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JERENA ► En quête d'un pardon perdu

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en quête d'un pardon perdu.
Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
J'étais super contente du fait de retrouver petit à petit ma place dans cette ville, dans cette université. Si je n'ai pas choisi de revenir toute suite à la eliot house, c'est tout simplement parce que j'hésitais encore. J'ai beaucoup changé, je suis devenue beaucoup plus féminine, moins garçon manqué, alors, je ne me voyais plus du tout comme avant. C'est pourquoi, j'hésite entre la Cabot House et la Eliot House. De toute façon, j'ai encore du temps jusqu'à la rentrée pour y réfléchir. Tout se passe bien pour moi hormis que mon meilleur ami me faisait toujours la tronche. Pourquoi  ? Je ne comprends pas. Entre nous, ça avait toujours été fusionnelle, alors même si nous couchions ensemble, je ne me suis jamais doutée qu'il pourrait m'en vouloir de m'être amourachée d'un homme. Ce matin encore, je me suis approchée de lui pour essayer de lui parler, mais tout ce qu'il a trouvé à faire, c'était d'attirer une nana à lui et l'embrasser comme ça sous mes yeux, comme pour me dire d'aller me faire foutre et pire encore, d'aller au diable. VDM. Je tourne en rond, je n'arrive pas à dormir, je n'arrive pas à me concentrer, je n'arrive pas à oublier la scène de ce matin, la manière dont il m'a envoyé chier. Putain, je n'étais pas une inconnue bon sang, j'étais sa meilleure amie. Les yeux fermés, couchée littéralement sur mon dos, les bras tendus entrain d'agoniser lentement, je serre les dents et je me redresse d'un coup. Tant pis. Je me lève et j'enfile les premiers vêtements qui me passent sous la main. Je détache mes cheveux et les secoue pour les rendre un peu plus sauvages. J'attrape ensuite mon sac et sors de l'appartement direction le campus. Une fois à destination, je condamne ma bagnole et je me rends rapidement à la dunster house. Devant la porte de la chambre de Jerekiel, je frappe comme une furie. Lorsqu'il m'ouvre, je le pousse à l’intérieur et j'entre rapidement en refermant la porte à clé. Clé que je retire et garde en main d'ailleurs. « Tu comptes m'éviter toute ta vie Jer  ?. » Que je balance un peu sous la colère. J'accepterais les conséquences de mes actes, mais aussi préférais-je que ce ne soit pas : Le perdre. Mon regard plonge dans le sien, plus le temps de réfléchir, ce n'était pas le moment de réfléchir, arrêtons avec le mot réfléchir. Bordel, ce n'est pas parce que je suis tombée amoureuse que j'ai cessé d'être sa meilleure amie, la fille qu'il a toujours connu.
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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Couché sur le ventre, les yeux grands ouverts, tu repenses à cette journée. Tu repenses à elle. A cette gorge qui se serre lorsque tu l’as vu approcher, à ce cœur qui s’est mis à battre bien trop rapidement dans ta poitrine. Oui, tu repenses à cette douleur qu’elle t’a infligée. Le fait est que tu lui en veux. Non pas pour être tombée amoureuse, non, tu n’avais aucun droit sur son cœur. Mais tu lui en veux pour être partie, pour t’avoir abandonné, ton côté possessif et jaloux ayant été mis à rude épreuve. Alors, tu l’évites, tu l’ignores, tu fais tout pour lui faire mal à ta manière. Parce qu’elle n’avait pas été qu’un coup d’un soir, qu’une fille parmi tant d’autres que tu mettais dans ton lit quand tu étais en manque de cette affection malsaine. Non, elle avait été ta meilleure amie, celle que tu laissais dormir dans ton lit jusqu’au lendemain, celle que tu observais souvent dormir, faisant attention à ce qu’elle n’ait pas froid. Elle avait été beaucoup de choses, des choses que tu regrettais, des choses qui te manquaient terriblement. La rancœur chez toi c’est tenace, surtout lorsqu’on frôle ton cœur du bout des doigts pour s’en éloigner subitement. Du coup, lorsqu’elle c’était approchée pour te parler, tu avais réagi au quart de tour. Tes lèvres c’étaient posées sur celles d’une connaissance, cherchant à attiser la flamme de l’arrogance qui te lacerait de l’intérieur. Et tu te vengeais de cette façon, offrant ce que tu ne daignais plus lui donner, ton affection.

Tu te retournes dans ton lit, trouvant enfin un peu de sommeil quand un tambourinement résonne dans ta chambre, te réveillant en sursaut. Tes paupières s’ouvrent, tu grognes de mécontentement. Tu en as marre, tu n’es pas de bonne humeur. Te levant en traînant les pieds, vêtu d’un simple t-shirt de nuit et d’un boxer noir, tu ouvres la porte pour tomber nez à nez avec Sirena. Tu te braque, tu te crispes devant cette porte qui se ferme, cette clef qu’elle tient fermement en main. Non, tu ne veux pas l’affronter, tu ne veux pas la voir. Elle n’a plus rien à faire ici, bien que ton cœur se crispe douloureusement quand ton regard plonge dans le sien. Tu soupires face à ses paroles, face à son agressivité. « Effectivement, c’est ce que je compte faire. Dégage de ma chambre Sirena, tu n’as rien à foutre ici ! » Ta voix est cinglante, brutale. Tu croises les bras devant ta poitrine, les muscles bandés par la tension qui s’accumule dans ton corps. Tu détournes les yeux, exaspéré, énervé pour aller tout simplement te recoucher dans ton lit, cherchant à l’ignorer une fois de plus. Non, elle ne sait pas ce que tu as ressentis devant son départ, devant son abandon. Elle ne sait pas que t’as failli crever en t’étouffant, que ton cœur à souvent cessé de battre lorsque tu pensais à elle. Egoïste petite chose qu’elle est !

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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
À l'écoute de ses mots sanglants, je prenais un air où l'assurance se mélangeait à l'ironie, alors qu'en réalité mon estomac se nouait en me rendant compte que je ne pourrais éviter le combat. Ce combat, cette rancune qui avait pris le dessus sur notre amitié. Je pourrais partir là toute suite comme il me le demandait, je pourrais effectivement sortir de sa chambre et de sa vie également, mais je n'en avais ni l'envie, ni la force. Alors, pourquoi me torturait-il de la sorte en me tenant à l’écart  ?. Certes, j'avais décidé de rejoindre l'homme que j'aime, mais ce n'est pas pour autant que j'avais décidé de couper tous les ponts avec lui. Qu'est-ce qu'il me reprochait au final ?. Mes yeux le suivent jusqu'à ce qu'il s'installe sur son lit. Je secoue la tête et me tape le front d'une main. « Mais c'est pas possible  !. » Mon ton se voulait un peu mauvais. Je sais, je ne suis pas en mesure de m'énerver, mais le fait est qu'il me laissait dans le doute à ne plus vouloir discuter, ne plus vouloir me voir. Je grimpe sur son lit afin de m'asseoir près de lui, fesses et genoux plaqués sur le lit. Je le fixe sans un mot, laissant le silence planer dans la pièce quelques instants et puis, je le brise. « Pourquoi tu n'as répondu à aucun de mes messages, aucun de mes appels  ? Je t'ai dit que je partais, pas que je t'abandonnais  !. » Sérieusement, il n'avait rien compris. Comme tous les mecs en général en fait. Il savait, il savait que ce moment là arriverait un jour, qu'ils seront obligés de cesser leurs coucheries le jour où l'un d'eux s'amourachera. Je le savais aussi, mais alors pourquoi ce matin j'avais été si en colère de le voir embrassé cette fille  ?. Peut-être parce que je m'étais sentie comme toutes les autres à ses yeux, plus aussi spécial qu'avant. « Et je te préviens, je ne bouge pas de cette chambre sans avoir eu réponses à mes questions. » J'envoyais un regard clair, mes yeux emplie de peur, peur de le perdre à jamais. Avant que toute cette histoire me tombe sur la tête, nous ne nous étions jamais disputés de cette manière, alors oui, mon cœur tremblait et ne parlons pas de ma patience, parce que je crois qu'elle, elle était déjà à bout. Je veux connaître les vraies raisons de cette rancune qu'avait Jerekiel à mon égard. « S'il te plaît Jer, arrête de m'torturer de cette façon... » Que je murmure dans une voix presque sourde, mais suffisamment haute pour qu'elle lui parvienne aux oreilles. Ma colère se transforma presqu'en supplication et mes doigts tirais doucement un bout de son t-shirt. On aurait dit une petite fille qui se faisait réprimander et qui demandait pardon de la manière la plus, craquante qu'il soit.
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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Oui, tu lui en veux. Le pire, c’est que tu lui en veux pour une règle, une fatalité que tu savais obligatoire. Si toi tu te refusais à aimer, les autres n’étaient pas comme toi. L’amour, ça te tombe dessus sans que tu ne puisses rien y faire, c’est une des grandes vérités mondiales. Mais entre le savoir et le vivre, c’est une chose totalement différente. Sirena avait été ta meilleure amie, ton amante, ta confidente. Et dès lors où elle t’avait annoncée son départ, tu n’avais plus rien eu. Oh, tu avais continué tes histoires, ta petite vie, mais au final ça t’avait touché plus que tu ne l’aurais cru. Alors non, tu refusais de lui pardonner ce que tu considérais être une trahison. Ton corps s’allonge sur ton lit et tu l’ignores, lui disant de foutre le camp, que tu comptais effectivement l’ignorer jusqu’à la fin des temps et bien plus encore. Tu fermes les yeux, faisant mine de recommencer à dormir, juste pour qu’elle te foute la paix. Tu l’entends marmonner que ce n’est pas possible, sauf que si, ça l’est, la preuve ! Tu soupires alors que ton lit s’affaisse sous son poids, alors qu’elle vient se poser à tes côtés. Ton corps se crispe, tu serres les dents. Le silence, tu le laisses s’imposer, prendre sa place entre vous. Tu ne prendras pas la parole, tu n’en es pas capable à l’heure actuelle. La repousser ? ça aurait été facile, un bon coup bien placée et tu l’aurais fait tomber du lit…

Tu pousses un nouveau soupire face à sa question. Bougeant légèrement, tu te positionnes sur le dos, ne daignant toujours pas répondre. Tu n’avais jamais répondu à ses messages et ses appels, simplement parce que tu lui en voulais, parce qu’elle n’avait qu’à profiter de sa nouvelle existence avec son mec. Point. Tu n’avais plus rien à faire dans sa vie, elle n’avait plus rien à faire dans la tienne. Tu sens ses doigts tirer sur un bout de ton haut, te suppliant presque d’arrêter de te torturer. Ben tiens, c’est la meilleure ! Toi tu l’as torture ? Elle ne sait même pas ce qu’elle dit. Tu sens tes muscles se crisper alors que ton regard est toujours éteint sous tes paupières fermées. Tu sens la colère monter doucement mais sûrement, comme un animal qui gronde, qui te déchire les entrailles. Tu vas exploser et ça ne va pas être joli. « Bien sûr, c’est moi le coupable dans cette histoire. » Tu ricanes froidement, ouvrant enfin les paupières pour contempler ce plafond sans vie, froid. « J’avais pas envie de te répondre ok, je n’en ressens toujours pas l’envie Sirena. T’es partie à l’autre bout du monde pour revenir comme une fleur. Tu croyais quoi ? Que j’allais t’accueillir les bras grands ouverts ? Tu rêves…et arrêtes de tripoter mon t-shirt tu seras gentille ! » Te redressant, pour être sûr qu’elle cesse, tu enlèves celui-ci pour le balancer à terre. Au moins, comme ça, elle ne touchera plus à rien !

Tu te recouche en soupirant, passant une main sur ton visage. Tu aimerais pouvoir lui pardonner en un clin d’œil, lui dire qu’elle t’avait manqué, qu’elle te manquait encore terriblement. Tu aimerais la prendre dans tes bras, juste la sentir se réfugier contre toi. « Tu as fait tes choix, j’ai fait les miens, c’est comme ça. De toute façon, tu ne me dois rien, maintenant laisses-moi dormir, demain je dois déménager. » Oui, tu quittais le campus pour aller habiter avec Zola, mais ça, tu ne le lui dit pas, espérant qu’ainsi, elle se fasse des films.


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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Comme je voudrais lui ouvrir les bras pour qu'il vienne s'y caler de nouveau, je voudrais lui faire un câlin pour qu'il me serre de toutes ses forces, je trouvais toujours ça mignon. J'étais heureuse de le revoir, mais au fond de moi légèrement déçue de son comportement. Je ne lui avais jamais piqué de couteau dans le dos du moment que je ne lui avais rien caché. Je pourrais cacher à la terre entière, mais pas à lui, impossible. Il saurait me découvrir, me faire parler, impossible pour moi de garder un secret face à cet homme. Que va-t-il me dire  ? Une dizaine d'idées me passent par la tête, et s'il est autant fâché c'est qu'il y a une raison. Je peux imaginer le pire. Ses paroles me font de plus en plus mal, ma respiration s’accélère alors que mon pouls monte en flèche, mon corps tremble sous la colère. Une claque. J'ai juste envie de lui mettre une claque pour qu'il sorte de sa rancune. « Le rôle d'un meilleur ami, c'est d'être heureux quand sa moitié l'est. Je pensais que tu comprendrais mes choix, mais visiblement je me suis trompée. » Que je lâche en baissant la tête et en soupirant. Je pensais qu'il serait heureux pour moi en dépit de nos péripéties. Qu'il serait content que je puisse enfin trouver l'amour. « Si j'avais su que tomber amoureuse me ferait perdre notre amitié...je... » ne serais jamais tombée amoureuse, mais dans ce cas, qui aurait été l’égoïste  ? Moi ou lui  ?. Je secoue la tête en le voyant retirer sa chemise pour que je ne puisse plus le toucher. Mes prunelles s'égarent longuement sur son torse musclé, torse que je connaissais par cœur d'ailleurs. Je secoue la tête pour chasser ce brouillard d'envie d'y toucher qui me prenait soudain. Mais attendez  ? Si je touche son boxer il l'enlèvera lui aussi  ?. Testons pour voir. J'attrape doucement le bord de son boxer que je tire légèrement. « Arrête de me faire la tête tu veux  ? Je sais que t'as qu'une envie, m'prendre dans tes bras. T'oses même pas me regarder, t'vois. » Il en a peur parce qu'il sait qu'il finira par craquer devant ma bouille. J'obtenais toujours ce que je voulais avec lui. D'ailleurs, je me rapproche un peu plus en penchant ma tête au-dessus de lui tout en gardant son bout de tissu dans mes doigts. « Si tu veux que j'parte, va falloir m'y faire sortir de force et pour le faire, tu vas devoir chercher la clé qui se trouve dans mon soutif. Chose que tu ne feras pas alors abandonne et regarde-moi quand je te parle  !. » Mon autre main de libre empoigne sa mâchoire afin de tourner son visage vers le mien, l'obligeant à plonger ses prunelles dans les miennes. Je ne bouge plus d'un pouce, là, il ne peut plus me fuir, il ne peut plus m'éviter et je ne sortirais pas de cette chambre sans que tout soit réglé entre nous. « C'est quoi que t'as pas aimé  ? Le fait que je m'en aille ou le fait que je sois tombée amoureuse et que j'parte le retrouver  ?. » Il n'a pas intérêt à me mentir, parce que moi aussi je le connaissais assez bien.
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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Oui elle s’est complètement trompée ! Tu n’étais pas heureux pour elle, tu n’étais pas heureux tout court à vrai dire. Comment pouvais-tu être heureux de la voir s’éloigner de toi ainsi ? C’était impossible pour toi, ce n’était pas envisageable. Tu es égoïste, tu as un caractère bien à toi. Si en règle générale tu es un jeune homme drôle, blagueur et souriant, à d’autres tu es beaucoup plus instable, beaucoup plus compliqué. La preuve en est aujourd’hui. « Tu rien du tout, tu serais quand même partie. » Tu avais dit ça en grognant férocement, ne daignant rien ajouter d’autre. Tu as un foutu caractère quand tu le veux, tu es tenace et elle le sait, à moins qu’elle l’ait également oublié ? ça ne t’étonnerait qu’à moitié… Tu sens ses doigts s’emparer de l’élastique de ton boxer et, sans pouvoir le contrôler, tu frisonnes. Foutu réaction corporelle merdique ! Elle n’a pas tort sur ce coup-là. Tu as envie de la serrer contre toi et, la regarder trop longtemps te ferait clairement céder à la tentation de tout abandonner pour la sentir à tes côtés. Mais non, tu ne flancheras pas ! Non, tu es un gagnant, tu es…un foutu connard qui n’en fait qu’à sa tête. « Si, j’ose te regarder je n'en ai juste pas envie et…Bordel, tu fais quoi ! » Te voilà avec son visage penché au-dessus du tiens, ses doigts tenant ton boxer et ta mâchoire. Tu détestes quand elle fait ça, cette proximité te rend fou ! Elle sait comment tu es pourtant.

« ça n’a aucune importance Sirena, arrête de me marteler de questions et…Lâche mon boxer ! » Bon ben… tu dégages ton visage et, ne pouvant pas vraiment te redresser à cause de sa position au-dessus de toi, tu fais glisser celui-ci pour le balancer à terre. À poil ! Tu n’en as rien à foutre, elle t’a déjà vu nu et, comme ça, elle touchera plus à rien du tout vu qu’il n’y a plus à toucher. « Pour ce qui est de la clef, je peux clairement aller la chercher ça ne me fait pas peur, alors ne me provoque pas, tu risquerais de tomber de haut. » Tu pousses un soupir d’exaspération comprenant qu’elle n’allait absolument pas te lâcher. Aussi obstinée que toi, tu allais devoir répondre à ses questions sinon, tu étais parti pour rester à poil toute la nuit et surtout, à ne pas pouvoir dormir. « Écoutes, j’ai pas aimé que tu t’en ailles d’accord. C’est bon, tu as eu ta réponse ? Maintenant si tu pouvais t’éloigner ça serait cool. » Oui, parce que cette proximité, ça te donne des Frisonnes, ça te rappel des moments que tu aimerais bien oublier. N’oublions pas que tu es un mec qui s’emballer vite physiquement, elle le sait pour avoir expérimenté la chose plus d’une fois. Hors, vous n’aviez plus ce genre de relation. Non, vous n’aviez plus rien du tout et c’était là le souci. Poussant un long soupire, tu détournes les yeux, détachant ton regard de ses prunelles.

« Je suis fatigué, laisses-moi dormir. » Mensonges. Déjà que de base, tu ne lui disais pas toute la vérité sur la raison de ta rancœur, mais là, tu es loin d’être fatigué. Tu as surtout un peu froid…d’ailleurs, tu tentes de mettre de la couverture sur ton corps, sauf que celle-ci est coincée sous Sirena, ce qui a le don de te faire soupirer davantage.


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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Je ne sais quoi lui dire, je ne connaissais pas mon destin à ce moment-là, je ne pouvais pas savoir que l'homme que j'aimais ne serait pas prêt à passer le reste de sa vie à mes côtés, nous avons été mariés, puis divorcés, nous avons été pleins de choses et c'est la raison pour laquelle je l'ai suivi, car je ne pouvais pas me résoudre à vivre sans cet amour, si conflictuel pourtant. Finalement, le temps m'a ouvert les yeux, je me suis détachée de cet amour qui me pourrissait de l'intérieur. J'ai dû faire pleins de sacrifices pour le gagner, comme le perdre. Tout cela avait été déprimant pour moi. Maintenant, j'ai enfoui au plus profond de mon être, tout sentiment capable de m'aveugler à nouveau. Pour l’instant, je ne suis que celle qui aime le noir, celle qui aime la nuit. Celle qui désire s’amuser à sa façon. Je suis devenue le sadisme, le besoin. Je suis l’agonie. Je ne réponds rien, je n'ai pas de mot pour lui répondre. Je serais partie c'est vrai, parce que c'était mon destin, c'était écrit et je n'aurais pu y échapper. Il me demande d'arrêter avec mes questions, d'arrêter de toucher ses vêtements, son boxer, alors c'est ce que l'on était devenu  ? De parfaits inconnus  ?. Je refuse cette idée. Je refuse la possibilité de le perdre. Je ne peux pas, je ne pourrais vivre en sachant qu'il me déteste au plus profond de son être, car c'était comme si ce couteau, c'est moi qui le recevais en plein cœur. Et puis quand je le vois glisser son boxer, j'écarquille les yeux de surprise, ne pensant pas qu'il le ferait vraiment. Vous voyez là, je n'arrive plus à décrocher mes yeux de son corps, je mords ma lèvre inférieure, j'ai comme un frisson qui parcours mon corps, des papillons dans le ventre qui me rappelant le nombre de fois que j'ai pu embrasser et caresser ce corps. Non, ce n'était définitivement pas bien de le fixer ainsi. Encore un peu, et je me noyais dans ma bave. Je détourne les yeux soudainement, regardant sur le côté. Il m'avoue la raison de sa colère, mais je ne suis pas convaincue et puis il m'invite à m'en aller ensuite. Est-ce que j'allais abandonner si rapidement  ?. Non, ce n'était pas mon genre, mais je sais aussi comment le pousser à baisser les armes. Je prends alors un air triste, je baisse la tête pour jouer profondément le jeu de la meuf qui saigne du coeur. Je sais qu'il ne supporte pas de me voir dans cet état. Je sais que c'est la seule chose qui peu le faire flancher rapidement. Je sors la clé de sa chambre que je dépose à côté de lui. « T'es là à te plaindre, mais tu n'as même pas essayé de me retenir, de me demander de rester.... Mais ok Jere, tu as gagné. » Je lui laisse croire que j'abandonne, que je lui obéis. « Je vais sortir de cette chambre et de ta vie aussi... » Putain, mes cours de théâtre ont servi, car je joue parfaitement la comédie. « Ceci dit, évite à l'avenir de faire exprès d'embrasser une fille lorsque tu me verras à proximité. J'ai vu clair dans ton jeu, t'as essayé de me faire mal et tu as bien réussi. » Je tenais quand même à clarifier ce gros détail qui ne faisait pas partie de ma comédie, parce qu'embrasser une nana comme il l'a fait sous mes yeux, non, juste non. Je remonte la couverture sur son corps, mes doigts caressent maladroitement chaque parcelle de sa peau au passage, j'en suis électrisée, mais me contrôle. « Bonne continuité... » Je jouais, mais en vrai, je suis profondément mal sans lui à mes côtés. J'aimerais tellement retrouver ce que nous étions avant que je ne m'égare et que je tombe dans le panneau de l'amour. Mais visiblement, sa rancune à mon égard était bien plus forte. Dommage, il ne verra pas mon nouveau piercing au nombril et surtout, ma nouvelle collection de culotte victoria secret. Je descends du lit pour marcher vers la porte, je suis tellement à fond dans ma comédie que j'ai oublié de reprendre la clé. Alalalalala, irrécupérable cette fille.
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Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Tu peux sentir son regard sur toi. Au départ, ce n’était pas spécialement ton but. Tu réagis comme un gamin, tu enlèves tes vêtements juste pour qu’elle arrête de tripoter ceux-ci, néanmoins, le fait qu’elle te regarde ce n’est absolument pas désagréable. Justement, c’est assez rassurant. Tu avais eu peur qu’elle ne te trouve plus aussi attirant qu’avant, qu’elle t’ai clairement effacée de large en long et en travers de sa tête, de son existence. Apparemment, ce n’était absolument pas le cas. Cela changeait-il quelque chose pour autant ? Non pas vraiment, tu continuais de tirer la gueule, de lui dire de s’en aller. Lorsqu’elle te dit que tu ne t’étais pas battu pour la garder auprès de toi, tu hausses les épaules d’un air râleur. Elle sait comment tu es…elle sait que tu ne coures pas après les gens, que tu n’es absolument pas de ce genre. Toi, tu les laisses filer entre tes doigts, parce que courir après quelqu’un s’est lui donner beaucoup trop d’importances à tes yeux ! Et ce, même pour Sirena. Elle était cher à ton cœur, tu n’allais pas dire le contraire. Mais, entre son cœur qui battait pour un autre et le fait que tu ne sois que son meilleur ami, tu ne faisais radicalement pas le poids. Le cœur l’emporte toujours, c’est bien connu que l’amour rend aveugle non ? Tu ne lui réponds pas lorsqu’elle dit qu’elle va partir, qu’elle va quitter ton existence…alors, pourquoi tu as cette boule au ventre qui se forme ?

Ses doigts frôlent ta peau en remontant les couvertures, t’offrant de divins frissons que tu peine à contrôler. Bonne continuité ? Tu avais envie de lui faire bouffer la clef qu’elle avait déposé à tes côtés. Tu te mords la lèvre en te repassant ses dernières paroles. Ainsi, te voir embrasser quelqu’un ça l’avait vraiment fait souffrir. Tu te sens coupable, mais également assez content. Si il restait une once de jalousie en elle, c’est que quelque part, tu comptais toujours à ses yeux. Tournant la tête vers elle, tu remarques qu’elle n’a pas pris la clé. Tes doigts s’enroulent autour de ce petit objet que tu caches dans ton poing, poussant un soupire bruyant. « T’as pas oublié quelque chose ? Tu crois que tu peux traverser les murs ? » Tu laisses échapper un petit ricanement. Dès que tu l’entends revenir vers toi, tu lui tends la clé. Sauf qu’au moment où elle veut prendre celle-ci, tu recules ta main…tu répètes ton geste à deux reprises, tournant légèrement les yeux vers elle d’un air surpris, comme si tu attendais qu’elle daigne enfin prendre la clé… « Ben prends la clé ! » Bien sûr, tu fais tout pour qu’elle n’arrive pas à attraper celle-ci. Sans prévenir, avec une agilité et une rapidité certaine, tu te redresses en position assise, encercle sa taille de tes bras et la fait tomber à la renverse sur toi. Tu détestes quand elle joue de sa petite moue avec toi, ça fonctionne à tous les coups !

Enroulé dans tes couvertures, tu viens te mettre juste au-dessus d’elle, laissant les draps servir de rempart entre ton corps et le sien. Ton regard plonge dans ses prunelles sombres, ton front se pose contre le sien et tu soupires une nouvelle fois. « Je te déteste… » Oui, tu la détestes parce qu’elle te manque. Tu la détestes parce qu’elle arrive encore une fois à te faire plier, bien que tu gardes un visage fermé malgré le fait que ton front reste collé au sien. Tu peux sentir son souffle caresser ton visage, ton nez frôler le sien. Nouvelle proximité qui autrefois semblait si naturelle, aujourd’hui, celle-ci te semblait plus étrange, plus compliquée à gérer. Ça faisait trop longtemps qu’elle était partie pour que tu retrouves cette « normalité » avec elle… L’une de tes mains vient glisser dans ses cheveux, alors que tu décales légèrement ton visage pour mieux la regarder. « Je t’en veux…si tu savais à quel point je t’en veux. » Tu murmurais ses paroles, comme un vile secret qui ne doit jamais être révélé alors que ta voix n’avait plus rien d’agressive mais semblait plus être blessée.



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Le silence s’éternise un peu trop à mon goût, alors je décide d'employer les grands moyens en jouant la comédie. Je veux qu'il baisse les armes et pour le faire, il fallait qu'il me voit triste, presque anéantit. Malheureusement pour moi, j'ai oublié de prendre la clé, faut croire que le petit contact de mes doigts sur sa peau m'avait peut-être fait un peu tourner la tête. Alors, lorsque je l'entends me rappeler, je regarde mes mains et effectivement, rien. Je me tourne d'un coup en soupirant au passage. Il me tend la clé avec son air si arrogant. Cet air dont j'enjouais auparavant. Mais je jouais présentement la comédie et donc il fallait le jouer jusqu'au bout. Je m'approche de lui et au moment où je veux lui arracher sèchement la clé, il m'en empêche, puis me la retend. Il jouait à quoi là  ?. Je retente de la prendre, mais il m'en empêche à nouveau. « Ben donne la moi  !. À quoi tu joues bordel  ?. » Je peine à garder mon sérieux je vous jure, j'avais envie de bondir sur lui pour la lui prendre de force. Mais visiblement, il a été plus rapide que moi puisque sans m'y attendre, il se redresse, m'attrape par la taille et me renverse sur lui. Il inverse les positions ensuite se retrouvant au-dessus de moi. Mon regard ne peu s'empêcher de faire un aller-retour entre ses yeux et ses lèvres. Mon corps demeure à présent immobile. Je l'écoute même si je n'arrive pas à me concentrer sur ses mots. Il y a que cette proximité me perturbe, chose qui n'avait jamais été le cas autrefois. « Je... Tu... » il, nous, vous... J'allais refaire toutes les personnes de la conjugaison ou comment ça se passe  ?. Il me déteste et c'est avec beaucoup de peine que j'encaisse ça. Son front contre le mien, mon souffle qui se mélange au sien, il m'a manqué putain. Mes yeux s’attardent alors sur ses lèvres fendues en un sourire. Je grogne en guise de défense. Mon échine s’hérisse. S’il y a une chose qui me plait chez lui hormis le reste, c’est son sourire. J’ignore pourquoi. Il m’effraie et me rassure à la fois. Mon regard se détache de ses lèvres charnues pour se plonger dans ses yeux alors que ses doigts plongent dans mes cheveux. « Jer... » Simple murmure tandis que mes mains glissent dans son dos, puis ses épaules pour le serrer contre moi. « Je m'en veux de t'avoir fait si mal. » Nouveau murmure qui s'écrase contre ses lèvres. « Je te promets de ne plus recommencer et je ne partirais plus. » Mes doigts s'enfoncent dans sa peau comme pour illustrer la force de mes mots, la sincérité qui s'en échappe en tout cas. Ma bouche glisse sur son front pour y déposer un tendre baiser. « Pardonne à ta chère meilleure amie qui s'est laissée avoir par Cupidon. » Je clos mes yeux un instant et les relève vers lui. Un large sourire pendu aux lèvres, je ne me rendais pas compte que l'une de mes jambes venait de se glisser maladroitement entre son entre-jambe. Je vous rappelle que monsieur était tout nu.
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en quête d'une amie disparue.
Sirena D. Kovalevski & Jerekiel De Châtelet
Elle s’énerve en te demandant de lui donner la clé, chose que tu ne fais pas. Non, tu avais autre chose en tête, alors que tu la détestais pour avoir le dessus sur toi. D’un coup, tu l’attire, tu la renverses pour te positionner au-dessus d’elle. Tu front se pose contre le sien, ton souffle retrouve celui de celle qui t’avait réellement manqué. Tu lui en veux tellement, d’ailleurs, tu n’hésites pas à le lui dire. Tu en as oublié cette nudité, passant outre, ça ne serait pas la première fois. Tu l’entends murmurer ton surnom, alors que ses lèvres semblent si proches mais inatteignables quand même. Ses mains glissent dans ton dos, continues leur traversée sur tes épaules, t’offrant un nouveau frisson alors que tu l’écoutes. Elle te promet de ne plus partir, ses ongles s’enfoncent dans ta peau. Tu aimerais la croire, même lorsque ses lèvres viennent se perdre sur ton front. Oui, tu aimerais dire que tu la crois, hors, ta confiance elle l’avait perdue, du moins pour l’instant. Alors, tu dis simplement. « J’aimerais vraiment te croire. » Tu ne souris pas à sa remarque sur Cupidon, te contentant de la regarder, de l’observer, laissant tes doigts toujours enfuis dans ses cheveux. C’est alors que tu sens sa jambe s’immiscer entre les tiennes. Ta réaction fut directe. Tes paupières se fermes légèrement, ta respiration se coupe et tu sens ton palpitant s’accélérer brusquement. Tes doigts se referment légèrement dans ses cheveux, alors que tes lèvres se rapproches des siennes.

« Je détestes quand tu uses de tes charmes avec moi. » Simple murmure mélangé dans un grognement alors que, sans même attendre sa réponse, tes lèvres viennent capturer les siennes sans attendre. Ton corps se colle au sien, ton pied passe sous sa cheville pour l’obliger à baisser sa jambe, pour que tu puisses te faufiler entre les siennes. Tu soupires en retrouvant la chaleur de ses baisers, alors que l’un de tes mains glisse de ses cheveux à son cou, laissant tes baisers dévier dans celui-ci également. Tu finis par rompre le baiser, plongeant ton regard dans le sien, la respiration légèrement saccadée par le manque d’oxygène. « Si tu veux être rassuré, cette fille, elle ne t’arrive pas à la cheville. » Cette fois-ci, tu souris en coin en te mordant légèrement la lèvre. Non, la fille de tout à l’heure n’arrivait absolument pas à la cheville de Sirena, aucune de celles qui étaient passées de ton lit n’arrivaient à la hauteur de la jolie demoiselle. Elle était unique, spéciale et c’était peut-être ça le plus difficile à accepter. Elle t’avait remplacé par un autre, alors que toi, tu n’avais trouvé que des remplaçantes et remplaçant sans grandes valeurs. Elle avait une place à part entière, elle avait cette place que tu n’offrais jamais en général. Doucement, tu vas chercher la clé de la chambre que tu déposes dans sa main, refermant ses doigts autour avant de venir dire tout près de ses lèvres.

« Si tu veux partir, c’est le moment…sinon…tu ne sortiras pas d’ici avant demain matin, voir demain après-midi… » Tu lui laissais le choix, tu lui laissais les rênes. Soit elle restait et qui vivra verra, soit elle partait et reprenait son existence loin de toi avec une chance de redevenir ta meilleure amie, mais tu n’auras plus la même complicité avec elle qu’autre fois. Tu attends sa réponse, plongeant tes pupilles dans les siennes, tes lèvres toujours près des tiennes sans pour autant l’embrasser de nouveau.



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