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I made some bad decisions (jusia)

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Emmitouflée dans mon gros manteau d'hiver je marchais à toute vitesse afin de regagner mon appartement au plus vite. Il n'y avait pas de cours ces temps-ci puisque nous étions en vacances, mais ça ne m'empêchait pas de passer du temps à l'université afin de faire un peu de sport pour rééduquer mon genou et peut-être danser à nouveau correctement un jour. Puis être active et non pas dans le canapé de mon grand appartement, ça me permettait de ne pas trop penser. Je m'aérais l'esprit en ne pensant à rien sauf peut-être à la façon dont je devais bouger afin de ne pas avoir mal par la suite. Pour être plus clair, ne pas penser à Jules. J'avais vu le jeune homme pour la dernière fois à cette drôle de soirée organisée par un inconnu dans un manoir non habité. Il m'avait remmené chez moi par la suite et dans sa voiture, j'avais aperçu quelque chose que je n'avais pas spécialement envie de voir : de la drogue. Jules se droguait ? Est-ce que c'était souvent ? Puis, ça s'était bien passé et il n'en avait pas fallut plus pour moi pour tout foutre le bordel dans ma tête. Il me manquait, clairement et j'avais toujours des sentiments pour lui. Alors faire un peu de sport, c'était le mieux à faire. Je marchais sans me soucier quand deux silhouettes un peu plus loin m'interpellaient. Jules était là avec un autre homme. Un échange de se que je voyais et immédiatement, je repensais à ce que j'avais vu dans sa voiture. Je m'approchais doucement, les mains dans les poches pour arriver au niveau du mather. « Heey.. Tu fais quoi ? » que je lui demandais sans gêne, cherchant justement à instaurer un malaise entre lui et l'autre mec. J'attrapais le pochon de drogue et je reculais doucement, l'agitant entre mes doigts. « T'y tiens vraiment ? » que je lui demandais en souriant toujours. J'crois que j'avais envie de le mettre en pétard, de le faire craquer.
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Le nouvel an approchait et si Jules savait déjà où et avec qui, il allait passer sa soirée, il lui manquait encore un petit quelque chose pour être fin prêt. Non, pas de l'alcool, c'était pas son problème ça ni à lui de s'en occuper, mais plutôt de la drogue. C'était la mauvaise habitude qu'il avait pris depuis plusieurs mois maintenant, après avoir récupéré quelques contacts auprès de Wade. Et si d'ordinaire, c'était le soir qu'il faisait ses échanges, cette fois il n'avait eu d'autre choix que de se déplacer en pleine matinée s'il voulait récupérer son butin en temps et en heure. Bref, le mather n'était pas enchanté, surtout qu'il avait son géniteur sur son dos en ce moment mais, il n'avait pas vraiment le choix là. Alors il retrouva l'homme en question près de l'université et, après avoir échangé quelques banalités, Jules s'apprêtait à lui donner l'argent quand, au même moment une voix qu'il reconnaîtrait entre toutes, les interpella. Ou plutôt, l'interpella, lui. Putain mais... Ana. Qu'est-ce qu'elle foutait là ?  Pourquoi maintenant, tout de suite ? Ça se voyait pas ce qu'il était en train de faire ? En plus, elle affichait un grand sourire, parce qu'elle trouvait ça drôle. Non mais ça n'avait rien de drôle, vraiment pas. Pour l'autre mec, elle n'était qu'une inconnue qui venait foutre la merde alors valait mieux éviter de la ramener. D'ailleurs, le mather s'apprêtait à prendre la parole mais la blonde fut plus rapide que lui et en rajouta une couche en s'emparant du paquet. Ok, elle avait décidé de le faire chier là. Et ça marchait, pour une fois. Pas tellement pour la drogue mais surtout parce qu'elle était complètement inconsciente et que ça l'énervait. Ça lui avait pas suffit de se faire agresser en début d'année ? "Toi, tu fous quoi là ? Qu'est-ce qui te prends putain ? Rends-moi ça." lança-t-il en la regardant d'un air mécontent, blasé par son comportement de gamine. Elle se foutait vraiment de sa gueule là et il ne comprenait même pas pourquoi. C'est vrai, la dernière fois qu'ils s'étaient vus, elle avait pas l'air de lui en vouloir pour ce qu'il avait pu lui dire alors, non, il ne comprenait pas. Sortant l'argent de sa poche, il tendit les billets au dealer pour s'en débarrasser, parce que c'était mieux ainsi. Puis il se tourna à nouveau vers Ana, la regardant toujours de la même manière. "C'est quoi ton problème sérieux ? T'as que ça à foutre ?"
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Dites ce que vous voulez, pour ma part, je savais ce que je faisais. Au moins à 60%. J'étais probablement inconsciente du potentiel danger que je pouvais créer auprès du dealer. Enfin, c'était certain même. Je ne baignais pas dans ce monde. J'avais seulement tiré sur un pétard en soirée il y a peu et je me cachais bien de le dire. Je n'étais pas une droguée, je tentais simplement de nouvelles expériences. Ce soir, je jouais avec le feu et le feu, c'était Jules. Je voulais le voir perdre le contrôle, je voulais qu'il se montre sauvage, qu'il soit mon danger. De manière vive, j'avais dérobé la drogue, agitant le pochon entre mes doigts et reculant doucement avec un large sourire aux lèvres. « Toi, tu fous quoi là ? Qu'est-ce qui te prends putain ? Rends-moi ça. » Oh que non. Je n'allais pas le lui rendre de si vite, c'était certain. Jouer avec lui, c'était mon dernier recours pour l'avoir auprès de moi. Alors, j'étais folle, c'était officiel. Je perdais la boule, mais c'était simplement par amour et croyez moi qu'au fond, je savais très bien ce que je faisais. Je voulais seulement le voir réagir à mon égard. « C'est quoi ton problème sérieux ? T'as que ça à foutre ? » Il n'y avait plus que nous désormais et ce n'était pas plus mal. « Si je disparais avec la drogue... Qu'est-ce qui va te manquer le plus ? Ça .. » commençais-je en agitant ma main tenant le sachet de stupéfiant. « Ou moi ? ». Il pourrait sans doute voir le désespoir dans mon regard. C'était clair que de nous deux, j'étais la plus atteinte. Il m'avait suffit de le revoir une seule fois, de comprendre qu'il faisait attention à moi pour que je me réveille, réveille mes sentiments.
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Voilà pourquoi Jules préférait s'approvisionner le soir plutôt que la journée : c'était moins risqué. Moins risqué de se faire prendre, moins risqué d'être vu par quelqu'un et surtout, moins risqué de d'être emmerdé. Ce qui était exactement le cas en cet instant et à sa plus grande surprise, il s'agissait d'Anastasia. Il n'en revenait toujours pas la trouver là, devant lui en cet instant précis et surtout ne comprenait pas ce qu'elle était en train de faire très exactement. La blonde semblait trouver cela amusant pourtant, vu le sourire qu'elle affichait et lui, ça le foutait encore plus en rogne. Joueur, Jules l'était mais là... non. Déjà parce qu'elle n'avait rien à faire ici et puis parce qu'elle l'agaçait plus qu'autre chose. "Quoi ?" lâcha-t-il en arrêtant de bouger pour rien, son regard passant de ce qu'elle tenait dans sa main à ses yeux. "Tu te fous de moi ?" Attendez, elle venait vraiment de lui demander ça ou bien ce n'était qu'un mauvais rêve ? Putain mais... ouais, il devait être en train de dormir, ce n'était pas possible autrement. Disparaître, elle l'avait déjà fait de toute façon. C'était d'ailleurs comme ça que la drogue était apparue... que c'était ironique. "J'ai vraiment pas envie de jouer là, alors donne moi ce putain de sachet Ana." Et si elle n'enlevait pas ce sourire mielleux de son visage tout de suite, il allait vraiment péter un câble. Trop, c'était trop.
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Je n'étais pas folle, juste.. audacieuse. Ou bien stupide. Je jouais avec le feu, Jules. Il me filait un mal de crâne à force et il ne pouvait s'en prendre qu'à lui quand je devenais chiante à mourir. Quand nous nous étions croisés à la mather house, il avait été horrible et j'avais simplement encaissé sans riposter. Puis, il y avait eu cette soirée étrange. Il m'avait fait son concours de coq, me kidnappant limite pour me ramener à la maison. Faut croire que je n'avais pas le droit d'aller là où il ne voulait pas que j'aille. C'était interdit en fait. Non Anastasia, interdiction d'aller à une soirée malsaine. Tu restes sagement à la maison. Puis, sois belle et tais toi. Alors fallait pas s'étonner quand je me rebellais à un moment donné et pour ça, je choisissais le moment où lui il faisait des conneries. J'avais attrapé le sachet de drogue sans me soucier des risques. Jules ne perdit pas de temps pour s'énerver et se débarrasser du dealer. Pour ma part, j'avais un large sourire aux lèvres, le sourire d'une folle très certainement. Au moins, je parlais avec le cœur, lui posant une question à laquelle il n'aura aucune réponse évidemment. « Quoi ? Tu te fous de moi ? » - « J'ai l'air ? » que je lui demandais au tac au tac. Je souriais toujours, lui laissant une deuxième chance de répondre à ma première question. « J'ai vraiment pas envie de jouer là, alors donne moi ce putain de sachet Ana. » J'haussais les sourcils, fourrant le sachet dans ma poche. « Non » que je disais en riant avant de tourner les talons et de m'éloigner.
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Non mais elle était vraiment sérieuse là ? Qu'est-ce que ça pouvait lui foutre franchement, de savoir ça ? Déjà qu'il n'aimait pas qu'on lui pose des questions, s'il y avait bien un truc que Jules détestait par dessus tout, c'était qu'en plus, c'était les "si". C'est vrai quoi, à quoi bon se prendre la tête pour un truc qui n'avait même pas lieu ? Enfin, là pour le coup ça avait eu lieu mais, ce n'était plus d'actualité et puis, si ça l'intéressait vraiment, elle aurait très bien pu tenter de le contacter lors de son départ pour le japon au lieu de le laisser en plan avec son "adieu" qu'il n'était pas prêt d'oublier. C'était vraiment du foutage de gueule, du moins du point de vue de Jules qui avait tout sauf envie de répondre à cette question complètement stupide. Il voulait juste récupérer sa drogue et retourner chez lui - même si ce n'était pas là qu'il était le mieux - sauf que ce n'était pas si simple, bien sûr. Madame avait vraiment décidé de l'emmerder aujourd'hui et n'avait pas l'intention de lui rendre ce qui lui appartenait. D'ailleurs, elle venait de le foutre dans sa poche, génial. Et elle croyait qu'il allait la laisser se barrer en riant ? Putain, mais c'était vraiment pas croyable. Serrant la mâchoire, Jules se passa la main dans les cheveux, commençant véritablement à perdre patience. "Tu trouves ça drôle ?" demanda-t-il froidement lui attrapant le bras pour l'empêcher de s'enfuir tout sourire. Il devait sûrement serrer trop fort mais là, pour être honnête, il n'en avait absolument rien à foutre. Elle l'avait cherché. "Qu'est-ce que tu veux ?" ajouta-t-il sur le même ton, la fixant droit dans les yeux, sa main toujours autour de son bras. Elle avait intérêt à lui répondre parce que contrairement à ce qu'elle devait penser, il ne savait pas. Pourquoi elle était là, pourquoi elle voulait les lui briser, juste pourquoi ?
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Je n'étais pas facile à suivre. Je pouvais l'entendre, l'admettre. Enfin... je pouvais l'entendre. Imaginez juste que les sentiments, je suis nulle avec ça. Je n'y connais rien. Le reconnaître, l'avouer c'est déjà énorme pour ma part, alors pour le reste, fallait pas trop m'en demander non plus. J'agissais de manière étrange, c'était un peu les montagnes russes, je devais certainement lui filer un mal de crâne. Mais bon, c'était comme ça. J'avais beau lui avoir dit "Adieu", j'avais tout de même dit que j'avais des sentiments pour lui. À l'heure actuelle, j'en avais toujours, d'ailleurs, il ne le savait pas, mais c'était pour lui que j'étais revenue. Et puis, c'était de pire en pire. J'étais amoureuse, peut-être même plus que ça, je n'en sais rien. Je pétais un plomb parce que j'avais du mal à comprendre et à lui parler, il me manquait. Je crois que je donnerais tout pour passer du temps à ses côtés, mais je n'avais aucune idée de comment faire. J'en étais arrivée à jouer avec lui pour attirer son attention. Je venais de lui piquer la drogue qu'il venait d'acheter sans me soucier du reste. Je lui posais une question à laquelle il ne donnait aucune réponse. Je riais, montrais un espèce de bonheur totalement absurde. J'étais à côté de mes pompes, je crois et n'ayant aucune réponse, je décidais de mettre la drogue dans ma poche et lui tourner le dos pour commencer à partir. « Tu trouves ça drôle ? » Pas vraiment en fait. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. Le mather attrapait finalement mon bras pour m'arrêter et me parler à nouveau. « Qu'est-ce que tu veux ? » Il semblait en colère, mais je m'en fichais. Mon sourire avait disparu et le sérieux était au rendez-vous. « Toi » que je lui confiais en le regardant dans les yeux. Lui, c'est lui que je voulais.
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Qu'est-ce qu'elle voulait ? C'était un peu LA question du moment voyez-vous, celle que Jules aurait déjà dû poser depuis bien longtemps en fait. Depuis le retour de la blonde, pour être exact. Elle avait d'abord cherché à lui parler lorsqu'ils s'étaient croisés en boîte mais bien sûr, il avait refusé. Ou du moins, le lui avait fait comprendre. Il n'y pouvait rien après tout si la rancune prenait le dessus sur le reste. Déjà qu'il n'était pas quelqu'un de très chaleureux d'ordinaire, fallait tout de même pas s'attendre à ce qu'il ne fasse un effort pour elle, alors qu'elle s'était barrée sans rien dire. Alors oui, qu'est-ce qu'elle voulait, ça Jules se le demandait bien, encore plus en cet instant précis, puisqu'elle était sortie de nul part pour lui dérober sa drogue. À croire qu'elle le suivait, tiens... Ça ne l'étonnerait pas tellement d'ailleurs, puisque une autre fois, c'était dans les escaliers de la mather house qu'ils s'étaient rencontrés. Et puis, au vu de ce qu'elle venait de lui répondre, aussi. Lui. C'était lui qu'elle voulait. Mais qu'est-ce que c'était censé vouloir signifier hein ? Il devait comprendre quoi là ? Qu'elle souhaitait qu'ils redeviennent comme avant ou... ? Surpris, Jules l'était. Certes, Ana venait de lui répondre et il n'y avait justement rien de plus perturbant que ça. Au fond de lui, le mather savait très bien ce que cela voulait dire mais comme toujours, il refusait tout simplement de l'admettre. Parce que pour lui, c'était juste pas possible qu'on puisse vouloir de lui, enfin pas dans ce sens particulier et jusque là, ça lui allait. Jusqu'à ce qu'elle ne vienne tout compliquer. Maintenant, il ne savait juste pas. Pas quoi penser, pas quoi faire et surtout, pas quoi dire. "Pour quoi ? Pour encore me dire adieu dans deux mois ?" finit-il par lâcher après un long moment de silence à simplement la regarder dans les yeux après avoir libéré son bras de son emprise. Son ton n'était plus aussi froid, ni son visage aussi dur, Jules avait laissé place à la neutralité. Pourtant, c'était presque une torture que de lui répondre de la sorte. Moi aussi. c'est ce qu'il aurait voulu dire.
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C'était sortie tout seul. Pas besoin pour moi de me forcer à avouer les choses. Je devenais peut-être folle, mais s'il y avait bien une chose dont j'étais certaine c'est que c'était lui dont j'avais envie. Il me manquait terriblement et plus je le voyais, plus c'était un supplice pour moi de me faire tant repousser. Peut-être que j'étais partie, que j'avais dit adieu, mais maintenant, j'étais de retour. J'étais là pour lui parce qu'il me manquait et plus j'avançais, plus je me rendais compte de mon erreur. Jules me le faisait payer de toute façon. Il était en colère à chaque fois que nous nous croisions, mais j'avais aussi appris à comprendre l'effet que je faisais sur lui. Je ne m'en servais pas à mes fins et tout le monde pouvait le comprendre en me regarder galérer à attirer son regard. Un petit mot de trois lettres, c'est tout ce que je trouvais à dire pour lui répondre. C'est lui que je voulais, personne d'autre. Le silence s'installa. Je me perdais dans son regard tout autant que lui dans le mien. Nous étions sérieux et son énervement était retombé. C'était horrible parce que j'attendais tellement de ce moment. J’espérais que quelque chose de positif en découle, mais quand je sentis sa main s'éloigner, mon cœur se brisa. « Pour quoi ? Pour encore me dire adieu dans deux mois ? ». Je n'allais jamais réussir à m'en sortir. Il remettait toujours les mêmes choses sur le tapis et je commençais sérieusement à fatiguer. « C'était une erreur. Je suis revenu pour toi, je n'ai pas envie de repartir.. » lui confiais-je dans un dernier élan, me jurant que s'il réagissait mal, je partirais.
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Est-ce que ça lui faisait plaisir d'entendre ça ? Que c'était lui qu'elle voulait ? Sûrement que oui, tout au fond de lui ça lui faisait quelque chose mais le problème, c'es que Jules était bien trop en colère pour voir les choses telles qu'il devrait les voir. La rancune prenait le dessus sur ses sentiments, pour une fois qu'il en avait alors oui, là tout de suite, ça donnait l'impression qu'il n'en avait rien à foutre de ce que la blonde venait de lui dire. Que ça ne lui faisait rien. Mais ce n'était pas le cas. Elle était revenue pour lui, soit disant. Après être partie sans rien dire. Juste un sms. Mais c'était une erreur. Soit disant. Est-ce qu'il la croyait ? Non. Est-ce qu'il avait envie de la croire ? Oui. Pourtant, il n'y parvenait pas. C'était pas vraiment le moment pour les confidences en fait, pas là tout de suite, en pleine rue et alors qu'elle venait de les lui briser plus que jamais. "Et t'espérais quoi ? Que je t'accueille les bras ouverts ?" C'était trop facile, ça. De revenir comme une fleur et de tenter de l'amadouer avec des pseudo déclarations. Mais ça ne marchait pas sur Jules. Monsieur l'insensible restait fidèle à lui-même, comme toujours. Trop têtu, comme toujours, trop fier. Et déçu, surtout. Oui, elle l'avait déçu, en disparaissant comme ça parce que s'il y avait bien une personne sur qui le mather comptait, une personne par qui il n'aurait jamais pensé se faire abandonner, c'était elle.
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