If you're gonna play the game, boy

BENJONA

► IF YOU'RE GONNA PLAY THE GAME, BOY
You gotta learn to play it right

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Installé sur le canapé, Jona à moitié étendu sur moi, je regarde les images défiler sur l'écran, portant plus attention aux commentaires du brun qu'au film. Par moment, ses réactions sont plus intéressantes que l'histoire. Je suis pas fana de films, je préfère les bouquins. Peut-être par habitude. Jona, par contre, il a ses classiques du cinéma. Il m'a déjà traîné dans une soirée Harry Potter organisé à Harvard et juste avant un première publique de films. Alors je lui ai laissé choisir ce qu'il voulait regarder.

Ce soir, c'est ciné-maison. Chez moi. Une soirée pour le sortir de ses bouquins et de sa préparation aux examens. Ça avait déjà été prévu une fois, mais il avait dû annuler. On se reprends aujourd'hui. Où du moins, c'est ce qui était prévu ...jusqu'à ce que la pièce soit plongée dans le noir. Super.

Me redressant légèrement, je laisse fuser un léger soupir et attend que mes yeux s'habituent à la pénombre ambiante. Finalement, repoussant doucement Jona, je quitte le canapé pour aller voir à la fenêtre. Les lampadaires ne sont pas allumés, les feux de circulation au coin de la rue non plus, aucune enseigne, aucune autre fenêtre.

- C'est le quartier au complet qui a disjoncté, constatais-je.

Problème à la centrale sûrement. Fouillant dans ma poche, je sors mon téléphone et allume la lampe de poche. Me tournant vers le brun, j'évite de lui flanqué la lumière dans les yeux.

- T'as pas peur du noir, j'espère? demandais-je avec un sourire en coin.

Me guidant avec la lumière, je me dirige vers l'entrée, fouillant dans le placard pour en extraire un bac. Couvertures, pads chauffants, trousse de premiers soins, lampe de poche, piles… y'a de tout là-dedans. Un de mes kits de survie, en quelques sorte. Et si besoin, je descendrai au le garage pour aller chercher le compresseur dans le camion.

Attrapant bougies, briquets et radio à batteries, je reviens au salon, ramassant quand même une assiette vite fait à la cuisine. Accroupi près de la table basse, je m'affaire à allumer quelques bougies que dépose dans l'assiette.

- Essaie de pas vider ta batterie de cellulaire, lui conseillais-je distraitement.

J'éteins d'ailleurs la lumière sur le mien, le glissant dans ma poche et en sort le paquet que j'y avais mis, l'envoyant sur la table près de mon boyfriend.

- Si tu veux te faire un jeu de patience en attendant que le courant revienne, fis-je avec un sourire en coin, un peu baveux.

Je suis pas certain que ce soit vraiment son genre vue l'énergie qu'il a, mais ça m'amuse de le taquiner.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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”I’m a player Babe”

Les battement de son coeur se répercutent dans tout mon être.
Oui, moi aussi, je me trouves très niais, surtout avec Benji. Spécialement quand on fait quelque chose de très innocent, de trés … couple . Comme par exemple la soirée cinéma, de ce soir.
Moi, adossé contre lui, sa respiration régulant la mienne, un film dans la télévision, du pop corn, du soda, la neige dehors. Oui j’adore ça. Une activité banale de couple, dans sa maison à lui, sur son canapé…
Je me retourne pour l’embrasser, sans aucune raison, alors même que le film que j’avais choisi, Push, devenait bruyant et montrait une scène d’action pleine d’effets spéciaux…
Soit!
J’avais passé la soirée à critiquer, acteurs, et scénario. Je m’étais contenu autant que je l’avais pu, sauf que “Ils sont sérieux la? les pouvoirs comme “Mover” pour ne pas dire télékinésie ? … parce que c’est longs ? “Watcher” au lieu de voyant? Et … “Screamer”? Rolala ! quel pouvoirs de merde m’étais je lamente un peu plus tôt
Je ne parles pas beaucoup d’habitude, je n’ai juste pas pu me retenir, deux ou trois fois, Et même si je sais, que ceux qui parlaient pendant les films sont les pires. Je ne pouvais juste pas m'en empêcher, quand une des plus grandes actrices a ma connaissance se retrouvait à jouer aussi mal. Ou quand de longs moment n’étaient ponctué que par la musique. Soupirant encore une fois, je m'empêche de commenter la scène suivante, me mordant la lèvre inférieure, préférant piocher dans le bol de pop corn.
Quand…
Tout plonge dans le noir.
Avais je moi aussi des pouvoirs ? m'étais je tellement concentré que j’avais mentalement éteint toutes les lumières?

Mon siége confortable, bouge, et se dirige vers la fenêtre, qu’il ouvre… je me remet sous la couverture ressentant la morsure du froid.
-C'est le quartier au complet qui a disjoncté, M’annonce t’il
Je souris pour moi même
-Oh cool! Je pensais que j’avais eu le pouvoir “d’obscureur”, et que j’ai plongé l’appart dans le noir. Je me disais que c’était peut être le pouvoir le plus débile que j’ai jamais vu.. .Après les Screamer.
Me relevant du canapé , j’attends de voir ce qu’il faut faire par la suite, et le regarde allumer la lampe de son téléphone.
-T'as pas peur du noir, j'espère?
-Non ça va. Et puis t’es la .
Je le suis jusqu’au couloir, et l’aide, ou du moins fait semblant, à extraire un bac semblant vraiment lourd, du placard qu’il vient d’ouvrir. Il le pose sur le sol, et je m’accroupis pour en découvrir le contenu, le laissant chercher d’autres trucs dans le placard.
-Waw ! le kit de survie de l’apocalypse bébé?
Il est bien préparé, ça ne m’étonne pas du tout ! Souriant j’emporte les couvertures, pour alléger un peu son fardeau, et les dépose sur le canapé en attendant qu’il me rejoigne avec le reste.
Sa remarque sur mon cellulaire, ramène mon attention sur ce dernier posé sur la table basse. Bizarrement, aussi connecté que j’étais, du moment ou je suis avec lui, je n’y touche pas, ou rarement. Alors pour tout réponse j’hoche la tête et esquisse un mouvement pour l’aider à allumer les chandelles. Romantique à souhait, cette coupure de courant, je suis les courbes de son corp dans les lumières des bougies qu’il était entrain d’allumer, et (merci réflexe) je rattrape le paquet qu’il m’envoie, le regardant m’expliquer ce que c’était
-Si tu veux te faire un jeu de patience en attendant que le courant revienne,
J’en rit, franchement hilare, jeu de patience qu’il dit…
Je sors les cartes et les regarde, relativement récentes, mes yeux passent sur les chiffres, et je compte le deck, mon sourir, innocent jusque la se transforme, et je le regarde
-Pas de patience ici, mais … Un poker ça te dis? Je vais te plumer mon vieux. A part si t’as peur de perdre ton argent pour moi …
Ouai un Poker ce serait fun ça.

DEV NERD GIRL

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BENJONA

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Une vague lueur dans mon regard à sa réponse. Non, il n'a pas peur du noir. Et son "Et puis t'es là." définissant ma présence comme rassurante pour lui. À croire que je m'adoucis avec Beth et lui. Car c'est ce qui semble ressortir de leur constat. Alors que ce n'est pas vraiment le premier mot qui me vient en tête si j'ai à me décrire.

Me dirigeant vers l'entrée, je sors un bac du placard. À son exclamation, je craque un sourire en coin.

- Un mélange entre du nécessaire de camping et un kit de secours pour la voiture. Avant, on avait un petit poêle au gaz aussi, mais je l'ai laissé à ma mère avec quelques trucs, expliquais-je en retournant au salon.

M'installant près de la table basse pour allumer les chandelles de secours, j'ai un bref regard vers lui qui nous installe un nid de couvertures sur le canapé. Il aurait pu prendre celles de mon lit aussi, mais je n'irai pas le lui reprocher. Ça n'est jamais que quelques draps. Voulant le taquiner, je lui lance un paquet de cartes que j'ai récupéré avec le reste, arguant qu'il peut se faire un jeu de patience en attendant que le courant reviennent. Sa réaction est assez rapide et il en rit franchement. Je suis pas certain que ça serait un franc succès. Cependant, il examine les cartes, évaluant quelques chose avant de relever la tête et j'hausse un sourcil à sa proposition. Un poker, hen?

- Je crois pas que j'aie réellement à craindre de me faire plumer, affirmais-je en me redressant pour m'approcher de lui.

Un genou sur le divan, je l'oblige à s'appuyer au dossier sur lequel je prends aussi appui d'une main. Le surplombant, je le fixe un instant avant de me pencher jusqu'à ce que mes lèvres ne frôle les siennes. Un simple effleurement. ...avant de me saisir le paquet de cartes dans ses mains et de m'asseoir correctement à côté de lui.

Moi, chiant?

- Y'a plus intéressant à miser, fis-je en jouant négligemment avec le cordon de son capuchon.

J'aime pas jouer à l'argent. Et si j'ai aucune idée de jusqu'où s'étend sa fortune - ou la mienne d'ailleurs - je sais en revanche qu'on a pas besoin de se garnir le portefeuille. Par contre, le voir obligé de retirer des vêtements parce qu'il vient de perdre un tour… ça c'est intéressant.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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”I’m a player Babe”

Un Poker à la lumière des chandelles?
J’adore l’idée !
Le manque de lumière va nous empêcher d’essayer de déchiffrer les expressions faciales de l’autre. Ce sera encore plus drôle que la version normale du jeu, et après avoir proposé ça pour rire, je me rends compte que ce serait un bon moyen de passer les quelques heures qui suivent.
Battant inconsciemment les cartes entre mes mains, j’attends sa réaction, un sourire espiègle sur mes lèvres après mon affirmation de pouvoir le plumer.
Sa réponses n’est pas une surprise : il n’a pas peur, au contraire il ... s’approche de moi, et … Oh … Son pseudo-baiser me laisse sur ma faim! tandis qu’il me prends le paquet de cartes des mains, et se rassoit.
Me taquineriez vous monsieur Skelton?
Oui je crois que oui. Mes yeux suivent ses mouvements, alors qu’il se remet assis sur le canapé, et qu’il parle pour … dire quelque chose. Autre chose à miser ou quelque chose ... sa mains passe sur un cordon de sa capuche et … Oh …
Je ne perds pas mon sourire, au contraire, une lueur malicieuse passe sur mes yeux, quand d’un mouvement rapide, je me retrouve sur les genoux. Puis tout aussi lestement, à califourchon sur lui.
Avant tout, j’ai envie de ces lèvres qui m’avaient quitté beaucoup trop vite. Agrippant le dos du canapé derrière lui, je pose mes lippes sur les siennes, doux effleurement comme celui qu’il m’avait prodigué furtivement. Sauf que moi, je ne le quitte pas tout de suite, je préfère les torturer de lenteur... ne jamais rester plus que quelques secondes, avant de m’eloigner, puis revenir , les caressant… lascif. A la troisième reprise, Je pousse, délibérément, un lent gémissement, de ceux qui le rendaient fou , et raméne mon bassin vers le sien, pour ressentir ce que cela lui faisait. J’en profite pour effleurer sa braguette de la mienne, en un mouvement de va et viens, qui suit le rythme de mes baisers.
Un peu comme une chorégraphie
-Voila comment on embrasse babe
Dis je finalement, comme à un enfant, à qui on montre la bonne méthode à adopter.
DEV NERD GIRL

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BENJONA

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Son idée de poker est intéressante, mais je n'ai pas particulièrement envie de mettre mon portefeuille en jeu. Parce que j'ai peur de perdre de l'argent? Non pas vraiment, même si je ne sais pas jusqu'à combien il pourrait miser. Je ne l'ai jamais vu jouer aux cartes ou autres jeux de mises, donc je ne peux pas évaluer. Mais c'est surtout que je considère qu'il y a plus intéressant à miser si on est pour être que tous les deux. Et donc… ouais, strip poker. Le chauffage est au gaz alors c'est pas comme si on a a craindre de se transformer en glaçons. Et s'il a froid, y'aura qu'à changer d'activité...

Ma proposition ne semble pas lui déplaire et même, il s'installe sur moi, joueur. Qu'est-ce que t'as encore en tête, Jona? Ses bras de chaques côté de ma tête pour saisir le dossier du divan, moi, je me laisse à m'y appuyé, attendant de voir ce qu'il prépare. Il me rend l'effleurement que je lui aie fait subir, puis insiste un peu plus. Mais jamais réellement. Je laisse le paquet de cartes de côtés et mes mains vont se poser sur ses cuisses. Un gémissement de sa part. Un putain de gémissement qui file un frisson le long de la colonne vertébrale. Et il bouge, mouve son bassin contre le mien. Heu… fuck le poker! Je réponds présent à ses nouveaux baisers et ses mouvements, jusqu'à ce qu'il y mette un terme et ouvre la bouche.

À sa petite leçon, j'en passe ma langue sur mes lèvres avant de la faire claquer à mon palais. Frustrant. Très frustrant. Tu veux jouer Jona?

- Je peux te garantir que je sais comment embrasser, lui répondis-je avec un sourire en coin, provocateur. Et je peux te montrer que je sais nettement plus de trucs ...à moins que tu aies peur de perdre tous tes vêtements, fis-je en récupérant le paquet de cartes pour le lui montrer.

On va jouer un peu.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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”I’m a player Babe”

Me détachant finalement de lui, je suis la trajectoire de sa langue sur ses lèvres, imaginant qu’il faisait le même geste sur une partie de mon corps. N’importe quel partie en somme.
Sauf qu'apparemment il avait une autre idée.
Hummm
-Strip poker?
Je passe un doigt sur le coin de mes lèvres, puis sur ma lippe inférieure, répétant le chemin que sa langue avait tracé sur la sienne.
-Si tu veux me voir nu tu peux me le demander gentillement tu sais… en fait non, même si tu me le demande pas, t’as juste à hocher la tête Je ris un peu, toujours assis à califourchon sur lui, le laissant se pencher pour atteindre le jeu de carte.
Vu mon hyperactivité, j’arrive rarement à me tenir tranquil… Alors la plupart du temps je joues inconsciemment avec ce que mes mains rencontrent … et pour l’instant ils étaient posé sur le bord du jean de mon petit ami. Je jouais avec les sangles de sa ceinture, les yeux passant du jeu de carte vers sa bouche, puis sur mes propre mains.
-D’accord ! j'acquiesce Mais je penses qu’il faut lister les vêtements qu’on a. Est ce qu’une ceinture est un vêtement à part ? une montre ? chaque chaussure seule, ou alors en paire? les chaussettes aussi? Je me tait un instant gêné par cette liste de questions posé à la hâte. hum … Je suis beaucoup trop à cheval sur les règles des jeux, j’aime que tout soit clair.
Souriant pour rajouter de la légèreté à mes paroles j’ajoute.
-Même si tout de suite je ne suis à cheval que sur toi. je passe un doigts sous le jean pour le taquiner
DEV NERD GIRL

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BENJONA

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Je n'ai pas à demander… Je sais. Pas que j'en abuse, mais je crois avoir facilement compris comment le chauffer. Et lui aussi a très bien compris le principe. Sauf qu'il est aussi baveux que je peux l'être. Je goûte à ma propre médecine. Mais c'est pas des plus déplaisant de savoir qu'il a du caractère. Autrement qu'en se montrant entêté.

Un autre de ses traits de caractère : il doit toujours bouger. Et la moitié du temps, je suis même pas certain qu'il s'en rend compte! Mais présentement, à jouer avec le bord de mon jeans, il doit particulièrement savoir ce qu'il fait. Pour peu, je serais pas étonné qu'il me débarasse de ma ceinture en fait. Sauf qu'il acquiesce au poker, partant dans une panoplie de questions pour mettre les règles au point. Un pause, semblant se rendre compte de ce qu'il fait. Ouais, à cheval sur les réglements. Et ouais, à cheval sur moi. ...avec une main qui s'invite.

Un sourire en coin et j'agrippe ses cuisses pour le soulever et l'envoyer sur le canapé à côté de moi, restant au-dessus de lui. Mes lèvres très proches des siennes encore une fois, je souffle :

- Au cas où tu l'aurais pas remarquer, mes baskets sont dans l'entrée, fis-je avant de l'embrasser. Choisis pour les bas si c'est un ou deux à la fois, ajoutais-je avec un nouveau baiser. La montre peut compter, dis-je encore tout contre ses lèvres. Et pour la ceinture… murmurais-je en l'effleurant.

Je glisse le bout de mes doigts dans ses pantalons, saisissant le vêtement et la boucle de ceinture, je tire un bref coup sec.

- ...de toute façon, tu vas la perdre avant moi, affirmais-je en le lâchant, me redressant également.

Attrapant à nouveau le jeu de cartes, je me cale confortablement sur le canapé et brasse le jeu, un sourire provocateur au visage.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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”I’m a player Babe”

Il veut vraiment me tuer la.
Me tuer délicieusement, en me chauffant juste ce qu’il faut pour que quand ses lévres quittent les mienne, je sente un froid imaginaire, que le chauffage de la pièce n’arrive pas à réchauffer.
Mon propre chauffage personnel me nargue.
Et … OH ! il me dit que je vais de toute façon perdre devant lui ...
-Tu crois ça? Tu penses que je vais être nu avant toi? Demandais je offusqué.
Me relevant de la position allongé dans laquelle il m’avait laissé, je passe une jambe sous moi, et me met en position pour laisser un gap sur le canapé entre nous.
- Donc on joue ici ou pas? y a besoin d’un tapis déjà? regardant des deux coté, je cherche un tapis de carte dans la pièce. Fort peu probable que j’en trouve dans les parages mais c’était un réflexe.
Oui je sais ce qui semble la. Que je ne sais pas jouer. ça fait un peu partie du jeu n’est ce pas? Jouer la comédie? et heureusement que je savais le faire à merveille.
Première leçon d’un bon acteur, ne pas être direct. Ne pas dire “je sais pas jouer”, plutôt le laisser paraître. Comme si c’est quelque chose qu’on veut pas que l’autre découvre, mais qu'il arrive à découvrir quand même. Juste pour émousser sa méfiance.
- Alors : Les chaussettes comptent pour 2 vêtements, j’ai pas de chaussures non plus, et … je me remet sur les genoux, sur le canapé, et m’attaque à la boucle de sa ceinture Toi non plus tu vas pas garder ta ceinture longtemps babe. j’ouvre la boucle métallique laissant, sciemment, glisser mes doigts sur sa braguette.
Oups pas fait exprès !
Ben quoi? Je veux jouer moi aussi, mes yeux le montrent assez bien. Tout comme les siens, ils sont provocateurs, taquins, et … oui une lueur de désir. Je termine de lui enlever sa ceinture, et la jette plus loins
Un pull, un surpull, un jean, deux chaussettes, une montre et …. mon caleçon porte bonheur Reprenant mon siège j’illustre mes paroles au fure et à mesure, la liste de mes vêtements. Passant ma langue au coins de ma lèvre quand je parle de sous vêtements.
DEV NERD GIRL

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BENJONA

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-Tu crois ça? Tu penses que je vais être nu avant toi?

Je l'ai piqué. Et ça m'amuse. Bien calé au fond du canapé, je me contente de lui servir un sourire provocateur, sans parler, à titre de réponse. Ça reste un jeu de hasard. Mais avec une bonne part de bluff. Allez savoir lequel de nous deux l'emportera. Mais si je peux l'avoir nu avant moi, devant moi, pour le plaisir des yeux, je dis pas non. Et je me contenterai probablement pas que des yeux! Se redressant, il semble décidé à mettre le tout en branle.

- T'as besoin d'un tapis pour jouer au poker, toi? demandais-je, haussant un sourcil, en brassant les cartes.

C'est pas un tournoi. C'est qu'une partie amicale. ...avec beaucoup de bonus à la clé.

- Le canapé me convient parfaitement comme surface de jeu, pour ma part, expliquais-je, continuant de le fixer.

Il bouge, explique, s'approche. Je le laisse faire. Oh, faut pas se tromper, j'écoute ce qu'il dit. Mais je sais aussi qu'il dépense parfois beaucoup d'énergie. Alors que, de mon côté, je reste calme. Presqu'impassible. Même lorsqu'il dégraffre la boucle de ma ceinture. Avec lui, en ce moment, y'a peut-être mon regard qui me trahit ses doigts glissent "négligemment" sur ma braguette. Si son bluff est aussi flagrant que sa fausse innocence présentement, je risque d'avoir une vue sur sa peau assez rapidement. Ma ceinture rendue loin, il me fait la liste de se qu'il porte et mes yeux suivent attentivement ses mains qui parcourent tout ce qu'il nomme.

- Tu avais une intention particulière pour le porter ou tu tentes de m'intimider? demandais-je avec un sourire en coin. Veste, t-shirt, montre, jeans, chaussettes, énumérais-je. ...Et j'ai pas de boxer, ajoutais-je en le regardant droit dans les yeux.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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Cette insolence!
Cette foutue insolence qui transparaît dans son demi sourir provocateur, dans les gestes de son corps, ses paroles.
Putain, il me tue.
Il me pointe le canapé comme surface de jeu, et je m’éloigne pour laisser de la place, passant une jambe sous moi. Alors quand il rajoute qu’il … ne porte pas de boxer… l’image est beaucoup trop présente dans mon esprit, pour que je m'empêche de bouger vers lui. Et je m'empêche rarement, quand l’impulsion est de l’embrasser.
Je rapproche mes lèvres des siennes, stoppe à quelques centimètres, ma main ayant trouvé son chemin vers le bord de son jean que je soulève de l’index. Je ne laisse une petite distance entre nos deux visages, ne l’embrasse pas, même si j’en mourais d’envie, je bouge juste légèrement la tête en bas, pour voir ce que mes mains révélaient. Pour vérifier s’il ne portait vraiment rien en dessous.
Et en voyant qu’il disait vrai… Je pousse un gémissement d’envie, me mordille la lèvre en ramenant mes yeux aux siens.
-Tu commence avec un handicape chéri. C’est pas pour ça que je vais te ménager.
Dis je, ne bougeant pas de l’endroit ou je m’était stoppé, me torturant moi même pour ne pas combler le gap qui nous sépare. Une… deux … trois secondes. Mes yeux caressent ses lèvres.
Puis je me remet dans ma position initiale.
- et je sens que mon caleçon fétiche va me porter chance ce soir.
Qu’il reste, ou qu’il soit enlevé aprés les deux premiers tours, il allait me porter chance ce caleçon.
-Tu deal?
Lui demandais je, prêt à jouer ma chemise
DEV NERD GIRL

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