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When the night become wild.
« Je t'avais dis de ne pas traîner tard le soir !»
"Alek". C'était tel qu'elle venait de le prononcer. C'était sorti de sa bouche, et je ne savais pas si oui ou non, elle l'avait pré-méditer. C'était mon surnom. Tout le monde a un surnom avec des personnes intimes, ou de la famille ou autre. Or, je l'avais giflée quelques semaines auparavant. J'avais osé lever la main sur elle. Je restais là, ma bière à la main, à boire quelques gorgées en lui expliquant ce que je pensais de tout ça, sans pour autant dévoiler le fin fond des mes pensées. Elle s'approcha alors de ma joue et me murmura quelques mots au creux de l'oreille.
Je sentais son souffle s'écraser sur ma jugulaire tandis que ses lèvres allaient me chatouiller la joue au fur et mesure qu'elle les entrouvraient : "Je souriais." Sourire pour mentir, sourire pour faire croire qu'on était heureux, normaux, que tout allais bien.. C'était connu. Qui ne le faisait pas ? Moi même, je le faisais. Par fierté, ou par contradiction. Je mordillais légèrement ma lèvre inférieur avant de la fixer. Elle avait été si stupide. " Voila ce que je faisais en compagnie de mes amies, et ca marchait a tous les coups. ... et qu'est ce que t'en sais de si 'je t'avais connue avant je t'aurais pas laisse faire' ? Tu crois que j'ai appelle qui que ce soit pour prevenir ? Tu ne me connais pas, t'aurais rien su du tout, comme mes amies. "
- Moi tu m'aurais appelé, et je ne t'aurais pas laissée dans une telle situation. Tu m'aurais dis que tu avais besoin d'aide que je serais venu Solweig, parce-que le pauvre connard que je suis, je sais ce que c'est que d'être malheureux. Je serrais la mâchoire et ravalais doucement ma salive. J'essayais de gagner sur mes émotions, et c'était bien difficile. Je ne savais pas qui était cette fille au fond, et il était sur que si elle me bousculait une nouvelle fois à la sortie d'un cours, je la traiterais de la même façon. Mais, ce soir, j'avais ressenti l'étrange besoin de la protéger. J'avais été là en cas de besoin, depuis, je sentais que si je la lâchais, personne ne prendrait soin d'elle. Je baissais un instant les yeux, ma bière finit à la main. Il faisait nuit noire et le vent se levait. Après cette discussion, Solweig finit par me tendre une cigarette. J'esquissais un sourire à son encontre, j'avais l'air si en manque que cela ? Je l'attrapais et lui fit un clin d'oeil de remerciement avant de l'allumer et en tirer une longue bouffée. Cet instant parut bizarre, nous nous fixâmes un long moment, sans mot, ni gène. Alors que je recrachais de nouveau la fumée du tabac, je retirais ma veste pour me retrouvé en Marcelle blanc. Je la tendais vers elle, sachant qu'elle ne devait pas avoir bien chaud avec sa robe moulante. Je regardais l'état de sa main alors qu'elle tenait sa bière en buvant et n'imaginais même pas l'état de mon arcade.
- Si tu veux, je t'emmène à mon studio. C'est là bas que je passe la nuit ce soir, j'aurais surement quelque chose pour ta main. Et tu rentrerais à Harvard. Je la fixais un instant dans les yeux, sans sourire apparent : C'est juste une simple proposition.
Je sentais son souffle s'écraser sur ma jugulaire tandis que ses lèvres allaient me chatouiller la joue au fur et mesure qu'elle les entrouvraient : "Je souriais." Sourire pour mentir, sourire pour faire croire qu'on était heureux, normaux, que tout allais bien.. C'était connu. Qui ne le faisait pas ? Moi même, je le faisais. Par fierté, ou par contradiction. Je mordillais légèrement ma lèvre inférieur avant de la fixer. Elle avait été si stupide. " Voila ce que je faisais en compagnie de mes amies, et ca marchait a tous les coups. ... et qu'est ce que t'en sais de si 'je t'avais connue avant je t'aurais pas laisse faire' ? Tu crois que j'ai appelle qui que ce soit pour prevenir ? Tu ne me connais pas, t'aurais rien su du tout, comme mes amies. "
- Moi tu m'aurais appelé, et je ne t'aurais pas laissée dans une telle situation. Tu m'aurais dis que tu avais besoin d'aide que je serais venu Solweig, parce-que le pauvre connard que je suis, je sais ce que c'est que d'être malheureux. Je serrais la mâchoire et ravalais doucement ma salive. J'essayais de gagner sur mes émotions, et c'était bien difficile. Je ne savais pas qui était cette fille au fond, et il était sur que si elle me bousculait une nouvelle fois à la sortie d'un cours, je la traiterais de la même façon. Mais, ce soir, j'avais ressenti l'étrange besoin de la protéger. J'avais été là en cas de besoin, depuis, je sentais que si je la lâchais, personne ne prendrait soin d'elle. Je baissais un instant les yeux, ma bière finit à la main. Il faisait nuit noire et le vent se levait. Après cette discussion, Solweig finit par me tendre une cigarette. J'esquissais un sourire à son encontre, j'avais l'air si en manque que cela ? Je l'attrapais et lui fit un clin d'oeil de remerciement avant de l'allumer et en tirer une longue bouffée. Cet instant parut bizarre, nous nous fixâmes un long moment, sans mot, ni gène. Alors que je recrachais de nouveau la fumée du tabac, je retirais ma veste pour me retrouvé en Marcelle blanc. Je la tendais vers elle, sachant qu'elle ne devait pas avoir bien chaud avec sa robe moulante. Je regardais l'état de sa main alors qu'elle tenait sa bière en buvant et n'imaginais même pas l'état de mon arcade.
- Si tu veux, je t'emmène à mon studio. C'est là bas que je passe la nuit ce soir, j'aurais surement quelque chose pour ta main. Et tu rentrerais à Harvard. Je la fixais un instant dans les yeux, sans sourire apparent : C'est juste une simple proposition.
Solweig & Aleksey.
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