Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEmbrouilles à rue Dupiment. - Page 3
-17%
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à 49,99€
49.99 € 59.99 €
Voir le deal


Embrouilles à rue Dupiment.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Paris était quand même désolé d’apprendre qu’elle n’avait pas connu un réel amour maternel. Summer méritait mieux que cela mais dans un sens, cette révélation ne le rendait que plus fier de sa femme : malgré tout, elle avait réussi à devenir cette femme aimante et généreuse. Elle aurait pu devenir une pétasse sans cœur, une nana qui prenait plus qu’elle ne le donnait mais non, c’était tout le contraire. Le Dunster ne pouvait que sentir son cœur se gonfler davantage d’amour. « Tu es la femme et la mère la plus merveilleuse, tu le sais ça ? » lui dit-il sans chercher à comparer leurs deux enfances. Ils étaient au-dessus de cela et puis, pour rien au monde il ne souhaiterait même à son pire ennemi de connaitre ce qu’il avait subi alors à la femme de sa vie ? N’en parlons pas. N’empêche, grâce à elle, il bénéficiait en quelque sorte d’une seconde jeunesse. Summer n’était pas la dernière à chanter des comptines à Ashlynn ou à lui lire des histoires. Paris aimait bien l’écouter dans ces moments-là, découvrant des choses qui lui étaient encore inconnus malgré ses 25 ans. Grace n’avait jamais été une grande lectrice et surtout, elle n’avait jamais vraiment eu le temps pour ce genre de choses. Durant les premières années de sa vie, elle avait été bien plus camée qu’autre chose puis, Paris avait du céder sa place à ses frères et sœurs. « Donc si je comprends bien, je suis ton conte de fées ? » la taquina-t-il même s’il était touché de voir combien elle lui donnait d’importance au fil du temps. Voilà presque un an qu’ils s’aimaient mais il était toujours aussi étonné qu’une femme comme elle puisse s’intéresser à un gars comme lui car comme elle le disait très bien : il n’était qu’une bête bourrue au sale caractère.

Conscient ou non, il lui livrait des brides de sa propre enfance, lui faisant découvrir sa passion pour le ciel. Paris ne saurait dire réellement quand est-ce que cela avait commencé mais à présent, il ne se voyait pas sans voler. C’était plus fort que lui, comme si le ciel l’appelait pour ainsi dire. « Oui, je m’y sens bien » dit-il avec un air pour le moins rêveur. Le ciel, c’était une façon personnelle de s’éloigner de ses problèmes, d’être intouchable. Là-haut, pas de violence, pas de colère juste cette impression de flotter, d’être au-dessus de tout. Il était tout de même marrant de se dire que durant des années, il s’était imaginé que rien ni personne ne pourrait le détourner de cela, de cette passion. Ce n’était plus le cas aujourd’hui : Paris avait une famille qu’il chérissait et commençait sérieusement à envisager l’avenir autrement, plus éloigné de l’espace. Il s’y était raccroché durant des années et des années car cela lui avait permis d’avoir un objectif à atteindre, d’avoir une raison de se lever chaque matin. A présent, il en avait une nouvelle alors pourquoi s’entêter au risque de tout perdre ? L’étudiant savait combien il serait difficile de coupler vie professionnelle jalonnée d’absence plus ou moins longue à une vie de famille épanouie. Alors oui, il commençait sérieusement à se chercher un plan B voire C ou D.

Summer venait de lui répondre concernant ce qu’elle aimait faire quand elle était enfant et malgré lui, il ne pouvait s’empêcher de s’imaginer cette petite tête blonde entourée de ses peluches en train de prendre un thé imaginaire. « Tu devais être craquante à cet âge » murmura-t-il avec tendresse avant qu’elle ne lui fasse une demande très tentante. « Comment te le refuser ? Si cela ne tenait qu’à moi, je te dirais qu’on habille chaudement la petite et direction l’aérodrome pour un vol de nuit mais pas certain qu’Ashlynn accepte d’être tirée une deuxième de son lit » rigole-t-il de bon cœur en s’allongeant sur les coussins, l’attirant contre son torse. « Je suis curieux d’un truc : quelle est la plus grosse connerie que Summer Wingfield a faite durant son adolescence… je suis certain que tu n’étais pas si sage que ça »




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je souriais gaiement au compliment de mon mari, tellement il m’allait droit au cœur ? « T’es un amour de me dire ça. J’ai toujours autant la flippe de pas assurer avec Ash’, mais…je me rassure à chaque fois en me disant que tu n’es pas bien loin pour me soutenir » Je m’appliquais à donner le meilleur de moi-même en sachant très bien qu’un jour, cela ne suffirait peut-être pas, mais quoiqu’il arrive je ne me savais pas seule.

Discuter conte de fées, c’était également admettre pour moi, qu’à lire ce genre de chose étant plus petite je cherchais un idéal, un prince charmant, une vie meilleure… Et bien que Paris s’était toujours considéré comme le total opposé du prince charmant ou du gendre idéal, il était pourtant, d’après mes références de conte, celui que j’avais toujours espéré trouver. « C’est exactement ça !! Mon conte de fée ! Comme quoi, tu vois ? C’était bien toi que j’attendais depuis lloooooonngggtemps ! » M’amusais-je à dire tout en lui souriant chaleureusement « J’ai jamais été attiré par le côté, prince lisse, correct et bien sous tous rapport ! Nan, moi je préférais la Bête dans la belle et la bête, John Smith dans Pocahontas, Flynn Rider dans Raiponce !! Les têtes à claques, les rebelles…c’était eux mes préférés ! » Y’a pas à chercher 3000 ans pour comprendre pourquoi Paris était selon moi, l’homme de mes rêves. Il avait le courage, l’assurance, le côté bourru et rebelle. Il était viril, mais doux quand il le fallait, protecteur, sanguin mais posé quand il était nécessaire de l’être. Il avait cette multitude de qualités qui faisait détrôner dans mon cœur n’importe quel prince de haut rang !

Et si moi, je m’évadais au travers des contes, Paris lui, trouvait réconfort auprès des étoiles et de l’espace. Son rêve à lui, son conte de fée…je le regardais avec attention, voyant clairement son air rêveur. Je me demandais ce qu’il pouvait se passer dans sa tête en ce moment même, me doutant bien que dans son esprit devait s’inscrire de merveilleuses images de lui dans l’espace. Dieu que j’aimerais voir ce qu’il voit…voir le monde à travers son regard, tenter de mieux comprendre cette passion qu’il le submergeait dès que l’on évoquait l’espace, l’astronomie…A la place, ce sont les explications de Paris qui me guidait : Voler, c’est ce qui le branchait. Depuis tout gosse, il recherchait cette liberté, cette légèreté et cette évasion. Comment rivaliser avec cela ? En ne cherchant pas à rivaliser justement. Je comprenais son rêve, son désir, et s’il fallait pour cela que je me sacrifie, je le ferais. Paris mérite de réaliser toute ces choses, de partir à la quête de son bonheur ! Et j’avais envie et besoin qu’il se sente heureux. Et en attendant, je tâcherais de découvrir sa passion et son rêve, en allant voler avec lui bientôt ? « On aura tout le temps de s'organiser cela les jours prochains ? Et si possible, sans Ash', parce que je pense que je vais déjà un peu paniquée à l'idée de ne plus avoir les pieds qui touche le sol, alors...m'inquiéter pour Ashlynn en plus ? non merci » plaisantais-je bien qu'une légère peur, semblables à celle que j'avais quand je prenais l'avion, me prenais rien que d'y penser...

Parler de son enfant impliquait bien vite que l’on parle de la mienne, et après lui avoir raconté sans aucune honte que je passais le plus clair de mon enfance avec des amis imaginaires représenter sous la forme de peluche et poupées, je devais maintenant lui avouer ma plus connerie d’adolescente. Pas sûre de tout vouloir dire, je me marrais un instant en feintant l’innocence, et une adolescence bien sage « Et pourquoi pas ? Si ça se trouve, j’étais effectivement sage comme une image ?? » A d’autres…n’importe quelle adolescente, aussi sage soit-elle, a besoin de connaitre ses limites à un moment donné ; savoir ce qu’elle était capable de faire sans le moindre scrupule, ou ne pas faire justement. Je levais les yeux au ciel, pour tenter de me chercher dans mes souvenirs la pire chose que j’ai pu faire, et un seul me venait en tête « Mise à part, me rendre à une soirée en ayant fait le mur ?? euhmmmm…ah oui, ca y’est je me souviens » Sans plus de préambule, je rougissais déjà de honte et avouais mes méfaits : « voler un ensemble de sous-vêtement dans un centre commercial…et ne pas me faire choper » Je me rappelais encore de la peur qui m’avait gagné, du calme que j’avais pourtant tenter de garder en sortant tranquillement du magasin avec une autre fille qui elle avait mis un placé un produit dans le sac de la dame juste à coté de nous, afin que ce soit son sac qui bip et pas nous…mon dieu. Je n’étais pas fière de moi, mais…comment dire…cet ensemble ? c’était pour sûr le premier plus bel ensemble sous-vêtement que j’avais pu avoir de toute mon adolescence. « Bon mais et toi ? C’était quoi, ta pire connerie ? » demandais-je bien que je m’attendais déjà à ce qu’il me dise que toute son adolescence était une vie de connerie.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Tu sais, les parents parfaits n’existent pas et Ashlynn au contraire, n’a pas besoin de ça. Un gosse a besoin de grandir en se disant que faire des erreurs, ce n’est pas un drame non plus. Lâche un peu de pression bébé, tout ira bien avec notre fille » dit-il car même si présentement, le côté sexuel de leur relation leur posait problème, il n’en restait pas moins qu’ils étaient un couple. Un couple solide et surtout unis pour le bien être d’une petite tête blonde. Leur petite tête blonde. Pour le Dunster, Summer se mettait trop la pression : elle était une mère formidable et si un jour, Ashlynn se la jouait crise d’adolescence du style « t’es pas ma mère », elle aurait le droit à une réponse musclée de son père qui se chargerait bien gentiment mais fermement de lui rappeler que celle qui lui changeait ses couches merdeuses, c’était bien Summer et non une autre femme. Enfin, Paris n’avait pas vraiment d’inquiétude de ce côté-là car qui pouvait réellement résister à cette femme ? Personne. Elle avait le don avec les Maconahey.

« Donc de cygne, je suis passé à prince de conte de fée et maintenant à tête à claque ?! Je sais pas vraiment si j’ai envie qu’on poursuive cette conversation car si ça continue, je vais me faire taxer de vilain crapaud » râla-t-il pour la forme mais dans le fond, il était touché de se dire qu’elle avait attendu un type dans son genre. Quel plus beau compliment pouvait-il exister ? Aucun. Sa femme avait le don de faire de ses défauts, ses plus grandes qualités. Il n’y avait qu’elle pour l’aimer à ce point et la simple idée de la perdre le faisait trembler d’effroi. C’est bien pour cela qu’il songeait plus ou moins à renoncer à ses projets professionnels. De tout de manière, il y avait une forte probabilité qu’il ne puisse jamais atteindre son rêve d’aller dans les étoiles alors cela valait-il le coup de tout sacrifier pour peut-être une belle déception ? Paris continuerait toujours de rêver à l’espace mais ce qu’il avait au jour d’aujourd’hui, valait tout l’or du monde. Il était heureux et pouvait très bien se contenter d’une autre vie professionnelle. Un métier qui lui permettrait en autre de rentrer tous les soirs chez lui pour prendre soin de sa femme et de leurs enfants. « Pourquoi tu dis que tu vas paniquer ?! Je te promets que je suis un très bon pilote et que je simulerai pas une panne d’essence en plein vol » rigole-t-il. Le pire, c’est qu’il serait capable de le faire rien que pour la faire hurler. De temps en temps, c’était un crevard son prince charmant.

« Sérieusement ? J’ai épousé une voleuse de sous-vêtement ?! J’ignorai que vous étiez une grande criminelle madame Maconahey… Tu sais que c’est sexy ? » lâcha-t-il sans même prendre conscience de ses mots. Putain mais qu’il était con : vas-y allume la mèche crétin et après, tu lui expliqueras gentiment pourquoi tu peux pas faire exploser le pétard. « Enfin..bref ! Ma pire connerie ? Alors attends, il faut que je fasse le tri » plaisante-t-il même si dans le fond, il fallait vraiment qu’il réfléchisse parce que des conneries, il en avait fait. « Ah si, quand j’étais adolescent, avec un pote, on a voulu se refaire la scène d’un film où des malfrats se planquent dans des maisons pour gosses pour se faire enfermer dans un magasin de jouet. Le problème c’est qu’on a bien réussi notre coup mais que l’on avait pas fait gaffe que le magasin fermait pour une semaine ! Du coup, on a du appeler les flics pour nous faire sortir… On avait l’air cons »




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je savais bien que Paris avait raison, que la perfection dans l’éducation n’existait pas. « Ce n’est pas parce que l’idéal est quasiment impossible à atteindre que ça veut dire l’on ne peut pas au moins essayer de s’en y approcher ?...c’est juste que : tu vois, je ne veux pas qu’elle en vienne un jour à se dire que je n’en ai pas assez fait pour elle. » Je savais que question autorité, le mieux placé des deux ce serait Paris. Moi, je doutais en être capable pour le moment, alors si je pouvais exceller ailleurs, je n’hésiterais pas à chercher à m’atteler à cet éducation.

Pour le moment, je me contentais de petits rituels avec Ashlynn, à commencer par les contes de fée du soir, ou je lui racontais ceux qui avaient bercé mon enfance, ceux qui m’avaient fait rêver. Forcément, je comparais mon idéal d’hommes contés avec Paris, et j’éclatais de rire sans retenue de sa remarque : « Un vilain crapaud qui se transforme en prince quand on l’embrasse ??!! Alors oui, tu en es un !! Mon super crapaud prince d’amour » J’hésitais à l’embrasser sur le coup, car je n’oubliais pas ce qui nous refrénait depuis qu’on avait quitté la maison de Grace, et cette soirée du nouvel an, et au final, je déposais un autre baiser sur sa tempe en échange. C’était toujours mieux que rien !

En parlant de prince : j’avais eu soudain l’envie de partager la passion de Paris en lui demandant de m’emmener volée tel que l’aurais fait Aladin avec Jasmine sur son tapis volant. Bien sur l’idée d’être dans les airs me faisait paniquer légèrement, et j’avais du mal à cacher cette angoisse : « Ce n’est pas toi le problème !! Je me doute que tu as être doué pour ça…tu es doué dans tout ce que tu entreprends. C’est juste que j’ai toujours cette petite peur au ventre. Si tu me voyais, dans un avion, pendant les premières minutes du vol ! »

Et apparemment je préférais le vol à tire, plutôt que le vol en plein air !! Je racontais mes conneries de jeunesse et forcément, Paris s’était laissé au délire, me qualifiant de sexy à l’idée de jouer les criminelle. Je grimaçais légèrement au compliment ; pas que celui-ci me dérangeait, mais disons que je savais que je n’allais pas pouvoir en profiter à sa juste valeur. Habituellement, je le prenais dans mes bras, l’embrassait, lui retournait le compliment, avant de me jeter à son cou. Hors, là , c’était clairement impossible ! à la place, je lui demandais bien vite de me raconter une bêtise de son adolescence. Il faisait le tri, comme il le disait et me sortait alors son souvenir, pendant que moi j’éclatais de rire à nouveau « Mais vous êtes restez combien de temps dans ce magasin avant de ovus en rendre compte ??!! » Bon sang, fallait le faire quand même « Franchement, c’est quoi cette organisation merdique ?! » je riais gaiement avant de lui dire en plaisantant « Si demain je dois braquer une banque , j’évite de te laisser organiser le braquage !!! Tu serais bien capable de nous faire ça un dimanche !!! »



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Mais tu fais déjà énormément de choses pour elle et tu continueras quoiqu’il arrive. Crois-moi, Ashlynn a beaucoup de chance de t’avoir comme mère mais cesse de te mettre la pression bébé. Tu vas finir par te faire un ulcère » râla-t-il mais autant pisser dans un violon, il gagnerait du temps. Par moment, Paris avait envie de la secouer pour qu’elle laisse un peu les choses se faire d’elles-mêmes. Il savait bien qu’elle se mettait la pression car la petite n’était pas sa fille biologique mais à trop en faire, elle allait s’en rendre malade. « Crois-moi, Ashlynn te sera toujours reconnaissante donc calme… profite juste d’être sa mère et oublie le reste ou même ce qui risque ou non d’arriver dans le futur » ajouta-t-il en prenant sa main dans la sienne, un bref instant. « Tu es une mère extraordinaire Summer, jamais Ash’ n’ira te dire le contraire et si jamais elle pétait un câble, crois-moi, je serais le premier à la remettre dans le droit chemin. Tu es sa mère point barre. Et puis, à force de chercher à exceller, tu vas me filer des complexes »  dit-il avec un petit clin d’œil.

Le plus triste dans ce moment, c’est que l’un comme l’autre, hésitait dans leurs élans de tendresse. Et ça, ça faisait clairement chier le Dunster qui n’appréciait pas cela. Il voulait être libre d’embrasser, de toucher sa femme et non se contenter d’agir en tout bien tout honneur. Ils avaient besoin de digérer l’annonce de leurs géniteurs et tout irait bien après. Oui, c’était quoi ? Le coup d’un jour ou deux puis tout rentrerait dans l’ordre. « Je suis pas  doué dans tout ce que j’entreprends… par exemple : la machine à laver… elle m’aime pas ! » grommela-t-il en secouant la tête. Il avait beau connaitre le manuel par cœur, il n’arrivait toujours pas à faire fonctionner cette connerie. Combien avait-il sacrifié de pull ? La seule contente dans l’histoire, c’était Ashlynn car cela faisait des supers pull pour son gros poupon qu’elle avait du mal à soulever dans ses petits bras. « Qui sait, peut-être que voler avec moi te guérira de ta peur » dit-il en tournant la tête vers elle pour déposer un baiser sur sa mâchoire. « Tu verras, quand on s’ouvre au ciel, c’est juste merveilleux »

Il lui tardait d’ailleurs de pouvoir l’emmener voler afin qu’elle puisse voir à travers son regard combien il était heureux. Voler, c’était comme danser ou se battre. Il avait besoin de cela pour respirer tout comme il avait besoin d’être aimé de cette femme. Une femme un peu kleptomane sur les bords. « C’est ça fout toi de ma gueule mais tu devais pas en  mener très large quand tu as piqué ta petite culotte ! » râla-t-il de bon cœur. « A 10h du mat’ le lendemain matin…Pour ta gouverne, j’avais rien préparé, j’ai juste suivi ce pote dans cette galère. Comment on pouvait savoir nous, que ça allait fermer une semaine ?! Espèce de voleuse de culotte » rigola-t-il en l’attirant en travers de ses genoux pour la chatouiller. « Je vais te faire passer l’envie de te foutre de ma gueule toi » continua-t-il sa torture en rigolant.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les paroles de Paris était à la fois là pour me rassurer mais aussi pour me calmer. Il avait raison, je me mettais la pression mais disons que je cherchais tellement à ne pas commettre les mêmes erreurs que mes parents, que forcément j’avais tendance à analyser ce que je faisais au risque effectivement de ne pas vraiment en profiter. J’acceptais de prendre conseil de Paris en soupirant en signe de capitulation, mais je sais très bien qu’il sait aussi que je ne vais pas me mettre à changer du jour au lendemain, alors... après un petit sourire en coin, je me pinçais les lèvres et lui répondais « Oui, bon, okay ! Je vais tenter de me calmer un peu. T’as raison…mais ne dis pas que tu vas avoir des complexes. Toi aussi t’es un papa extra avec ta fille ! » je me rappelais même lui avoir dit un jour que c’était cette facilité qualité de père qui m’avait frappé en premier lieu chez lui…hmmmm…………… Ca, oui et…………ouais bon ça va, hein : OUI, j’ai aussi craquer pour son apparence ! Même si j’ai tout fait pour ne pas l’admettre la première fois que lui et moi nous étions rencontrés « et j’espère que tu dis vrai : qu’elle me considérera toujours comme sa mère. Même si j’apprécie ton sens du devoir et que je serais curieuse de voir ce que tu feras si un jour Ashlynn venait à te prouver le contraire ! » J’avais dans le fond, envie de le remercier par avance pour le soutien qu’il m’apporterait ce jour-là, parce qu’il n’y avait pas à penser le contraire : Paris, de par ses valeurs et son histoire, serait le premier à faire comprendre à sa fille qu’il ne suffit pas de porter un enfant pendant 9 mois pour se qualifier de mère.

On sentait comme une gêne s’installer en nous, à cause de ce que l’on avait envie de faire tous les deux, et ce que l’on s’interdisait ! C’était frustrant, je peux l’assurer !! Mais…en même temps, je savais aussi que si on se laissait aller à quelques câlins, lui comme moi nous sentirions encore plus mal à l’aise après….mon dieu, comment les choses avaient-elles pu déraper aussi rapidement ? Tout était encore rose et doux il y’ a à peine deux heures !!! Je maudissais nos parents, mais serrais les dents pour ne pas encore m’énerver en nous voyant ainsi coincés Paris et moi… à la place, je préférais me réjouir de cette discussion simple que l’on engageait. On avait l’habitude de se parler, de discuter de tout et de rien, mais là…c’est comme si on se servait d’une discussion pour éviter une situation gênante… Tant pis, on ferait avec ! « Ah oui...la machine à laver !! C’est vrai !! » Déclarais-je avec une pointe d’exaspération. Combien de fois avait-il tenté de me faire plaisir en faisant le linge et qu’il m’avait foutu en l’air quelques vêtement « Mon pull en cachemire s’en pleure encore…à moins que ce ne soit moi qui en pleure toujours. » ajoutais-je avant de parler de vol et d’écouter Paris me dire que le fait de voler avec lui et de comprendre ce qu’il se passerait le moment venu, m’aiderait à mieux appréhender ma peur « J’espère que ce que tu dis est vrai ! Parce que j’en ai un peu marre de devoir me shooter au Xanax avant de prendre l’avion ! »

Je m’amusais bien vite à me moquer de Paris quand ce dernier m’expliqua comment il s’était retrouver coincé dans un magasin de jouet de son plein gré mais qu’il avait dû appeler les flics une fois qu’il avait réalisé avec son pote que le magasin avait fermé pour une semaine…. J’avais même failli en remettre une couche sur leur poisse en lui disant qu’il avait en plus choisi le mauvais magasin, qu’un grand supermarché lui aurait au moins permis de profiter de tous les rayonnage possible pour survivre une semaine !! Mais je m’étais abstenue de le faire au risque que le Dunster de moque à son tour de mes déboires…surtout que là, il m’envoyait déjà des pics pour se  défendre. « Effectivement, je n’en menais pas large !! J’étais tout aussi rouge que l’ensemble si tu veux tout savoir » riais-je de bon cœur !! « Mais moi monsieur, j’ai réussi mon coup !!! » le problème c’est que j’avais du mal à aligner ma phrase vu que Paris usait de sa force pour me chatouiller et me faire plier !! « Stop !!! Arrête, ça » demandais-je tout en riant « C’est pas juste !! t’as pas le droit, tu sais que…STTTOOOPPPP » je pourrais pas avoir le dessus avec ce mec ! Pas pour rien que j’aimais qu’il me domine finalement…c’est surtout parce que j’avais abandonner depuis bel lurette de me battre avec lui !!!



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Etre un papa extra, c’était tout ce dont il voulait pour sa fille. Paris n’avait jamais connu de réelle figure paternelle dans toute sa vie : la première avait été catastrophique et destructrice, la deuxième totalement fantasque et la dernière bien trop distante pour s’attacher réellement. Les hommes avaient défilé dans le lit de sa mère mais également dans sa vie. Misait-il beaucoup sur sa nouvelle relation avec son père biologique ? Assurément même s’il refrénait ses ardeurs de peur d’être déçu. Alors, dans un sens, il comprenait très bien pourquoi elle essayait de faire son maximum pour Ashlynn mais hors de question que de la laisser s’enfermer dans un truc aussi stressant. « Je la pendrai par les pieds jusqu’à ce qu’elle admette qu’elle a un raisonnement débile… ça le fait hein ?! Je plaisante, je lui parlerai de ma propre expérience et de combien elle est chanceuse qu’une femme comme toi soit sa mère mais je ne m’inquiète pas car comme je te l’ai dit et répété : elle t’aime, elle sera élevée dans l’amour et le moment venu, nous lui expliquerons les choses pour ne pas qu’elle le découvre par elle-même et se sente trahie. Cet enfant sera élevée comme il faut, par tous les deux » lui dit-il avec une tendresse déterminée.

Cette tendresse, il aurait tant aimé pouvoir la transformer en quelque chose de plus sensuel, de plus passionné mais c’était impossible. Du moins pas ce soir alors que sa mémoire s’amusait à lui remontrer les mains enlacées de John et Grace. Cela lui faisait penser qu’il devait parler à son petit frère assez vite pour désamorcer le conflit qu’il avait créé tout seul. « Ouais bon.. j’aurais mieux fait de me taire pour le coup ! J’ai promis de ne plus m’approcher de la machine à laver et surtout de tes pulls » râla-t-il pour la forme avant qu’ils n’abordent l’idée de voler ensemble. « Ah ça, tu te shooteras pas pour voler avec moi sinon tu vas manquer tous les bons côtés comme par exemple, sentir l’hélicoptère s’élever dans le ciel » dit-il. Bon pour le coup, pas certain que ça l’aide à se détendre.

N’empêche le Dunster adorait ce moment de calme entre eux, ces petites confidences échangées mais ne nous voilons pas la face : il manquait quelque chose. Et ce quelque chose, c’était la passion, l’amour brûlant qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Il avait l’impression de parler et de se chamailler avec sa sœur, c’était… horrible et frustrant. « Okay okay… je suis bon seigneur et surtout j’ai pas envie que tu réveilles la petite ! Je te sers à boire ? » demanda-t-il. Après tout, il fallait qu’ils tiennent jusqu’à minuit… pour une année placée sous le signe des difficultés pour le couple Pammer mais peut-être qui sait : sous le signe de l’agrandissement de leur famille.

TOPIC CLOS




©TOWNTROTTER.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)