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BENJONA
► IF YOU'RE GONNA PLAY THE GAME, BOY
You gotta learn to play it right
You gotta learn to play it right
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- On ira le chercher plus tard alors.
Il dépose un baiser sur mes lèvres et se détache pour retourner sagement à sa place. Ha men… Il aurait pu rester que ça m'aurait pas déranger d'oublier la partie de poker! Mes doigts glissent négligemment sur ses fesses lorsqu'il se lève, puis le long des cuisses. Je tiens combien de tour comme ça? ON tient combien de tours en fait. Parce que, de ce que je peux voir, la fouine est serré dans son jeans. Moi aussi, mais… L'idée de tenir jusqu'à ce qu'il craque… Allez un petit effort de contrôle pour savoir où ça va mener! Tandis qu'il deal, je me penche pour récupérer ma bouteille de bière au sol. Ouais. J'ai déjà été plus confortable, disons. Une gorgée et je regarde ce qui se trouve devant moi. Une paire de 10. Connu mieux, connu pire. Un vague sourire en coin à sa provocation. Qui plus est quand sa voix change de la sorte. J'en connais assez sur lui pour savoir qu'il est chaud quand ça arrive. Si on monte encore d'un cran pour le prochain tour, ça donne quoi?
- Hors de question que tu gagnes un morceau, fis-je simplement. C'est plus agréable quand tu en perds. Je te suis pour la vérité.
J'irai pas me planter parce que j'ai qu'une paire. Je peux encore survivre. Même s'il a la même chose, si c'est plus bas que 10, je l'emporte. Alors, c'est une petite chance à ne pas risquer. Il dépose les trois cartes face up. 3 of a Kind. Je m'en tire déjà un peu mieux. Je tente cependant de ne rien laisser paraître, prenant une nouvelle rasade, et quand il ajoute son surpull à la mise, je tire sur le pan de ma veste pour lui indiquer que je suis.
- Je me demande pourquoi, oui, fis-je aussi faussement que lui.
La bouteille sur la table pendant qu'il pose les dernières cartes. As et deux. Pas de suite complète, il m'aurait fallu un roi. Et lui je sais pas s'il en a un. Si c'est le cas, je perds ma veste. Chose qui n'est pas plus mal. J'ai pas particulièrement froid de manière générale et cette partie ne fait aucunement descendre la température. J'hoche la tête à sa question, mais grimace légèrement au sobriquet.
- M'appelle pas "mon coeur" s'te-plaît, lui indiquais-je. J'ai étrangement l'impression d'avoir 5 ans sinon. Ça, ou "mon chou", "mon lapin", "mon poussin"... Du pareil au même, expliquais-je avec un vague signe de main.
Je déteste me faire appeler Benjamin. Mais pour les surnoms, y'a pas grand chose qui me dérange réellement. J'en donne à tout le monde, alors faut bien que je m'attende à un retour du balancier.
- Je préfère "Babe", soufflais-je en le regardant. Je prends une action aussi, confirmais-je. Et voilà mes cartes.
À lui de me dire si je retire ma veste ou non. Forte chance que oui. ...Ou pas. Il n'a qu'une paire. Y'avait presque tout pour faire une flush.
- Tu voulais ma chemise tantôt? le questionnais-je. Pourtant tu perds ton surpull, constatais-je avec un nouveau sourire en coin, un brin provocateur.
J'ai encore ce tour. Et je vais en profiter pour me renseigner un peu. En espérant pas trop foutre de malaise.
- Je veux savoir ce que tu préfères ou que tu voudrais faire/essayer, n'importe, au lit - ou ailleurs aussi -. Et pour l'action… c'est toi qui me retire le prochain morceau que je perds, énonçais-je. ...À moins que tu ne sois bien parti sur ta lancée, me moquais-je légèrement. C'est loin de me dérange, tu sais.
Il dépose un baiser sur mes lèvres et se détache pour retourner sagement à sa place. Ha men… Il aurait pu rester que ça m'aurait pas déranger d'oublier la partie de poker! Mes doigts glissent négligemment sur ses fesses lorsqu'il se lève, puis le long des cuisses. Je tiens combien de tour comme ça? ON tient combien de tours en fait. Parce que, de ce que je peux voir, la fouine est serré dans son jeans. Moi aussi, mais… L'idée de tenir jusqu'à ce qu'il craque… Allez un petit effort de contrôle pour savoir où ça va mener! Tandis qu'il deal, je me penche pour récupérer ma bouteille de bière au sol. Ouais. J'ai déjà été plus confortable, disons. Une gorgée et je regarde ce qui se trouve devant moi. Une paire de 10. Connu mieux, connu pire. Un vague sourire en coin à sa provocation. Qui plus est quand sa voix change de la sorte. J'en connais assez sur lui pour savoir qu'il est chaud quand ça arrive. Si on monte encore d'un cran pour le prochain tour, ça donne quoi?
- Hors de question que tu gagnes un morceau, fis-je simplement. C'est plus agréable quand tu en perds. Je te suis pour la vérité.
J'irai pas me planter parce que j'ai qu'une paire. Je peux encore survivre. Même s'il a la même chose, si c'est plus bas que 10, je l'emporte. Alors, c'est une petite chance à ne pas risquer. Il dépose les trois cartes face up. 3 of a Kind. Je m'en tire déjà un peu mieux. Je tente cependant de ne rien laisser paraître, prenant une nouvelle rasade, et quand il ajoute son surpull à la mise, je tire sur le pan de ma veste pour lui indiquer que je suis.
- Je me demande pourquoi, oui, fis-je aussi faussement que lui.
La bouteille sur la table pendant qu'il pose les dernières cartes. As et deux. Pas de suite complète, il m'aurait fallu un roi. Et lui je sais pas s'il en a un. Si c'est le cas, je perds ma veste. Chose qui n'est pas plus mal. J'ai pas particulièrement froid de manière générale et cette partie ne fait aucunement descendre la température. J'hoche la tête à sa question, mais grimace légèrement au sobriquet.
- M'appelle pas "mon coeur" s'te-plaît, lui indiquais-je. J'ai étrangement l'impression d'avoir 5 ans sinon. Ça, ou "mon chou", "mon lapin", "mon poussin"... Du pareil au même, expliquais-je avec un vague signe de main.
Je déteste me faire appeler Benjamin. Mais pour les surnoms, y'a pas grand chose qui me dérange réellement. J'en donne à tout le monde, alors faut bien que je m'attende à un retour du balancier.
- Je préfère "Babe", soufflais-je en le regardant. Je prends une action aussi, confirmais-je. Et voilà mes cartes.
À lui de me dire si je retire ma veste ou non. Forte chance que oui. ...Ou pas. Il n'a qu'une paire. Y'avait presque tout pour faire une flush.
- Tu voulais ma chemise tantôt? le questionnais-je. Pourtant tu perds ton surpull, constatais-je avec un nouveau sourire en coin, un brin provocateur.
J'ai encore ce tour. Et je vais en profiter pour me renseigner un peu. En espérant pas trop foutre de malaise.
- Je veux savoir ce que tu préfères ou que tu voudrais faire/essayer, n'importe, au lit - ou ailleurs aussi -. Et pour l'action… c'est toi qui me retire le prochain morceau que je perds, énonçais-je. ...À moins que tu ne sois bien parti sur ta lancée, me moquais-je légèrement. C'est loin de me dérange, tu sais.
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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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(Invité)