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en quête d'un pardon perdu.
Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
« T'as tout le temps pour me croire à nouveau. » Mes yeux le fixe sans relâche. Et alors qu'il se plaint d'user mes charmes contre lui, mes lèvres s'étirent dans un sourire et à peine j'ouvre la bouche pour répondre, que ses lèvres kidnappent les miennes dans un baiser sensationnel. Je manque de lâcher un hoquet de surprise, les yeux grands ouverts que je finis par fermer. Une douce et agréable chaleur monte en moi. Elle part de mon ventre et parcourt mon corps entier. Est-ce cela que l’on appelle un baiser de retrouvailles, mais aussi du pardon ?. Mes deux mains viennent se poser sur ses joues alors que j’approfondis l’embrassade. Mes yeux pétillent d’une certaine joie. J’aimerai que cela ne finisse jamais. Que ce moment soit éternel. Mais je me rends compte que cela n'existe que dans les contes de fées. C’était trop joyeux, trop de bonheur pour moi et malgré cela, je me laisse aller. Ses baisers partent tantôt dans mon cou tandis que mon souffle commence à s'accélérer. Il recule légèrement pour me faire un aveu. Aveu qui me comble de joie, qui m'arrache un grand sourire. Quand tout est sombre dans ma vie, il est là, il est là pour l'illuminer et c'est ce qui fait que je ne pourrais jamais vivre sans lui. J'ai gravement été peinée qu'il ne réponde pas à mes messages, je me suis sentie vide malgré l'amour que j'éprouvais pour mon ex. Tout simplement que sans Jerekiel, je ne pourrais pas vivre pleinement comme je le voudrais. Il est une partie de moi à présent. « Je suis rassurée, parce que c'est ce que je désirais plus que tout entendre. Qu'aucune fille ne prendra jamais ma place. » A la prochaine qui essayera de le faire, je me ferais un plaisir de la faire tomber, idem pour le prochain. Je connaissais ses penchants pour les hommes également, mais cela ne m'avait pas empêché de lui faire des crises de jalousies et de possessivités en somme. Mes jambes s'écartent et se plient légèrement pour le laisser venir s'installer entre les miennes et puis ses doigts se referment un peu plus sur mes cheveux. Il attrape la clé et me fait une proposition. Proposition que je ne mets pas long feu à réfléchir. « Le choix est vite fait !. » Je balance la clé loin de nous et je le fixe intensément. « Je veux te retrouver, entièrement. » Sous-entendant que je voulais qu'il m'embrasse à nouveau et bien plus encore, que ses baisers parcours chaque parcelle de ma peau. « Il y a quelque chose que j'veux te montrer. » Je cambre légèrement mon bassin pour retirer mon haut et lui laisser le bonheur de découvrir mon piercing au nombril. Depuis le temps que j'en voulais un. Maintenant que c'est fait, je voulais sentir sa langue la caresser, la bichonner, car ceci apaisera la douleur trop ressente.
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