les histoires de son père en faisant des recherches sur les blessés de guerre suite aux articles du paternel. Les points d'interrogation étirent mes lèvres d'un léger sourire, mais je le perds rapidement dès que je lis : ravissante. Ouais quoi, tu t'es assis prêt de moi pour me draguer en fait ? Je n'ai pas le temps d'en placer une qu'il me fait un long monologue. Je croise les bras sur ma poitrine et l'écoute en mordillant le stylo. Je lève les yeux au ciel : Alléluia ! Il n'est pas toujours d'accord avec son père. Il me parle du paternel, de son magazine dont il a l'air de tenir comme à la prunelle de ses yeux. Je vais pouvoir rajouter travailleur, un peu malgré moi. Il prend sa petite société comme un tremplin pour l'avenir, sûrement pour se faire un nom dans le métier autre que « le fils de ». Peut-être qu'un jour je me laisserai tenter par la lecture de son magazine ? Je pourrai rayer le manque d'ambition et ajouter « tout vient à point a qui sait attendre » ou encore « le travail c'est la santé » En fait, je remarque qu'il est bien plus impliqué dans le journalisme que je le suis, beaucoup plus. Et j'aime voir les gens se battre pour ce qu'ils aiment. Après avoir défendu avec tant de ferveur son entreprise, il en vient à son physique et sa capacité à aimer les femmes. Et là, tout de suite, je le sens beaucoup plus fermé. Je le voyais bien réaliser des concours avec ses potes, de celui qui baisera le plus de nanas dans la soirée, mais apparemment, ce n'est pas son genre. L'habit ne fait pas le moine, j'aurais dû y penser. J'attrape sa liste sur ce qu'il pense de moi et la lis plusieurs fois. En fait, je suis un point d'interrogation, la fille avec le fort caractère qu'on veut bien approcher au risque de se brûler les ailes. C'est un bien court résumé de moi. Je suis pire, réellement pire. Celle qu'il vaut mieux fuir avant que cela ne soit elle qui le fasse. Parce que plus jamais je ne veux souffrir comme dans le passé. Je me rapproche de la table et allonge mon bras gauche dessus avant d'appuyer ma tête dans ma main en lui tendant le papier de l'autre. « Je suis connue en Russie, pour le hockey sur glace. J'suis hautaine et violente, j'ai un caractère de merde et oui, je suis extrêmement rancunière, surtout quand on touche à ceux que j'aime. J'ai un passé qui doit rester dans le passé, rien à signaler. J'ai quitter Moscou cet été pour... » Je me coupe net. Il n'a pas besoin de savoir pourquoi, il n'a pas besoin de connaître mon passé. Je n'aime pas qu'on me prenne en pitié. Je ne sais pas pourquoi je lui raconte tout ça, même si ce sont des choses qu'il pourrait retrouver sur internet. J'aurais pu tout inventer, me trouver une nouvelle vie. Mais je crois que sa sincérité m'a touchée, oui, un peu. Je lui tends ma main droite « Salut, moi c'est Tarja Noé Timchenko. Mais appelle moi Noé. »
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Je comprend mieux pourquoi les gens on du mal avec moi … c'est tellement facile de me juger sur mon apparence, il faut dire que je suis fort pour ça moi aussi mais contrairement a mon père je vérifie mes source et ne publie rien sans être sur a cent pour cent que ces dernières son exacte.
Effectivement je passe énormément de mon temps libre au boulot mais ce n'est absolument pas une corvée loin de la. Par contre il faut que je pense a partager mon travail et apprendre a conpter sur les autre car je ne pourrais pas toujours tout faire moi même. Donc oui un petit magasine pour ado c'est pour le moment le maximum de mes capacité et je n'ai pas peur de le dire. Je ne suis pas ce genre de mec qui vois plus gros que son ventre je connais mes limites.
Puis elle prend, elle aussi la parole et m'indique qu'elle est sportive. Je le suis aussi mais contrairement a elle je ne sais pas tenir debout sur de la glace. Ensuite elle me dit qu'elle a un caractère de merde ceci me fait sourire car j'ai des moment ou mon caractère l'est aussi. Rancunière ? Je le suis aussi par contre moi, je ne pardonne pas. Le passé c'est le passé, on croirait entendre parler ma sœur, Elle a quitté Moscou pour …. biiiiiiiiiiiiiiip ...silence radio, Enfin non elle termine par se présenter et me tend la main. J'attrape sa main dans la mienne « enchanté Noé …. » a mon tour de stopper la parole car ce nom me dit légèrement quelque chose mais je ne sais pas de ou exactement. Comme je suis très curieux je vais trouver ce qu'elle reproche a mon paternelle et je suis prèt aussi a lui prouver que je ne suis pas du tout comme lui. « Donc Noé, tu t'es arrêté a … j'ai quitté Moscou pour ??... » je griffonne quelque mot sur mon papier j'ai besoin de plus de détaille si elle le veut bien du coup je fais marcher ma curiosité ...l'un de mes plus gros défauts
C'est a ce moment la que je fais le rapprochement ...la Russie, Timchenko … mais oui bien sur , un riche homme d'affaire Russe que mon père a du descendre ...une victime parmi t'en d'autre ,,,mais je préfère ne pas m'aventurer sur ce terrain la pour l'instant.
Effectivement je passe énormément de mon temps libre au boulot mais ce n'est absolument pas une corvée loin de la. Par contre il faut que je pense a partager mon travail et apprendre a conpter sur les autre car je ne pourrais pas toujours tout faire moi même. Donc oui un petit magasine pour ado c'est pour le moment le maximum de mes capacité et je n'ai pas peur de le dire. Je ne suis pas ce genre de mec qui vois plus gros que son ventre je connais mes limites.
Puis elle prend, elle aussi la parole et m'indique qu'elle est sportive. Je le suis aussi mais contrairement a elle je ne sais pas tenir debout sur de la glace. Ensuite elle me dit qu'elle a un caractère de merde ceci me fait sourire car j'ai des moment ou mon caractère l'est aussi. Rancunière ? Je le suis aussi par contre moi, je ne pardonne pas. Le passé c'est le passé, on croirait entendre parler ma sœur, Elle a quitté Moscou pour …. biiiiiiiiiiiiiiip ...silence radio, Enfin non elle termine par se présenter et me tend la main. J'attrape sa main dans la mienne « enchanté Noé …. » a mon tour de stopper la parole car ce nom me dit légèrement quelque chose mais je ne sais pas de ou exactement. Comme je suis très curieux je vais trouver ce qu'elle reproche a mon paternelle et je suis prèt aussi a lui prouver que je ne suis pas du tout comme lui. « Donc Noé, tu t'es arrêté a … j'ai quitté Moscou pour ??... » je griffonne quelque mot sur mon papier j'ai besoin de plus de détaille si elle le veut bien du coup je fais marcher ma curiosité ...l'un de mes plus gros défauts
C'est a ce moment la que je fais le rapprochement ...la Russie, Timchenko … mais oui bien sur , un riche homme d'affaire Russe que mon père a du descendre ...une victime parmi t'en d'autre ,,,mais je préfère ne pas m'aventurer sur ce terrain la pour l'instant.
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Mais pourquoi j'ai prononcé le début de cette phrase ? Meuf ! T'es pas en train de parler à un pote là. Tu parles avec le fils de celui qui a descendu ton père ? Celui qui l'a accusé de blanchiment d'argent. Les gendarmes sont venu chez nous, ont fait des perquisitions, même dans ma propre chambre. Ils ont enquêté sur nous pendant des mois pour enfin se rendre compte que mon père n'avait rien à voir avec cette histoire et qu'il avait toujours été droit dans tout ce qu'il a fait. Il y a même eu des histoires avec un réseau de prostitution, des accusations d’attouchements sur moi. C'était la folie en fait, juste de la folie. Et ça a été très difficile à vivre pour nous deux. Mais cette histoire a été bien trop loin. Et me voilà là, avec son fils. Je crois que mon père me tuerait s'il savait ça. Je ne sais pas, j'ai peut-être un peu envie de lui faire confiance. Mais si ça se trouve, il m'a menti sur son père pour me mettre dans sa poche. Et comme ça, je vais lui faire confiance, lui parler de moi, et il va tout balancer au paternel qui écrira sur moi dans son journal. Je déteste ça, me sentir vulnérable. Je n'aime pas parler de ce qui s'est passé avec mon ex, je ne veux pas revivre ça. J'en rêve encore régulièrement, de la violence, des coups, de cet accouchement affreux que j'ai du vivre. Il me serre la main et évidemment, il veut en savoir plus. A ce moment, je ne sais pas si c'est de la curiosité, bonne ou mauvaise. Je me mords la lèvre nerveusement et le regarde dans les yeux, comme pour essayer de cerner le personnage. « Oublie. Il y a une bonne équipe de hockey à Boston, voilà. » Je préfère ne pas dire toute la vérité, ne pas parler du bébé, ne pas parler de Vlad'. RAS. Et puis ça me saoule cette histoire d'article là. Je me frotte le front et repose les yeux sur ma feuille. « Comment j'peux te faire confiance ? J'veux dire, tu peux me raconter n'importe quoi, je peux te raconter n'importe quoi. Et en une heure, comment j'peux vraiment te connaître ?
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Mon père n'a jamais était présent pour nous, sa femme, ses enfants, ont a pas vraiment eu le choix de vivre sans lui. Mais lorsqu'il rentre c'est l'avalanche de cadeaux, de surprise et d'histoire toutes aussi folle les une que les autres. Quand tu es petit tu le vois comme un héros et puis tu comprends très vite que ses cadeaux ne peuvent pas effacer son absence. Ma mère a du arrêter de travailler pour s'occuper de ma sœur et de moi. Il est donc inutile de dire que je suis bien plus proche de ma mère que de mon père. Willa elle, déteste littéralement le paternel, elle n'a jamais était proche de lui et ses cadeaux elle en voulait pas.
J'admire sa carrière et son courage mais ignore ses pratiques peu correcte. Il ment sur beaucoup de chose c'est en gros loin d'être un modèle.
Je ne suis et serais jamais comme lui j'ai était élevé autrement, dans le droit chemin, et je sais qu'il faut bosser dure pour atteindre ses objectifs.
Noé me demande alors d'oublier ce qu'elle a commencer a dire, j'ai tenté d'en savoir un peu plus mais tout de suite elle choisit de couper court a la conversation. « La seul fois ou j'ai mis les pieds c'était pour l’anniversaire d'une copine au collège et j'ai plus passé mon temps assis sur la glace que debout sur les patins du coup, depuis je préfère rester loin d'une patinoire. » Pourtant je suis sportif, j'aime le sport d'équipe mais aussi en solo, j'arrive a me caler une ou deux heures de sport tous les jours, voir tous les deux jours afin de garder la forme et surtout entretenir mon corps car sans exercice physique j'ai tendance a enfler un peu tu vois !!
Puis elle me demande comment peut elle me faire confiance, que l'on peu se raconter n'importe quoi en gros on se trouve face a un événement ou il faut improviser en peu de temps … situation qu'un journaliste sur le terrain rencontre régulièrement ? Je l'ignore, je pratique très peu le terrain je me contente d’être derrière mon ordinateur, « Exacte je peux te raconter n'importe quoi, sauf que ...quel est l’intérêt de le faire ?? … je pense qu'il cherche a ce que nous jugeons de nous même notre voisin sans vraiment le connaître dans les moindre détail … au risque de... inventer certaine chose … » je pose alors mon stylo sur ma table et soupire. « je peux pas faire ça » je passe ma main devant mes yeux car ce genre de pratique je peux pas !! Mon père aurait déjà eu finis, moi j'ai même pas écris deux phrases. C'est alors que le prof prend la parole et nous explique comment si prendre. Après tout on est ici pour apprendre. Ses explications dure plusieurs minutes imagé par des croquis défilant sur un écran projeter pas le vidéoprojecteur. Il termine son explication en nous accordant un délais de quelque jour … en gros on a tout le week end pour rendre un devoir qui tient la route. « j'ai bien peur que tu va devoir me supporter plus que deux petites heures. » je détourne mon regard sur ma gauche en direction de Noé ne quittant plus ses yeux.
J'admire sa carrière et son courage mais ignore ses pratiques peu correcte. Il ment sur beaucoup de chose c'est en gros loin d'être un modèle.
Je ne suis et serais jamais comme lui j'ai était élevé autrement, dans le droit chemin, et je sais qu'il faut bosser dure pour atteindre ses objectifs.
Noé me demande alors d'oublier ce qu'elle a commencer a dire, j'ai tenté d'en savoir un peu plus mais tout de suite elle choisit de couper court a la conversation. « La seul fois ou j'ai mis les pieds c'était pour l’anniversaire d'une copine au collège et j'ai plus passé mon temps assis sur la glace que debout sur les patins du coup, depuis je préfère rester loin d'une patinoire. » Pourtant je suis sportif, j'aime le sport d'équipe mais aussi en solo, j'arrive a me caler une ou deux heures de sport tous les jours, voir tous les deux jours afin de garder la forme et surtout entretenir mon corps car sans exercice physique j'ai tendance a enfler un peu tu vois !!
Puis elle me demande comment peut elle me faire confiance, que l'on peu se raconter n'importe quoi en gros on se trouve face a un événement ou il faut improviser en peu de temps … situation qu'un journaliste sur le terrain rencontre régulièrement ? Je l'ignore, je pratique très peu le terrain je me contente d’être derrière mon ordinateur, « Exacte je peux te raconter n'importe quoi, sauf que ...quel est l’intérêt de le faire ?? … je pense qu'il cherche a ce que nous jugeons de nous même notre voisin sans vraiment le connaître dans les moindre détail … au risque de... inventer certaine chose … » je pose alors mon stylo sur ma table et soupire. « je peux pas faire ça » je passe ma main devant mes yeux car ce genre de pratique je peux pas !! Mon père aurait déjà eu finis, moi j'ai même pas écris deux phrases. C'est alors que le prof prend la parole et nous explique comment si prendre. Après tout on est ici pour apprendre. Ses explications dure plusieurs minutes imagé par des croquis défilant sur un écran projeter pas le vidéoprojecteur. Il termine son explication en nous accordant un délais de quelque jour … en gros on a tout le week end pour rendre un devoir qui tient la route. « j'ai bien peur que tu va devoir me supporter plus que deux petites heures. » je détourne mon regard sur ma gauche en direction de Noé ne quittant plus ses yeux.
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Cet exercice m'agace. Pourquoi j'aurais envie d'écrire sur un mec que je ne connais pas, dont le père a lancé des fausses informations sur le mien ? Moi ce que j'aimerai, c'est qu'on nous lance sur le terrain. Je voudrai être reporter de guerre en fait, et peu de monde est au courant parce que j'essaye de faire en sorte que les autres pensent que je veuille être journaliste sportif. C'est un rêve un peu caché, et seul mon père et mon meilleur ami doivent se douter de quelque chose. J'essaye d'ailleurs de décrocher un stage avec des journalistes pour Médecins sans frontières. Tout ça discrètement pour éviter qu'un éventuel échec ne soit divulgué. Je déteste me montrer faible, je l'ai déjà dit ? Il me parle de ses débuts sur des patins et je lui souris, un peu moqueuse. Pendant un match, c'est certain qu'il ne passerait pas autant de temps assis, parce que ce serait vraiment trop dangereux. J'ai vu tellement de blessures pendant les matchs, des hématomes aux doigts coupés. Et puis, il me donne sa version du cours d'aujourd'hui, sans être totalement convaincu. Il a l'air de galérer autant que moi, car je sais que si j'écris maintenant, ce ne sera certainement pas élogieux, et bourré de préjugés. Faire confiance... C'est un peu le problème de toute ma vie. Si je mets du temps à la donner, je me suis rendu compte que je pouvais quand même me tromper. Surtout en amour. Je suis toujours triste, je me prends toujours la claque de la déception, et ça se termine toujours mal. Et je crois que c'est pour ça que depuis Noah, j'ai décidé de totalement bloquer l'accès à mon cœur. Il était l'erreur, je n'aurais pas du jouer avec lui parce qu'il était certain que j'allais perdre. Et malgré ses actions étranges à mon égard, malgré qu'il perde la tête de temps à autres, je sais qu'il en aime une autre. Je secoue la tête pour faire fuir toutes ses pensées qui m'agacent. Et le prof nous arrête pour un point théorique. Je crois que je me suis frappée le front de la main en apprenant que nous avions tout le week-end pour apprendre à connaître notre voisin. Franchement ? Ça ne m'enchante pas. Je travaille ce soir, demain match, je n'ai pas de temps à lui consacrer. Ni le temps, ni l'envie. Et il ne peut pas s'empêcher de me faire une petite réflexion, son regard maintenant posé sur le mien. Je fais la grimace, vous savez, celle qui ressemble à un sourire trop étiré pour être vrai. Je ne suis pas d'humeur vraiment. « Cavendish, je suis overbookée ce week-end ! » J'attrape mon sac et balance tout dedans avant de déchirer un morceau de papier et de griffonner mon numéro dessus. Je réfléchis cinq minutes avant de lui donner. « J'espère que t'es un oiseau de nuit... Je travaille au People's Republik jusqu'à 4h, on peut se retrouver après. Je te laisse choisir le café où tu veux qu'on se retrouve, un sms et je te rejoins. On fait ça vite fait parce qu'il me faudra mon quota de sommeil avant le match de samedi soir. Ça te tente ? » En fait, je ne lui laisse pas le choix. Travailler seule, je trouve toujours un moment, à deux, c'est plus embêtant. Et hors de question que je l'invite à l'appart' où il va tomber sur mon mather de colocataire.
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