Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJe ne pensais pas être celui qui s'en irait. ✻ WILDER
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Je ne pensais pas être celui qui s'en irait. ✻ WILDER

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Sept mois. Ils ont perdu leur pari, les autres. Les voyeurs. Ceux qui pensaient que les sentiments n’existaient pas. Ils tiennent malgré les différences, les disputes, les avis divergents. Les mondes qui s’opposent. Les proches qui ne sont pas favorables à leur duo. Ils vivent ensemble, heureux, amoureux. On dira que c’est le bonheur. Ce truc qui te donne le sourire, qui ne te lâche pas. Ces papillons dans le ventre, quand le matin, elle dépose ses lèvres sur les tiennes avant de s’en aller. Ces petites attentions. Ces gestes simples, quotidiens. Cette fille. Simplement. On ne leur annonce pas un avenir des plus prometteurs. C’est bien beau leur petit amour de lycéen. Demain, ça sera différent. Demain, lorsque qu’ils partiront l’un l’autre dans des destinations opposées pour leur boulot. L’avenir est flou. Inconnu. Il n’y a pas plus intéressant que le futur. Et Silver trouve son compte dans cette imparfaite harmonie.

La routine calme ses impulsions. Il est plus posé, plus doux. Attentionné envers elle. Mais y a ce truc qui manque. Découvrir d’autres choses. Activités, personnes, villes. Alors forcément, quand il a dû faire des demandes de stage, Silver ne s’est pas contenté de Boston et des bled alentours. L’homme s’est éparpillé un peu partout sur le territoire américain. Plus par amusement, que par réels intentions de s’en aller. Sauf que la réponse fut positif. T’sais, dans cette ville, là, avec les grandes rues, les écrans géants, ces buldings gigantesques. Ce symbole américain. New-York. Un stage dans la grosse pomme. Dans un premier temps, il ne réalise pas. Puis, quand il relit pour la quinzième fois le mail, Silver a les yeux scintillants.

Avery a commencé à envisager son départ. A voir les prix, les cartes de la ville. Prévenir ses proches de son départ. Plus les jours passent, plus le départ approche et plus il est enchanté à l'idée de découvrir d'autres lieux. New-York pourrait être anodin pour certains, mais pour le pauvre gars de Chicago c'est presque un rêve. Finalement les journées s'écoulent. Le départ est pour demain. « Princesse Wild, que voulez-vous faire pour notre dernier jour ensemble ? » Passe ses mains sur les hanches féminines, attend la réponse. Et si elle fera probablement des aller-retours entre les deux métropoles, vivre éloigné après plusieurs mois ensemble va être compliqué.


@L. Victoria S.-Wildingham
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Sept mois plus tard, ils étaient encore ensemble. Personne n'avait parié sur eux, Victoria la première au début, et pourtant, le couple tenait bon. Mieux encore, ils étaient heureux. L'anglaise avait trouvé en Avery quelqu'un capable de la tempérer, de lui faire voir les choses autrement. Il l'avait changée, c'était indéniable, et elle l'aimait aussi pour ça. Pour ça, et pour son éternelle capacité à toujours la surprendre.

Ils avaient survécus aux étapes les plus difficiles. La présentation aux familles et l'atmosphère pesante qui venait automatiquement avec, les remarques déplacées, les manigances de Cole et les incertitudes d'Holly. Ils avaient emménagé ensemble, ils s'étaient dit je t'aime. Ils étaient amis, amants, partenaires. Ils avaient leur équilibre .. du moins jusqu'à présent. Une nouvelle étape se présentait à eux : la fin des études et le départ du blondinet.

Princesse Wild, que voulez-vous faire pour notre dernier jour ensemble ? Avery pose ses mains sur les hanches de la blonde qui elle, ne répond pas. Elle sait qu'il va partir, elle s'est préparé au changement .. C'est juste que .. Elle pensait qu'il lui proposerait de venir avec lui, qu'il trouverait une solution pour leur couple, avant de partir. Mais voilà que le dernier jour était arrivé, et Avery n'avait rien dit. Elle se retrouvait là, dans l'appartement qu'elle occuperait bientôt seule, et elle se sentait bête, vexée, alors que lui semblait prendre tout cela à la légère. La belle lui lance un sourire vide avant de partir vers le canapé. Elle s’assoit, pose un magazine sur ses genoux et tourne distraitement les pages. J'ai quelques rendez-vous en début d'après-midi. On peut manger ensemble, j'irai après. Elle tourne une autre page, les sourcils légèrement froncés. Sa fausse nonchalance ne trompe personne. J'aime pas les au revoir, et de toute façon t'as tes valises à terminer. Et elle, elle n'a pas la force de voir l'homme qu'elle aime partir, pas comme ça.

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Qu’ils aillent se balader, squatter un restaurant, un bar, un cinéma. Ou bien rester ici. Peu importe, tant qu’ils sont l’un avec l’autre. Or, demoiselle n’a pas la réaction attendue. Au lieu de proposer, elle trouve refuge dans le canapé, l’air contrarié. Et lui s’étonne de ce départ soudain. Ce jour est important. Il est la fin et le début d’un chapitre. Il veut le vivre avec elle. Et uniquement avec elle. « J'ai quelques rendez-vous en début d'après-midi. On peut manger ensemble, j'irai après. » Silver croise les bras sur son torse, toise l’eliot. C’est ridicule. Mais c’qui est bien avec la demoiselle, c’est qu’il n’y a pas besoin d’être médium pour comprendre qu'un truc ne va pas. « T’as pris des rendez-vous le jour de mon départ ? » Pas qu’il soit en colère, elle fait ce qu’elle veut. Il pensait juste qu’être ensemble lors de la dernière journée serait plus apprécié. « J'aime pas les au revoir, et de toute façon t'as tes valises à terminer. » Arrete voir une seconde. C’est certain que quelque chose t’empêche d’arborer ton beau sourire. Et c’n’est pas moi qui m’en vais dans quelques heures. « Elles sont déjà faites. » Là-dessus, l’homme ne s’y prend pas à la dernière minute. Il attrape une chaise qu’il place devant sa petite amie et s’y assois à califourchon. « Demoiselle aurait-elle omis de me dire quelque chose ? Il va falloir communiquer. »

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T’as pris des rendez-vous le jour de mon départ ? Elle lève le nez de son magasine, le toise un instant et baisse la tête à nouveau. Victoria n'a jamais su faire dans le subtil, quand quelque chose de va pas, elle le fait clairement sentir à l'autre. D'ailleurs, habituellement elle n'a aucun problème à dire clairement ce qui ne va pas, mais ici, elle a trop de fierté pour dire directement à Avery ce qu'elle aurait aimé qu'il fasse. Qu'il lui propose de venir avec elle, qu'il ne l'abandonne pas comme ça, comme si ces derniers mois ensemble ne comptaient pas.

Le blond s'avance, prend une chanson et s'assoit face à Victoria. Demoiselle aurait-elle omis de me dire quelque chose ? Il va falloir communiquer. Elle tourne une nouvelle page de son magasine, nonchalante. Communiquer sur quoi ? Tu décides de partir sans même me demander mon avis et tu crois que je vais passer ta dernière journée ici avec toi, comme si de rien n'était ? T'en as clairement rien à faire de nous donc tu m'excuseras si tu n'es pas ma priorité aujourd'hui. Il devrait le savoir, il aurait dû lui en parler. La décision aurait dû être prise à deux et au lieu de ça, Avery partait vivre sa vie sans elle, comme si de rien n'était .. Et il ne comprenait même pas qu'elle puisse être vexée ? Victoria avait l'impression qu'il ne la connaissait pas, qu'il n'avait rien appris depuis tout ce temps qu'ils étaient ensemble.

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Communiquer sur quoi ? Tu décides de partir sans même me demander mon avis et tu crois que je vais passer ta dernière journée ici avec toi, comme si de rien n'était ? T'en as clairement rien à faire de nous donc tu m'excuseras si tu n'es pas ma priorité aujourd'hui. Et, évidemment, tu ne penses pas un mot de ce que tu racontes. Je suis ta priorité, et cette journée tu veux la passer à mes côtés, dans l'ignorance d'un avenir moins radieux. Il a fallu que le monsieur demande pour avoir des réponses, pour qu'elle exprime ses émotions. Ceci dit, il aurait dû le voir plus tôt. Se soucier un peu plus de l'avis de sa copine plutôt que s’intéresser à son appartement. « Merci, ca me touche. », avec la main qui se cale sur le torse, au niveau du coeur. L'ironie, avant la sincérité. « Tu sais très bien que j'en ais pas rien à foutre de nous. Mais c'est une occasion en or puis tu peux venir quand tu veux à New-York, alors j'la saisis. » C'est pas comme si demoiselle devait économiser trois mois pour se payer un aller-retour en bus New-York-Boston. C'est plutôt jet privé tous les week ends sans soucis de dettes.  « Je vais pas te demander de venir avec moi. T'as tes études, tes amis, ton frère qui a besoin de toi. Je veux pas être l’égoïste qui t'oblige à me suivre. »

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Victoria ne pensait pas en arriver là. Elle, elle croyait qu'Avery avait une proposition en réserve, une surprise. Elle pensait qu'avec son choix s'accompagnerait une nouvelle étape de leur relation, et qu'il avait tout prévu .. Elle avait espéré, elle avait attendu qu'il lui parle de ça, du départ, de l'avenir, mais les voilà à présent assis au salon de leur bel appartement, et il lui avait fallu tout ce temps pour comprendre qu'Avery n'avait rien en réserve pour elle. Il partait, et elle restait là, c'était tout.

Le blond pose la main sur son torse et lance une réplique qu'il veut amusante, mais qui irrite Victoria au plus haut point. Il lui faut un peu de temps avant d'entrer dans le vif du sujet. Tu sais très bien que j'en ais pas rien à foutre de nous. Mais c'est une occasion en or puis tu peux venir quand tu veux à New-York, alors j'la saisis. Le magasine lui tombe des mains, littéralement. Non mais t'es sérieux ? Tu balayes nos sept mois ensemble, tu les relayes au second plan comme ça, parce que 'ton opportunité' est plus importante ?! Mais c'est qui ce mec ? Elle ne le reconnait plus. Je vais pas te demander de venir avec moi. T'as tes études, tes amis, ton frère qui a besoin de toi. Je veux pas être l’égoïste qui t'oblige à me suivre. Excuse de merde. Et tout ça, tous ces prétextes pourrus, ça t'empêche de me proposer de venir avec toi ? Vraiment ?! Putain mais tu comprends vraiment pas, hein ? Elle le fixe un instant, avant de se lever en trombe. Mais enfin Avery, merde ! Putain, t'as besoin d'un manuel ou quoi ? C'est pas possible d'être aussi con ! Son regard est toujours planté dans celui du blond. Elle aimerait y voir un déclic, voir qu'il comprend ne serait-ce qu'un peu ce qu'elle ressent. Tu m'obliges à rien du tout ! Y'a une différence immense entre me proposer de venir avec toi, me laisser la possibilité de juger par moi-même si je peux venir et me faire sentir que je compte pour toi, et faire comme tu fais là, à savoir ne rien dire et partir comme un voleur. T'as pris une décision pour toi, mais qui a un gros impact sur nous et tu ne m'en a même pas parlé ! J'ai rien eu à dire ! Ce que j'en pense, c'est que c'est lâche et vexant dans le pire des cas, et condescendant au mieux. T'as choisi pour moi là, et ça, ça me .. Elle lève les yeux au ciel. Enfin bref, laisse tomber, j'veux pas en parler, ça sert à rien. Tu me déçois trop. Qu'il parte, qu'ils en finissent une fois pour toute.
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Non mais t'es sérieux ? Tu balayes nos sept mois ensemble, tu les relayes au second plan comme ça, parce que 'ton opportunité' est plus importante ?! N'importe quoi. Ce stage, c'est secondaire. Il y en aura d'autres. Des moins importants, comme des plus prestigieux. Il demandera, il parlera et il obtiendra. C'est son problème, ses affaires, son avenir. Et il ne veut pas qu'on l'influence ou qu'on l'oblige à faire quoi que ça, à suivre quelqu'un, à être dans l'ombre. C'est c'qu'il aurait fait subir à Victoria. Hors de question. Il ne va pas bousiller son avenir pour son propre bonheur. Certes, New-York a des universités incroyables et côtés, mais rien ne vaut l'apprentissage à Harvard. Puis elle aime la Eliot House. Comment voulez-vous qu'il l'oblige à se sacrifier ? C'est égoiste et cruel. Et pourtant, demoiselle est incapable de comprendre le point de vie masculin. Bien trop ancrée dans ses hypothèses stupides. « Hey. Ouvre les yeux deux secondes, Vic. Te demander de venir avec moi, c'est de mettre dans un carrefour, être tiraillé entre deux chemins. C'est la pire des situations. Et si t'avais dit oui et que t'avais regretté après hm ? Ou au contraire, si t'avais refusé et qu'on aurait rompu à cause de ca ? Tu te serais sentie coupable au possible et tu m'aurais détesté. » M'enfin. Si on regarde la situation, même sans dilemme, Wildingham le déteste. « Je veux que tu viennes, j'en meurs d'envie. Vivre sans toi après sept mois, c'est un calvaire. T'es prête à venir avec moi ? »
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Mais, et alors ? Arrête de me prendre avec des pincettes, merde ! J'suis assez grande pour prendre mes décisions toute seule et j'ai pas besoin que tu me protèges d'une hypothétique situation inconfortable ! Elle commence à saisir son point de vue, à comprendre que s'il n'a rien dit, ce n'est pas parce qu'il s'en fiche, mais plutôt parce qu'il tient trop à elle et qu'il n'a pas envie de tout faire foirer. Le problème, c'est qu'il ne voit pas que son départ à New York va tout changer pour eux, d'une façon ou d'une autre, et qu'entre rester dans le flou et prendre une décision ensemble, Victoria aurait largement préféré qu'ils parlent. Le pire tu vois, c'est que si tu m'en avais parlé, j'aurais pu te dire que j'étais à la fin de mes études, que je ne restais à Harvard que pour des raisons mineures et qu'au fond, rien ne me retient vraiment ici. Rien, hormis Cole. La belle laisse échapper un soupire avant de traverser la pièce et de se servir un verre d'eau. Elle est triste, déçue et résignée. Avery ne comprends pas son point de vue, et elle, elle n'accepte pas le sien. Tout aurait été tellement plus simple pourtant, s'ils en avaient parlé. Si chacun n'était pas resté retranché dans ses positions, s'ils avaient seulement osé se dire les choses et s'ils n'avaient pas essayé de tout contrôler. Victoria porte le verre à ses lèvres et boit une gorgée. A quoi bon penser à ça de toute façon, le dernier jour est arrivé, c'est trop tard. Je veux que tu viennes, j'en meurs d'envie. Vivre sans toi après sept mois, c'est un calvaire. T'es prête à venir avec moi ? Le cœur se Victoria se serre. Voilà ce qu'elle veut entendre, ce qu'elle veut entendre depuis des semaines. Elle prend une autre gorgée et pose lentement le verre à côté d'elle. Vraiment ? Ça avait pas l'air de te gêner y'a cinq minutes. Elle soupire à nouveau, avant d'ajouter : La vraie question, c'est est-ce que toi t'es prêt à dire les choses au lieu de les garder pour toi ? A ne plus jamais décider sans moi de questions qui me concernent ?  

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Pince les lèvres, acquiesce exagérément. Vexé. Parce qu'il a essayé de bien de faire, de lui éviter la mauvaise place, et qu'il n'a que des reproches en retour. Trop sympa. Si elle souhaite vraiment prendre toutes les tornades dans sa jolie tête d'eliot, et que son brave dunster arrete de lui servir de bouclier, il le fera. Qu'elle ne se plaigne pas dans le futur. « Depuis quand t'as bientôt fini tes études ? Putain, mais pourquoi je suis au courant seulement maintenant. Et t'oses me dire que j'dois parler.. j'y crois pas. » On parle de communication alors qu'elle ne l'informe même pas de son cursus. Si Avery n'a pas toutes les cartes en main, c'est normal qu'il rate la partie. Vraiment ? Ça avait pas l'air de te gêner y'a cinq minutes. Victoria a une faculté incroyable. Celle de choisir les mauvais mots, au mauvais moment. Cette façon de parler, ce ton de voix, cette position de supériorité. Attise l'agacement. La vraie question, c'est est-ce que toi t'es prêt à dire les choses au lieu de les garder pour toi ? A ne plus jamais décider sans moi de questions qui me concernent ? Il parle, c'est pas un introverti. Mais il est vrai qu'il a tendance à protéger sa copine, honte sur lui. Il lève les mains, signe d'abandon. Très bien, t'as gagné Vic. Il l'invite à l'accompagner, même si ce n'est pas dans les meilleurs conditions. Loin de là. En vérité, après cette conversation, il a juste envie de se barrer hors de cette maison pour prendre l'air. « Okay. Je t'épargne plus, tu sauras tout. Et maintenant j'vais aller faire un tour dehors. »
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Depuis quand t'as bientôt fini tes études ? Putain, mais pourquoi je suis au courant seulement maintenant. Et t'oses me dire que j'dois parler.. j'y crois pas. Elle le regarde d'un air halluciné. Depuis que j'ai obtenu mon master en fin d'année dernière ? Duh. J'travaille encore sur quelques projets mais rien qui nécessite que je reste ici, j'peux très bien continuer tout ça ailleurs. Si tu t'intéressais un peu aussi .. La dernière remarque est un peu de mauvaise foi. Ça ne fait pas si longtemps que ça qu'elle sait que ses projets peuvent se faire ailleurs, c'est simplement qu'elle ne l'a pas dit à Avery. Elle voulait voir s'il allait lui demander de lui-même, et vérifier ainsi si elle pouvait partir à New York. Là aussi il n'avait rien demandé, alors elle n'avait rien dit.
La conversation se poursuit, les reproches fusent, et Avery lui fait la demande de déménagement la plus tardive et pitoyable au monde. L'envie n'y est pas, au contraire de l'amertume et des regrets qui envahissent la pièce. Tout ça aurait dû se passer autrement. Okay. Je t'épargne plus, tu sauras tout. Et maintenant j'vais aller faire un tour dehors. Elle veut lui lancer une autre pique acerbe, elle veut lui crier qu'il n'a qu'à se casser et qu'elle s'en fiche de toute façon. Elle l'aurait fait, si ça n'avait pas été lui. La seule chose qui la retient d'agir par fierté et de l'envoyer bouler, c'est l'amour qu'elle a pour lui, et de savoir que si elle fait ça, rien ne sera plus jamais pareil entre eux. Alors même si ça la tue, même si c'est extrêmement difficile et physiquement douloureux, elle le retient quand il se lève et qu'il s'apprête à prendre la porte. Attends .. Victoria ne sait pas quoi ajouter, ce n'est pas une situation naturelle pour elle. C'est bon, reste. Faut qu'on discute de tout ça. De l'hypothétique déménagement, de leur dernière journée ensemble s'il part seul. Si Victoria a bien conscience d'une chose, c'est qu'elle ne peut pas le laisser partir maintenant, pas sur une note aussi mauvaise.
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