j'suis pas là en pyjama olaf cette fois (jaysaël)

Un jour, j'arriverais à le dire à Oliver, mais je ne sais pas encore comment, et il me faudra une bonne occasion de le dire... J'avais laissé échappée celle de mon retour de chez eux pour lui dire que tout était partit en vrille, alors maintenant, il fallait le bon moment, je me voyais mal lui faire un hey, au fait, je t'ai pas dit, mais mon père est au courant pour nous et il ne veut plus entendre parler de moi. ça ne le ferait clairement pas, surtout qu'il sait à quel point mon père comptait pour moi, parce que je cherchais toujours sa reconnaissance, ses félicitations... Chose qui n'était arrivée qu'une fois ou deux... Dans tout les cas, je peux rien dire à mon copain... Puis je me vois mal le faire, je n'ai pas envie qu'il se sente coupable, alors je dois juste continuer de faire semblant et éviter encore et encore ce sujet...

Soupirant alors que je pousse la porte d'entrée de la Winthrop house, je sursaute en voyant une fille, une brune, qui traîne trop souvent ici. "Tiens, miss Carotte." Lançais-je alors en esquissant un petit sourire. Moi qui pensait pouvoir arrêter de faire semblant en rentrant maintenant à la Wh, c'était mal partit en vue de cette intruse. Alors autant continuer à faire celui qui va bien, parce que la vie est belle, que les oiseaux chantent et blablabla. "Tu es trop tard pour le petit dej et trop tôt pour le souper." Lançais-je alors, un peu plaisantin. Ouais, une conversation légère, ça ne serait pas mal je crois.

"Et pourtant, aujourd'hui, j'aurais été d'accord de la toucher." Plaisantais-je alors.En espérant quand même qu'elle n'allait pas me sortir une carotte de son sac, comme un magicien sortirait un lapin de son chapeau. Mais que je sache, elle n'a pas cette profession, d'ailleurs, je ne sais même pas ce qu'elle fait maintenant. l'année passée elle était aux études, comme elle me l'avait dit, mais était-ce toujours le cas maintenant ? On avait plus réellement eu de longues conversation comme ce soir là tout les deux. Je ris quand elle me parle du goûter. "Ah ouais. Et tu veux manger quoi ? J'sais pas ce qu'on a dans le frigo, mais on peut aller voir comme fouiller les placards si tu veux." Conversation basique, mais tellement agréable pour le coup. Ca fait du bien de parler sans faire attention à ce qu'on dit, ni même à ce qu'on pense réellement, même si je risquerais de montrer à un moment ou un autre que je ne vais pas bien, mais là, pour le moment, ça va, la surprise de la voir ici et de parler de carotte de la sorte, c'est pas plus mal. Je fronce un peu les sourcils à sa question suivante. "Certains on encore du mal à revenir après ce qu'il s'est passé. Comme j'étais pas là ce soir là, moi j'ai pas de soucis, mais il est vrai que je redouterais..." J'hausse un peu les épaules. "Je trouve cela dommage que la Winthrop House devienne un lieu de mauvais souvenir..." Il faudrait que je vois avec Dante pour trouver un moyen de remotiver les rouges à revenir et associé de nouveau et bon souvenir à la maison.

J'arque un sourcil. Allait-elle me faire regretter ce que je venais de dire ? Allait-elle aller le chercher ? pitié dite moi non ! Je la fixe. "Ouais non, je vais pas te laisser franchir cette porte si c'est pour que t'ai le chercher !" Lui lançais-je alors que je me tenais toujours devant la porte d'entrée, en ayant prit soin de la fermée quand même pour ne pas que l'on soit trop refroidit à cause de la température hivernal de dehors.

Lui proposant d'ailleurs à manger je la regarde, plus que surpris par sa réponse. "T'as quel âge rappelle moi ?" Parce que plus je la voyais, plus je me disais qu'en réalité, elle devait être comme Benjamin Button, rajeunir au fil du temps au lieu de vieillir. Ça doit être trop étrange de fréquenter quelqu'un comme ça en réalité. La dévisageant presque à cause de cette pensée, je ne réalise pas que je me montre doublement impoli, en lui demande de 1 son âge et de 2 en la dévisageant de la sorte. Bonjour le gentleman en moi à cet instant. faut croire qu'avoir changé de bord me fait oublier les bonnes manières avec les damoiselles.

Mais soyons un peu plus sérieux, on en vient à parler de la bâtisse et j'hausse un peu les épaules. "Ouais, faudrait qu'on les remotive, on réfléchit à une idée avec Dante, mais on laisse passer un peu les enchères pour pas leur imposé trop d'activités d'affilés, mais ça ne saurait que trop tarder qu'on fasse quelque chose. Si c'est pas qu'entre nous, t'aura qu'à venir, ou alors convaincre Dante de te laisser venir." Plaisantais-je un peu, étant donné qu'il avait déjà réalisé son caprice pour notre soirée Harry Potter en la faisant devenir le vif d'or à sa place.

Je fais mine de réfléchir quelques instants à ce qu'elle vient de me dire. "C'est une bonne idée ça tient ! Tu pourrais ainsi testé le confort de notre nouvelles caves." Plaisantais-je alors, même si au final, ce n'était pas tant un sujet à plaisanterie bien que... là, nous c'était une conversation légère qu'on voulait et elle savait que je n'allais pas lui faire ça.Ou alors, à la limite, pour lui faire peur, je pourrais la porte et l'enfermée dans une pièce quelque seconde, pièce autre que la cave bien entendu. Mais bon, j'avoue ne pas avoir envie de me faire frapper, griffer ou même mordre, je ne sais pas de quoi elle est capable et je me vois mal devoir expliquer une trace de morsure, si jamais elle le fait, à mon copain. Soit. Continuant de rester derrière elle, je pose ma main dans le creux de son dos pour l'inviter à avancer et ainsi aller dans la cuisine pour chercher ses biscuits dinosaure. Et surtout l'éloigner de la porte et de cette idée d'aller chercher son pyjama olaf.

Une fois dans la cuisine, je l'écoute me parler de sa relation avec Dante. "Ouais. Les meilleurs amis absent, je connais un peu trop bien ça. Andrew est très présent dans ma vie." Ironisais-je un peu. Entre Simba qui s'était fait la malle, Andrew qui tentait visiblement à faire la même chose et Tate dont j'avais très peu de nouvelles dernièrement, je me dis que je dois avoir l'art de choisir mes bons amis... Suffit de voir aussi côté fille, le désert d'amies proche, la dernière ayant tout fait foiré dans mon précédent couple... Ouais, je sais pas choisir mes amis en fait. Je soupire à cette pensée avant de m'approcher d'elle et de commencer à fouiller dans les placards avec elle pour l'aider. "T'as pas envie de Schtroumpfs ?" La questionnais-je en sortant le paquet de bonbons bleus pour le lui montrer.

Je ris à sa réponse. "Tu ne sais pas non plus de quoi je suis capable." Dans tout les cas, je passais pour plus crédible qu'elle, en vue de nos tenues respectives. Puis il y avait aussi cette vision de l'homme plus fort que la femme en tout tant, vision assez bien cultivé chez moi à cause de mon père même si j'ai tendance à ne pas la laisser ressortir comme ça, dans tout les cas là, on ne fait que plaisanter et je me vois mal tenir un propos machiste maintenant qui risquerait de froisser la jeune femme en fasse de moi. Je lui souris donc tout simplement avant de nous diriger vers la cuisine et nous parler de nos meilleurs amis respectif. Dante et Andrew. Le comble dans un sens, c'est que je vois plus son meilleur ami à elle qu'elle et inversement. "J'étais même pas au courant vois-tu. Depuis son départ de la Wintrop et ma relation avec Oliver... Surtout ma relation, je pense, on s'est pas mal éloigné." J'avais toujours su qu'il n'aimait pas les gay à cause de son éducation, c'était plus ou moins la même chose pour moi, enfin, moi j'ai jamais été arrêté sur ça, sinon, je ne le serais pas devenu, mais lui... je sais pas... On en avait parlé tout les deux, mais pour moi, ce n'était plus pareil, puis quand il avait rejoint la Eliot House, là aussi, ça avait encore plus creusé le fossé entre nous... Je tourne alors la tête vers elle quand elle me parle d'aller chercher les petits. "Oui, ça ne me dérange pas. Et ça me fera plaisir de les revoir un peu." Par contre, je ne peux m'empêcher de rire quand elle me parle de gens bleus. "Ouais, fin, t'aurais réellement du les manger pas juste les grignoté, comme ça, on aurait eu la paix." Soupirais-je un peu. Parce que les affres de la Eh, j'en ai un peu ma claque, bon pour le moment, ils nous laissent tranquille certes, mais je sais que ça ne va plus être le cas longtemps, enfin, j'en sais rien. Dans tout les cas, on continue de chercher ses biscuits et elle fini par les trouver. Je lui adresse alors un sourire. "Ok pour le séjour." Lançais-je en refermant les portes des placards resté ouvert et gardant les bonbons en mais et attrapant deux canettes de soft dans le frigo en passant devant.