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feat. Alicia Vikander
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Esmeralda Preston
Nom Preston, le nom de ton défunt mari. Certains te demandent parfois pourquoi tu le gardes, tu réponds que tu es veuve, pas divorcée.Prénom(s) Esmeralda, un prénom qui ne laisse pas vraiment le doute quant à tes origines gitanes, tu l’as toujours porté fièrement, surtout après, ou malgré, la sortie du Disney Le Bossu de Notre-Dame qui a remis au goût du jour le roman Notre-Dame de Paris de Victor Hugo et son personnage de la gitane. Tu n’as peut-être pas ses yeux d’émeraude ou sa foisonnante chevelure d’ébène, mais comme elle, tu ne manques pas de caractères. Anya, ton second prénom, t’as attiré quelques moqueries après la sortie d’un autre dessin animé, pas de Disney cette fois-ci, puisque c’était le surnom de l’héroïne. Encore une autre femme forte, mais qui a su s’élever malgré l’adversité. Toi tu as plutôt l’air de suivre le même destin tragique que la première…Âge Tu as fêté tes vingt-six ans l’été dernier, néanmoins tu as la chance que les ans et les épreuves n’aient pas trop marqués ton corps, pour l’instant en tout cas. Date de naissance Tu es née le vingt-deux juillet dix-neuf cent quatre-vingt-dix en plein été, dans une chaleur étouffante.Lieu de naissance Comme si être née en plein mois de juillet ne suffisait pas, tu as poussé ton premier cri en Catalogne dans un petit village non loin de Barcelone.Statut amoureux Depuis le dix-sept janvier deux mille quinze tu es veuve, cela fait deux ans à présent, mais la douleur est toujours là, emplissant l’immense vide que sa mort a créé dans ton cœur.Orientation sexuelle Tu n’aimais que lui, Travis. Aujourd’hui ton cœur est mort.Classe sociale On ne peut pas dire que tu aies passé ta vie à rouler sur l’or, mais vous n’aviez pas besoin d’argent pour être heureux dans ta jeunesse. Après ton mariage avec Travis tu t’es un peu élevée dans l’échelle sociale, grâce à ton époux et à sa famille, sans pour autant faire partie de la haute société. Mais ce statut vous convenait à tous les deux, vous étiez heureux ensemble et c’est tout ce qui vous importait. Aujourd’hui tu es toujours dans la classe sociale moyenne grâce à ton travail mais aussi grâce à ce que tu as touché à la mort de ton mari entre ce qu’il t’a légué et le montant de l’assurance décès. Tu serais prête à rendre tout cet argent et plus encore si cela te ramenait Travis.Job Tu es assistante professeure d’informatique à Harvard afin d’obtenir ton doctorat.Depuis combien de temps ? C’est, techniquement, ta troisième année, bien que tes deux années précédentes n’aient pas été suivies dans leur entièreté, mais tu y reviendras plus tard.Choix de groupe Citizens
Avez-vous étudié à Harvard ?
Très vite tu as montré un intérêt pour les ordinateurs et tout ce qui s’y rapportait. Mais avec la vie que vous meniez ta famille et toi, on ne peut pas dire que les choses aient été simple pour suivre cette voie. Tu as surtout appris en homeschool et de manière un peu autodidacte, tu as eu toujours un esprit curieux, maniaque, critique et tu cherchais toujours à comprendre ce qui t’échappait. Quand arrivèrent les années collèges, tes parents t’envoyèrent au collège, comme ils l’avaient pour ta sœur aînée et le ferait ensuite pour ton petit frère. Cependant suivre une scolarité quand on changeait autant d’établissement ce n’était pas vraiment évident, pourtant tu as réussi. Tu as ensuite fait le choix de t’émanciper pour suivre une scolarité plus « classique » pour le lycée, un choix pour lequel ta famille t’a toujours soutenue, essayant de venir te voir aussi souvent que possible. C’est là que tu as réellement commencé à t’épanouir dans ton domaine. Ayant toujours eu des envies de voyages –gitane un jour, gitane toujours– d’abord en restant en Europe tu choisis de faire le lycée à Londres, tu voulais tout savoir sur l’informatique, encore plus que ce que tu découvrais parfois par hasard. C’est pendant cette année que tu as rencontré celui qui allait devenir ton mari et il a littéralement changé ta vie. Tu n’as pas abandonné l’informatique, bien loin de là, mais plutôt que de viser des postes mettant en avant tes talents avec un ordinateur, tu t’es découvert un goût pour le partage, tu souhaitais faire part de tes connaissances, transmettre un héritage. Laisser une marque dans ce monde. Tu as passé six années à Londres, y faisant tout ton lycée ainsi que tes trois années de licence dans le professorat, avant que ton mari et toi ne décidiez de partir pour les Etats-Unis. Un peu sur un coup de tête, tu dois bien l’admettre, mais tu avais toujours rêvé de voyages, et lui d’y vivre. Alors vous n’avez pas vraiment hésité. Vous êtes partis sans le moindre regret et avec beaucoup d’excitation pour cette aventure qui s’ouvrait à vous. Il se voyait déjà arrêtant tous les malfrats qui croiseraient son chemin et toi, enseignant dans une des universités de l’IVY League. Vos pas vous menèrent tout d’abord à Rhodes Island, à Providence plus précisément. Votre première année là-bas fut une année sabbatique pour toi, ce qui permit à Travis de se consacrer à son travail et toi à vous installer tout en cherchant la meilleure école pour poursuivre tes études. C’est donc tout naturellement que tu as choisi une université de l’IVY League, Brown à Providence, pour faire tes deux années de master. Avant que ton mari ne soit muté à Boston après janvier 2013, il s’y est installé en premier avant que tu ne le rejoignes à l’été. D’une IVY League à l’autre il n’y avait qu’un pas. Ayant fini ton master tu as simplement fait une demande pour faire ton doctorat dans une sorte d’alternance en assistanat d’un professeur d’informatique. Au vue de tes excellents résultats à Brown et les circonstances qui ont entrainé ton changement d’université, ton inscription à Harvard a été facilité par l’équipe administrative de l’université de Brown.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Si tu as choisi d’apprendre dans une IVY League c’est avant tout pour leur réputation, tu ne vas pas te mentir. Votre premier emménagement à Providence n’a pas été un hasard, même si tu n’avais pas encore vraiment regardé les programmes des universités, vous vouliez une ville comportant une université qui faisait partie de l’IVY League, au cas où… Evidemment votre second déménagement, vous ne l’avez pas exactement choisi, mais par chance, il y avait également une IVY League. Harvard fut le choix évident quand vous avez dû venir à Boston, ton transfert ayant été facilité entre les deux universités. Cela dit les deux premières années ont été un peu compliquée pour toi, raison pour laquelle cette année au lieu d’avoir fini tes études et de chercher un poste de professeure tu as seulement entamé ta seconde année pour ton doctorat.
Comme mentionné précédemment, si tu t’es tournée vers l’enseignement c’est en grande partie grâce à la rencontre de Travis lors de ton emménagement à Londres. C’est grâce à lui que tu t’es rendue compte que tu voulais faire plus pour les autres, laisser ton empreinte en aidant les formant les générations futures. C’est à son contact aussi que tu t’es rendu compte que tu aimais parler de ta passion et la partager, avant tu ne pouvais pas en parler avec ta famille qui n’y comprenait absolument rien. Tu avais tes camarades de cours, mais ils en savaient tous plus ou moins autant que toi, ce n’était pas spécialement intéressant, alors qu’avec lui, il s’y connaissait un peu, mais comme tout un chacun, sans plus. Lui expliquer, lui apprendre, c’est ce qui t’a fait comprendre que tu aimais ça et qui t’a décidé à en faire ton métier.
Très vite tu as montré un intérêt pour les ordinateurs et tout ce qui s’y rapportait. Mais avec la vie que vous meniez ta famille et toi, on ne peut pas dire que les choses aient été simple pour suivre cette voie. Tu as surtout appris en homeschool et de manière un peu autodidacte, tu as eu toujours un esprit curieux, maniaque, critique et tu cherchais toujours à comprendre ce qui t’échappait. Quand arrivèrent les années collèges, tes parents t’envoyèrent au collège, comme ils l’avaient pour ta sœur aînée et le ferait ensuite pour ton petit frère. Cependant suivre une scolarité quand on changeait autant d’établissement ce n’était pas vraiment évident, pourtant tu as réussi. Tu as ensuite fait le choix de t’émanciper pour suivre une scolarité plus « classique » pour le lycée, un choix pour lequel ta famille t’a toujours soutenue, essayant de venir te voir aussi souvent que possible. C’est là que tu as réellement commencé à t’épanouir dans ton domaine. Ayant toujours eu des envies de voyages –gitane un jour, gitane toujours– d’abord en restant en Europe tu choisis de faire le lycée à Londres, tu voulais tout savoir sur l’informatique, encore plus que ce que tu découvrais parfois par hasard. C’est pendant cette année que tu as rencontré celui qui allait devenir ton mari et il a littéralement changé ta vie. Tu n’as pas abandonné l’informatique, bien loin de là, mais plutôt que de viser des postes mettant en avant tes talents avec un ordinateur, tu t’es découvert un goût pour le partage, tu souhaitais faire part de tes connaissances, transmettre un héritage. Laisser une marque dans ce monde. Tu as passé six années à Londres, y faisant tout ton lycée ainsi que tes trois années de licence dans le professorat, avant que ton mari et toi ne décidiez de partir pour les Etats-Unis. Un peu sur un coup de tête, tu dois bien l’admettre, mais tu avais toujours rêvé de voyages, et lui d’y vivre. Alors vous n’avez pas vraiment hésité. Vous êtes partis sans le moindre regret et avec beaucoup d’excitation pour cette aventure qui s’ouvrait à vous. Il se voyait déjà arrêtant tous les malfrats qui croiseraient son chemin et toi, enseignant dans une des universités de l’IVY League. Vos pas vous menèrent tout d’abord à Rhodes Island, à Providence plus précisément. Votre première année là-bas fut une année sabbatique pour toi, ce qui permit à Travis de se consacrer à son travail et toi à vous installer tout en cherchant la meilleure école pour poursuivre tes études. C’est donc tout naturellement que tu as choisi une université de l’IVY League, Brown à Providence, pour faire tes deux années de master. Avant que ton mari ne soit muté à Boston après janvier 2013, il s’y est installé en premier avant que tu ne le rejoignes à l’été. D’une IVY League à l’autre il n’y avait qu’un pas. Ayant fini ton master tu as simplement fait une demande pour faire ton doctorat dans une sorte d’alternance en assistanat d’un professeur d’informatique. Au vue de tes excellents résultats à Brown et les circonstances qui ont entrainé ton changement d’université, ton inscription à Harvard a été facilité par l’équipe administrative de l’université de Brown.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Si tu as choisi d’apprendre dans une IVY League c’est avant tout pour leur réputation, tu ne vas pas te mentir. Votre premier emménagement à Providence n’a pas été un hasard, même si tu n’avais pas encore vraiment regardé les programmes des universités, vous vouliez une ville comportant une université qui faisait partie de l’IVY League, au cas où… Evidemment votre second déménagement, vous ne l’avez pas exactement choisi, mais par chance, il y avait également une IVY League. Harvard fut le choix évident quand vous avez dû venir à Boston, ton transfert ayant été facilité entre les deux universités. Cela dit les deux premières années ont été un peu compliquée pour toi, raison pour laquelle cette année au lieu d’avoir fini tes études et de chercher un poste de professeure tu as seulement entamé ta seconde année pour ton doctorat.
Comme mentionné précédemment, si tu t’es tournée vers l’enseignement c’est en grande partie grâce à la rencontre de Travis lors de ton emménagement à Londres. C’est grâce à lui que tu t’es rendue compte que tu voulais faire plus pour les autres, laisser ton empreinte en aidant les formant les générations futures. C’est à son contact aussi que tu t’es rendu compte que tu aimais parler de ta passion et la partager, avant tu ne pouvais pas en parler avec ta famille qui n’y comprenait absolument rien. Tu avais tes camarades de cours, mais ils en savaient tous plus ou moins autant que toi, ce n’était pas spécialement intéressant, alors qu’avec lui, il s’y connaissait un peu, mais comme tout un chacun, sans plus. Lui expliquer, lui apprendre, c’est ce qui t’a fait comprendre que tu aimais ça et qui t’a décidé à en faire ton métier.
APRÈS LA BOMBE.
Vous n’étiez pas à Boston lors de cet événement tragique, mais vous en avez entendu parler, toi d’autant plus que les rumeurs allaient vite d’une IVY League à l’autre. Tu dois bien admettre que quand tu as appris que Travis y était muté –à cause de ce foutu incident d’ailleurs– tu n’étais pas spécialement ravie. Tu souhaitais aider et tu étais fière de son métier, mais savoir que vous alliez vivre dans cette ville, que tu allais finir tes études dans l’université même où la bombe avait explosé t’angoissait légèrement –le contraire aurait d’ailleurs été inquiétant. D’autant plus que vous aviez commencé à parler de fonder une famille, la violence de cet événement dont vous aviez suivi les informations à la télévision n’avait rien pour te conforter dans cette idée. Bien sûr c’était sans compter sur lui et sa capacité à te rassurer, si vous étiez ensemble rien de mal ne pourrait vous arriver. Comme il avait tort…
Vous n’étiez pas à Boston lors de cet événement tragique, mais vous en avez entendu parler, toi d’autant plus que les rumeurs allaient vite d’une IVY League à l’autre. Tu dois bien admettre que quand tu as appris que Travis y était muté –à cause de ce foutu incident d’ailleurs– tu n’étais pas spécialement ravie. Tu souhaitais aider et tu étais fière de son métier, mais savoir que vous alliez vivre dans cette ville, que tu allais finir tes études dans l’université même où la bombe avait explosé t’angoissait légèrement –le contraire aurait d’ailleurs été inquiétant. D’autant plus que vous aviez commencé à parler de fonder une famille, la violence de cet événement dont vous aviez suivi les informations à la télévision n’avait rien pour te conforter dans cette idée. Bien sûr c’était sans compter sur lui et sa capacité à te rassurer, si vous étiez ensemble rien de mal ne pourrait vous arriver. Comme il avait tort…
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Tu te souviendras le restant de tes jours de cette sombre période. Les choses étaient difficiles à l’université, l’ambiance était tendue, tout le monde se méfiait de tout le monde, ton mari t’avait acheté un taser et une bombe au poivre dont tu ne te séparais jamais et tu avais également toujours un couteau papillon que tu avais depuis des années mais qui n’avait toujours été qu’un souvenir de famille jusque-là. La situation n’a fait qu’empirer, ton époux était stressé, étant policier il était sur l’enquête avec ses collègues, faisait des heures supplémentaires pour tenter d’assurer la sécurité des étudiants. Jusqu’à ce jour tragique.
Tu n’avais pas cours ce jour-là, une chance diront certains, mais pas pour toi. Tu aurais aimé être là, tu aurais voulu être présente le jour où ton mari a perdu la vie. « Une balle perdue. » voilà ce qu’on t’a dit. « Mort en service », « Mort avec honneur », « Mort dans l’exercice de ses fonctions », « Mort en protégeant des innocents », ils pouvaient bien rajouter ce qu’ils voulaient derrière, le résultat était le même, il n’était plus, tu te retrouvais seule face à ta douleur. Tu oscillais entre douleur et rage. Certains jours tu étais prostrée chez vous, dans votre chambre, dans votre lit où s’est attardé quelques jours son odeur, maintenant cette illusion dans laquelle tu t’étais enfermée, t’imaginant qu’il allait bientôt passer le seuil de votre porte, venant t’embrasser comme il le faisait chaque jour. Mais il n’arrivait jamais. Puis il y avait les autres jours, ils étaient moins nombreux en comparaison, où tu envoyais tout en l’air, déchaînant ta rage sans retenu. Ces jours-là tu aurais été capable de tout et surtout du pire, tu en voulais au monde entier de t’avoir enlevé le seul être qui avait donné un sens à ta vie et qui t’avait permis de survivre à ce que vous aviez vécu courant janvier deux mille quatorze.
Si ta colère s’est un peu apaisée, la douleur, elle, est toujours bien vivace. Si tu as repris les cours un an plus tard, entamant cette année ta deuxième année de doctorat, revenir à Harvard fut une épreuve difficile, mais le contact avec les élèves et le soutient de quelques-uns ainsi que de certains dans le corps enseignant ont eu un effet bénéfique sur toi. C’est grâce à eux si tu as fait la paix avec toi-même, cessant de culpabiliser pour quelque chose sur lequel tu n’avais eu aucun contrôle, et tu as pris sur toi de pardonner aux autres, bien sûr, mais aussi et surtout à toi-même. Ta psychologue t’affirme que c’est une grande étape que tu as franchi, que tu as fait le plus dur, tu aimerais la croire, mais une part de toi en doute fortement au vue de la douleur qui t’arrache le cœur.
Tu te souviendras le restant de tes jours de cette sombre période. Les choses étaient difficiles à l’université, l’ambiance était tendue, tout le monde se méfiait de tout le monde, ton mari t’avait acheté un taser et une bombe au poivre dont tu ne te séparais jamais et tu avais également toujours un couteau papillon que tu avais depuis des années mais qui n’avait toujours été qu’un souvenir de famille jusque-là. La situation n’a fait qu’empirer, ton époux était stressé, étant policier il était sur l’enquête avec ses collègues, faisait des heures supplémentaires pour tenter d’assurer la sécurité des étudiants. Jusqu’à ce jour tragique.
Tu n’avais pas cours ce jour-là, une chance diront certains, mais pas pour toi. Tu aurais aimé être là, tu aurais voulu être présente le jour où ton mari a perdu la vie. « Une balle perdue. » voilà ce qu’on t’a dit. « Mort en service », « Mort avec honneur », « Mort dans l’exercice de ses fonctions », « Mort en protégeant des innocents », ils pouvaient bien rajouter ce qu’ils voulaient derrière, le résultat était le même, il n’était plus, tu te retrouvais seule face à ta douleur. Tu oscillais entre douleur et rage. Certains jours tu étais prostrée chez vous, dans votre chambre, dans votre lit où s’est attardé quelques jours son odeur, maintenant cette illusion dans laquelle tu t’étais enfermée, t’imaginant qu’il allait bientôt passer le seuil de votre porte, venant t’embrasser comme il le faisait chaque jour. Mais il n’arrivait jamais. Puis il y avait les autres jours, ils étaient moins nombreux en comparaison, où tu envoyais tout en l’air, déchaînant ta rage sans retenu. Ces jours-là tu aurais été capable de tout et surtout du pire, tu en voulais au monde entier de t’avoir enlevé le seul être qui avait donné un sens à ta vie et qui t’avait permis de survivre à ce que vous aviez vécu courant janvier deux mille quatorze.
Si ta colère s’est un peu apaisée, la douleur, elle, est toujours bien vivace. Si tu as repris les cours un an plus tard, entamant cette année ta deuxième année de doctorat, revenir à Harvard fut une épreuve difficile, mais le contact avec les élèves et le soutient de quelques-uns ainsi que de certains dans le corps enseignant ont eu un effet bénéfique sur toi. C’est grâce à eux si tu as fait la paix avec toi-même, cessant de culpabiliser pour quelque chose sur lequel tu n’avais eu aucun contrôle, et tu as pris sur toi de pardonner aux autres, bien sûr, mais aussi et surtout à toi-même. Ta psychologue t’affirme que c’est une grande étape que tu as franchi, que tu as fait le plus dur, tu aimerais la croire, mais une part de toi en doute fortement au vue de la douleur qui t’arrache le cœur.
ANECDOTES
Tu ne peux pas te passer de thé, tu bois aussi du café et tu dois bien admettre que tu ne refuses jamais un bon chocolat chaud, mais le thé, c’est sacré. Une bonne journée ne peut commencer qu’après une bonne tasse de thé. Même en plein été. Même s’il fait cinquante degrés. ▲ Tu n’as jamais fumé une cigarette de ta vie et tu ne comptes pas t’y mettre un jour. ▲ Tu n’as jamais touché à la drogue non plus, à moins de considérer le chocolat comme une drogue… si oui, alors tu es complètement accroc. ▲ Cela va paraître sans doute cliché mais tu sais lire l’avenir dans les lignes de la main, dans le tarot et parfois dans les feuilles de thé. Par contre oubliez les boules de cristal et autres conneries de ce genre, tu fais de la divination « à l’ancienne ». ▲ Tu as eu quelques aventures avant de rencontrer celui qui allait devenir ton feu mari, mais jamais rien de sérieux, des amours d’adolescente en somme. Depuis sa mort, le néant, tu n’as toujours pas surmonté ton deuil, tu n’es plus en colère, tu n’en veux plus au monde entier, mais la douleur est encore bien présente. ▲ Tu as rencontré ton mari à dix-sept ans, vous vous êtes mariés quatre ans plus tard, il est mort l’année dernière. Il était ton premier, ton unique grand amour et tu sais qu’il le restera éternellement. ▲ Le test MBTI a révélé que tu étais ENFP autrement dit : enthousiaste, imaginative, énergique, créative, chaleureuse, orientée vers l'avenir, individualiste, perspicace, attentionnée, optimiste, concentrée sur les possibilités, ouverte, toujours à la recherche de nouveautés, spontanée et espiègle. Même si certains traits de caractères sont moins visibles depuis deux ans, tu peux difficilement contredire ce résultat. ▲ Tu as déjà hacké plusieurs sites gouvernementaux de divers pays, tu ne citeras pas de nom, on ne sait jamais qui nous espionne. Depuis tu es d’ailleurs devenue quelque peu paranoïaque, mais tu te soignes. ▲ Est-il besoin de préciser que, du coup, tu n’es pas trop branchée réseaux sociaux ? Oui ? Ah. Eh bien tu n’es pas très branchée réseaux sociaux, la montagne d’informations que ces petits malins en retire est effarante. ▲ Tu parles couramment trois « dialectes » espagnols, bien que tu détestes ce terme : le castillan –ce que le reste du monde appelle vulgairement l’espagnol ; le catalan –majoritairement parlé en Catalogne, là où tu es née ; et le caló –appelé aussi le Romani espagnol, autrement dit le parlé tsigane. Tu parles également très bien anglais –en ayant vécu six années à Londres il parait que c’est mieux– et tu as quelques notions de portugais et de français.
Tu ne peux pas te passer de thé, tu bois aussi du café et tu dois bien admettre que tu ne refuses jamais un bon chocolat chaud, mais le thé, c’est sacré. Une bonne journée ne peut commencer qu’après une bonne tasse de thé. Même en plein été. Même s’il fait cinquante degrés. ▲ Tu n’as jamais fumé une cigarette de ta vie et tu ne comptes pas t’y mettre un jour. ▲ Tu n’as jamais touché à la drogue non plus, à moins de considérer le chocolat comme une drogue… si oui, alors tu es complètement accroc. ▲ Cela va paraître sans doute cliché mais tu sais lire l’avenir dans les lignes de la main, dans le tarot et parfois dans les feuilles de thé. Par contre oubliez les boules de cristal et autres conneries de ce genre, tu fais de la divination « à l’ancienne ». ▲ Tu as eu quelques aventures avant de rencontrer celui qui allait devenir ton feu mari, mais jamais rien de sérieux, des amours d’adolescente en somme. Depuis sa mort, le néant, tu n’as toujours pas surmonté ton deuil, tu n’es plus en colère, tu n’en veux plus au monde entier, mais la douleur est encore bien présente. ▲ Tu as rencontré ton mari à dix-sept ans, vous vous êtes mariés quatre ans plus tard, il est mort l’année dernière. Il était ton premier, ton unique grand amour et tu sais qu’il le restera éternellement. ▲ Le test MBTI a révélé que tu étais ENFP autrement dit : enthousiaste, imaginative, énergique, créative, chaleureuse, orientée vers l'avenir, individualiste, perspicace, attentionnée, optimiste, concentrée sur les possibilités, ouverte, toujours à la recherche de nouveautés, spontanée et espiègle. Même si certains traits de caractères sont moins visibles depuis deux ans, tu peux difficilement contredire ce résultat. ▲ Tu as déjà hacké plusieurs sites gouvernementaux de divers pays, tu ne citeras pas de nom, on ne sait jamais qui nous espionne. Depuis tu es d’ailleurs devenue quelque peu paranoïaque, mais tu te soignes. ▲ Est-il besoin de préciser que, du coup, tu n’es pas trop branchée réseaux sociaux ? Oui ? Ah. Eh bien tu n’es pas très branchée réseaux sociaux, la montagne d’informations que ces petits malins en retire est effarante. ▲ Tu parles couramment trois « dialectes » espagnols, bien que tu détestes ce terme : le castillan –ce que le reste du monde appelle vulgairement l’espagnol ; le catalan –majoritairement parlé en Catalogne, là où tu es née ; et le caló –appelé aussi le Romani espagnol, autrement dit le parlé tsigane. Tu parles également très bien anglais –en ayant vécu six années à Londres il parait que c’est mieux– et tu as quelques notions de portugais et de français.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas, on me siffle et j'ai un âge avancé. Je suis bleu, blanc, rouge et j'ai connu le forum grâce à des sales gosses qui s’y sont mis à plusieurs pour me traîner ici. On m’a mis un couteau sous la gorge alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise la magnifique Alicia Vikander comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ma dealeuse habituelle, Wiise. Je fais environ entre 700 et 1000 mots par RP (mais je suis déjà monté à 2000 mots) et mon personnage est sorti de mon cerveau dérangé.
Mot de la fin ? ▲ Fin.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration.
je veux être parrainé. (J’ai déjà plein de membres du fo’ dans mes contacts )
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7007]►[/url] ► <span class="pris">ALICIA VIKANDER</span> “Esmeralda Preston”[/size]
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