Invité
est en ligne
Invité
feat. NICOLAS SIMOES
avatar SWEET DISASTER
avatar SWEET DISASTER
Nathanael Wilford Steadworthy
Nom SteadworthyPrénom(s) Nathanael WilfordÂge 24 ansDate de naissance 17 février 1992Lieu de naissance LondresStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelClasse sociale RichissimeÉtudes majeuresEconomieÉtudes mineuresSciences politiquesChoix de groupe #1 Eliot HouseChoix de groupe #2Winthrop House
ELIOT HOUSE.
Quand on a un nom comme le mien, c'est difficile de rester dans l'anonymat. Toujours traqué par les paparazzis, sa tête dans les magazines, le nom Steadworthy est le nom qui ressort le plus sur les lèvres londoniennes, et pas que, l'empire de mon paternel s'exporte à l'international, un fardeau malgré moi que je dois porter. Et on ne dit jamais non à un homme comme mon père, quand j'ai été admis à Harvard, j'ai pas eu le choix, c'était la Eliot House qui devait m'ouvrir ses portes et aucune autre confrérie. Je suis après tout l'héritier d'un empire colossal, la fortune des Steadworthy n'est plus à remettre en question, surtout quand elle a été classée huitième plus grosse fortune mondiale dans le Forbes 2012 alors c'est plus que logique de rejoindre la confrérie élitiste d'Harvard avec de pareils critères. L'image du fils à papa hautain et snobinard me suit à la trace, elle est mon ombre depuis presque toujours, j'ai la pression de mon paternel sur le dos, ses menaces si je ne fais pas ce qu'il a décidé ou si pire, je ne fais pas honneur à l'image de notre famille. Je joue un rôle, l'Eliot parfait, un rôle par amour pour ma famille, c'est l'unique raison de cette mascarade, me mettre ma famille à dos, jamais je ne pourrais, c'est bien ma plus grande crainte.
WINTHROP HOUSE.
La Winthrop House, la confrérie des mâles en puissance, exclusive. Si jamais la Eliot House ne m'ouvrait pas ses portes, c'est définitivement ici que j'irais, pour sauver la mise auprès de mon paternel. C'est un homme riche et puissant mais son pouvoir et son argent ne peuvent rien quand à un possible refus d'une confrérie me concernant. Et tout ce que je souhaite c'est de ne pas subir sa colère, rejoindre les murs de la confrérie des Winthrops est ma roue de secours, mon plan b, mon alternative.
Quand on a un nom comme le mien, c'est difficile de rester dans l'anonymat. Toujours traqué par les paparazzis, sa tête dans les magazines, le nom Steadworthy est le nom qui ressort le plus sur les lèvres londoniennes, et pas que, l'empire de mon paternel s'exporte à l'international, un fardeau malgré moi que je dois porter. Et on ne dit jamais non à un homme comme mon père, quand j'ai été admis à Harvard, j'ai pas eu le choix, c'était la Eliot House qui devait m'ouvrir ses portes et aucune autre confrérie. Je suis après tout l'héritier d'un empire colossal, la fortune des Steadworthy n'est plus à remettre en question, surtout quand elle a été classée huitième plus grosse fortune mondiale dans le Forbes 2012 alors c'est plus que logique de rejoindre la confrérie élitiste d'Harvard avec de pareils critères. L'image du fils à papa hautain et snobinard me suit à la trace, elle est mon ombre depuis presque toujours, j'ai la pression de mon paternel sur le dos, ses menaces si je ne fais pas ce qu'il a décidé ou si pire, je ne fais pas honneur à l'image de notre famille. Je joue un rôle, l'Eliot parfait, un rôle par amour pour ma famille, c'est l'unique raison de cette mascarade, me mettre ma famille à dos, jamais je ne pourrais, c'est bien ma plus grande crainte.
WINTHROP HOUSE.
La Winthrop House, la confrérie des mâles en puissance, exclusive. Si jamais la Eliot House ne m'ouvrait pas ses portes, c'est définitivement ici que j'irais, pour sauver la mise auprès de mon paternel. C'est un homme riche et puissant mais son pouvoir et son argent ne peuvent rien quand à un possible refus d'une confrérie me concernant. Et tout ce que je souhaite c'est de ne pas subir sa colère, rejoindre les murs de la confrérie des Winthrops est ma roue de secours, mon plan b, mon alternative.
APRÈS LA BOMBE.
J'étais là, j'étais présent et même après quatre ans je n'oublis pas, je ne peux pas, je continuerai de vivre avec ce drame pour le restant de mes jours. J'étais à la bibliothèque quand les bombes ont explosés successivement, d'une seconde à l'autre je me suis retrouvé propulsé sous une étagère qui est retombée sur moi par le choc de l'explosion, le trou noir, l'incertitude de s'en sortir. J'avais du mal à respirer, parfois quand je repense à cet événement j'ai l'impression d'avoir encore le goût du carbone dans la bouche et c'est une sensation horrible. Je fais partis des miraculés, envoyé à l’hôpital sur un brancard mais ce n'était pas assez, pas pour mon paternel qui m'a fait rapatrier à Londres pour engager les meilleurs spécialistes pour sauver ma vie. Deux semaines dans le coma, quatre mois de rééducation pour retrouver l'usage de mes jambes, et là encore je me sens encore chanceux, les pronostics me concernant n'étaient pas des plus rassurants. Mais à croire que ma volonté de vivre y a été pour quelque chose, bien plus que l'argent de mon père c'est certain. Et une fois de retour à Harvard après une longue absence, j'ai voulu me rendre utile, je ne suis pas dieu, j'ai une pensée pour chaque victime de ce drame mais j'ai donné un chèque d'une somme colossale à l'université pour lui permettre de réparer les dégâts matériels, c'est bien une des seules décisions personnelles que mon paternel à approuvé.
J'étais là, j'étais présent et même après quatre ans je n'oublis pas, je ne peux pas, je continuerai de vivre avec ce drame pour le restant de mes jours. J'étais à la bibliothèque quand les bombes ont explosés successivement, d'une seconde à l'autre je me suis retrouvé propulsé sous une étagère qui est retombée sur moi par le choc de l'explosion, le trou noir, l'incertitude de s'en sortir. J'avais du mal à respirer, parfois quand je repense à cet événement j'ai l'impression d'avoir encore le goût du carbone dans la bouche et c'est une sensation horrible. Je fais partis des miraculés, envoyé à l’hôpital sur un brancard mais ce n'était pas assez, pas pour mon paternel qui m'a fait rapatrier à Londres pour engager les meilleurs spécialistes pour sauver ma vie. Deux semaines dans le coma, quatre mois de rééducation pour retrouver l'usage de mes jambes, et là encore je me sens encore chanceux, les pronostics me concernant n'étaient pas des plus rassurants. Mais à croire que ma volonté de vivre y a été pour quelque chose, bien plus que l'argent de mon père c'est certain. Et une fois de retour à Harvard après une longue absence, j'ai voulu me rendre utile, je ne suis pas dieu, j'ai une pensée pour chaque victime de ce drame mais j'ai donné un chèque d'une somme colossale à l'université pour lui permettre de réparer les dégâts matériels, c'est bien une des seules décisions personnelles que mon paternel à approuvé.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Est-ce un hasard ou une coïncidence que la plus prestigieuse université du monde soit de nouveau ciblée par un acte terroriste un an et demi plus tard ? J'ai des doutes qui persistent toujours et encore dans ma tête. Les agressions qui ont eus lieu dans le courant de la fin d'année 2014 ont fait peur à beaucoup d'entre nous, étudiants, plus particulièrement aux étudiantes, les premières touchées par ces actes d'une grande violence autant physique que psychologique. La peur était si persistante que le doyen et le conseil d'administration ont fermés les confréries, s'en ai suivit des contestations et surtout une manifestation pour rouvrir les maisons et alors que tous pensaient que la situation redevenait calme, que tous ces mois de peur se terminaient, il a fallut le coup de grâce. J'étais à la cafétéria quand j'ai vu cet étudiant sortir son arme, aussitôt des cris, des pleurs, la corde au cou, c'est ce qu'on a tous ressentis, c'est ce que j'ai ressentis, ma vie au bout de ce canon. Des heures d'angoisse où tout peut basculer d'une seconde à l'autre, je me fichais bien de mon costard salit par la poussière du sol, j'en oubliais même le repas que j'étais venu partagé ici, je ne pensais qu'à une chose, avoir la vie sauve et qu'il n'y ait aucune victime. Je m'en suis sortis comme beaucoup d'autres mais malheureusement il y a eu des victimes innocentes qui elles aussi ne voulaient qu'une et unique chose, la vie, Cet événement tout comme l'attentat resteront marqué à vie dans ma mémoire, les deux jours les plus horribles de ma vie.
Est-ce un hasard ou une coïncidence que la plus prestigieuse université du monde soit de nouveau ciblée par un acte terroriste un an et demi plus tard ? J'ai des doutes qui persistent toujours et encore dans ma tête. Les agressions qui ont eus lieu dans le courant de la fin d'année 2014 ont fait peur à beaucoup d'entre nous, étudiants, plus particulièrement aux étudiantes, les premières touchées par ces actes d'une grande violence autant physique que psychologique. La peur était si persistante que le doyen et le conseil d'administration ont fermés les confréries, s'en ai suivit des contestations et surtout une manifestation pour rouvrir les maisons et alors que tous pensaient que la situation redevenait calme, que tous ces mois de peur se terminaient, il a fallut le coup de grâce. J'étais à la cafétéria quand j'ai vu cet étudiant sortir son arme, aussitôt des cris, des pleurs, la corde au cou, c'est ce qu'on a tous ressentis, c'est ce que j'ai ressentis, ma vie au bout de ce canon. Des heures d'angoisse où tout peut basculer d'une seconde à l'autre, je me fichais bien de mon costard salit par la poussière du sol, j'en oubliais même le repas que j'étais venu partagé ici, je ne pensais qu'à une chose, avoir la vie sauve et qu'il n'y ait aucune victime. Je m'en suis sortis comme beaucoup d'autres mais malheureusement il y a eu des victimes innocentes qui elles aussi ne voulaient qu'une et unique chose, la vie, Cet événement tout comme l'attentat resteront marqué à vie dans ma mémoire, les deux jours les plus horribles de ma vie.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle OOKIES. et j'ai 22 ans. Je suis français et j'ai connu le forum dans une galaxie lointaine, très lontaine. Trop attaché malgré moi à ce bébé, 'ai décidé de me ré-é-é-é-é-é-nscrire. J'utilise Nicolas Simoes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par (c) SWEET DISASTER. Je fais environ le céméléon en nombre de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Je suis de retour, comme d'hab. Tendresse et chocolat, j'vous aime putain.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé
Je recense mon avatar ▲
Mot de la fin ? ▲ Je suis de retour, comme d'hab. Tendresse et chocolat, j'vous aime putain.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé
Je recense mon avatar ▲
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7013l]►[/url] ► <span class="pris">NICOLAS SIMOES</span> “ Nathanael W. Steadworthy ”[/size]
(Invité)