Le sexe est une envie, l'amour un besoin. ► Ricardo

Constance le laissa glisser ses mains entre son entre-jambe dont il frôla. Cette dernière était occupée pour poser ses mains sur sa poitrine, le comblant à sa manière. A présent, les deux mains de Ricardo vinrent prendre place sur ses hanches qu’il serra après lui avoir lancé un regard presque machiavélique. Un regard qui voulait surtout dire : tu vas voir toi. Puis sans attendre, ses doigts vinrent rejoindre la partie intime de Constance, pour un va et viens endiablé, afin de se rendre compte de la belle évolution de la marchandise. Une inspiration plus forte dès qu'il termina, la blonde osa une petite caresse sur son cou, puis elle lui répondit avidement au baiser qu’il lui avait offert auparavant.

Ricardo sourit à la jeune femme pour ainsi l'embrasser, et baissa en même temps la température de l'eau. Ricardo laissait ses doigts glissés de toute part sur Constance tandis ce qu’elle en faisait de même, allumant de plus en plus l’impatience du jeune homme qui ne pouvait refreiner son désir de la posséder comme jamais. Ca ne dura pas plus d’une minute pour que la blonde permette à sa virilité de rentrer à l'emprise de son corps afin que d’un unique coup de rein forcé, il la possède avec habilité. N’est pas connu Ricardo pour faire dans la douceur, surtout après une telle provocation sur ses notions pour combler une femme, si bien qu’il instaura son propre rythme alors que ses mains avaient rejoins celles de Constance afin de les serrer au rythme de ses coups de bassin.

Constance prenait autant de plaisir que lui en sachant que ce soir même, tout était possible. C’était encore plus excitant pour Ricardo qui aurait pu paraitre assez brutal dans ses va et viens bien que son expérience permettait à la jeune femme de prendre un pied d’enfer, pour rester poli. Ca se voyait dans les yeux du jeune brun, il voulait qu'elle jouisse. Son corps entier se cambra dans un gémissement divinement indécent. Il semblait prendre un plaisir tout particulier à la rendre dans cet état et d'ailleurs il ne mit pas cent ans avant de passer à la vitesse supérieure dans un puissant coup de rein. Constance gémissait trop fortement, car les coups de rein de Ricardo lui faisait perdre la tête, elle adorait lorsqu'il était un peu brutal. La miss était tellement partie loin dans son plaisir, qu'elle avait du mal à suivre le cours des choses, elle avait l'impression qu'il était partout, en elle, sur elle, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses lèvres. Partout...

Quand Ricardo commençait, on ne pouvait pas l'arrêter ni même Constance, qui valsait au rythme de ses coups de rein. Il la tourna pour la plaquer à nouveau contre le mur, en l'embrassant avec fougue. Cependant, elle ne comptait pas se laisser faire tranquillement, alors d'un coup de bassin habile la blonde retourna la situation, en le mettant à son tour contre le mur, un petit air fier collé sur son joli minois. Constance lui lança un regard désireux au possible, d'ailleurs impossible de lire autre chose dans son regard à cet instant. La miss ne lâcha pas son regard tandis qu'elle vaciller de droite à gauche. « J'ai bien fait de faire du cheerleading, tu ne crois pas ? » s'obligea-t-elle à répliquer.

Ricardo dominait bel et bien Constance, dans les deux sens du terme. Aux derniers mots de la belle, le jeune brun lui sourit et ajouta : « Car ça t'as permis de me rencontrer ou car tu es plus souple grâce à ça ? » La blonde explosa de rire, tout en gardant son souffle pour la suite. « Les deux. » Soudain aux nouveaux coups de bassin de Ricardo, l'extase l'emporta de nouveau et elle lâcha un « Ric... » très gémissant au creux de son cou. Puis se replaça près du mur, pour que ce dernier prenne une position plus adaptée pour lui faire l'amour. Le souffle de la miss se faisait erratique et son ventre collant sa transpiration se soulevait en rythme. Constance n'avait aucune idée du temps que ça prendrait encore, mais elle adorait ça. Il instaura quelques coups plus violents dans son va et viens. Ce qui avait fait gémir plus fortement la jeune femme, laissant son corps retomber sur le sien. « Doucement. » murmura-t-elle à son oreille, il allait de plus en plus vite, bien trop vite au goût de la blonde.