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Agabel - Following my instinct

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Agathe&Abel
•  Une fois de plus c'est partie en couille. J'ai suivi mon instinct, et j'ai la net impression que je n'aurais pas du. Comme un retour plusieurs années en arrière, je me suis foutu dans la merde, je me retrouve à devoir fuir, me cacher, esquiver, éviter. "Cours putain, on s'en fou, tu cours ! Faut qu'on se planque si tu veux pas finir en garde à vue merde !" Je n'étais pas tout seul non, mais pour vous expliquez ce qui a bien pu se passer pour qu'on se retrouve à deux heures du mat en train de courir, essayant de trouver des petites rues et des cachettes, il va falloir faire un petit retour en arrière de quelques heures. Une soirée de plus à ne pas savoir quoi faire, une soirée de plus à rester chez moi. Dernièrement, j'étais pas dans mon assiette, je ne savais pas trop ce qui se passait, mais disons que j'étais loin d'être en pleine forme. J'avais été voir Agathe, et on avait décidé d'aller marcher. Pourquoi ? C'est une activité de Quincy ça, la marche, mais... Je sais pas, prendre l'air, souffler, ça faisait du bien par moment. Bon, j'étais pas le mec à aller me balader à poil dans les bois pour être en totale communion avec la nature, mais voilà, par moment, ça me faisait du bien. Et, un évènement en enchainant un autre, on c'était retrouvé face à cette belle maison, décoré d'un millier de père Noël et autre fantaisie de noël. J'aime pas Noël. J'ai personne pour le fêter avec moi, j'suis seul en fait. Putain, dit comme ça, j'ai l'impression d'être un mec paumé, d'être un mec perdu, sans rien à quoi se raccrocher. C'est un peu ça, mais je m'y suis habitué, j'ai appris à vivre de la sorte. Bref, voir ça, ça m'a énervé, et j'ai eu envie de tout casser e fait, de tout démonter, rien à foutre de l'argent que les gens auraient pu mettre dedans, rien à foutre que leurs enfants en rêve. J'm'en fou, j'veux juste tout démonter, et, elle m'avait aider, elle avait accepté, ma folie avait été sienne, et, on avait tout démonté, comme de bons casseurs. Alors, quand on a entendu les sirènes de flics retentir, on a du fuir, et désormais, on devait continuer de fuir, trouver un coin pour se cacher, un coin pour éviter de se faire attraper... •
©junne.
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Abel était venu chez moi, je lui avais proposée de fumer un joint avec moi et comme nous voulions pas rester enfermer dans l'appartement, on avait décidés d'aller marcher. C'tait une façon pour moi de me changer les idées. Ça faisait déjà 1 an que mon jeune frère avait disparu, 1 an que j'vivais dans cet enfer à cause de lui. Il était la raison du pourquoi j'détestais Noël, à quel point je méprisais cette fête. Ensuite, il y avait Amare qui m'avait avoué pour son putain de cancer de merde. Il voulait pas que j'en parle à qui que ce soit et en retour, il était au courant que j'me mutilais. Il avait essayé de me faire cracher le morceau pour que j'lui explique le pourquoi du comment. C'était grâce à ma famille et à leur pression que j'faisais ça. Je n'avais pas voulue dire un mot de plus à Amare, je l'avais envoyée chier pour qu'il me laisse tranquille. J'étais ravi qu'Abel ait débarqué au bon moment pour me changer les idées, heureusement qu'il était là. Abel et moi on s'était retrouvés devant une maison décorée de façon totalement ridicule. Les milliers de lumières qui décoraient la baraque. Abel avait eu envie de tout démolir en voyant ça et j'le comprenais, moi non plus j'aimais pas Noël. J'avais besoin de me défouler moi aussi, j'avais acceptée de l'aider à foutre le bordel, détruire des trucs. Alors qu'on était en train de tout démolir, j'avais balancée un truc dans une fenêtre et la vitre s'était cassée. Le système d'alarme avait retenti et au loin, les sirènes des flics avaient eusx aussi retentit. Abel et moi on s'était direct enfuit. J'étais derrière Abel et je jetais des regards par-dessus mon épaule. Il avait dû s'en rendre compte puisqu'il me disait de continuer de courir et qu'on devait vite trouver une planque pour se cacher. J'analysais rapidement l'endroit où nous étions et putain, on pouvait se cacher nulle part. « Stooopp, j'vais crever putain! » Criais-je, alors que je ralentissais. J'pouvais pu respirer, j'avais la gorge sèche, mon coeur allait exploser. Je devais respirer un peu bordel. Je m'arrêtais brutalement, me retenant de justesse contre une poubelle pour pas trébucher sur le sol. J'aurais pas dû fumer avant putain.
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Agathe&Abel
•  "Is the season to be ta mère, falalalala lalalala" J'emmerde vos chants de Noël, j'emmerde, vos petits enfants tout mignon qui viennent chanter devant vos portes cette période de fête, avec leurs bonnet et leurs joues toute rose de froid. J'emmerde ces vieux alcooliques déguisés en père Noël qui viennent se faire prendre en photo avec des enfants et une arrière odeur d'alcool. J'emmerde ces familles parfaites où ils sont tous beaux, ces familles qui fourrent la dinde comme si c'était l'une des merveilles du monde. J'vous emmerde tous, vous et vos belles cartes de vœux, vos grands et longs repas, vos sourires hypocrites, vos cadeaux dégueulasses, vos bonnets de Noël et vos chien déguisés en reine. Bande de connard, vous avez cru quoi ? Vous avez cru que vous étiez mieux que tout le monde ? C'est Coca-Cola qui a inventé le père Noël, c'est une fête commercial, c'est de la merde, j'ai pas de famille bande d'enculé, j'ai personne pour le souhaiter avec moi, et je recevrais aucun cadeau. Ouais j'ai la haine, j'ai la haine de ne pas être comme tout le monde, de n'avoir pas grand monde à qui me raccrocher. J'ai la haine de ne plus avoir de grand parent, de famille, j'ai la haine contre ces gens heureux, car je sais que je ne le serais jamais comme eux. "Allez tous vous faire enculer !" Avais-je hurlé en regardant le ciel pendant notre course vers la liberté. Qu'ils aillent tous se faire enculer, j'en ai rien à foutre, et je vous le montre en détruisant tout votre bonheur. Jalousie haine et drogue, un mauvais mélange auquel je m'étais malheureusement habitué. Je cours, je cours pour éviter de me faire attraper, je cours pour ne pas finir notre nuit en cellule de dégrisement et devoir rembourser les frais. Je cours, je cours jusqu'au moment où je l'entends gueuler derrière moi. Je m'arrête, explosant de rire en la voyant accoudé à une poubelle, limite en train de mourir, crachant ces poumons. "Même pas en rêve on se cache dans la poubelle !" Je regardais à droite, à gauche, un peu partout, il nous fallait un endroit ou nous cacher, on pouvait pas rester ici, à découvert. "Oh regarde, on va escalader cette merde et aller sur le toit !" Un échafaudage de chantier face à un bâtiment en rénovation. D'en haut, on pourrait tout voir, on pourrait jeter des trucs sur les passants ou les voitures, alors, je tendis ma main vers elle pour qu'elle l'a prenne, pour l'aider à avancer. •
©junne.
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Plus on courrait et plus j'avais l'impression que les bruits des sirènes se rapprochaient. J'avais balancée un truc dans une vitre pour tenter de trouver la serrure de la porte. Sauf que je venais de déclencher le système d'alarme. Tout ce vacarme avait réveillé le voisin et cette famille. Abel et moi on s'était cassés sans plus attendre. On courrait sans savoir où on allait. Il y avait nos empreintes là-bas, les flics finiraient par nous retracer. J'voulais pas finir ma nuit en cellule et j'avais pas le fric pour payer ma caution et celle d'Abel. On ne devait rien à personne, c'était notre façon à nous d'exprimer toute cette colère que nous ressentions vis-à-vis de Noël. Abel hurlait en regardant le ciel. Je continuais de regarder derrière moi et j'essayais de le rattraper. « Ta gueule putain! »  Hurlais-je, à demi essoufflée. Il voulait réveiller le voisinage ou ça se passait comment? C'était pas le moment-là, nous avions déjà des ennuis à l'heure actuelle. Il était trop rapide pour moi qu'au bout d'un moment, je ralentissais ma course pour finalement m'arrêter en me retenant de justesse contre une poubelle. Je me penchais ensuite vers l'avant, appuyant mes deux mains sur mes cuisses pour retrouver mon souffle. Abel s'était arrêté et il rigolait en me voyant. Il était hors de question pour lui qu'on se cache dans une poubelle et là-dessus, j'partageais son avis. « On n'y rentrerait même pas tous les deux t'façon. » Soufflais-je alors que j'essayais de reprendre mon souffle. Lorsque je me redressais, Abel regardait un peu partout, histoire de nous trouver une planque. Nous étions dans la merde. Il me pointait un échafaudage de chantier qui se trouvait face à un bâtiment en rénovation. Oui pourquoi pas, il n'y avait pas d'autre solution. Il se retournait et me tendait sa main pour que je la prenne. « Tu m'lâches pas okay? Sinon je te pousse en bas. » Disais-je en affichant un sourire. J'avais pas peur des hauteurs.. mais disons que j'avais un peu peur des échafaudages. Je prenais sa main. « Faut pas rester ici bordel! »  
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•  Noël, ça me donne envie de chier. Vous savez, c'est comme quand vous fumer votre première clope matinale et que directement après, vous passez par les toilettes, là, c'est pareil avec Noël, j'aime pas, et franchement, je sais pas si un jour ça changera, je sais pas si dans le futur, j'apprécierais cette fête. Au jour d'aujourd'hui, j'en ai rien à foutre, ça me met sur les nerfs, ça me donne envie de tout péter, de tout casser, de tout brûler, et... C'est un peu ce que j'avais fait ce soir, j'avais eu envie de tout casser, de tout niquer, j'avais eu envie de faire passer ma colère et ma haine de cette façon. De laisser tout ça sortir, histoire de me sentir mieux, mais... C'est comme dans les films, quand ce mec va se venger d'un autre mec en le tuant, ça ne ramène pas la personne disparu, et la douleur reste la même. Tristesse qui n'est autre que ma vie. Mais bon, ça m'avait fait du bien, sur le coup, ça m'avait fait du bien de tout casser, et ça, même si cette famille n'avait rien fait pour mériter ça, ils avaient simplement décidé d'être heureux. J'm'en branle. L'année prochaine ils n’achèterons pas de décoration et voilà, j'en ai rien à foutre merde. Alors on fuis, comme des lapins drogués, on court pour ne pas se faire attraper, pour ne pas finir la nuit en prison, pour ne pas avoir à payer nos dégâts. Laisser nous tranquille putain. "On peu toujours essayer de s'emboiter." Face à cette poubelle, je me rendis compte du double sens de ma phrase, non, on va pas jouer à Tetris... On devait se cacher, on devait trouver un coin pour ne pas se faire attraper, et putain, ce bâtiment en construction était l'endroit parfait, on allait pouvoir monter sur le toit, et merde, les flics sont con non ? Genre ils mangent des donuts et on un gros ventre ? Ils vont surement pas s'y risquer, ils ont pas la force pour grimper, alors là haut, on sera tranquille. "C'est bon j'vais pas te lâcher, arrêter de flipper là !" Attrapant ma main, je la tira vers moi pour nous rendre face à cet échafaudage. "Bon grimpe, j'passe derrière toi, comme ça si tu tombes, j'te rattrape comme dans les films !" J'vais pouvoir aussi mater ton cul par la même occasion, mais bon, j'vais plus être river sur où j'vais poser mes mains pour éviter de me casser la gueule, ça sera pas plus mal. •
©junne.
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Noël était loin d'être ma fête préférée. Je me souviens lorsque j'étais gosse, j'adorais la magie de Noël, passer du temps en famille, profiter de chaque moment. Plus je vieillissais et plus, je trouvais ces fêtes ringardes et ennuyantes. J'avais commencée à consommer à mes 13 ans. J'étais devenue dépendante de la drogue, des boissons, des fêtes, je me rebellais contre l'autorité de mes parents. J'comptais pu les nombres de fois où j'avais fait le mur. J'étais de moins en moins présente lors des festivités et lorsque j'y étais, bah je finissais par me casser. Cette année, je n'avais pas répondue à l'invitation de mes parents. Je m'étais disputée pour une énième fois avec mes frères qui jugeaient mes fréquentations, mon mode de vie et blablabla. Puis.. j'avais pas envie de fêter avec eux, je repensais sans cesse à mon petit frère disparu durant le réveillon de Noël. Donc non merci les parents, je n'y serais pas. J'étais contente de passer Noël en compagnie d'Abel. Ce mec, c'tait comme mon frère. J'avais trouvé en lui une sorte de refuge. Il avait le don de m'apaiser sans le savoir et c'tait pas du tout mon genre d'exprimer quoi que ce soit, du coup il ignorait tout. Je lançais un regard à Abel, s'emboîter? Ça puait le double sens tiens. « Même pas en rêve sale pervers. » Disais-je, en lui faisant un clin d'oeil. Il réfléchissait aux différentes options qui s'offraient à nous. On ne pouvait pas rester ici, c'était trop dangereux. Puis, il pointait le bâtiment. Il fallait grimper par l'échafaudage pour s'y rendre. Il me tendait sa main que j'attrapais. J'le menaçais par la même occasion, il n'avait pas intérêt à me lâcher. Il me disait d'arrêter de flipper, alors qu'il me tirait vers lui. On s'avançait vers l'échafaudage alors qu'on se tenait toujours la main. Il me relâchait la main et il m'ordonnait de passer devant lui et dans le pire des cas, il allait me rattraper comme dans les films si j'tombais.  « T'es trop défoncé pour me rattraper.  » Lâchais-je en lui lançant une pique amicale. Même moi j'étais défoncée à l'heure actuelle. Je posais mes deux mains sur les bouts métalliques et je commençais à grimper, lentement mais j'essayais d'être rapide. C'tait pas simple dans un état pareil.  « Tu vas m'expliquer qu'est-ce qu'il se passeee avec toi ce soir?  » Demandais-je avec curiosité. Abel ne se confiait pas trop et j'savais qu'il y avait un truc qui le tracassait. Je réagissais comme lui au moindre soucis.  
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Agathe&Abel
•  Faire confiance rapidement, c'est pas dans mes gênes, c'est pas dans mon caractère ou ma façon de faire. J'suis quelqu'un d'assez distant et réservé, malgré le fait que je parle facilement et m’intègre rapidement dans un groupe de personne. Je n'aime pas parler de ma vie, de mon passé, confier toutes mes conneries et mes peines passés à des personnes qui finiront surement pas me décevoir. Je m'accroche rarement aux gens, comme une amitié éphémère, je ne m'attache pas, je vis le moment présent sans penser au lendemain, sans penser au futur. Sauf qu'étrangement, avec Agathe, c'était bien différent de tout ça. J'avais confiance en elle, je savais que si je lui confiais ma vie, elle ne me la rendrait pas plus amoché qu'elle ne l'est déjà, j'serais surement défoncé, complètement perché à  cause de je ne sais quelle connerie qu'elle m'aura fait essayé, mais... Vous voyez ce que je veux dire, je sais que je peux lui faire confiance les yeux fermés. Nous étions deux électrons libres, deux personnes sur qui la vie c'était acharné, on avait notre façon de faire, notre façon de voir le monde et de détester les autres, et, j'pense que c'est ça qui nous rapprochait. Elle était comme moi, sauf qu'elle était une femme. "C'est fou rien que tu penses au cul ! Je cherchais une solution pour se cacher moi, rien de pervers !" C'est faux, c'est complètement faux car lorsque cette phrase est sortie de ma bouche, j'me suis rapidement rendu compte de son double sens, et, je crois que même moi, je ne croyais pas à mes justifications. Mais bon, passons et sortons nous de ce gros bordel qu'on a foutu. On doit monter, on doit prendre la fuite en passant par ici, une épreuve de plus pour deux personnes défoncés, et, elle ne tarda pas à me le faire remarquer, à me faire savoir que si elle tombait, je n'arrivais pas à la ramasser. "Putain t'as raison... Tombe pas alors, ça serait dommage que tu m'emportes avec toi dans ta chute." J'vois déjà la scène et la une des gros titres, rien de bien glorifiant pour nous putain. Alors on va se concentrer, on va y aller doucement, tranquillement et bien s'accrocher. J'ai bien vécu, mais pas assez encore, je ne compte pas mourir aujourd'hui, je veux juste vivre et fuir cette merde dans laquelle on c'est foutu, et le toit de ce bâtiment est la meilleure solution, la meilleure planque qui s'offre à nous. Je la laisse prendre de l'avance, elle monte doucement certes, mais elle monte quand même. Après quelques mètres de fait, je agrippa à mon tour pour monter, mais putain, faut qu'on se dépêche d'aller se mettre en haut. "Bah rien, j'aime pas Noël c'est tout..." Que voulez vous que je lui dise de plus ? Que j'aime pas Noël car j'ai personne avec qui le fêter ? Que j'aime pas Noël car personne ne va me le souhaiter ? Que personne ne va me préparer à manger ? Putain non... •
©junne.
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Je ne faisais pas confiance dès le départ, j'étais une sauvageonne qu'on devait apprivoiser. C'était une façon pour moi de me protéger et chaque fois que je rencontrais une nouvelle personne que j'connaissais pas, j'étais méfiante. J'analysais ses moindres gestes, son comportement et sa façon d'être. J'me confiais pas tellement, j'aimais pas parler de moi et il n'y en avait pas une tonne en qui j'avais une confiance aveugle. Abel il était différent. Il était un voyou comme moi, il partageait mes valeurs, on se rejoignait sur pas mal de points. Le soir où il y avait eu ce bordel avec ce putain de dealer, j'avais demandée à Abel de me vendre du cannabis. Et c'est ce qu'il avait fait. Il m'avait refilé cette merde que j'adorais. Il était non seulement un de mes amis proches, ce mec avec qui je pouvais faire des trucs hors-la-lois, il était également mon dealer. C'tait le chef de la bande, avec qui j'avais braquée une bijouterie. Abel je le considérais comme un membre de ma famille, j'étais prête à faire n'importe quoi pour lui. Ce dernier me reprochait de ne penser qu'au cul. Je lui jetais un regard faussement offusquée. « C'est toi qui a sorti une phrase à double sens, j'étais censée le prendre autrement ou ça se passe comment putain?! » Mon cul que j'étais une perverse ouais. Je prenais rapidement sa main qu'il me tendait, alors qu'on se dirigeait vers l'échafaudage. Je posais mes mains sur les bouts métalliques et avant de grimper, je lui faisais remarquer qu'il était trop défoncé pour me rattraper si jamais je tombais. Il confirmait mes dires, en ajoutant que ça serait dommage que je l'entraîne avec moi dans ma chute. « T'en fais pas, j'te ferais du bouche-à-bouche. » Répondais-je sans me retourner. Je grimpais en premier et j'essayais d'y aller rapidement, j'avais pas envie que les flics nous surprennent. Je lui posais une question, parce que j'me demandais qu'est-ce qu'il avait ce soir. Je continuais d'escalader, jusqu'à atteindre le premier palier. J'voyais une échelle et je m'approchais de celle-ci. « Moi non plus j'aime pas Noël.. j'sais pas pourquoi cette fête ridicule existe. » Disais-je en secouant la tête de gauche à droite.
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Agathe&Abel
•  Je cours jusqu'à m'en griller les poumons, je cours pour éviter tout problème qui pourrait survenir suite au bordel qu'on a décidé de foutre ce soir. Je cours rapidement, mais je reste à bonne distance d'Agathe, je vais pas la perdre de vue, on doit rester ensemble, on c'est foutu à deux dans cette merde, on s'en sortira à deux. Alors on cours, j'crois d'ailleurs que c'est la première fois de ma vie que je la vois courir, plutôt exceptionnel non ? "C'est dans ta tête qu'elle avait un double sens la phrase..." J'aimais la taquiner, j'aimais quand elle s'énervait, quand elle était à deux doigts de me foutre des claques. J'trouvais ça mignon en fait, allez comprendre pourquoi... Devant ces grandes barres, ces tubes en acier, on commença à grimper, à les monter assez rapidement pour fuir, pour aller se cacher et se faire tout petit. Un minimum de rapidité, mais il fallait tout de même faire attention à ne pas se casser la gueule, à ne pas rater une marche et finir le cul éclaté par terre, sur le béton qui lui, ne te fera pas de cadeau. "Jvais peut-être faire semblant de tomber alors !" C'est vrai, elle me propose du bouche à bouche, ça doit pas être si dégueu que ça ? Sauf qu'on a pas le temps pour ces conneries, on doit monter, on doit aller se cacher en haut. Arrivé au premier palier, l'échelle qui allait nous faire monter sur le toit se présentait à nous. Noël, j'aime pas, je déteste même, j'trouve ça trop beau pour qu'on puisse avoir la chance de le fêter, j'trouve ça trop joyeux pour moi. Connerie. "Vient on crée notre propre Noël ?" Avais-je dit en attrapant l'échelle pour monter sur ce putain de toit. Putain, y'a pas à dire, c'est du sport quand même tout ce bordel, c'est pas simple de tout monter sans se casser la gueule... Mais je vois l'arrivé, je vois que l'endroit où nous allons être en sécurité est à quelques mètres... •
©junne.
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Je levais mon majeur à l'intention d'Abel qui continuait de prétendre que tout ça venait de ma tête. J'étais pt'être défoncée, tout comme lui mais je savais ce que j'avais entendu. J'savais qu'il essayait de nier les sous-entendus. Il était pire que moi sur le cul celui-là, clairement. « Tu déteins sur moi, j'y peux rien! » Disais-je, il n'allait pas commencer à me reprocher des trucs alors que c'tait lui le seul coupable. J'savais que j'avais raison, donc s'il pouvait fermer sa gueule ça serait super. J'étais sûr qu'il voulait que je m'énerve, c'était typique d'Abel ça. J'escaladais la première, Abel étant derrière moi. Je riais lorsqu'il me disait qu'il ferait semblant de tomber. Il n'y avait aucun sous-entendu dans ma phrase, parce que parfois il m'arrivait d'aguicher les mecs.. mais Abel c'tait pas le cas. « Ça serait pas une tactique pour foutre ta langue dans ma bouche? » Demandais-je amusée. J'avais rapidement oubliée ce début de conversation, j'savais pu de quoi on parlait en fait. On avait atteint le palier et je lui confiais que j'comprenais pas pourquoi Noël existait. On détestait cette fête tous les deux. J'escaladais ensuite l'échelle, regardant vers le haut. Nous étions presque arrivés. Mon ami me proposait de créer notre propre Noël. Il avait lu dans mes pensées, parce que j'étais justement en train d'y penser. Abel était ma famille maintenant. « Un Noël à notre image, fuck les classiques. » M'exclamais-je. J'arrivais finalement tout en haut du toit, je me poussais sur le côté avant de me laisser tomber sur le sol. Abel me rejoignait par la suite. 
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