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Aleksey & Solweig
« La haine et l'amour sont deux sentiments qui finalement, sont tres proches ... »



Recommencer. Recommencer tout a zero. Je n'avance pas, je recule. C'est la rentree, et Ethan m'a quittee. Un moment je me suis sentie coupable, je dois dire, j'ai perdu notre bebe dans cet affreux accident de voiture au retour de mon weekend d'anniversaire. Seulement je n'avais pas besoin de ca, j'avais besoin de lui, de sa presence. Tout se melange dans ma tete, et voila comment j'entamme ma deuxieme annee. J'ai l'impression de couler comme un titanic en pleine mer Atlantique, alors a quoi bon crier, personne ne m'entendrait. La seule chose qui m'aide a oublier un moment ce trou noir c'est le travail. Il ne me reste plus qu'un objectif etant donne que celui d'elever un enfant avec Ethan est parti en fume. Le seul qui me reste est de finir mes etudes et essayer de plus trop foirer ma vie. Donc je travaille. Nous sommes fin septembre, il commence a faire froid et la bibliotheque est encore calme, c'est le matin. J'essaye de me concentrer dans ma lecture, mais mais mon foulard me serre trop. J'aimerai bien l'enlever mais tout le monde verrai l'enorme marque que j'ai au cou et ils sauraient alors que j'ai essaye de me pendre. Je le garde, tant pis pour moi.

La sonnerie retentie, c'est l'heure de mon premier cours de la journee, je me dis alors qu'il y aura peut-etre de nouveaux eleves, apres ca j'irai surement prendre un cafe avec Colombe ou Neva, histoire de ne pas totalement devenir le fantome de moi meme. Je me leve et commence a ranger mes cahiers et autres bouquins ininterressants dans mon sac Proenza Schouler qu'on m'a offert pour mon anniversaire, et me dirige vers la porte de sortie du centre de documentation. Seulement au moment de sortir, je recois un enorme coup d'epaule qui failli me faire tomber a la renverse. Mes livres, eux, ne ratent pas le sol... ainsi que mon foulard. Merde ! Mon foulard. Je m'empresse de le ramasser et de le renouer a mon cou avant qu'on ne remarque mes bleus. L'objet de cette bousculade, un etudiant, plutot beau garcon ... tres beau garcon a vrai dire, mais l'air aussi cynique, distant et glacial que mon ex Jamie. Il ne s'excuse pas, les gens autour ayant entendu le choc nous regardent. Je regarde l'etudiant, il a l'air d'etre a peine plus age que moi, il ne s'excuse toujours pas, je fronce les sourcils avant de me baisser pour ramasser mes autres affaires.

" Tu pourrais au moins t'excuser ... "


© Chieuze



Vraiment desolee, je suis sur un clavier anglais, je n'ai pas les accents, et puis mon texte n'est pas terrible ...
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« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.. Et de sois-même.»
Il était clair que je n'avais aucune envie d'allé à l'Université ce matin. En fait, je m'en était persuadé depuis ce matin, vers 6h environ, l'heure à laquelle je m'étais réveillé. Certes, suivre des études de cinématographie était ce que j'aimais et était censé me lancer pour mon avenir. Mais, comme à mon habitude, je me persuadais que j'étais trop doué pour suivre ces cours avec des abrutis. Il faisait gris dehors, un épais nuage recouvrais la moitié des environs. J'étais très superstitieux. Je me fiais à tout. Alors, si un épais nuage recouvrais la moitié des horizons, il recouvrait aussi le haut de mon crâne, ce qui voulais donc dire que j'allais certainement passer une mauvaise journée. A cette idée, je soupirais très lentement en fermant les yeux et en serrant la mâchoire. Il fallait que j'apprenne à canaliser ma colère, mais comment peut-on y arriver quand TOUT vous énerve ?.. J'ai bien dis tout ! 7h30. C'est l'heure qu'indiquait mon réveille. Je faisais partie d'une confrérie. Je ne pouvais pas faire autrement que d'interner à Harvard, faute d'argent. Je finissais ma tasse de café et envoyais un sms à ma cousine, Sophia, que je protégeais comme une louve couvre ses petits. Selon ma mère, qui s'occupait d'elle, elle était en pleine période : "Je me révolte de tout parce-que j'ai 16 ans."
Essaie d'être sympa avec Maman aujourd'hui. Je suis à des kilomètres, je ne peux pas tout régler. Bises, Aleks.
Tout ça bien sûr écris en russe. Je m'emparais de mon sac en bandoulière et parti pour l'Université. A vrai dire, elle était juste à côté de nos maisons respectives. Je passais alors devant la maison des Cabot et y jetais un coup d'oeil. Cette maison était remplie de nana. Je secouais doucement la tête en esquissant un sourire, comme toujours. Une fois arrivée à l'Université, la sonnerie retentissait à peine. J'allais rejoindre mon casier afin de prendre mon gros dictionnaire que je glissais dans mon sac presque vide. Le couloir était bondé de monde. Alors que je me retournais, perdu dans mes pensées, je percutais une jeune fille, qui à la suite fit tomber toutes ses fournitures.
-Putain de merde..! lâchais-je en hurlant presque.
La jeune étudiante semblait alors intimidée et s'abaissais pour ramasser tout ce qu'elle avait fait tombé, dont un précieux foulard qu'elle gardait autour de son cou. J'aperçu un bleu béant sur sa jugulaire mais relevais mes yeux vers les siens , comme-çi je n'avais rien vu. Elle me dit alors que je pouvais m'excuser envers elle, mais cela semblait plus à un chuchotement qu'autre chose. A peine audible. Je serrais les poings et me retenu de ne pas lui sortir une phrase cinglante alors que tout le monde nous regardais. Je l'empoigna alors par le bras et la relevait. Je savais que mon emprise était un peu trop forte. Alors qu'elle était debout, elle semblait vraiment petite, mais je savais que j'étais très grand. J'allais pour lui sortir une phrase de nouveau mais vu le monde qu'il y'avait autour de nous.. Ne pouvant contrôler ma colère je la poussais avec dégoût contre un casier et me dit que j'avais tout le temps pour avoir une conversation avec elle plus tard.
- Dégagez ! Allez, poussez-vous !
Je passais entre les étudiants et marchais d'un pas rapide et énervé à mon cours alors que la petite troupe d'élèves que j'avais écarté s'affolait autour de la "pauvre étudiante."



Solweig & Aleksey.

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" -Putain de merde..! " me lance l'inconnu avec arrogance. J'aime pas ca du tout, la journee commence a peine, je suis deja pas d'humeur et il en rajoute avec ses grossieretes. Il aurait pu utilise sa salive pour se montrer gentleman ou simplement bien eleve, mais apparemment nous n'avons pas eu la meme education. L'etudiant m'empoigne le bras avec violence pour me relever avant de me regarder avec des yeux sombres, croyant surement me faire peur mais ce n'est pas le cas. Il est certes plus grand que moi, certainement plus fort, s'il le voulait il me briserai en deux comme une allumette mais je n'ai pas peur. Alors je le regarde la tete haute du haut de mon metre soixante-dix-huit, avant de lancer a mon tour :

" Ecoute, faudrait vraiment que t'apprennes a canaliser ta violence, tu risques de faire de l'hypertension a force de t'enerver. Et au passage, la politesse c'est pas fait pour les chiens ! " Tout le monde nous regarde, il ne me fera aucun mal. Je n'aurais finalement peut-etre pas du dire ca, je vois son visage se decomposer devant moi. Le jeune homme n'a pas l'air d'apprecier que je lui tienne tete puisqu'il me poussa avec tant de dedain contre les casiers. Si fort, que cette fois-ci je tomba au sol. Il partit, poussant chaque eleve sur son passage. " - Dégagez ! Allez, poussez-vous ! " Il etait serieux celui-la ? Se comportait-il avec chaque personne qui etait sur son passage ? Il avait un serieux probleme psychologiquer et si j'etait deja en colere contre tout, alors la j'etais enragee. Du monde s'approchait de moi, essayant de me relever, mais j'etais tellement choquee par ce qui venait de se passer que je n'entendais pas vraiment ce qu'on me disait, perdue dans mes songes. Je decida enfin de me relever d'un pas decide, oubliant tout le soutiens moral a deux bal qu'on a pu me donner a la bibliotheque. Je voyais l'impoli marcher avec assurance au loin, je le suivis donc, tentant de le rattrapper avec mes longues jambes. Une fois a son niveau, de mes petits bras maigres je le poussa contre le mur histoire de le signaler de ma presence.

" T'as un probleme ? Quel genre de mec es-tu pour agir avec autant de violence envers une femme ? Tes parents t'ont pas appris les bonnes manieres ? " S'il le voulait, il pouvait tres bien me tuer dans ce couloir, personne n'en saurait jamais rien, c'etait vide et tout le monde etait deja en cours. Je venais probablement de faire la pire erreur de ma vie en sortant ces quelques mots de ma bouche, mais j'avais tente de me pendre, donc me faire tuer par cet etudiant ne me faisait vraiment ni chaud ni froid au point ou j'en etais dans ma vie.


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« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.. Et de sois-même.»
J'allais explosé. Le pire, c'est que cette petite idiote avait osée me répondre. Alors qu'elle me jurais des tonnes de phrases, je ne l'écoutais pas et décidais de me calmer. Je savais que quelques étudiants me fixaient, outragés, alors je pris la direction des toilettes et claquait la porte. Une fois à l'intérieur, et en m'assurant que personne n'y était je donnais un coup de pied dans une des portes qui alla s'écraser contre le mur dans un bruit assourdissant. J'inspirais et expirais à plusieurs reprises les yeux fermés avant d'aller me passer de l'eau sur le visage. La deuxième sonnerie venait de retentir et j'allais être en retard pour mon premier cours de la matinée. C'est bel et bien une journée de merde.. A cette pensée je grimaçais en plissant les yeux. J'expirais une dernière fois et ressortais des toilettes. Le couloir était complètement vide, si ce n'était cette fille que j'avais poussée contre le casier qui venait de s'écraser au sol. Je lui jetais un regard noir et décida de m'en retourner à mon cours. Alors que j'allais prendre les escaliers principales qui menaient à mon couloir, la jeune étudiante me rattrapa et me poussa contre le mur. Avant même que je ne pu rétorquer quoique ce soit, elle prit un ton qui ne me plus guère et se mit à me harceler de question. Je laissais un temps de silence après qu'elle eut parler et penchait ma tête en arrière en me mordant la lèvre et en me mettant à rire. Un rire nerveux, certes, mais quelque peu sadique. Je reposais mon regard sur elle et secouais doucement la tête négativement, comme incrédule. En un instant je la pris par le poignet et elle prit ma place, plaquée entre le mur et moi qui me rapprochais près d'elle pour ne pas qu'elle puisse s'en aller. Je plaquais mes mains sur le mur de par et d'autre de sa tête. Mon sourire avait disparu et je la fixais attentivement. Je baissais alors le ton quand je me mis à lui parler:
- Tu sais, je ne suis pas du genre à brutaliser les femmes, mais je l'ai déjà fais. J'esquissais un fin sourire en haussant les sourcils avant de passer deux de mes doigts sur son cou pour écarter doucement son foulard de sa gorge. C'est un gros bleu que tu as là dis moi..? Ne crois pas que je suis aussi stupide pour ne pas savoir ce que cela signifie. Je passais mon index sur son hématome avant de reprendre dans un chuchotement : Il serait bête que les autres apprennent que tu as voulu commettre l'irréparable, non ?. Je remontais mon index vers son menton et la forçait à me regarder dans les yeux. Que ce soit claire, sache que je n'hésiterais pas à ruiner ta petite vie si l'envie m'en prenait. Je passais mon doigt sur la longueur de sa gorge et lâchais un rire avec une telle ironie avant de tourner les talons et de prendre les escaliers.



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Devant mes paroles, le jeune homme cala sa tete contre le mur, riant avec cynisme. C'est vrai que ce que j'avais dit etait vraiment rigolo apres tout. Il se mordilla les levres avant de me regarder une nouvelle fois dans les yeux avec cet air glacial. C'etait ma faiblesse, je me perdais rapidement dans le nean d'un regard sombre. Il en profita pour me prendre au depourvu, en attrappant mon poignet et me plaquer a mon tour contre le mur. Je grimaca au choc de mon dos contre les casiers qui firent un bruit assez consequent, puis le regarda a nouveau dans les yeux froncant les sourcils, d'un air degoute. Il s'approcha tout pres de mon visage, placant ses bras de chaque cote de ma tete comme des barrierres. C'etait clair, je ne pouvais plus m'en aller. Il ne souriais plus et baissa le ton doucement, presque en me chuchotant a l'oreille.

" - Tu sais, je ne suis pas du genre à brutaliser les femmes, mais je l'ai déjà fais. " De mon cote, j'essayais de garder mon calme, m'enerver contre lui n'aboutirait a rien du tout. Je m'avanca a mon tour vers lui, m'approchant de son oreille avec un leger sourire lui murmurant " c'est pas avec moi que tu joueras aux durs ... si t'aime etre violent, je t'en prie fais toi plaisir, mais ca ne feras jamais de toi quelqu'un de fort "
Il souris a son tour, et glissa lentement son index et son majeur sur ma gorge pour equarter mon foulard. A ce moment la je serrais les dents, ma respiration accelera tant l'adrenaline montait en moi. Trop tard il avait vu. " C'est un gros bleu que tu as là dis moi..? Ne crois pas que je suis aussi stupide pour ne pas savoir ce que cela signifie. " Je retira du bout des doigt le bout de tissu des mains de l'inconnu afin de le remettre bien a sa place, couvrant mon hematome.
" Je suis tombee ... " affirmais-je essayant le plus possible d'etre convainquante. Il n'y cru pas une seconde. Je baissais la tete, pensant a un moyen de sortir de cet enfer, mais le jeune homme continua a parcourir mon cou du bout des doigts, s'amusant sur la couleur bleutee de mon hematome.

Il serait bête que les autres apprennent que tu as voulu commettre l'irréparable, non ?. Je froncais les sourcils de plus belle, relevant la tete pour regarder cet incroyable connard, cet homme absurdement cynique sur lequel j'etais tombee. Je me demandais alors, par quel malheureux hasard, nous avions pu nous cogner quelques dix minutes auparavant, desormais il fallait que je parle de ma tentative a un inconnu qui me violentait. Ma vie ne pouvait vraiment pas etre pire. Je ravala ma colere et tenta une nouvelle fois de faire face a la situation sans montrer d'emotions. " Ca aussi ca te ferais plaisir ? Eh bien si tu n'as que ca a foutre dans ta vie, je t'en prie, fais bien mumuse avec cette information. " Il continua de jouer avec ses doigts contre ma peau, la faisant glisser sur mon menton me regardant droit dans les yeux. " Que ce soit claire, sache que je n'hésiterais pas à ruiner ta petite vie si l'envie m'en prenait. "

Je pris sa main fermement dans la mienne et l'enleva de moi. " Si tu pouvais juste eviter de balader tes mains sur moi, c'est agacant... et pour ce qui est de ruiner ma vie, t'es surement la derniere chose dont j'ai besoin. " Oui, chose tout a fait, je n'avais besoin de personne pour ruiner ma vie, moi seule avait suffit, et des gars comme lui j'en avais vu pas mal.


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« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.. Et de sois-même.»
C'était certain à présent : J'allais rater mon premier cours de la journée à cause de cette fichue nana. Ou du moins y arrivé en retard, pas cool pour une semaine de rentrée.. C'est qu'elle a de la poigne ! pensais-je alors qu'elle avait attrapé ma main pour la dégager de son visage. Alors que j'allais pour aller à mon cours, je redescendais les quelques marches que je venais de monter les sourcils froncés, comme-çi j'avais omis de lui dire un dernier détail, un dernier mot. Je penchais ma tête et regardais des deux côtés du couloir pour voir si elle n'était pas déjà partie. Mais non. Elle était toujours là. Près du casier contre lequel je l'avais plaquée. Je descendais les dernières marches qu'il me restais. Je savais que je ne devrais pas faire ça, mais c'était plus fort que moi. La colère en moi était trop forte. Elle avait atteint un point culminant et de non-retour. Alors qu'elle avait le visage rivé sur le sol, surement perdue dans ses pensées, je frappais un grand coup de poing contre le casier et restais planté à côté d'elle. Elle releva son visage vers moi alors que je prononçais ces quelques mots, pris de rage et d'une colère bouillante :
- Je te raterais pas, sache le. Quand j'ai une proie, elle en prends pour son grade. Sans même attendre une réponse ou un geste de sa part, je me retirais et dévalais les escaliers deux à deux avant d'enfin rejoindre mon cours. Dessin pour cette première heure et j'avais déjà dix minutes de retards. Je frappais doucement à la porte déjà entre-ouverte de l'amphithéâtre.
-Slovansky, on s'amuse bien on dirais. Vous savez que vous avez dix minutes de retard ? L'année commence bien pour vous !.
- Veuillez m'excuser Monsieur, j'ai eu quelques petits ennuis..
Mon professeur de dessin soupira doucement et me fit signe de rentrer, sans un mot de plus. Je lui fis un signe de tête gratifiant avant de monter les marches de l'amphithéâtre et de rejoindre ma place. J'avais toujours un peu de mal avec leur langue. Mon accent russe, bien que j'aurais voulu le faire disparaître, roulait chacun des "R" que je prononçais. Sinon, à part ça, je m'en sortais plutôt bien. Alors que je sortais mes affaires, une étudiante en cinématographie, toujours placé dans les premiers rangs, se retourna vers moi, et me dévisageais sans raison apparente. C'est au bout de quelques secondes et après quelques froncements de sourcils que je l'ai reconnue: Elle avait assistée à tout ce petit spectacle qui s'était déroulé dans le hall avec l'autre fille. Je fis alors en sorte d'éviter son regard et me mit à la tache. Je m'occuperais de son cas plus tard.. La sonnerie marquant la fin du cours était vite arrivée. Je rangeais tranquillement mes affaires puis allais pour sortir. Mais avant, je m'arrêtais sur le pupitre de ma camarade qui m'avait lancé un regard en début de cours. Alors qu'elle allait pour ranger son cahier, je l'écrasais de ma main avant qu'elle ne puisse le mettre dans son sac :
- ... Qu'est-ce-que tu veux..? se mit-elle à balbutier, surement à cause de son horrible appareil dentaire, sans osé me regarder en face. Un sourire se dessinait sur les commissures de ma bouche :
- Je veux le nom de cette fille.
- Mais.. Quelle fille..?
- Fais pas celle qui n'a rien compris, utilise le peu de matière grise qu'il te reste et réponds moi.. Tout de suite.
Sur ses derniers mots, mes doigts se resserraient autour d'une feuille de son cahier qui finit par se chiffonner. Je vais pas le répéter deux fois. Dans quelques secondes, le professeur va nous demander ce qu'il se passe car la classe de ses 60 élèves est entrain de se vider, alors je te conseille de répondre très vite à ma question. C'est les mains tremblantes, qu'elle finit par cacher sous son bureau, et la voix chevrotante qu'elle finit par me répondre :
- Ell.. Elle s'apelle Solweig. A sa réponse, j'arquais les sourcils et esquissais un sourire en coin avant de lui arracher sa page que je jetais à la poubelle avant de sortir de la classe sous le regard interrogateur de mon professeur de dessin.



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Apres ces mots, la brute redescendit les marches, il n'avait pas l'air d'apprecier ce que je venais de retorquer... pour changer. Il s'approcha de moi avec assurance. J'avais un peu peur d'un cote, mais je savais qu'il n'allais pas me frapper, il bluffait lorsqu'il parlait de me brutaliser, et d'un cote, j'aurais bien aime voir ca. Moi avec un enorme cocard en pleine face, qu'est ce que les gens auraient pense de lui ? Il frappa la casier a la place de mon visage avec une telle force que je sursauta.

" C'est bon, t'es calme ? " lui dis-je avec autant d'arrogance qu'il avait pu avoir avec moi. Il me repondit avec rage " - Je te raterais pas, sache le. Quand j'ai une proie, elle en prends pour son grade. " Je souris avant de reprendre.
" Ecoute. Si tout ce que tu disais etait vrai, je serais probablement deja a la morgue en ce moment. Tu fais peut-etre peur a tes sbires, mais avec moi ca ne marche pas. "

Il partit a toute allure en devalant les escaliers, ce n'etait surement pas la derniere fois que je le voyais, et je venais peut-etre de signer mon arret de mort. Je respira un bon coup et parti aux toilettes me passer de l'eau sur le visage. Je n'avais plus envie d'aller en cours, mon annee commencait bien. Je me demandais qui etait ce malade. Dans une heure, je devais dejeuner avec mes amies dans un petit restaurant, j'attendrais donc cette heure-ci pour essayer de me renseigner sur cet eleve. Je me rendis au bureau des etudiants afin de voir si je ne pouvais pas trouver un trombinoscope, il y en avait pas mal mais je savais a peu pres en quelle annee il devait etre. Je ne tarda pas a voir sa photo. Regard noir, sourire absent, s'il continuait comme ca il finirait avec la meme grimace de vieux grand-pere frustre. Aleksey Slovansky. Je me disais bien qu'il n'etait pas americain, il avait ce petit accent Russe marrant. Plus tard, je me rendis en direction du parking chercher ma voiture pour aller voir mes amies. Je sorti les clefs de mon sac et ouvrit la porte rouge de ma mini, mais une main la referma automatiquement. Je savais qui c'etait, et qui plus est je pouvais voir son reflet a travers la vitre. Je me retourna avec nonchalence, comme lassee de sa violence ingerable.

" Aleksey ! Tiens ! Tu vas aussi t'en prendre a ma voiture, dis moi ? "


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J'avais retrouvé en moi ce plaisir et cette satisfaction absolue. Solweig. J'avais son prénom. Et je pourrais en savoir d'avantage sur elle. Je passais dans les couloirs, qui, de nouveau, étaient bondés de monde. Cependant, par rapport aux quelques heures auparavant j'affichais un sourire serein et satisfait. La douleur que j'allais infligé à cette Solweig ferait mon bonheur. Je jouissais de la douleur des gens. C'était mon passe-temps favoris, je ne m'en cachais plus. Je l'avais entre mes mains, et je savais qu'à partir de cette instant je pourrais faire ce que je voudrais d'elle. Je rangeais mes mains dans mes poches et retirais mon paquet de cigarettes avant de placer mes lunettes de soleil noires sur mon nez et de retrousser les manches de ma veste. J'ouvrais le paquet tout en marchant avec assurance et glissais le filtre de la cigarette entre mes lèvres. Les reflets du soleil passaient à travers la portes vitrées du hall et me faisais un bien fou !. Deux étudiants étaient placés devant les portes entrain de discuter, à ma grande habitude d'être le premier des emmerdeurs, je n'hésitais pas à passer entre eux et à les pousser de mes mains :
- On dégage la sortie, merci ! lançais-je la clope dans la bouche en ouvrant la porte du hall. Une fois dehors, je pouvais allumer ma cigarette et en tirait une délicieuse bouffée que je recrachais en épaisse fumée blanchâtre dans l'air. Je continuais mon chemin jusqu'au parking où j'aperçu ma victime en compagnie de belles jeunes filles, tout comme elle, par ailleurs. Je pris la cigarette entre mon index et mon majeur et tirais une nouvelle fois sur le filtre. Au loin, Solweig riait avec ses amies, devant sa voiture. J'esquissais un fin sourire avant de me rendre sur le parking. Une fois arrivé entre les étudiantes, j'enlevais mes lunettes de soleil. Je leur jetais à toutes un coup d'oeil. Alors que Solweig ouvrait sa portière, je la refermais d'une traite de ma main droite.
- Surprise..! lui chuchotais-je au creux de l'oreille avant qu'elle ne se retourne vers moi.
Aleksey ! Tiens ! Tu vas aussi t'en prendre a ma voiture, dis moi ? Je fus un instant surpris qu'elle connaissait mon prénom, mais puisque je connaissais aussi le sien, je n'en dis pas d'avantage. Sans dire un mot je tirais sur ma cigarette, une fois le filtre entre mes lèvres j'arquais un sourcil avant de sourire. Je soufflais doucement la fumée de ma cigarette vers elle. J'esquissais de nouveau un sourire avant de me tourner vers ses amies.
- Qui veut la fin ? dis-je en levant ma cigarette coincée entre mon index et mon pouce. Elles se regardèrent, sans dire un mot avant que je ne me retourne vers Solweig.
- Tes amies sont des pauvres petites saintes, qui ne touchent ni à l'alcool, ni au tabac, ni au sexe comme toi non ? Je serrais la mâchoire avant de la fixer droit dans les yeux. Si j'avais pu, je lui auras écrasé le reste de ma cendre encore chaude sur l'avant-bras, mais je n'en fis rien. A la place, je la laissais tombée à terre et l'écrasais sous mon pieds.
- Mais dîtes moi.. dis-je à l'attention de ses amies. Vous étiez au courant de ce qu'il se passait pour elle ?. J'attrapais Solweig par les poignets et la maintenait contre moi, sans lui lâchez les mains, en serrant le plus fort possible. Je me penchais sur son oreille pour aller lui chuchoter quelques mots simples mais efficaces pour réveiller une douleur, que je pensais enfuis en elle :
- Dis-moi Solweig, sont-elles au courant pour cet hématome dans ton cou..? Qu'est-ce qui s'est passé, hein..? Et si elles savaient, pourquoi ne t'ont-elles pas aidées..? A ces mots, je souriais avec satisfaction. Ses amies me regardaient, incrédules, affolées, sans pour autant savoir que faire. De ma main droite j'allais doucement dénouer le foulard qu'elle avait autour de la gorge.
- Surtout ne bouge pas ça pourrait faire mal.. lui dis-je avec ironie alors que je m'exécutais. Une fois retiré, je jetais le foulard par terre. Sur sa gorge, un bleu énorme et conséquent, qui ne pouvait faire aucun doute sur sa nature. Des élèves au loin qui nous avaient apercuent ce matin, approchaient de nouveau alors que je tenais fermement Solweig devant les autres telle une enfant pas sage qui aurait commis une bêtise.



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Le denomme Aleksey arqua un sourcil avant de sourire avec ironie. Il recracha la fumee blanche de sa cigarette sur moi. " - Qui veut la fin ? " Il tendait son morceau de clope a mes amies, je le pris delicatement de ses doigts avant de le porter a mes levres. J'inspira une bonne bouffee et le regardant droit dans les yeux, expira toute ma fumee sur son visage. Je finis par esquisser un petit sourire avant d'ecraser le megot sous mes pieds. " Tu veux quoi exactement ? "

" - Tes amies sont des pauvres petites saintes, qui ne touchent ni à l'alcool, ni au tabac, ni au sexe comme toi non ? " Je ris devant l'absurdite de sa remarque avant de me caler contre la portiere de ma voiture. " J'ai l'air d'etre une sainte d'apres toi ? " finis-je par sortir toujours avec un petit sourire de politesse. Ses yeux se riverent sur mes amies.

" - Mais dîtes moi.. Vous étiez au courant de ce qu'il se passait pour elle ?." dit-il avec son air sadique. La torture c'etait son truc. Je m'areta de sourire net. Il allait leur dire, c'etait certain. Je regardais mes amies du coin de l'oeil, avant de regarder Aleksey dans les yeux. " - Dis-moi Solweig, sont-elles au courant pour cet hématome dans ton cou..? Qu'est-ce qui s'est passé, hein..? Et si elles savaient, pourquoi ne t'ont-elles pas aidées..? " C'etait parti, il etait en train de tout reveler. J'arbora un leger sourire de desolation, hochant la tete lentement de droite a gauche. " Quel incroyable connard tu fais... je suppose qu'on a deja du te le dire, et ca te fais plaisir ? " je finissais ma phrase avec le ton qu'on employait generalement avec les personnes agees ou les gosses. Je regardais mes amies choquees de voir cette enorme marque bleue a mon cou. " Allez-y, je vous rejoins tout a l'heure. " Une de mes amies avait particulierement l'air en colere apres avoir vu mon hematome, en colere contre ma stupidite, ou je fais que je ne lui ai rien dit. En tout cas, moi j'etais en colere contre Aleksey qui avait viole mon secret. J'attendis qu'elles partent dans leur voitures respective avant de jeter un regard assassin a ma brute attitree.

" - Surtout ne bouge pas ça pourrait faire mal.. " dit-il. Des eleves ayant remarque mon bleu s'approcherent. Je les regardais leur faisant signe de s'en aller. " Il n'y a rien a voir par ici, degagez ! " Je me retournais ensuite vers Aleksey lui murmurant a l'oreille. " Tu vois, moi aussi je peux etre agressive. "



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Can you just stop being mean ?

« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.. Et de sois-même.»
On pouvait dire qu'elle était entrepreneuse et sûre d'elle. Ce qui d'une part m'impressionnais mais qui aussi me prenais au dépourvu. J'aurais pu en faire mon pantin, en faire ce que je voulais. Mais elle avait une force de caractère impressionnante et n'hésitais pas à l'employer face à moi. Cependant, je restais persuadé que je pourrais lui marcher dessus si l'envie m'en prenait. Mais à quel prix..? Je n'allais tout de même pas la violentée pour qu'elle comprenne qu'elle n'était pas à la hauteur face à moi ? Pourtant, merde, j'en mourrais d'envie !. Elle prit des allures de diva, quand elle rétorqua sur le fait qu'elle n'était pas une de ses nanas coincées. Mais j'en doutais. Certes, l'image de filles vierges pouvaient être pour certains garçons une frustration et un sujet de moquerie. Même si tel était l'image que je montrais de moi-même, ma pensée en était tout autre. Je trouvais cela respectable. Mon regard glissait le long des courbes du corps de Solweig avant de s'arrêter sur ses traits, et pour la première fois en quelques heures, j'avais une pensée positive envers elle : C'était une très très jolie fille. Mais quand elle affirmait que j'étais un vrai connard, je ne pu m'empêcher de rire. Je mordais légèrement ma lèvre en soupirant de plaisir alors qu'elle faisait signe aux autres de s'en aller. Je jetais un coup d'oeil aux élèves comme-ci je prenais part aux propos de Solweig, alors qu'il en était tout autre. Elle allait chuchoter quelques mots à mon oreille et son souffle s'écrasa le long de ma jugulaire. Je lâchais un rire ironique avant de replacer mes lunettes de soleil sur mon nez. Elle semblait partir, car elle avait toutes ses affaires avec elle, et j'avais refermé la portière de sa voiture d'un coup.
- Tu comptais partir où, comme ça ?.. Tu pourrais rester un peu avec moi, on pourrait s'amuser, tu ne penses pas ? Je passais une de mes mains derrière son dos en la rapprochant de moi avant de la plaquer violemment contre la portière passagère de sa voiture. Je remontais ma main contre sa joue en lui caressant ironiquement avant d'agripper ses cheveux :
- Regarde moi bien, Solweig. Je ne le répéterais pas deux fois. Ecoute moi bien : Tu dégages, tout de suite, avant que ça ne dérape. Et je peux le faire. Je la lâchais doucement en la fixant à travers mes lunettes avant de moi aussi rejoindre ma voiture. Je n'irais pas en cours, tant pis.. pensais-je en ayant en tête l'idée qu'une bonne bière, posé dans un bar me reposerais.



Solweig & Aleksey.

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