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Can you just stop being mean ?

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Aleksey & Solweig
« La haine et l'amour sont deux sentiments qui finalement, sont tres proches ... »



Apres ma replique, il toisa mon corps avant de fixer mon visage. Il avait quoi tout d'un coup ? Il avait l'air de ces predateurs, avide de viande fraiche sur le campus " - Tu comptais partir où, comme ça ?.. Tu pourrais rester un peu avec moi, on pourrait s'amuser, tu ne penses pas ? " me dit-il subitement en glissant sa main de ma taille au bas de mon dos, me rapprochant inevitablement de lui. Ma respiration s'accelera, il etait vraiment attirant, mais meprisable en meme temps. Situation etrange. Il etait hors de question que je me laisse aller pour un mec qui devait avoir une femme differente chaque nuit dans son lit. Il me plaqua alors de nouveau avec violence contre ma voiture. Je me laissais faire comme ces vulgaire filles soumises qu'on pouvait souvent croiser a Harvard, et ca me repugnait d'etre comme ca.

" tu vois ces filles a qui tu as clairement montre mon bleu, je pense que je leur dois des explication par ta faute ... " Je m'arreta un moment en le fixant de haut en bas. " Et je connais par coeur les types de ton genre. Des garcons faciles qui couchent avec des filles faciles, je ne me respecterais pas si je pretendais pouvoir m'amuser avec toi. " Je savais qu'au fond, ce genre de personnes avaient bon fond, je savais que c'etait le genre de personne terriblement attachees aux personnes qu'il aimait vraiment, mais je ne voulais certainement pas lui donner ce plaisir, celui d'avoir compris qu'il y avait une once de bonte en lui. Il remonta sa main tout le long de mon corps jusqu'a ma joue, juste assez pour me faire frissonner. Il caressa ma joue avant d'empoigner ma chevelure doree.

" - Regarde moi bien, Solweig. Je ne le répéterais pas deux fois. Ecoute moi bien : Tu dégages, tout de suite, avant que ça ne dérape. Et je peux le faire. " me dit-il en prenant de grands airs a travers ses lunettes. Je le regardais avec serieux droit dans ses yeux sombres que je pouvais tout de meme apercevoir. Je poussa son torse d'une main " Ecoute Slovansky, j'ai pas peur de toi de un, et de deux, je ne bougerai pas d'ici. Tu ne me feras aucun mal, tu sauras te comporter en vrai homme si tu vois ce que je veux dire. "


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« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.. Et de sois-même.»
Ecoute Slovansky, j'ai pas peur de toi de un, et de deux, je ne bougerai pas d'ici. Tu ne me feras aucun mal, tu sauras te comporter en vrai homme si tu vois ce que je veux dire.
- Pardon..? Je me retournais vers elle en claquant la portière de ma voiture que je venais d'ouvrir pour partir. Je me retournais vers elle et fit deux pas, assurés, les mains au fond de mes poches. Je détestais qu'on cherchais à me faire descendre dans mon estime. Qui a dit qu'en chaque homme ne se cachait pas un machiste de base ?. C'était bien connu, pourtant. Je restais droit, et deux mètres nous séparais. J'avais toujours été bon pour discerner la personnalité des gens. Plus jeune, j'avais passé des années de souffrance, plongé dans un mutisme incompréhensible, l'observation était donc mon point fort. Je savais discerner la personnalité des gens, c'était certain. Mais j'avais bien plus de mal avec Solweig. Certes, elle était frustrée et souffrante. Mais elle n'hésitait pas à en rajouter une couche pour chercher à m'énerver. Alors, serait-elle tout simplement l'une de ces nanas masochistes qui cherchaient à avoir mal devant la moindre occasion qui se présentait ?. De ma main droite, j'enlevais mes lunettes de soleil et les accrochais au colle en V de mon t-shirt. Je mordillais légèrement ma lèvre inférieur et d'un seul pas brisait la distance qui avait été placée entre nous. Deux mètres c'était court. Il me suffisait de faire deux pas pour être à sa hauteur. Je faisais 1m85 ce qui était très grand, certes, je n'étais pas le plus musclé des Hommes mais mon torse était massivement taillé en V. Face à moi elle avait l'air d'une petite poupée fragile avec sa peau de lait et ses cheveux blonds. J'avançais encore jusqu'à ce qu'elle recule jusque sa voiture. J'étais très proche d'elle à présent, si proche que je pouvais sentir son souffle haletant contre ma gorge.
- Je crois n'avoir pas bien saisi.. lui dis-je doucement en prenant un air d'incompréhension. Insinuerais-tu que je ne porte pas bien ce que j'ai sous ma ceinture ? Je la fixais droit dans les yeux, un sourcil arqué, attendant une réponse ou un simple geste de sa part, qui selon moi, aurait pu lui être fatale.



Solweig & Aleksey.

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Aleksey & Solweig
« La haine et l'amour sont deux sentiments qui finalement, sont tres proches ... »



Apres ma replique qui je l'avoue ne fut pas des plus douces, Aleksey fit marche arriere, l'air incredule... et enerve aussi. Il referma avec violence la portiere de sa voiture et vint me rejoindre a grand pas, pour se retrouver a la meme place que tout-a-l'heure. " - Pardon..? " Si cette fois-ci j'avais eu la vie sauve, cette fois-ci je n'aurais peut-etre pas la meme chance. Il etait desormais a deux petis metres de moi. Tout d'un coup il semblait vraiment grand, j'avais la chance de faire partie des plus grandes de cette faculte, sinon j'aurais bien ete emmerdee de ne meme pas pouvoir voir son visage. Il enleva ses lunettes de soleil ce qui me permis de le regarder droit dans les yeux. Moi aussi je pouvais lui jeter des regards menacants, bien qu'il savait qu'il pouvait faire de mon corps une vulgaire boule de papier si l'envie l'en prenait.

Il avanca encore jusqu'a moi, et de mon cote je reculais jusqu'a etre collee contre ma voiture. Je ne pouvais plus reculer davantage et lui etait desormais a quelques centimetres de moi, notre corps etaient presques colles l'un contre l'autre. Mes yeux etaient rives sur sa gorge, je pouvais y voir des veines se dessiner de part et d'autres de sa pomme d'Adam. Je descendait jusqu'a ses bras eux aussi ornes de quelques veines saillantes, je pouvais meme un peu voir ses abdos a travers son t-shirt. J'en deduis deux choses : de un ce gars la avait un corps a tomber. La deuxieme : j'etais morte. Je souffla un bon coup et dans un elan de courage, - surement le meme qui m'avait pousse a basculer de cette chaise avec la corde au cou - je posa mon poing sur son torse, sans violence mais je le poussa a reculer.

" Tu m'excuseras, il y a quand meme un espace vital que tu dois respecter, merci. " Il ne tarda pas a lui aussi me faire une remarque, peut-etre la derniere que j'entendrais dans ma courte vie. " - Je crois n'avoir pas bien saisi.. Insinuerais-tu que je ne porte pas bien ce que j'ai sous ma ceinture ? " me dit-il avec calme, mais d'un ton tout de meme menacant. Je mordilla ma levre inferieure avant de replacer une meche de cheveux derriere mon oreille, cherchant un moyen de me sortir de la. J'avais l'impression d'etre une biche fasse a son chasseur, alors pourquoi je lui tenais tete ? Et pour ce qui etait de 'portait-il bien ce qu'il y avait sous sa ceinture', ca restait franchement a voir... mais je ne lui repondrait pas ca, de peur qu'il pense autre chose..

" Qu'est ce que tu cherches a prouver Aleksey ? Que t'es un dur ? Que t'es plus fort que tout ? En ce qui concerne ton gabari, je pense que c'est pas a moi que tu devrais demander, mais plutot aux filles avec qui tu couches ! " La j'avais pris le ton de l'enervement. Je prenais beaucoup de risques a agir de la sorte, je le savais, mais plutot mourir que de me laisser faire par un type dans son genre, j'avais ma fierte.


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Mon buste était serré contre le sien. A travers le tissus de mes habits, je pouvais sentir les courbes de son corps. Solweig était loin d'être une fille déplaisante. Elle était même mon type. Mon énervement était tel que mes avant bras laissaient apparaître mes veines. Qu'est-ce qu'il fallait que je fasse de plus pour qu'elle comprenne qu'elle m'insupportait ? Que son comportement m'agacait ?. Pourtant, n'y avait-il pas un lien dangereux entre le bourreau et sa victime ? Surtout quand la victime était jolie ?. Il suffisait de se pencher sur certaines affaires louches , tel que les meurtres : Certains psychopathes étaient totalement excités à voir leur victime à genoux les supplier d'arrêter. C'était prouvé. C'était dans les gênes : La puissance. La décision sur la vie et la mort de quelqu'un. Et pourtant, j'avais devant moi une vraie adversaire et qui plus est : à ma taille. Ma respiration devenait haletante et irrégulière sous l'énervement. Un coup de vent passait alors entre nous et laissait s’échapper dans l'air nos deux parfums. Le soleil de ces quelques minutes auparavant avait disparu, et c'est un gros nuage noir chargé de pluie qui refis son apparition. A croire que même le temps se moquait de moi !. Quand je me sentais fort et invulnérable, quelques rayons lumineux pointaient le bout de leur nez. A l'inverse, quand Solweig faisait basculer la donne, les nuages refaisaient surface. Elle posa son poing contre mon torse et me fit reculer d'un pas. "Tu m'excuseras, il y a quand meme un espace vital que tu dois respecter, merci. " Le vent se levait de plus en plus et un coup de tonnerre retentit. Je levais mon regard vers le ciel avant qu'elle ne reprenne de plus belle en levant la voix : "Qu'est ce que tu cherches a prouver Aleksey ? Que t'es un dur ? Que t'es plus fort que tout ? En ce qui concerne ton gabari, je pense que c'est pas a moi que tu devrais demander, mais plutot aux filles avec qui tu couches !" Je reposais mon regard dans le sien et serrais la mâchoire. Cette fois-ci, c'était trop. Je n'aurais pas voulu en venir à cette situation, mais ça me démangeait fortement. Alors qu'un deuxième coup de tonnerre retentit, j'allais giflé d'une force peu contrôlable la joue de Solweig. Et puis tout se passa vite, quelques garçons de ma classe accoururent pour me tenir par les bras et me hurlèrent de me calmer alors que les amies de Solweig vinrent s'attrouper autour d'elle. Je n'essayais même pas de me débattre de l'emprise de mes camarades. Mon coeur battait trop vite :
- Espèce de salope !. Je ne parlais plus, je hurlais. Comme on devait s'y attendre, une pluie féroce déferla sur nous tous alors que les élèves accouraient autour du parking pour se délecter du spectacle. J'étais perdu dans mes pensées. Je me rappelais à cet instant la gifle que m'avait mise ma mère quand j'étais môme et toute cette souffrance que j'avais accumulée.



Solweig & Aleksey.

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Aleksey & Solweig
« La haine et l'amour sont deux sentiments qui finalement, sont tres proches ... »



Tout d'un coup, les nuages gris devinrent noirs. Apparemment la colere de mon adversaire avaient le don de changer la meteo. Un eclair retentit et me fit sursauter. Deux secondes plus tard, des enormes gouttes de pluie tomberent sur nos tete a n'en plus finir. Je voyais Aleksey s'enerver de plus en plus et serrer la machoire. Et lorsque le deuxieme coup de tonnerre retentit, Aleksey me donna une grande gifle en pleine face. Ma tete bascula sur la gauche avec une violence fracassante. La bouche entrouverte par le choc, je porta ma main a ma joue endommagee. Je tourna doucement le regard vers Slovansky qui me regardait avec mepris, la respiration totalement acceleree. Je lui jeta mon regard le plus noir sans rien dire pour le moment, a vrai dire bien que j'etais carrement sous le choc, je savais que ca se finirait comme ca. Mais tout de meme, il avait ose lever la main sur moi. Quel genre d'homme etait-il avec les femmes ? Etait-il ce genre de personnes qui battaient leur compagne ?

Des etudiants ayant assiste a toute la scene vinrent tenir mon bourreau par les bras pour l'empecher surement de me faire plus de mal. Apparement mes amies n'etaient pas parties puisqu'elles aussi vinrent m'entourer m'acharnant de question du type 'Ca va, Sol ?' 'Pourquoi il t'a fait ca ?' Mais qui est ce connard ?'... Je ne repondais a aucune des question, encore sur le choc, la main toujours sur ma joue devenue rouge. Je regardais toujours Aleksey avec le plus grand mepris, sans rien dire. Il me traita meme de salope, et je lui jeta un dernier regard noir avant de m'en aller en voiture avec les filles, leur donner des explications. Jamais je ne reverrais cette brute, il etait alle bien trop loin...




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FIN DU RP
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