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feat. NIALL HORAN
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svali vilborgsson
Nom Vilborgsson, un accent typique du nord de l'Europe, hérité de son père Vilborg et de sa masculinité.Prénom(s) Svali, plutôt commun dans son pays natal, il sonne comme un blizzard au-delà de l'océan. Âge Vingt ans, à quelques mois de la majorité. Date de naissance Un certain treize novembre 1996, une nuit enneigée. Lieu de naissance Dans une clinique privée de Reykjavik, à quelques minutes des sources vivifiantes de la contrée.Statut amoureux Des sentiments que la raison ne peut expliquer, un chaos du subconscient, un récit semé d'embûches. Orientation sexuelle Homosexuel frustré et refoulé. Classe sociale Digne héritier de la fortune de mon père aujourd'hui veuf, je n'ai jamais manqué de rien. Études majeures Médecine.Études mineures Français.Job Aucun, l'argent ne manque pas, et il est préférable de dire que mon temps est précieux.Choix de groupe #1 Eliot HouseChoix de groupe #2 Dunster House
GROUPE 1.
Eliot House — Pourquoi rejoindre l'Eliot House ? Parce que cela ne ferait que perpétrer la tradition de la famille Vilborgsson, la première famille islandaise à être acceptée par la prestigieuse Harvard University, et tous ceux qui y sont passés, ont rejoint les rangs de l'Eliot House. La notoriété de ce patronyme relié à l'excellence du tourisme islandais en fait un avantage de choix. Fiers membres de l'église évangélique-luthérienne d'Islande, aucun membre n'a pu échapper au cercle très restreint de la maison, chacun défendant avec arrogance ses valeurs et son patrimoine. Je ne déroge pas à la règle, ou tout du moins, pas ouvertement. Toujours un brin distant et glacial envers les autres, je ne vis que pour la pérennité et la gloire de ma famille, mettant au second plan mes envies personnelles et mes sentiments. Rejoindre l'Eliot House, c'est enfoncer le couteau dans cette plaie béante, embrasser mes démons, et prouver que je suis un digne Vilborgsson.
GROUPE 2.
Dunster House — Bien que l'hôpital ait brisé à plusieurs reprises mes rêves de carrière, je n'en suis pas moins persévérant. Personne n'a réussi à vaincre ma maladie, pourquoi ne pourrais-je pas vaincre celle des autres ? Destiné à travailler dans le tourisme pour succéder à mon père, il m'a néanmoins laissé faire ce que je voulais lorsque les médecins ont diagnostiqué ma mucoviscidose. Je ne travaille pas pour l'argent, loin de là, étudier est devenu pour moi une échappatoire, reclus dans ma solitude, je peux passer de longues heures à bouquiner l'anatomie ou la biologie.
Eliot House — Pourquoi rejoindre l'Eliot House ? Parce que cela ne ferait que perpétrer la tradition de la famille Vilborgsson, la première famille islandaise à être acceptée par la prestigieuse Harvard University, et tous ceux qui y sont passés, ont rejoint les rangs de l'Eliot House. La notoriété de ce patronyme relié à l'excellence du tourisme islandais en fait un avantage de choix. Fiers membres de l'église évangélique-luthérienne d'Islande, aucun membre n'a pu échapper au cercle très restreint de la maison, chacun défendant avec arrogance ses valeurs et son patrimoine. Je ne déroge pas à la règle, ou tout du moins, pas ouvertement. Toujours un brin distant et glacial envers les autres, je ne vis que pour la pérennité et la gloire de ma famille, mettant au second plan mes envies personnelles et mes sentiments. Rejoindre l'Eliot House, c'est enfoncer le couteau dans cette plaie béante, embrasser mes démons, et prouver que je suis un digne Vilborgsson.
GROUPE 2.
Dunster House — Bien que l'hôpital ait brisé à plusieurs reprises mes rêves de carrière, je n'en suis pas moins persévérant. Personne n'a réussi à vaincre ma maladie, pourquoi ne pourrais-je pas vaincre celle des autres ? Destiné à travailler dans le tourisme pour succéder à mon père, il m'a néanmoins laissé faire ce que je voulais lorsque les médecins ont diagnostiqué ma mucoviscidose. Je ne travaille pas pour l'argent, loin de là, étudier est devenu pour moi une échappatoire, reclus dans ma solitude, je peux passer de longues heures à bouquiner l'anatomie ou la biologie.
APRÈS LA BOMBE.
Allongé sur mon lit d'hôpital, en train de passer une batterie de tests concernant mes poumons et mon pancréas, la chaîne d'informations de la ville coupa le programme en cours pour un flash spécial. Des explosions se firent entendre à l'université, et des étudiants furent pris en otage dans l'enceinte du bâtiment. Mon sang ne fit qu'un tour, et je me jetai sur mon téléphone, envoyant un message à [prénom] (scénario meilleur ami) pour savoir si quelque chose lui était arrivé. L'anxiété pris le dessus sur la raison, mes poumons se détraquant, m'empêchant de respirer correctement, jusqu'à ce qu'un message vienne me rassurer. Tout allait pour le mieux. Les jours suivant furent rudes à l'université, l'ambiance était morose, et chacun avait perdu un bout d'être.
Allongé sur mon lit d'hôpital, en train de passer une batterie de tests concernant mes poumons et mon pancréas, la chaîne d'informations de la ville coupa le programme en cours pour un flash spécial. Des explosions se firent entendre à l'université, et des étudiants furent pris en otage dans l'enceinte du bâtiment. Mon sang ne fit qu'un tour, et je me jetai sur mon téléphone, envoyant un message à [prénom] (scénario meilleur ami) pour savoir si quelque chose lui était arrivé. L'anxiété pris le dessus sur la raison, mes poumons se détraquant, m'empêchant de respirer correctement, jusqu'à ce qu'un message vienne me rassurer. Tout allait pour le mieux. Les jours suivant furent rudes à l'université, l'ambiance était morose, et chacun avait perdu un bout d'être.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Personne ne s'attendait à ce genre d'incident. Tour à tour, les jeunes femmes relataient des agressions sexuelles, suivant toutes le même schéma, ayant raison commune. La peur avait commencé à prendre part des maisons, l'heure n'était plus à la fête mais à la méfiance. On s'inquiétait, les uns pour les autres, et malheureusement pour moi, ces horreurs ne firent que renforcer mon côté ermite. Par peur de briser cette carapace, je ne fis que m'enfermer un peu plus, refusant de dialoguer pour laisser échapper la terreur. Les maisons furent fermées, et je me souvins avoir passé quelques jours, dans ma petite maison, à ressasser ce qui était arrivé, à refaire le monde, comme s'il pouvait s'agir de ma personne, à la place des jeunes femmes et des otages.
Personne ne s'attendait à ce genre d'incident. Tour à tour, les jeunes femmes relataient des agressions sexuelles, suivant toutes le même schéma, ayant raison commune. La peur avait commencé à prendre part des maisons, l'heure n'était plus à la fête mais à la méfiance. On s'inquiétait, les uns pour les autres, et malheureusement pour moi, ces horreurs ne firent que renforcer mon côté ermite. Par peur de briser cette carapace, je ne fis que m'enfermer un peu plus, refusant de dialoguer pour laisser échapper la terreur. Les maisons furent fermées, et je me souvins avoir passé quelques jours, dans ma petite maison, à ressasser ce qui était arrivé, à refaire le monde, comme s'il pouvait s'agir de ma personne, à la place des jeunes femmes et des otages.
CARACTÈRE
ambitieux ☆ attachant ☆ boudeur ☆ câlin ☆ cultivé ☆ distingué ☆ émotif ☆ hautain ☆ humble ☆ instable ☆ introverti ☆ jaloux ☆ maladroit ☆ mystérieux ☆ paisible ☆ persévérant ☆ possessif ☆ romantique ☆ sensible ☆ timide
ambitieux ☆ attachant ☆ boudeur ☆ câlin ☆ cultivé ☆ distingué ☆ émotif ☆ hautain ☆ humble ☆ instable ☆ introverti ☆ jaloux ☆ maladroit ☆ mystérieux ☆ paisible ☆ persévérant ☆ possessif ☆ romantique ☆ sensible ☆ timide
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle sam et j'ai nineteen yo. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart. alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise niall comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 300-1500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi-même.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par idk, le plus simple pour vous (s'il faut choisir hum : tate l. murray/azraël-sky/margot weasley/zeke tindall/adriel rhodes)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
Mot de la fin ? ▲
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je veux être parrainé si oui, par idk, le plus simple pour vous (s'il faut choisir hum : tate l. murray/azraël-sky/margot weasley/zeke tindall/adriel rhodes)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u6920]►[/url] ► <span class="pris">NIALL HORAN</span> “ Svali Vilborgsson ”[/size]
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> “ Pseudo ”[/size]
- L'histoire de Svali:
- I'll be waiting for you
Les médecins me diagnostiquèrent à l'âge de seize ans, une mucoviscidose, aussi connue sous le nom de maladie des mucus visqueux. Pendant quelques semaines, mon père me cacha cette anomalie, pensant que moins j'en savais, mieux je me porterais. D'un côté, il n'avait pas tord. D'un naturel plutôt enjoué, et chaleureux, l'annonce de la maladie brisa tous mes espoirs. Pendant plus d'une semaine, l'adolescent fragile que j'étais, se posa un nombre incalculable de questions, ne voulant pas manger ou très peu, ne savant pas réellement comment réagir face à ce genre de nouvelle. Je voulais mourrir, tout simplement. Pourquoi se battre ? La mort n'est qu'une question de temps après tout. Jusqu'à la fin de mes jours, ou presque, j'allais devoir suivre un traitement lourd, et consistant. Des rendez-vous hebdomadaires interminables à l'hôpital, des séances chez le psychologue, des médicaments à avaler quotidiennement, voilà ce qui m'attendait si je décidais de me battre. Tout au long de mon existence, j'enchaînerai les infections pulmonaires. L'effort me sera insupportable, puis cela deviendra constant. Ma respiration se coupera sans cesse. Je serai là à cracher mes poumons pour faire sortir ce venin qui me possède. Le mal de tête sera bien plus présent, m'empêchant de me concentrer sur les choses qui me passionnent. La maladie, c'est bien plus que cela. Quand est-ce que j'allais mourrir ? À quel âge ? Une altération du foie et du pancréas, m'empêchant de manger ce que bon me semble, me laissant des douleurs abdominales parfois affreuses. Ce n'était pas la vie que je voulais. Non. Et pourtant je suis encore là. Pourquoi ? Parce qu'après tout, il suffit d'une étincelle pour raviver la flamme.
Il n'était pas question d'aller dans la meilleure université du pays, non. Il n'était pas question non plus d'aller dans le pays d'à côté. Il était question de la plus prestigieuse université au monde. Lorsque l'on est malade, on ne fait pas les choses à moitié, voilà tout. Autant dire que la période d'admission à l'université fut plutôt rude, il s'agissait de tout donner pour réussir. L'argent n'était pas un problème, loin de là, mon père m'avait même encouragé à postuler à Harvard. De plus, les médecins ne voyaient pas d'inconvénient à ce que je change de pays pour étudier, tant que je suivais mon traitement et que je me rendais chaque semaine aux rendez-vous de contrôle à l'hôpital. De longs mois de révisions me permirent d'atteindre un score de 2300 aux SATs, de quoi me redonner un peu d'espoir, cette petite étincelle qu'il me manquait. Pour mon père, ce ne fut pas une surprise de voir que mon essai traitait de ma maladie, de comment je l'avais vécue, mais pour ma part, l'écriture de ce rendu fut un long chemin de souffrance. Un travail sur ma propre existence. Je ne voulais pas non plus blâmer sur de longues pages blanches le destin tragique d'un malade, non. Je voulais avant tout prouver que j'avais ma place dans cette université, et pourquoi je voulais entrer à Harvard. Personne n'avait réussi à me sauver, alors pourquoi ne pourrais-je pas tenter de sauver les autres ? Après tout, c'était un devoir méritant. Discours argumenté bien plus qu'une ode à la médecine, tout cela me valu un entretien au sein même d'Harvard. Voilà maintenant trois années que je parcours les allées de cette prestigieuse université, fier de mon parcours et de ma réussite, prêt à tout pour continuer sur ce chemin.
Septembre 2016, première soirée de l'année.
La fête battait son plein, l'alcool coulait à flot, et l'ambiance était plutôt chaleureuse. Les soirées de rentrée sont sûrement les meilleures de l'année, les gens se retrouvent, chacun est heureux de retrouver ses camarades, et les études ne prennent pas trop de place dans l'emploi du temps. Il était déjà tard, aux alentours d'une ou deux heures du matin. La musique transperçait mes tympans, et il était bien évident que je ne pouvais avoir une seule goutte d'alcool dans le sang, cela ne faisant bon ménage avec mon traitement. L'effervescence de la soirée m'avait fait perdre quelques repères, et ma mémoire me joue encore des tours aujourd'hui, et le pourquoi du comment tout cela était arrivé m'est encore bien flou. Je me souvins simplement que [prénom] (scénario meilleur ami) avait bu quelques verres, et qu'il s'amusait plutôt bien avec ses potes du club de football américain, pendant que je m'ennuyais légèrement sur l'un des canapés. Et puis, il s détacha du groupe, et vint me rejoindre sur le canapé. Je ne savais pas si c'était l'euphorie de la fête qui me fit perdre mes moyens, ou si une force venue d'ailleurs m'avait poussé à faire ce genre de chose, mais ma respiration s'accéléra, et je crus tout d'abord à une nouvelle crise de mes poumons. Mon rythme cardiaque s'accéléra, une fine douleur s'installa dans mon bas ventre, et mes yeux s'écarquillèrent. [prénom] était face à moi, s'inquiétant de mon état, cherchant dans mes poches un de mes médicaments d'urgence. Il en retira un de la poche de mon jean, et tandis qu'il s'apprêtait à me le glisser entre les lèvres, ma main vint l'en empêcher. Je récupérai la pilule avant de la jeter sur le côté, dédaignant toute assistance. Pour seule réponse, ma bouche se rapprocha de la sienne, mes joues virèrent au rose pourpre, et nos lèvres se scellèrent timidement. Cela ne dura qu'une infime seconde, mes démons revenant à la surface, je tournai la tête, arrachant un bout de mon âme, refusant de continuer ce qui était considéré comme le pêché.
(Invité)