Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPersonne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place ? - JALEY
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Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place ? - JALEY

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Je sais que devenir quelqu'un demande énormément d'taf.

Je regardais un peu partout dans l’appartement en fronçant les sourcils. Je savais pertinemment que je devais faire quelque chose dans cette pièce, mais quoi. C’était l’ultime question. Je posais mes phalanges sur mes hanches en déviant mon attention sur Harley qui était tout bonnement sur le canapé avec son chien en regardant attentivement la télévision. Je passais mes doigts dans ma touffe de cheveux en raclant la gorge. « Tu sais ce que je venais faire ici ? » J’étais il y a quelques minutes dans mon bureau en essayant d’étudier. Mais je ne sais pas pourquoi j’ai eu envie de venir au plein milieux du salon. Peut-être que j’avais soif, ou même faim. Je perdais la tête, ce n’est pas possible. « Je ne me souviens pas. Je crois que j’ai soif. » J’écarquillais des yeux en essayant de me souvenir du pourquoi et du comment, je ne veux même pas jeter un coup d’œil vers Harley parce que lui-même doit se demander si je deviens réellement pas fou ou si j’ai un problème. Je m’avance vers la cuisine où je me sers un verre d’eau froide. Buvant à petites gorgées… Je réalisais que non. Ce n’était pas la soif. « Mais, putain j’ai pas soif. » C’était comme si je sentais que quelque chose allait mal se dérouler. Je pris sur moi, dans une grande respiration. Posant le verre à sa place pour me déplacer jusqu’au frigo où j’empoignais un paquet de viande séchée. « Bébé, t’as envie de quelque chose, comme je suis déjà la cuisine comme un paumé ? » Je cherchais du regard quelque chose, en me rabattant sur la viande que je dévorais assez rapidement. Je m’adossais contre le frigo fermé, en sirotant l’eau. Il m’arrive quelques fois d’oublier des choses. Sur le moment ça revient, mais des fois je peine à retrouver ce que je recherchais réellement. Cela ne devait pas être important. Mais au fond de moi, je ressentais comme une frustration. Incapable d’assouvir cette sensation déplaisante. Je me renfrogne. Je grogne même entre mes dents en inclinant mon visage en arrière.  
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Voilà quelques longues minutes que je mate la télé assis sur le canapé, avec Lucky près de moi. Il a sa tête sur mes genoux, et je le caresse le sommet du crâne distraitement. James était dans son bureau pour étudier, alors que j'avais lâché l'affaire avant de venir au salon. Et quand je vois James arriver vers moi, je souris en coin en le regardant du coin de l'oeil, me disant qu'il allait venir me rejoindre. Mais finalement je le vois tourner sur lui-même, passer ses mains dans ses cheveux, et je fronce les sourcils. En entendant sa question, je comprends ce qu'il fout. Je pensais qu'il cherchait quelque chose, mais en fait c'est tout autre chose. « Euh.. Non bébé. Peut-être que t'es venu me faire un câlin ? » Dis-je alors pour un peu détendre l'atmosphère - et essayer d'avoir un câlin au passage. Finalement, il ne se souvient pas et part à la cuisine. Je penche la tête pour l'avoir encore dans mon champ de vision. C'est vraiment ça ? Ou pas ? Curieux, Lucky a levé la tête aussi pour le regarder. Je l'entends rager depuis la cuisine et je soupire en éteignant la télé. Je crois qu'il y a quelque chose qui cloche actuellement.. Alors mon envie de regarder la télé s'est envolée. C'est normal, quand son amour n'est pas bien, on ne l'est pas non plus. C'est plutôt logique. Enfin, quand il me demande si j'ai envie de quelque chose, je me lève pour aller le rejoindre. Lucky rejoint son panier près de Héros qui dort profondément, en boule. Quant à moi je soupire en entendant James grogner, et viens dans ses bras, passant les miens autour de sa taille pour lui voler un léger baiser. Mon regard observe ses traits tirés et je lui souris tendrement. « Est-ce que ça va ? T'as l'air tendu.. » Je penche le visage à droite et passe mes mains sous son haut pour caresser sa peau chaude. « C'est pas grave tu sais. Ca arrive à tout le monde. » J'essaie de le rassurer, de le détendre en lui massant le bas du dos, et mon regard fond de tendresse. Mais j'ai l'impression qu'il y a autre chose..
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Je n’aime pas vraiment, ne pas savoir ce que je suis venu faire dans cette pièce. Honnêtement ça me perturbe tellement qu’au moment où je vois Harley pénétrer dans la pièce, je me surprends à sursauter en fronçant les sourcils. C’est quoi ce délire ? Depuis quand je sursaute comme ça ? Je plisse des yeux en ramenant le corps de mon fiancé contre ma personne. De ces phalanges se faufilant sous mon haut en caressant timidement ma peau chaude. Je l’écoutais à peine. À vraie dire j’avais la tête ailleurs en me questionnant sur mes faits et gestes. Ce n’était peut-être rien. Peut-être que je stressais pour rien du tout et que la chose que je cherchais était fictif. « Tu as sans doute raison. Ça arrive… » Souvent, très souvent ces temps-ci. Je soupire en posant le verre sur le comptoir à mes côtés. Et j’entour la nuque de mon tendre amour pour revenir lui voler à baiser que j’eu le temps de lui donner précédemment. J’anime mes chaires pour infiltrer ma muqueuse entre ces lippes en joignant nos muscles humides. Je soupire de bien-être, en laissant mes mains descendre jusqu’à son fessier que je malmène entre mes doigts. « Ouais, mais ça me stresse. » Ca me trotte dans la tête, et ça veut tout simplement pas partir. Je sens que je suis tendu qu’il y a quelque chose qui cloche. Je me focalise sur les alentours en remontant mes mains sur les épaules d’Harley. Je sais aussi qu’il est inquiet, que ce n’est pas la première fois que j’oublie les choses mais que je l’infirme de cette manière, c’est bien rare. Je me décolle de lui à contrecœur. En lui invitant à me suivre jusqu’au salon où je prends mon téléphone qui s’éternisait sur la table basse. « Bon, c’est sans doute rien. J’ai aucun appel. Aucun message. » Ouais, James. T’es juste en train de perdre la tête. Et t’es surtout en train de faire flipper la personne que tu aimes. Je cherche du regard Harley en lui tendant une main pour qu’il la prenne et que j’accole rapidement mon corps contre le sien. Ma bouche sur le sommet de son front, glissant sur ces deux joues puis sur sa bouche pulpeuse que je mordille très faiblement mais avec une teinte d’amusement. « Tu me fais perdre la tête, je pense trop à toi. »  
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Le voir sursauter ainsi me fait très bizarre. Il n'est pas serein, ça se voit rien qu'à sa manière de froncer les sourcils. Et ses petites manies, celle de se passer la main dans les cheveux, celle de la passer ensuite sur sa nuque. Il était très tendu, et j'avais beaucoup de mal à comprendre pourquoi. Pourtant, j'étais plutôt serein, moi. Si je savais au moins ce qui le tracassait.. Peut-être que je pourrais le détendre. Enfin, je fais quand même une tentative en venant contre lui, le prendre dans mes bras. Et caresser son dos, je sais qu'il adore ça, et j'adore le lui faire. Je cherchais son regard, mais en voyant qu'il était un peu perdu, je fronce les sourcils à mon tour. Tendu, perdu dans ses pensées, je me demande bien ce qui cloche. Il revient sur Terre, enfin, façon de parler. J'essaie de le rassurer comme je peux, pourtant je sens dans ses gestes qu'il n'est pas détendu le moins du monde. Et c'est assez bizarre comme sensation.. Comme s'il ne savait pas ce qui allait clocher. Et ça me perturbait vraiment. Je rends son baiser avec une certaine tendresse, faisant danser ma langue contre la sienne. Je souris légèrement contre ses lèvres, sentant ses mains sur mes fesses, et ses prochaines paroles me font sourire davantage. « Sers toi de mon cul comme boule anti-stress, bébé. » Mes doigts caressent son visage tandis qu'un très léger rire traverse la barrière de mes lèvres. J'aime bien le taquiner, et puis peut-être que ça le détendra un peu. Il finit par partir vers le salon et je le suis de près en observant ses moindres faits et gestes. Il n'a rien loupé sur son téléphone et je souris à sa phrase. « Mais non lapin. Tu n'as pas à t'inquiéter comme ça. » Je passe ma main sur son épaule dans un geste qui se veut réconfortant, mais très vite, je me retrouve collé contre son corps chaud. Mes bras reprennent leur place autour de son corps subtilement musclé, et je ferme les yeux à ses baisers, frissonnant au tout dernier. « Mh.. Bébé. J'aime tellement t'entendre dire ça. Tu me rends fou quand tu dis ce genre de choses. » Je remonte le regard dans le sien, mes mains descendent sur ses hanches que je pétris entre mes doigts légèrement, et je l'embrasse du bout des lèvres, en prenant soin de passer ma langue contre ses lèvres, lentement. Cet homme, mon homme, va me rendre cinglé, un de ces jours. Si ce n'est pas déjà fait.
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Je savais que quelque chose allait se préparer. Mais je ne sais quoi. Je ne saurais même pas comment expliquer ce que je ressens. C’est comme si dans ma tête, quelque chose clochait. Que je faisais une fixette sur un truc dont je ne pouvais y mettre un mot. Bordel de merde, que je détestais ce genre de moment. Je sais, que j’ai déjà vécu cette merde. Surtout quand je prenais mes médicaments. La sensation de ne pas contrôler notre façon d’être. D’agir comme un robot. Mais c’était différent. Je regardais dans le blanc des yeux Harley qui ne cessais de me rassurer. Que ce n’est rien. Que ça allait passer et surtout que ça pouvait arriver à n’importe qui. Sauf que ça ne me rassure pas. Je fais mine d’hocher la tête en lui exprimant de mes traits une sérénité. Bien que cela était tout le contraire. Je soupirais, presque vulgairement en déviant ma vision sur les alentours. Je prenais le temps de venir déposer un faible baiser sur le sommet de son crâne avant de m’avancer vers le bureau où j’y pénétrais dans une allure rapide. Prenant mes dossiers dans mes mains, j’essayais d’examiner mon écriture. Ainsi que mes phrases. C’est con, non ? Mais imaginez. J’ai peut-être oublié des mots, peut-être que mes phrases ne veulent simplement rien dire. Je fronce les sourcils, alors que je ne remarque rien d’anormal. Je repose tout cela en appuyant les paumes de mes mains sur le bois de mon bureau. Mon visage dressé, droit en observant la vue de la fenêtre derrière ma chaise. « Bon, faut que j’étudie. » Il fallait étudier. C’était et cela sera toujours ma manière d’affronter les choses. J’aimais étudier, même si c’était difficile. J’appréciais apprendre de nouvelles choses. De comprendre comment cela fonctionnait. En bref, c’était important. Je m’engageais dans la posture précédente. Installé sur me chaise en écrivant, étudiant les hypothèses de mes nombreux dossiers. Quelques dossiers venaient directement de l’hôpital et je devais comprendre la situation de la personne qui se faisait hospitalisée. « Chou, tu peux m’apporter un verre d’eau ? » En levant mes pupilles foncés, je remarquais ma petite boule de poils qui trottait en ma direction. Suivit de Lucky qui ne pouvait s’empêcher d’être un protecteur envers son petit frère. Je me penchais, attrapant la boule, que je reposais sur mes genoux en caressant la longueur de son corps.  
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Je ne comprenais pas trop ce qui se passait dans la tête de mon fiancé, mais ça m'inquiétait. Le voir aussi tendu n'a jamais été une partie de plaisir.. Et le fait qu'il me dise qu'il est en train de perdre la tête est vraiment inquiétant. Je voudrais seulement réussir à le rassurer, mais visiblement, je n'y arrive pas trop. Je ne sais pas comment faire, je ne suis pas doué pour rassurer, je ne suis pas né pour ça. Ca s'apprend peut-être, mais je fais ce que je peux et je suis si maladroit qu'au final, on finit par se disputer. Alors je préfère ne rien dire de plus au risque de créer une dispute involontairement. Et je ne veux pas le blesser, je m'inquiète seulement pour lui. Je me contente de lui faire des câlins, de douces caresses dans son dos, sa mine sereine me fait sourire légèrement, mais je sais que c'est une façade. Je ne peux imaginer ce qui le tourmente en réalité.. Son soupir me brise le cœur, je le suis des yeux jusqu'à son bureau et je soupire à mon tour, croisant les bras contre mon torse. Je m'allume une cigarette et range un peu la table basse tout en réfléchissant. Qu'est-ce qui peut bien le perturber autant ? Je suis vraiment inquiet, tellement que je n'entends rien autour. Sa voix me parvient, mais ce n'est qu'après quelques secondes que je me rends compte de sa demande. « Je t'apporte ça de suite. » Je souris à son petit surnom, j'aime beaucoup quand il me donne ce genre de surnoms. Ca me réchauffe le cœur. En éteignant ma cigarette, je me relève et me dirige dans la cuisine. Je sais qu'il m'a demandé un verre d'eau, mais je lui prépare un thé pour lui faire plaisir. Peut-être que ça le détendra.. Je n'en sais absolument rien en fait. Mais s'il n'en veut pas, je reviendrais lui chercher un verre d'eau. Avec son thé, je me dirige ensuite dans le bureau, et lui pose le verre à côté de lui tout en passant derrière lui. Je dépose un baiser dans son cou puis lui masse les épaules. « C'est quoi tes cours ? » Mon regard balaie ses cours, je n'y comprends rien et je ne sais même pas de quoi il s'agit. Mais je remarque Héros sur les genoux de son maître, je souris et fais une petite moue mécontente. « Oh, mais il m'a piqué ma place ce coquin ! » J'essaie de détendre James, j'essaie de faire ce que je peux pour qu'il se sente bien. Mais la sonnette qui retentit dans l'appartement me fait penser qu'il avait peut-être raison.. Je me tends, un peu surpris et me mords la lèvre en serrant doucement les épaules de mon fiancé. « Bouge pas, je vais voir. » Je lui embrasse le sommet de la tête et me précipite d'un pas pressé pour ouvrir la porte sur un homme, âgé. Mais en pleine santé, visiblement. Je fronce les sourcils, en me demandant qui il était.  « Bonjour, je peux vous aider ? »
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Je le sens mal, c’est aussi simple que ça. J’ai toujours suivis à a ligne mes sens qui me dictaient que quelque chose de mauvais allait se produire. Et là, vous ne pouvez imaginer l’état de ma tête qui ne cesse de chercher chaque geste que j’ai produit ou même revenir en arrière sur les propos que j’ai peut-être mal utilisés auprès de quelqu’un. Je n’en sais rien putain, je mâchouille l’intérieur de ma joue. D’abord ce fut un geste anodin avant que je sente mon propre sang envahir ma bouche. M’informant qu’il était temps que je cesse cela. Je revois Harley qui vient auprès de ma personne, mes doigts cognent contre les touches de mon ordinateur alors que j’essaie de jongler entre mes notes et l’ordinateur portable. Rien de bien compliqué, sauf quand je dois rédiger quelque chose et le remettre droit sur l’ordi. Le thé de mon fiancé me fait du bien, je lui renvois un tendre sourire alors que je l’entoure de mes phalanges pour y boire de légères gorgées avant de venir déposer la boule de poils au sol. J’écoutais attentivement mon tendre amour, alors qu’un faible sourire se dessinait sur les coins de ma bouche. « Merci, pour le thé amour. » Je le regardais longuement en sentant ces pressions sur mes épaules. Me donnant une sensation de soulagement. Alors que rapidement je levais mon regard sur les alentours en entendant la sonnerie de la porte. Putain, je le savais. Quelque chose de mal se préparais. Ma muqueuse passait nerveusement entre mes chaires alors je me redressais si rapidement que le tournis m’arrivait en pleine face. Je me retenais en posant une main sur mon bureau et la voix d’Harley m’arrivait aux oreilles. Les sourcils froncés, je m’approchais de la porte d’entrée.

Je restais sans bougé, mon sang pulsait en moi si violemment mon corps réagissait dans ma cage thoracique d’une façon sauvage. Mon grand-père se trouvait en face de moi. Et je ne savais absolument pas quoi faire. Nos yeux se sont trouvés. Il me jugeait d’un vaste regard éloigné. Comme s’il savait tout, comme s’il voulait me brûler vif. Il ne dit rien, alors je décidais d’avaler ma salive. Je passais devant Harley, ne sachant pas comment ce dernier viendrait à réagir face à ce monstre face à lui. « Tu veux quoi ? Tu n’es pas la bienvenue ici. » Il haussait les épaules, dégageant sa main dans le fond de sa poche pour me montrer l’enveloppe de notre invitation au mariage. La mâchoire serrée. J’avais envoyé ça plutôt à ma grand-mère même si elle ne risquait pas d’apparaître c’était plutôt une question de respect. « Je suis venu te dire que si tu te marie avec un homme, les choses seront différentes. » Il lâche l’enveloppe qui s’échoue au sol. Et je ne comprends pas. Je reste droit devant lui, bien qu’à l’intérieur quelque chose se brise. « Tu n’as pas à me dicter qui je dois épouser ou non. Si tu es venu ici me faire une leçon tu peux repartir. » Il soupirait, en désignant l’intérieur de notre appartement. Je ne pouvais pas refuser. J’en viens à baisser la tête comme s’il avait raison et que j’avais totalement tort dans cette merde. Je le laisse entrer. Il enlève sa veste. En allant s’installer sur le canapé. Alors que moi, je reste là. Comme un con.

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Cette histoire ne me disait rien qui vaille. Je venais d'ouvrir la porte de l'appartement pour tomber nez à nez avec un vieil homme. Il ne semblait pourtant pas perdu, loin de là. Il m'observait longuement, pendant que je lui demandais ce que je pouvais faire pour lui, dans un élan de politesse. Bien sûr, ce qui allait suivre, je ne m'en doutais pas une seule seconde. Je me disais quand j'ai ouvert la porte qu'il s'était trompé, mais en entendant les paroles de James, je me fige et je recule en comprenant qu'il s'agissait en réalité de son grand père. J'examine mon fiancé, ses traits sont tendus, tout son corps est tendu. Ca me tend aussi, ça me rend nerveux. Je n'aime pas, mais alors pas du tout cette foutue situation. Qu'est-ce qu'il veut, bon sang ? Qu'est-ce qu'il vient faire ici ? Je reporte mon regard sur lui qui répond le plus calmement du monde, avec l'invitation qu'il met en évidence sous nos regards ébahis. Oh, c'est donc pour ça. Je fronce les sourcils, ses paroles ne me plaisent pas du tout, et de plus, l'enveloppe tombe au sol, je la suis du regard. Pour moi, il aurait pu la piétiner, la déchirer en mille morceaux ou la froisser de façon colérique, ça aurait été le même effet. Je grogne légèrement, sourdement pour ne pas qu'on m'entende, mais je sais bien qu'on m'a entendu. Je sais que James m'a entendu. Et au moment où j'allais répliquer, il ouvre la bouche pour lui répondre. Je ne le connais pas, mais je le déteste déjà. Toute son attitude m'exaspère et j'ai bien envie de lui claquer la porte au nez. Et pourtant, James le laisse entrer, comme s'il y était obligé. Je reste sur le cul en voyant cette scène. Je me dis simplement qu'il est encore sous son emprise, et je ne peux pas le laisser faire. Je m'approche de mon amoureux pour passer une main dans son dos, tentant de capter son regard. « Te laisse pas faire bébé. J'suis avec toi, j'te laisserai pas tomber. » Je le lui murmure ces paroles pour essayer de le rassurer, qu'il reprenne une certaine contenance, et pourtant, j'ai l'impression que ça n'a pas eu l'effet escompté.

Je prends une grande inspiration et me dirige d'un pas fâché vers le salon. Je croise les bras, près du canapé, je foudroie l'homme du regard. L'homme qui s'est correctement installé. Lucky vient à mes pieds, et dévisage l'homme sans vouloir le lâcher des yeux. « Vous voulez un thé ? » Je propose cela dans un rictus mauvais. Je n'aime pas ce type, je ne le connais pas, mais je sais ce qu'il a fait à mon ange, mon amour. A l'homme de ma vie. Et je ne supporte pas de l'avoir chez nous. Alors que lui, en pleine conscience de ses faits, il est là, confortablement installé sur notre canapé. « Vous préférez quoi avec ? Du sucre ? Du lait ? De la mort aux rats ? Ou de l'arsenic peut-être ? » Je lui balance des couteaux de mon simple regard. Mon attitude et ma voix est agressive, mon sourire a disparu. Il n'a pas sa place ici. Oh non. Je compte bien le faire partir dès que possible.

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Je n’arrivais pas à croire qu’il était en face de moi. Cet homme qui à l’époque m’a tendu dans ces bras et qui pourtant l’instant d’après m’avait obligé à engloutir des médicaments. Je ne sais pas quoi faire, je suis totalement déboussolé et la seule chose que j’arrive à faire c’est de le regarder longuement en m’efforçant de garder la tête haut pour lui faire comprendre que cette fois, je n’ai pas peur de lui. Qu’au contraire du passé. Je suis ici, et qu’il me doit quelque chose. Qu’il me doit sa clinique pour avoir mon silence. En écoutant Harley, qui lui propose du thé. Je le fusille du regard avant de connaître la suite de sa demande. J’en viens à sourire bêtement, ce sourire que j’essaie de camoufler en détournant le regard sur les alentours. Alors que lui, ne bouge pas. Il soupire simplement en demandant un thé simple sans crachât à l’intérieur. Je m’avance d’un pas, en me collant contre Harley, profitant de ce contact pour venir caresser son bras avant de le laisser filer après les propos de mon grand-père. Avant que je puisse ajouter quoique ce soit, il me coupe la parole en levant son regard froid et distant sur les traits de mon visage. Je ne me sens pas à l’aise. Au contraire. J’ai la sensation qu’il va faire, ou dire quelque chose qui va me mettre hors de moi. « Je suis venu te demander de ne pas te marier avec un homme. Pour l’honneur de ta famille. Je ne savais même pas que tu habitais déjà avec cette personne… Et… » La rage me montait, la mâchoire se contractait. Je le pointais du doigt en m’approchant de ce personnage malsain et écœurant. « Je t’interdis de parler de lui de cette façon. Il a un prénom. Tu l’appelles par son prénom. Compris ? » Il a l’air autant mal à l’aise que moi. Je n’avoue ne jamais avoir cité mon orientation sexuelle auprès de mes proches. Parce que j’avais en tête que cela n’était pas nécessaire et qu’évidemment je n’avais pas de compte à rendre à quique ce soit. Surtout pas à une personne qui à tenter de me tuer en pensant bien faire. Il est détendu, il se relève en me faisant face. Il est plus petit que moi, ce qui intérieurement me faire un peu rire puisqu’à l’époque c’était lui qui commander, qui soulignait qui était le plus grand et que je lui devais du respect.

Au fond de moi, je savais que j’avais mal fait d’envoyer les invitations à ma famille. Sauf à mes frères et sœurs qui sont aussi ouverts que moi. D’ailleurs, je ne manque pas de lui couper l’élan qu’il prend pour cracher sa haine envers mon parcours et ma vie privée. « Tu sais, que j’ai les moyens pour te faire taire. Que tu ne dois absolument rien dire, et encore tu dois toujours être de mon côté. Tu sais tout autant que moi, que j’ai suffisamment de preuves pour te foutre dans la merde. » J’étais sincère. J’avais encore tout mon dossier en main et je ne risquais pas de le perdre de vu si un jour j’en viens à en avoir besoin. Ce qui ne m’étonnerais absolument pas. Il me juge de toute ma longueur. « Quand vas-tu oublier cette histoire bon dieu ! Je te dois la clinique. Ce n’est pas pour autant que je dois être pour ton foutu mariage à deux sous ! » J’écarquille des yeux. Presque choqué des mots utilisés. J’abaisse mon regard, et je sens mon cœur se serré. Je ne dis rien. Rien ne sort de ma bouche. « Tes parents sont morts, tu n’arrêtais pas de faire ta victime ! Il fallait que je te fasse bouger pour le bien de la famille ! Que t’apprenne que ce n’est pas parce que t’avais une belle gueule que les gens pourraient t’aimer ! »


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Je déteste avoir ce type à la maison. Sérieux, ça me fout les nerfs en pelote. Je pouvais exploser au moindre mot de trop. Il y a des gens comme ça qui m'insupportent sans raison, et pourtant, lui, il y a beaucoup de raisons pour lesquelles je le déteste. Et le visage de James me fait le détester davantage. Je comprends ses appréhensions maintenant. Je comprends pourquoi il était mal. C'était ça, la tornade. Quand il me demande une tasse de thé sans crachat dedans, je soupire et lève les yeux au ciel. « Mh. J'vais avoir du mal. Viens Lucky. » Je vais à la cuisine en lançant un regard amoureux à mon fiancé, suivi de Lucky bien évidemment. Une fois là-bas, j'essaie de faire le moins de bruit possible pour entendre la conversation. Et c'est en prenant la tasse que je me sens révolté. Putain, mais quel enfoiré celui-là. Je serre les dents, si ça ne tenait qu'à moi, je lui jetterais la bouilloire d'eau chaude à la gueule. Mais je ne peux pas faire ça. Dans mes pensées sombres, je sens la langue de Lucky me lécher la main. Je retire la tasse de sa gueule en fronçant les sourcils, et puis une idée me vient. Je pose la tasse par terre, pour que Lucky la lèche. Ouais, je sais.. C'est pas très gentil mais bon. Il ne l'a pas été non plus. Je continue d'écouter, en même temps je prends la gamelle d'eau des chiens que je verse dans la tasse, et je fais réchauffer le tout au micro-ondes. Lucky me regarde, la tête penchée et je souris. « C'est une mauvaise personne, Lucky. Mais ne dis rien, ok ? » J'suis con, je parle à mon chien, mais j'aime bien. J'aime bien lui parler. Et je crois que lui aussi. Il aboie et remue la queue rapidement tandis que je finis de préparer le thé, en ajoutant une petit touche personnelle: un crachat bien hideux, reniflé, tout droit sorti de mon nez et ma gorge. Mhhhh savoure bien papi !

Quand je reviens, j'entends des paroles insupportables. Je m'arrête sur le pas de la porte pour les regarder tous les deux, la mine renfrognée. Oh là là, ça ne va pas le faire. Pas du tout. Pas avec moi. Ma colère grimpe et je dois maîtriser ma respiration à la perfection pour ne pas craquer et lui envoyer sa tasse à la gueule. Je l'ai tellement bien préparé de toute façon que je m'en voudrais de le faire.. Alors je la pose sur la table un peu violemment, le thé bouillant éclabousse sur ma main mais je suis tellement en colère que je ne fais pas attention à la douleur de la brûlure. Un sourire faux sur les lèvres, je regarde l'homme d'un regard assassin. Un joli contraste. « Voilà. On dit merci quand on est poli. » Je me redresse pour le toiser, avant de serrer les points. « Oh, pis on t'demande pas d'être pour ce "foutu mariage à deux sous". On t'demande rien d'ailleurs. Un peu d'respect pour James, t'es chez lui ici, et si t'es pas content, tu dégages. Point barre. » Je soupire, passant la main dans mes cheveux. James doit être mal à l'aise de voir que je m'adresse à son grand père de cette manière, mais il ne faut pas qu'on s'en prenne à lui. Je deviens méchant.. Genre vraiment. « Ah, et tes discours sur le respect des anciens t'peux t'les foutre au cul, connard. T'verras, c'pas mal comme sensation. »


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