Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Les hommes c’est des chochottes, parait-il. » - Vadada - Page 2
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« Les hommes c’est des chochottes, parait-il. » - Vadada

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et le grand méchant loup
Il est pertinent de penser que lorsqu’on a désiré une chose et que l’on abandonne ce désir pour se concentrer sur soi uniquement, ce désir apparaît pour vous faire retomber dedans. Il est aussi pertinent de penser que si l’on ne le veut pas on risque d’avoir des regrets. Deux pensées qui suivent une logique certaine mais qui ne résulte qu’à une seule chose : l’apparition de regrets ou pas, le courage d’y aller sans en avoir peur. C’est là que la chose apporte son lot de complexité et de doutes, l’histoire personnelle de la personne en question devient primordiale pour prévoir une réponse positive ou négative. Seulement, il suffit qu’un élément nouveau apparaisse pour changer la donne du tout au tout. L’idée d’aider quelqu’un est devenu habituel chez moi, c’est comme prendre une douche, boire de l’eau, respirer, ça m’est devenu essentiel. Mais pourquoi tant d’acharnement à devenir cette nouvelle personne, même si auparavant je n’étais pas si différent ? Tout simplement car le fait est de savoir que chaque bonne ou mauvaise action est récompensée apporte son lot de pression et de crainte. Bien sûr, l’humain n’est pas infaillible, au contraire, mais lorsqu’il cherchera le pardon il fera toujours le bon et ne quittera pas son droit chemin tant que l’on ne lui fera pas dévier. Tel est la vie pour ceux qui croient. Ceux qui boit et qui fornique comme moi sont faibles, je sais que je suis faible mais je n’ai jamais été réellement pratiquant pour parler autant de ma relation avec la croyance que Caleb a essayé de nous inculquer mais quand je me sens mal et que la détresse des autres me touchent, je me rappelle de ces paroles, de ces conseils et d’aller de l’avant dans le droit chemin. Les paroles que j’ai utilisé ont été peut-être un peu trop fortes lorsque je vois doucement se changer le visage de mon interlocutrice, peut-être que j’y ai été assez fort ou peut-être pas, après tout je ne la connais pas et je n’aurais pas pu deviner l’impact de mes mots sur elle. Les mots que je pensais lui donner de la vigueur lui en ont donnés mais le regard plutôt dur que j’ai reçu d’elle-même si ce fut bref à suffit à calmer les mots que j’aurais voulu lui sortir si débat il y aurait eu. Cependant, dans son amabilité cachée derrière la colère de mes mots, elle s’approche de moi et glisse le mouchoir dans ma poche puis ferme ma veste afin de me couvrir du froid. Mon sourire réapparait lorsqu’elle pose une question qui m’aurait fait rire mais ce n’est pas le bon moment pour rire devant une si belle demoiselle. Mon sourire devient plus taquin tout en gardant un certain charme, mignon «  Le fait d’être contradictoire ne peut-il pas dire qu’on peut se mettre d’accord ? Vous vouliez que je parte tout à l’heure, mais je suis là, cela vous dérange tant que ça ? Sans me vanter, je ne pense pas. » Dis-je alors qu’elle se trouve encore près de moi, mon sourire a disparu montrant le sérieux de mes dires, elle recule un peu et finit par prendre son téléphone, après m’avoir limite fait chanter pour avoir son prénom. Mon sourire revint, un léger rire vint avec, cela faisait longtemps que je n’étais pas tombé sur une fille assez original, elle est intéressante. L’annonce ne se fait pas tarder et me voilà avec une heure devant moi en compagnie de cette ravissante jeune femme, j’ouvre alors la porte conducteur s’ensuivant ce petit message « Alors après vous très chère. Vous en avez de l’audace vous savez. – Dis-je alors tout en fermant et lui laissant la place avant d’aller moi-même côté passager, je n’allais pas conduire sa voiture quand même – Eh bien, je vous laisse nous emmener dans ce dit café, vu que je suis dans l’incapacité de refuser. J’espère en tout cas que vous ne vous forcez pas, ne vous sentez pas obligé de me remercier je n’ai rien fait d’extra. » Finissais-je de dire, je n’aime pas voir les gens se sentir obligés de me remercier pour un simple service rendu, elle ne m’a pas obligé, au contraire alors elle n’a pas besoin de faire tout ça, même si ça ne me déplaît pas du tout. Sans le vouloir et le savoir, j’ai été aspiré un peu dans son monde et maintenant, je veux comprendre le pourquoi du comment même si cette curiosité risque de m’enfoncer encore plus dans son monde, son regard m’est tentant mais je ne regarde plus, je mets ma ceinture et regarde tout simplement devant moi : comme toujours, aller de l’avant est mon credo. Un regard sur la droite me fait tomber sur le sien, cette voiture me plaît vraiment mais par acquis de conscience jamais je ne l’accepterais, pas même pour tout l’or du monde mais peut-être pour la beauté de son regard qu’elle pose sur moi, sans ambiguïté bien sûr mais, elle a quelque chose de si touchant dans son regard qui m’empêche de le quitter avant d’entendre le moteur démarré, on doit y aller je crois.
   
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Il osait lui parler franchement, lui tenir tête jusqu'à avoir le dernier mot même, un comportement qu'elle détestait par dessus tout chez les autres. Trop têtue pour se laisser marcher sur les pieds, elle avait elle même du répondant. Si seulement il connaissait sa situation de femme au coeur brisé, dépouillé, peut être qu'il n'agirait pas de la sorte. C'était bien la première fois qu'on ne la prenait pas en pitié et étonnamment ça lui faisait du bien d'apparaître comme une personne lambda et non un petit animal blessé qu'on s'évertuait à remettre sur pattes. On lui montrer tant de compassion, trop même, elle n'était guère habituée à toute cette attention qu'elle recevait de la part des autres. Elle en avait pas besoin, car des paroles réconfortantes n'allaient pas la guérir et encore moins lui apporter les réponses à toutes ses questions. On lui ordonner d'avances malgré tout, de tourner la page, mais plus facile à dire qu'à faire. Les souvenirs ne cessaient de refaire surface, elle n'en trouvait même plus le sommeil. Un supplice de tous les jours qui lui collait à la peau et elle n'avait aucune solution miracle pour s'en débarrasser. Étonnant de la part de celle qui avait bon nombre de fois sauvée ses proches de la dépression. Elle comprenait maintenant que ni les paroles ni les actes apportaient du courage. Il fallait simplement attendre que le temps fasse son effet ou bien un miracle. Cet inconnu venait de lui mettre un coup de pied au cul, de la sortir de son état végétatif. Elle était parti au quart de tour, comme toujours lorsqu'on la contrarie un peu trop. Et à cause de son malheur, le comportement de la jeune femme se voulait froid. Elle avait d'ailleurs hésité à refuser de refermer sa veste mais elle avait quand même un minimum de savoir vivre. Et c'est avec un certain culot qu'il répondait à sa question par des questions, se la jouant intellectuel. Son arrogance l'a dérouté autant qu'elle l'énervait. A croire qu'il cherchait à la pousser à bout, à la faire exploser." Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. " Elle se montrait directive, en lui imposant ce café. A vrai dire elle voulait surtout lui rendre la monnaie de sa pièce, en faisant l'inverse de ce qu'il lui demandait comme il s'était amusé à le faire quelques minutes plus tôt. Alors c’est un sourire victorieux qui illuminait son visage lorsqu’il rendit les armes.” Et encore vous ne connaissez qu’une infime partie de moi. “ Et pas la meilleure. Elle s’installait au volant, pas vraiment à l’aise, prise d’un certain remord que de faire monter un étranger dans la voiture de son mari. Elle pose son regard sur lui, histoire de se donner un peu d’assurance.” La politesse est la moindre des choses que je puisse faire. Je me doute très bien que vous vous en fichez de ce café. Vous n’aimez pas les cadeaux en fait ? Je peux comprendre que vous refusiez une voiture mais un café, c’est pas grand chose tout de même et rassurez vous ça ne va pas me ruiner. “ Elle met le contact et par chance le moteur se montre coopératif cette fois-ci.” J’espère qu’une femme au volant ne vous fait pas peur. “ Il a pas le temps de répondre qu’elle accélère déjà, de façon raisonnable évidemment. Jamais elle ne mettrait la vie d’un étranger en danger.” Nevada. “ annonce t-elle de but en blanc.” C’est mon prénom ! Pas là où on va. “ précise t-elle se rendant compte que dit ainsi, ça pouvait porter à confusion. Il était mesquin de jouer les filles mystérieuses plus longtemps alors elle lui offrait ce cadeau qu’était son identité avant de se garer quelques mètres plus loin.” C’est juste en face. Le meilleur café français du quartier. Au moins ici on y sert de vraies boissons. “ Elle ne comprenait pas la passion des américains pour leurs boissons dilués sans goût. Et oui madame est compliqué sur certaines choses.
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Il est des femmes qui ne veulent pas votre pitié, votre compassion mais juste d’être traité de façon normal, il en est de mêmes pour les handicapés ou des personnes souffrant psychologiquement. Pendant un moment je me suis senti dans cet état, un état de victime où je voulais que l’on me reconnaisse comme tel, mais la pudeur et la fierté ainsi qu’une bonne dose de secret m’ont permis de garder ce secret au fond de moi et au fond du secret médical d’une certaine psychologue. C’est ainsi que j’ai pu me sortir de cet état, en le faisant disparaître, en restant moi-même et en allant toujours de l’avant. Sans la présence de mon frère et de notre père adoptif je ne sais pas si j’aurais pu garder le secret, j’aurais peut-être craqué. Mais ça n’a pas été le cas, grâce à eux, je vais de l’avant, comme toujours, le sourire aux lèvres et un regard pour les autres. Notre joute verbale continue jusqu’à l’apparition d’un réel sourire sur son visage d’ébène, un vrai qui fait chaud au cœur. Je ne la quitte pas des yeux alors que nous entrâmes dans la voiture, j’aurais aimé conduire ce bolide mais ce n’est pas le mien et elle y est plus attachée qu’elle ne veut me l’admettre, je le sens. Alors je ne tente pas plus et j’attends, j’attends qu’elle s’ouvre à moi, au fond.. je veux entrer dans son monde. « Est-il possible que cette petite partie de vous soit le nuage qui cache le soleil ? Je l’ai vu dans votre sourire, ce petit rayon..Je me tais avant qu’elle ne démarre et sourit à ces diresCe n’est pas une question de goût entre une voiture ou bien un café encore moins d’argent.. . Et puis, une femme au volant ce n’est pas si dangereux que ça, il ne faut pas croire à ces dires d’hommes machos, non ? » Finis-je, taquin et avec un sourire. Le café dans lequel elle m’amène n’est pas si loin, oserais-je lui dire que je n’aime pas du tout le café ? Bon, non, je n’ai pas le temps car on arrive déjà, tant pis ! Je prendrais autre chose, non ? Voilà, merveilleuse idée ! Sauf qu’on arrive dans un café typiquement frenchie, en voilà une bonne moi qui veut jouer de discrétion, tant pis ! La voiture s’arrête, on se gare. Je sors de la voiture et la rejoint dehors, nos pas nous amènent vers l’entrée du café, je lui ouvre la porte comme l’homme galant que je suis et la laisse entrer. Je finis par doucement tapoter son épaule de la mienne, pas brusquement mais je ne peux pas la toucher avec mes mains sales. « Je vais me laver les mains, je vous laisse le choix de la table chère Nevada. » Son prénom est aussi jolie qu’elle, l’état n’est pas mal aussi. Ces yeux sont réellement hypnotisant et j’ai du mal à les quitter alors que je vais vers les toilettes. Je finis par y entrer et à respirer, il va falloir que je me reprenne et ne pas montrer que je la trouve mignonne. Il va falloir que je joue sur la discrétion, c’est ce que je me répète tout en me lavant les mains. Je finis par rire, un léger rire mais qui ne veut pas s’arrêter. Pourquoi ? Car je stresse pour une femme, moi ? Kaleb Newman qui n’a jamais de soucis avec les femmes ? Pourquoi ? Car son monde doit me tourner la tête, c’est la seule explication plausible que je puisse accepter. Il ne manquerait plus qu’elle me rende nerveux, timide ? Non, assez de balivernes. Je me lave encore une fois les mains pour faire disparaitre toute trace de cambouis tenace. Une bonne dizaine de minutes a passé et je rejoins la salle. Je la vois et la rejoins, je m’assois et lui fait un sourire timide « Humm.. Oui, j’ai pris mon temps, non je ne me suis pas refait une beauté et j’ai juste bien lavé les mains, regardez les, elles sont magnifiques.Dis-je en lui posant mes mains sous le nez, un sourire taquin sur mon visageVous avez commandés ou pas encore car j’ai une petite confidence à vous faire très chère !Je reprends ma respiration et étouffe le rire en moi qui veut sortirJe n’aime mais pas du tout le café, voilà ! Mais.. je peux boire autre chose ! » Pfiou, la pression qui retombe, c’est horrible, je ne sais pas comment elle va réagir mais dans tous les cas je n’ai pas le choix, j’aurais peut-être lui dire plus tôt et négocier un restaurant, un peu trop intime pour une personne avec qui l’on vient de faire connaissance mais tant pis, ça aurait eu un effet bœuf mais bon, nous n’aurions pas eu le temps, un café est parfait pour une première rencontre officieuse. Mon regard ne quitte pas l’ébène des siens, attendant patiemment avec une certaine curiosité et impatience à la découverte d’une facette d’elle.
   
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Son audace l'avait poussé dans ses retranchements et elle semblait soudainement revigorée. A croire qu'elle attendait qu'on lui mette un coup de pied au cul pour sortir de sa léthargie. Ses proches agissaient de façon bienveillantes pour lui redonner le sourire, mais rien n'avait réellement fonctionné. Elle s'était laissé aller, se morfondant sur son sort au lieu de tourner la page. Mais face à cet inconnu qui parlait sans mâcher ses mots, elle avait sorti les crocs, retrouvée soudainement de sa superbe. Finalement cette panne était peut être bien tombée. Un coup de pouce du destin ? Un mal pour un bien comme on dit. Possible. Elle ne voyait pas d'autres explications. Il essayait une fois de plus de lire en elle, de la faire parler mais la carapace de la demoiselle était impénétrable et elle restait muette. S'ouvrir n'était pas son genre et même s'il ne semblait en aucun cas dangereux, elle préférait ne pas s'étendre sur elle même. Habilement elle évita donc le sujet en démarrant la voiture. S'il veut découvrir le soleil qu'elle cache, il faudra qu'il vienne le chercher par lui même." Je ne vous aurais pas cru si féministe que ça. " Il faut dire ce qui est. Avec sa carrure, il n'avait pas la tête de l'emploi. A croire que lui aussi regorgeait bien des secrets. Ce Kaleb avait le don de l'intriguer de minutes en minutes. Elle espérait que sa curiosité serait assouvi autour de ce café qu'elle lui imposait. Cette fois-ci c'est elle qui menait la danse comme elle en avait l'habitude auparavant, lorsque son existence s'écoulait sans fausses notes. Elle choisissait donc un café français où elle avait ses habitudes. Là-bas, elle s'y sentait un peu comme chez elle, sur la côte méditerranéenne et Dieu sait qu'en ce moment elle avait besoin de se retrouver en phase avec elle même. Ce lieu lui semblait donc idéal. Gentleman, il lui ouvre le chemin jusqu'à l'établissement avant de la bousculer gentiment comme s'ils se connaissaient depuis des années. Un geste qui la surpris mais elle ne lui en tenu pas rigueur. " Je vous en prie, faites. " Bien qu'il n'avait en aucun cas besoin de sa bénédiction pour s'absenter. La belle s'installait donc à une table à l'écart des autres clients. Non pas parce qu'elle voulait se cacher mais parce qu'elle se sentirait plus à l'aise à l'abri des regards indiscrets. De longues minutes défilèrent, à croire que le jeune homme se refaisait une totale beauté. A moins qu'il ait mis les voiles par la porte de derrière ? Sait-on jamais qu'elle lui ai fait peur en se montrant trop entreprenante. Mais non il refit son apparition, de quoi la soulageait. Un rire léger s'échappa de ses lèvres alors qu'il lui montrait le résultat de son nettoyage intensif." C'est de toute beauté. " Elle se défaisait de son lourd manteau et son écharpe en laine, délivrant ainsi son épaisse chevelure ébène. A sa révélation elle levait les yeux au ciel." J'ai bien fait d'attendre votre retour pour passer commande alors. Prenez ce qu'il vous fait plaisir. " Une serveuse s'arrêtait à leur hauteur et Nevada commandait un cappuccino saveur noisette, puis laissait le jeune homme faire son choix. Un regard de remerciement à la serveuse, et les voilà à nouveau seuls et elle n'avait d'autre choix que de soutenir son regard. Une situation gênante pour elle, à croire qu'elle était devenue timide face à un homme. Et le silence qui planait ne l'aidait en rien à se détendre." Je pense que le vouvoiement n'est plus de rigueur. " Ils s'encombraient pour rien avec cette règle de courtoisie." Bon dites moi vous êtes mécanicien non ? " A son tour d'en savoir d'avantage sur lui. Question d'équité évidemment. Leurs boissons arrivèrent et c'était tant mieux, elle pouvait ainsi occuper ses mains plutôt que de les cacher sous les tables tel un enfant coupable d’une bêtise. Et c’était sûrement une grossière erreur que de se trouver ici avec un homme. Ce n’était pas sa place mais elle avait choisi de suivre son instinct plutôt que la raison.

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Le temps passe tel l’hiver passe sur nos peaux, apportant grisaille, froid et tempête de neige. Tel est le lot de consolation que sont les fêtes de fin d’années, mais nous n’en sommes pas encore là. Mes pensées fusent de droite à gauche alors que nous sommes enfin seuls, elle et moi. Nevada et Kaleb. Elle m’est si différente de par sa couleur tout d’abord et puis son caractère à l’air en décalé du mien ou bien tout mon opposé, moi aux abords calme je cache une profonde curiosité qui me pousse souvent à être quelqu’un de provoquant pour débusquer cette vérité, souvent à contrecœur ou bien involontairement, c’est ainsi que font les psychologues dans la vie de tous les jours : sortir les secrets du nez de leurs patient par l’involontaire. C’est une méthode basique, comme la psychologie inversée en somme, c’est un peu ça, mais je ne suis pas là pour une description de mes cours de Psychologie mais bien là pour prendre soin de cette jeune femme qui au fil des minutes semble retrouver vie lorsque je perçois son sourire lorsqu’elle m’a vu revenir, un sourire que je n’ai su qu’apprécier afin qu’elle se débarrasse de ses effets me laissant voir la personne qu’elle ait vraiment. Une belle femme, comme je le pensais en la voyant au début, encore mieux formée que je ne le pensais même si je n’en ai rien vu, le haut de son corps me suffit pour l’instant, son visage en est le plus intéressant. Pour l’instant restons gentleman et raisonnable comme je l’ai toujours été, cette fille ne sera peut-être rien de plus qu’une connaissance après tout, même si j’ai le sentiment que non. Lorsque je lui présente mes mains elle s’exclame devant leur beauté et j’en joue, les présentant sous plusieurs profils avant de les ranger sous la table, un peu nerveux je vous l’avoue mais il en est peut-être de même pour elle. S’assoir avec un inconnu n’est pas aisé même s’il vous plaît et pour que la discussion ne tourne pas autour d’une chose aussi basique qu’une relation homme/femme il faut se lancer à l’eau, ce qu’elle fait courageusement, courage que je suis surpris de voir, son audace l’a rafraîchit vraiment et me mets à l’aise plus que je ne le montre, elle a pris un capuccino et j’ai commandé un simple chocolat chaud, ne connaissant pas trop le coin mais aimant le coin cosy qu’il apporte et son intimité « Soit, oui vous avez bien fait d’attendre.. enfin tu as bien fait d’attendre, Neuvada c’est ça ? Non.. tu l’as dit comme l’état, donc Nevada. Hum, c’est bon j’ai pris le goût et à ta tête je l’ai dit de la bonne façon la deuxième fois ! Merci en tout cas, j’aime pas mal les chocolats chauds. Précisais-je pour meubler la discussion avant qu’elle n’ai eu à le faire et ce n’est surtout pas une pique genre t’es mon chocolat chaudHm. Je ne te drague pas hein, je veux dire.. c’est pas une image du mec lourd qui veut se taper un fantasme sur une nana afro-américaine, bref. Dis-je un peu trop nerveux et le chocolat vient se glisser dans ma gorge pour me redonner contenance et ne pas me donner le rouge aux joues, il ne manquerait plus que ça, que je sois un débile devant elleEt donc.. non, je ne suis pas mécanicien, je suis étudiant à Harvard, en Psychologie mais.. mon père m’a initié au bricolage que tout homme doit connaître afin de se débrouiller et de se pavaner devant une femme qui devrait adorer ça.Dis-je avec humourJe rigole pour la fin, il veut juste qu’on sache se débrouiller. » Voilà, je pense que je peux finir sur ce long monologue qui a repris chacun de ses dires. Mes mains glissent sous la table car j’ai déjà fini mon chocolat chaud juste après avoir fini de parler, pas que je ne l’eusse pas savouré, au contraire mais que j’ai soif et que son regard ne me mets pas particulièrement à l’aise ? L’ascendant que j’avais sur elle plus tôt n’est plus, le fait est que la voiture manque à côté de moi m'enlève une occupation mais mes yeux la fuient pour se glisser sur la baie vitrée du café et regarder le parking, la seule vue de cette voiture me radoucit, me donne contenance. Elle est pratiquement la même que Caleb et les souvenirs, les paroles qu’il m’a dite résonne en moi comme un guide pour toute situation, toute nervosité car je sais que j’ai ce qu’il faut pour être bien en tout point, c’est ainsi que mes yeux la cherchent de nouveau, se noient dans l’ébène de son regard et d’un ton calme et apaisé j’ouvre la bouche « Et toi, que fais-tu dans la vie ? Maman si j’ai bien compris l’histoire de la baby.. Tu as quel âge ? Pas que je veuille te juger hein, mais j’ai pas envie que tu me sortes le double de l’âge que je pense te donner, ou plus âgé que moi, ça me serait déconcertant.. tu sais les hommes et leur fierté hein. Enfin, bref. » Leur fierté d’avoir une nana plus jeune qu’eux ou du même âge si on veut la draguer, merde, j’ai failli me griller alors que ce n’est même pas ce que je fais ! Et encore moins ce dont j’ai envie. Pour l’instant.
   
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