Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCoky ► De l'amour à la haine... inversons le processus !
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Coky ► De l'amour à la haine... inversons le processus !

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De l'amour à la haine... inversons le processus !.
feat @Cole S.-Wildingham Coky ► De l'amour à la haine... inversons le processus ! 1001568715
Si tu sais que la confrontation serait inévitable, tu as fait mine de l'oublier. Tu n'étais pas censée éprouver des sentiments pour ton jouet, ta proie, le partenaire que tu as trouvé digne de passer du temps avec. Tu as dressé des barrières, élevé une muraille, bâti des protections plus pointues que des lames, verrouillé tes émotions pour éviter ce genre d'incidents. Comment cela avait-il pu ne serait-ce qu'arriver  ? Où avais-tu fauté  ?. Tu es assez angoissée car personne n'avait jamais réussi à franchir ses boucliers à part une seule erreur et jamais tu n'aurais dû éprouver de telles choses. Tu n'es pas censée ressentir ni regrets, ni remords. Ton cœur si bien gardé, comment ce mâle avait-il fait pour mettre en danger tes défenses, décadenasser peu à peu tes verrous, trouver les codes de l'entrée de ton cœur  ?. Cette pensée t'effrayait au plus haut point. Non, tu n'étais pas faible, comment pourrais-tu l'être  ?. Au bal des fous, du jeu et du sexe, tu étais celle qui menait la danse, merde quoi  !. Mais tu n'arrives pas à l'oublier et de jours en jours ça devient pour toi, un calvaire de le savoir en couple. À présent, tu sais ce que tu ressens, il suffit d'écouter derrière ta voix on entend ton cœur qui bat, derrière tes beaux yeux, tu essayes de te mentir, tu fais semblant, mais chaque soir tu lui accordes une petite pensée. Tu le sais, l'amour n'a pas de loi et jusqu'ici, tu avais avancé les yeux ouverts et le cœur fermé, sauf que monsieur a tout chamboulé. T'as pris soin de castrer cupidon depuis qu'il t'a fait du charme. Mais pour l'heure, tu t'en veux de lui avoir permis d'entrer dans ta tête, et tu le détestais pour te faire éprouver le sentiment terrible qu'est la culpabilité. Oui, tu te devais d'avouer que tu n'étais pas restée indifférente face à l'eliot que tu avais charmé. Il réfléchissait avec sa tête -même si plus maintenant-, il était guidé par son instinct ou ses envies, vous étiez tellement opposés caractériellement et pourtant si semblables. Il te hantait et ça te brûlait à petit feu. Et en parlant du loup, lui et sa blonde la canon, se trouvaient devant la porte des vestiaires à se lover et s'en était un supplice pour tes yeux. Il est ce poison qui tu tue lentement, mais surement. Tu retiens ton souffle, tu serres les poignets pour garder ton calme, pour garder tes pieds sur terre et avoir le courage de feigner l’indifférence. Tu marches à pas pressés et une fois devant le petit couple qui te donnait envie de gerber, tu poses ta paume sur l'épaule de l'eliot et le pousse lui et sa copine un peu plus loin sur le côté. « Vous êtes sur le passage, merci d'aller vous lover ailleurs, les hôtels sont faits pour ça. » Avec un faux sourire, tu évites de regarder la meuf, parce que tu n'avais pas envie d'avoir un complexe. Non mais genre, le mec n'avait pas choisi la plus moche quoi, ses longues jambes, de la poitrine là où il en faut, de belles lèvres, un beau regard coloré, blablabla, toi tu fais tâche du haut de tes trois pommes. Il n'y a que ton sourire qui pourrait la concurrencer, mais encore. Même son cul était parfait. Ouai, non arrête de penser Lucky, tu vas avoir des complexes je te dis. T'as pas encore oublié l'episode Thanksgivint où il a osé la ramener chez-toi. Fin bref, tu entres dans les vestiaires et enfiles ton maillot, car avant que l'hiver ne se pointe totalement, tu voulais profiter un max de la piscine, décompresser et tout ce qui va avec. D'ailleurs, en sortant, t'as pu tendre les oreilles pour entendre le couple se quitter et Dieu soit loué, tu n'as pas vu le baiser qui va avec. C'est ça, casse-toi blondasse, casse-toi brunet, cassez-vous et laissez-moi profiter tranquille de la piscine. Tu poses ton sac sur le gradin et tu plonges nageant sous l'eau et remontant de l'autre côté du bord. Tu passes tes mains dans tes cheveux pour les repousser en arrière, frotte tes yeux et lorsque tu veux les ouvrir, ils te picotent un peu. Alors, tu poses ta joue sur tes avant-bras et gardes les yeux fermés pendant quelques secondes. Mine de rien, ça te faisait du bien.
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Ca fera bientôt un mois. Un mois de faux couple avec Feryel, quand on savait que j’étais resté deux mois et demi avec Kyla, dont presqu’un mois d’exil loin d’elle pour cause de faux pas avec Ivy, j’étais à deux doigts de battre mon record. Enfin, si on mettait de côté le fait que c’était une couverture… On pourrait presque y croire, à notre couple, lorsqu’on voyait que miss Oswald m’avait trainé à une journée de charité pour l’adoption d’animaux abandonnés, ou bien encore lorsqu’on était partis en Suisse ensemble… Même moi, je m’y perdrais presque, à ce jeu. Il me semblait désormais quasi certain que je pouvais lui faire confiance, à cette demoiselle et c’est sur un baiser que l’on s’apprêtait à se quitter, devant le complexe sportif de la fac, jouant toujours notre couverture à merveille, sauf qu’une main se posa dans mon dos, m’invitant à me pousser. Cette voix je la connaissais. Je me raidissais un peu, me figeais, avant de me tourner vers la jeune femme qui venait de parler : celle pour qui nous voilà en plein numéro, la raison de notre cinéma, celle avec qui ma liaison devait être étouffée. Lucky. Pas le temps d’échanger davantage qu’un regard, parce qu’elle disparaissait déjà dans les vestiaires et ce n’était probablement pas plus mal vu que notre dernière rencontre, lorsque j’avais suivi Tate, c’était fini en vraie altercation et règlement de compte entre Feryel et elle, et que de nouveaux clichés de la mather et moi avaient été diffusés. Ne pas lui parler et l’ignorer royalement serait la chose à faire, pas besoin que ma petite amie ne le formule à voix haute, j’avais compris. Sauf que… L’esprit dérangé, le goût âcre de cette petite réunion que j’avais surpris chez elle encore en bouche, car oui oui, je n’avais toujours pas regardé attentivement un calendrier, je n’avais TOUJOURS pas compris qu’il s’agissait de Thanksgiving, j’avais besoin d’en savoir plus. Alors à peine ma copine s’était-elle éclipsée que je m’engouffrais à mon tour dans les vestiaires. Je faisais encore une grosse connerie, surement… Mais j’avais mon enquête à mener. Les récentes révélations du punisher désignaient de nouveaux coupables, il fallait que je sache si Lucky avait agi avec eux, si toute la bande de faux jetons qui était chez elle l’autre soir était de la partie. Je voulais savoir qui j’avais dans mon viseur. Et c’est ainsi que j’avançais jusqu’au bassin, déserté, vu la saison. Moins d’yeux curieux pour nous observer c’était parfait. C’est dans mon éternel costard que j’avançais près de la piscine, pas de maillot sur moi. Je n’avais nullement l’intention de me baigner, surtout pas dans un bassin public, incubateur à microbes, merci bien. Mais mes prunelles se perdirent un instant dans la contemplation de la nageuse qui remontait lentement à la surface, balayant ensuite de ses mains ses cheveux mouillés en arrière, et c’est qu’elle me ferait presque regretter de jouer les précieux… Et puis je me rappelle. Je me souvins ensuite ce qui m’avait motivé à la suivre ici, l’interrogatoire auquel il me faut la soumettre pour faire la lumière sur cette réunion secrète qu’elle avait tenu chez elle. Alors, m’approchant de l’eau, je me raclai la gorge pour attirer son attention, puisque, paupières closes, elle ne semblait pas encore m’avoir vu approcher.  
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feat @Cole S.-Wildingham Coky ► De l'amour à la haine... inversons le processus ! 1001568715
Accrochée au bord, les yeux fermés, tu espérais que monsieur et sa girl-friend soient déjà partie, car t'avais pas envie de les croiser à nouveau en train de se lover. Tu pourrais faire un meurtre qui sait. Soudain, un raclement de gorge te sort de ta pseudo tranquillité, t'ouvres les yeux pour voir qui osait te déranger. Lui. Tu relèves la tête afin de regarder autour de toi, te demandant où était l'arnaque. Quoi  ? Feryel savait qu'il était là, juste face à toi  ? Sait-on jamais, peut-être que la demoiselle avait lâché la laisse sans faire exprès et que d'ici quelques secondes, elle se pointera pour le récupérer. Ou alors, c'est qu'elle lui avait donné la permission ?. Anyway, dans les deux cas tu t'en fiches. Tu soupires, reposant ta tête sur tes bras, faisant comme si sa présence était égale à son absence. Chaque parcelle de ton corps exprimait cette attente, ce désir pour ce mec que tu avais tant refoulé, ces regrets, cette erreur d'être tombée sous son charme, tout cela s'était transformé en une sorte d'amalgame de haine et de détresse. Les yeux mi-clos, tu murmures des paroles que la pièce répercuta pourtant. « Peu importe ce que tu as à dire, je n'veux pas t'écouter. » Tu sors de la piscine, l'eau gouttait de la pointe de tes cheveux s'écroulant sur chaque parcelle de ta peau. Tu marches direction opposée et t'arrêtes soudainement pour te retourner face à lui. Toi t'avais des choses à clarifier par contre. « C'est quoi ton problème  ?. » Ouai, tu ne comprenais plus ses agissements, à croire que son but était de te mettre plus bas que terre et il avait réussi. « Tu voulais que j'te laisse tranquille, c'est fait, j'ai cessé de te courir après et qu'est-ce que tu fais toi  ?. Tu ramènes ta potiche chez-moi pour gâcher mon Thanksgiving ?. » Tu marques une courte pose, le temps que monsieur assimile son erreur de s'être pointer à la soirée qu'Ashleigh et Sage avaient organisé chez-toi, t'incitant à participer. Donc ouai, vous ne complotez pas contre lui et de toute façon, vous aviez mieux à faire que ça. « Merci de m'avoir donné une raison de plus de détester les fêtes de Noël sans mes parents. » Tu ris nerveusement et t'applaudis dans le vide. « Bravo Wildingham, bien joué. Au bal des cons, je te couronnerais ROI. » Tu t'inclines face à lui et tu lui tournes le dos. Bordel, tu ne sais pas d'où tu as puisé ce courage pour lui tourner le dos, mais ça prouve que t'étais en train d'avancer sans lui, de savoir te passer de lui. Ou bien te mentir à toi-même. T'en sais rien, mais tout ce que tu veux, c'est oublier ces images de lui en compagnie de sa petite-amie. Tu marches à pas pressés vers ton sac que tu récupères au passage pour entrer dans les vestiaires. T'as un peu froid sur le coup, alors une bonne douche te fera le plus grand bien. Franchissant la porte que tu claques, toi-même étonnée de tes petites mains, d'où ta grimace. Genre, t'as pas contrôlé quoi. Tu balances ton sac sur un banc, choppe ta serviette pour entrer rapidement dans l'une des cabines que tu fermes à clé. Passant ta serviette sur le bord de la cabine voisine, tu retires ton maillot et le laisse tomber au sol. T'ouvres l'eau pour laisser couler sur ton corps, plaquant tes mains sur le muret. Allez, calme-toi babe, calme ton cœur en colère, calme tes nerfs à vif, pfiouuu trop d'adrénaline d'un coup.

HJ: Bien trouvé le choix du gif Coky ► De l'amour à la haine... inversons le processus ! 3997999705
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Approchant du bassin, je me raclai la gorge pour attirer l’attention de la brune. J’avais un interrogatoire à mener : elle me devait des explications. Mais lorsqu’elle rouvrit les yeux, croisant mon regard, c’est un refus de toute discussion qu’elle me réserva. Elle sortit alors de la piscine, et malgré moi, mes prunelles se perdirent dans la contemplation de ses courbes, de ce corps que je connaissais bien, le souvenir de nos étreintes encore bien ancrés dans ma tête et venant troubler un instant ma détermination première à la faire avouer… Elle veut te faire perdre le fil… Alors, quand elle se planta devant moi pour finalement me demander avec hargne quel était mon problème, je me forçais à ne regarder que ses yeux, à y planter mon regard et ne pas le laisser se balader ailleurs… Sauf que c’était peut être encore pire ainsi. Elle m’asséna une série de reproches, soulignant qu’elle avait respecté ce que je lui avait demandé, et que pour autant, j’étais venu à sa soirée, ruiner son Thanksgiving. « Ce n’est pas une potiche, c’est ma petite amie. » corrigeai-je d’une voix dure, les traits crispés de colère. Ses mots se répercutèrent néanmoins dans ma tête. Thanksgiving. J’étais anglais, et c’était une fête américaine, je n’avais donc pas le calendrier en tête et j’étais en train de chercher dans ma tête si cette excuse était recevable. J’allais pouvoir vérifier de toute façon parce qu’après m’avoir insulté, la brune tourna les talons, et disparut vers les vestiaires dans un claquement de porte. Ni une, ni deux. Pas question de lui laisser une chance de s’en sortir comme ça. Je sortis mon téléphone, googlai le nom de la célèbre fête et découvris que les dates concordaient. La réunion anti Cole avait bien eu lieu le jour de Thanksgiving… Ca ne prouvait malgré tout rien, sinon que ça leur faisait à tous un très bon alibi. Oui, c’était juste un moyen parfait pour eux de cacher tous leurs véritables intentions, le vrai motif de ce colloque chez la demoiselle : me détruire. Je n’en démordais pas de cette idée encore et toujours et c’est toujours particulièrement en colère que je m’engouffrais jusqu’aux vestiaires. « Lucky ! Tu ne vas pas t’en sortir comme ça ! J’ai pas fini. » criai-je en entrant donc, furieux, repérant rapidement la cabine dans laquelle elle s’était enfermée au bruit que faisait l’eau qui coulait. « Elle est bien pratique, cette fête. C’était malin. Très malin de votre part. Vous saviez que j’allais suivre Tate, vous saviez que j’allais vous griller, alors vous avez choisi une date qui vous permettrait de vous défendre. » Je tapai contre la porte, l’incitant à m’ouvrir : « Si t’as vraiment rien à te reprocher ouvre moi. » 

HJ : oui il est parfait :giggle:
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Il cherche quoi là  ? À t’énerver  ? Non parce que sa remarque sur sa "petite-amie" tu t'en balances royalement. C'est une potiche un point c'est tout, t'as rien à faire que ce soit sa copine. Et d'ailleurs, la prochaine fois qu'elle viendra te faire des menaces dans ta propre maison, tu n'oublieras pas de lui faire ravaler sa langue. Ça va, t'es restée calme la dernière fois parce que tu n'es pas du genre à te donner en spectacle pour un homme. Franchement, tu ne te battais pas pour un morceau de viande, on parle bien d'un homme ein  ?. Si dans son cas, elle se fichait, toi, tu restais classe. Enfin bref, tu continues ton chemin, car inutile d'en entendre davantage. Mais c'était sans compter que monsieur ne lâchait pas prise. Le voilà devant ta cabine à cogner sur la porte en te bombardant d'accusations. Gad, t'as eu sacrément peur sur le coup, t'as même sursauté en posant une main sur ton cœur. Il est fou, il était complètement fou. T'as juste pas envie d'ouvrir cette porte maintenant. Qu'il retourne bécoter sa meuf et qu'il te laisse tranquille, seigneur. Tu plaques ton dos contre le mur, essayant de calmer les battements de ton cœur, mais en vain. Jusqu'à maintenant tu essaies de t'éloigner, mais faut croire que même le temps était contre toi. Tu regardes ce que vous êtes devenus, deux parfaits inconnus alors qu'avant, un seul regard suffisait. L'horizon n'était pas net certes, mais elle n'était pas aussi flou. Maintenant, tu ne sais plus. Si, en fait, tu fonces droit dans un mur et ce mur-là, tu te l'es déjà prise lorsque tu t'es rendue compte des sentiments que t'éprouvais, mais aussi, de sa mise en couple. Tu fermes l'eau, t'attrapes ta serviette que tu enroules autour de ta poitrine. Ta main sur le verrou, tu l'actionnes et ouvres la porte en croisant tes bras derrière ton dos. « Qu'on soit clair, je n'ai pas ouvert cette porte pour te prouver quoi que ce soit. Mais bien parce qu'il faut que je sorte d'ici. » T'as rien à te reprocher et donc rien à lui prouver, t'es juste fatiguée de lui expliquer ton innocence dans toutes les merdes qui lui arrivent. De toute façon, t'as plus de souffle, ni de courage, ni même d'envie de lui prouver quoi que ce soit à présent. « Je n'vais plus rien t'prouver Cole, c'est fatiguant de répéter tout le temps la même chose. Alors maintenant, si t'as fini avec tes accusations, ouvre-moi le passage que je puisse me rhabiller. » Bah oui, qu'il se pousse pour que tu puisses passer. Il te barrait le chemin et toi, tu préfères regarder ailleurs, car t'as pas envie de croiser son regard et de laisser ton cœur recommencer à cogner. « Et de toute façon, celle qui doit t'prouver des choses, à qui tu dois demander des explications et tout ce qui va avec, c'est ta potiche... Pardon, ta... copine. » On te changera jamais. Certains diront que t'es folles, et tu répondrais oui, cachant qu'au fond, t'étais peut-être folle de lui. Lors de votre dernière rencontre, tu l'as demandé de ne pas t'oublier et tu te sens connes de voir à quel point, il t'a oublié dans ses bras. À quel point il semblait filer une parfaite idylle. Tant mieux pour lui, tant pis pour toi. De toute façon, t'avais dépassé le stade de vouloir jouer, de vouloir casser à nouveau son couple. Et si lors de sa précédente relation ce fut un jeu d'enfant, maintenant, ce n'était plus le cas tout simplement parce que c'était toi qui voulais t'échapper. C'était toi qui luttais contre ce que tu ressentais. Et t'as vu cette relation comme une bonne raison de fuir. Sauf que voilà, quand tu penses y arriver, quand tu vois la lumière au bout du tunnel, tout s’effondre et te ramène à lui. Again, again and again.
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Je frappai donc, énervé, pas du tout convaincu par l’argument Thanksgiving, au contraire j’étais plutôt conforté dans ma théorie du complot. Ils avaient fait exprès de se réunir ce soir là, tout ça pour avoir une excuse si jamais je venais à le découvrir. C’était clair comme de l’eau de roche désormais. Et le fait qu’elle m’évite, qu’elle courre s’enfermer dans cette cabine de douche, c’était un aveu de culpabilité aussi. Coupable sans procès. Enfin, je lui donnais une chance de plaidoyer pour sa défense. Qu’elle me prouve, qu'elle m’ouvre, si elle était clean, voilà ce que je venais de lui demander en tapant contre la porte de la douche. Cette dernière s’ouvrit alors, sur une Lucky en serviette, qui clarifia aussitôt son geste : ce n’était pas une démonstration de quoi que ce soit, ce n’était pas une réponse à ma demande, elle voulait juste sortir. Mon regard se perdit à nouveau sur elle, ses cheveux mouillés, les gouttes d'eau qui ruisselaient contre sa peau, la naissance de sa poitrine que l’on devinait là où elle avait noué sa serviette. Elle me répéta donc qu’elle n’avait rien à me prouver, m’ordonnant ensuite de me pousser du passage, et je fis bien sûr tout le contraire, m’avançant pour lui bloquer complètement la sortie, posant mon bras sur l’encadrure de la porte pour être certain qu’elle ne fuira pas, qu’elle n’essayerait pas encore d’échapper à l’interrogatoire que je lui réservais. « Je ne bougerais pas. » affirmai-je alors. « T’iras nul part tant que tu n’auras pas avoué. » Elle évitait mon regard et ça la rendait d’autant plus coupable à mes yeux. Et puis soudain, ça me revint en mémoire. Son –ne m’oublie pas- dans la voiture, le jour de notre explication, et ça se surajouta à tous les autres délires qui se jouaient déjà dans mon crâne. « C’était à ça que tu faisais référence hein ? Quand tu me demandais de ne pas t’oublier ? C’est ta façon de te rappeler à ma mémoire, en organisant des réunions pour me nuire ? En montant l’un de mes meilleurs amis contre moi ? Parce que je ne vous ai pas surpris par hasard, c’est en suivant Tate que je suis arrivé chez toi. » révélai-je, hargneux. Et lorsque sa langue fourcha, très certainement volontairement, en évoquant Feryel, je perdis patience : « C’est à toi que je demande des explications, alors réponds moi… » Je fis alors un pas dans la cabine, je m’avançais vers elle, la forçant à reculer un peu contre la faïence de la douche. « Et regarde moi. » Je voulais lire dans ses yeux pour savoir si elle me mentait. Une main contre le mur derrière elle, l’autre venant emprisonner son menton pour lui faire relever le visage, pour forcer cet affrontement de nos regards qu’elle semblait déterminée à éviter. Et à l’instant où nos prunelles se rencontrèrent, je sus que je courrais à ma perte… Mon cœur s’accéléra, ma respiration se suspendit un instant et dans un souffle ensuite, je prononçai son prénom : « Lucky… » dans un murmure qui avait perdu de son agressivité, un ton qui n’avait plus rien d’accusateur et où perlerait presque l’envie... 
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Il est buté ma parole  ? Il ne comprenait pas que tout vous séparait  ?. Sa nouvelle petite-amie, son entourage, la terre, le ciel, ta peur. Absolument tout. Et il faisait quoi là  ? Les défiait  ?. Il jouait avec le feu. Toi, tu t'es déjà brûlée, mais lui, avait encore une chance. Rester loin de toi est la meilleure solution. D'apparence détendue, ton esprit implosait sous la pression que tu te mettais, tu tentes désespérément de renier tes sentiments et créer un masque, mais être fausse ne figurait pas dans tes options fallait-il croire. Tes yeux fixent les jambes de ton interlocuteur qui avançait de plus en plus vers toi, tu reculais un peu plus chaque seconde. Qu'est-ce qu'il voulait  ? Que tu avoues des choses dont tu n'en es pas l'auteur  ?. Te mettre la faute dessus, nourrir sa paranoïa  ?. Pas question  ! Tu t'es trop laissée faire, stop now. « Je n'ai rien à t'avouer, tu perds ton temps. » Froide comme l'hiver, froid comme ton cœur depuis un certain temps. Depuis qu'il avait déserté. Et la cerise sur le gâteau, fut ses paroles suivantes. Tu serres un peu plus tes paumes à chaque mot et syllabe prononcés. Il avance encore, ton dos heurte la paroi et te stoppe dans ta marche à reculons. La colère te pousse à répondre sur un coup de tête. « Non non et NON  ! Je ne faisais pas référence à ça, mais bien à ton statut actuel. Encore une fois, tu m'as vite oublié dans les bras d'une autre. Encore une fois. » Que tu répètes et ô combien ça te faisait mal. « Concernant Tate, il ne s'est pas déplacé pour ta personne. Mais si tu veux une explication, t'sais où le trouver. » Et tu n'étais pas la mieux placer pour lui raconter ce qui se passait entre Ashleigh et Tate. Son pote aura certainement les mots qu'il faut. Après tout, lui aussi n'avait pas de compte à rendre à qui que ce soit. Il fait ce qu'il veut de sa vie, personne n'est apte à le juger, tout comme personne n'est apte à te juger. P'tain, il fait quoi là  ? Ses doigts attrapent ton menton pour relever ta tête alors qu'instinctivement, tu fermes les yeux et joins tes mains sur ton visage. Formant une espèce de barrière pour éviter de croiser son regard, car il verra, il verra ce que tu ressens pour lui à travers l’intensité que dégageaient tes yeux. Barrière qui malheureusement tomba bien vite suite au murmure de ton prénom dans le vent. Tes bras tombent le long de ton corps, tes yeux s'ouvrent rapidement pour se plonger automatiquement dans les siens. Boum, boum, boum, ton cœur cogne encore plus fort que les précédentes fois. Plus aucun son n'arrive à s'échapper de tes lèvres. Tes prunelles reflétaient la surprise et en même temps un désir lointain, mais elles étaient surtout perdues, fatiguées. T'es comme paralysée, car c'est difficile pour toi d'le sentir si proche et ne pas l'toucher. Alors c'est comme ça que vous allez toujours devoir vous chercher l'un et l'autre  ? Il suffirait que l'un fasse le premier pas pour que l'autre se jette dans ses bras et l'embrasse avec toute la fougue d'un jeune couple. Mais là, tu ne fais rien, tu luttes, tu trembles et tu sens la serviette glisser. Tu la rattrapes avant qu'elle ne tombe pour bien la serrer de nouveau contre ta poitrine. Ton visage si près du sien, murmure qui s'étouffe. « Arrête... T'as une petite-amie. » Et alors  ? Ça ne t'avait pas gêné lors de sa relation avec l'autre guignole. Il te voulait. Tu le voulais. Vous vous vouliez. Mais ne pouviez pas. Frustration bonjour. Tu glisses une main pour ouvrir l'eau, laissant couler sur lui et avec un peu d'chance, cela le refroidira. Bien que grosse merde, tu le trouvais encore plus sexy, comme ça. « Qu'est-ce que tu attends d'moi Cole  ?. J'ai beau t'faire entendre raison sur mes intentions, tu ne crois que dalle, alors pourquoi t'insistes  ? Pourquoi tu m'tortures  ? Pourquoi tu n'sors pas de ma tête  ?. » Tu t'avises à cet instant, d'y ajouter ton cœur. Tu baisses à nouveau ton regard pour ne pas t'infliger plus longtemps encore le sien. Parce que quand tu le regardes, tu cesses tout simplement de penser.
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Je lui barrais le passage, me plantant obstinément dans l’encadrure de la porte, décidé que j’étais à obtenir des aveux. Des aveux qu’apparemment, elle, de son côté, elle était tout aussi décidée à ne pas m’offrir puisqu’elle nia avoir quoi que ce soit à avouer. Je n’en démordais pas pour autant, continuant dans mon délire, m’avançant dans la cabine, la poussant à reculer, à se retrouver contre la faïence de la douche. La brune perdait patience, devant cet énième interrogatoire fou de ma part. Et elle inversa les rôles, elle me replaça sur les bancs des accusés, brandissant mon statut d’homme pris, ne digérant visiblement pas le fait que je sois de nouveau en couple, et que malgré son –ne m’oublie pas- je m’étais dépêché de le faire dans les bras d’une autre. Mais j’étais pas en état d’imprimer, de noter la signification d’une telle reproche, en fait c’était toujours sur l’ancien VP que je faisais ma fixette. Tate, que j’avais suivi, Tate au cœur du complot qui se jouait contre moi… Mais Lucky me renvoya vers Murray si je voulais en savoir plus, ce qui ne fit qu’aiguiser encore plus ma curiosité. « Il ne s’est pas déplacé pour ma personne ? Alors quoi ? Il essayait de me piéger c’est ça ? Vous lui avez dit de m’attirer chez toi pour que ta meilleure pote puisse prendre des photos et envoyer ce nouveau sms ? » Sage complice de Tate. Dans ma tête, toutes les alliances contre ma personne étaient envisageables, même les plus improbables. Et pour que cet interrogatoire ait du sens, pour que je puisse tenir mon rôle de détecteur de mensonges sur pattes, il me fallait ses yeux. Ses yeux plantés dans les miens, or elle baissait la tête, elle évitait mon regard, se donnant sans le vouloir l’air encore plus coupable. Mes doigts allèrent donc chercher son menton, forçant son visage à se relever vers le mien, et si d’abord elle tenta de se cacher derrière ses mains, m’arrachant un : « Fais pas ta gosse, regarde moi… » qui pourrait paraître risible quand on analysait mon propre comportement. Et puis, elle céda, lorsque son prénom s’échappa de mes lèvres. Ses barrières tombèrent et mes prunelles finirent dans les siennes. Un plongeon transcendant. Un plongeon dangereux. Il allait falloir remonter à la surface après ça. Remonter à la surface ou se noyer… Elle me demanda d’arrêter, de stopper ce truc qui se passait là, que je ne contrôlais pas de toute façon, objectant que j’avais une copine avant d’ouvrir l’eau sur moi, sur nous, probablement pour essayer justement de me faire retrouver mes esprits. Mais l’espace d’un instant, pendant ces quelques minutes là sous cette douche, j’étais incapable de penser. Ni à la culpabilité évidente de la brune devant moi, ni à mon faux couple, ni même à mon costard, qui ne supportait que les nettoyages à sec, et qui serait très certainement fichu après ça. Mes maux de tête constants semblaient presque avoir disparu. « Lucky je… » Je savais pas répondre à ses questions. « Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. » Je savais pas pourquoi mon cerveau me criait la méfiance, et je ne comprenais pas davantage pourquoi mon corps lui, ou mon cœur d’ailleurs, me poussait à rester là devant elle, sous cette douche, électrisé par son regard. Son regard qui flancha à nouveau à ce moment là d’ailleurs. Et mes doigts voyagèrent à nouveau sur son visage pour recommencer mon précédent mouvement, mais cette fois, sans lui laisser de chance de parler, sans laisser le temps à nos regards de s'accrocher, mes lèvres fondirent sur les siennes pour les capturer dans un fiévreux baiser.
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De l'amour à la haine... inversons le processus !.
feat @Cole S.-Wildingham Coky ► De l'amour à la haine... inversons le processus ! 1001568715
Ta bouche se tord d’agacement ; il était impossible. Ce mec était impossible. Comment avait-il pu sombrer si facilement à une paranoïa  ?. Est-ce qu'il faisait semblant de ne pas ouvrir les yeux  ?. Non, son visage prouve à quel point il est tourmenté. Tu veux l'aider, mais il n'accepte aucune aide venant de ta part, alors tout ce que tu peux faire, c'est rester dans l'ombre et t'inquiéter. T'inquiéter de sa santé mentale. « Il n'était pas là pour toi, il était là pour Ashleigh, enfin, il voulait lui parler. » Qu'il ne t'oblige pas à révéler davantage, parce que ce serait surement les derniers mots que tu prononceras à ce propos. D'ailleurs, tu allais avoir une discussion avec ta meilleure amie pour éclaircir un peu la venu improviste de Tate. Tu veux lui dire qu'elle devrait passer plutôt son temps à conquérir Dante, plutôt que de flirter avec un gars aussi lâche que ce mec. Vous m'direz, mais toi tu fais quoi avec Cole ?. Il est ce même lâche qui n'a pas assumé votre idylle si étrange, qui a préféré fuir et se mettre en couple. Vous m'direz aussi que t'as rien à faire avec ce genre de mec, mais si pour Ashleigh ce n'était qu'une histoire de cul, pour toi c'était différent. Donc, tu ne peux pas t'empêcher de lui faire quelque sous-entendus et des reproches concernant sa mise en couple. T'es là, tout près merde quoi, pourtant, il ne le voit jamais, ou bien seulement lorsqu'il en a envie. Si t'as mis cette barrière entre vous, c'est pour te protéger, pour l'empêcher de percevoir tes sentiments. Il te demande d'arrêter de faire ta gosse, chose que tu n'écoutes pas évidement, si t'as envie d'faire ta gosse, tu le feras et ce n'est certainement pas lui qui t'en empêchera. Mais il t'a quand même eu en prononçant ton prénom à deux reprises, si doux, si sensuel. Et puis une chose à laquelle tu ne t'y attendais pas du tout, arriva. L'anglais releva à nouveau ton visage et cette fois-ci, y déposa ses lèvres contre les tienne. Malgré cette eau que tu as laissé couler pour le mouiller, ce retrait que tu as eu en insistant sur le fait qu'il avait une meuf, monsieur Wildingham ne semblait plus répondre de ses actes. Tes yeux au départ grands ouverts de surprise, se fermaient petit à petit, car c'était la première-fois qu'il prenait lui-même l'initiative de t'embrasser. Tes poumons se remplissent rapidement d’air pour expirer de la même façon. De ce fait, ta respiration double de la normale et t'espères pour lui, que personne ne soit témoin de cet échange endiablé de salives. Tu soupires d’aise. « Cole… ». » Murmure entre deux baisers. C'est mal, mais bordel que t'aimes ça, t'avais besoin de ses lèvres si goûteuses. Ta main vint se loger dans la chevelure de ton interlocuteur, et c’est à ce moment que ta patience s’estompe. Que tes baisers se font plus fougueux, que ton cœur bat à tout rompre, que ta langue caresse la sienne. Vous ne contrôlez plus vraiment rien à cet instant. Tu quittes ses lèvres et tu te lèches les tiennes pour ne pas perdre le goût de sa liqueur exquise. Tu en deviens avide. « T'es amoureux d'elle  ?. » Que tu balances sans réfléchir, juste un petit élan de curiosité. Cependant, tu ne peux t'arrêter, car tes lèvres glisses dans son cou. Tu y laisses un baiser langoureux, nichant ensuite ton visage à son creux. Ne comprend-il pas que tu es bien plus intéressante que ces pauvres choses dénuées d'intérêts qu'étaient sa petite-amie ou bien encore son ex  ?. Réponds-moi, t'es amoureux d'elle  ? Cette Feryel artificielle. Te reculant pour soutenir son regard le plus sérieusement possible, prête à mourir avec sa réponse. Mais voyons ? S'il t'embrasse de lui-même, c'est que cela signifiait déjà beaucoup d'chose non ?. « T'es le mal Wild. » Parce que maintenant, t'as juste envie d'une chose. Lui enlever son costume, lui faire l'amour comme jamais dans cette putain de douche. Qu'on t'entende crier son prénom, tu t'en fiches. Qu'on t'entende hurler de plaisir, tu t'en fiches. Tu ne désires que lui, c'est tout ce qui t'importe. Empoignant sa veste, tu inverses les positions en poussant presque bestialement l'anglais contre le mur. Ta poitrine se plaque fougueusement contre son torse et l'une de tes jambes glisse sensuellement entre les siennes. « Bordel, embrasse-moi encore !. » Cole est le mal en personne, parce qu'il arrive à te faire trembler sans même avoir besoin de l'hiver, à te faire mouiller sans même avoir besoin de la pluie. Oui, tu mouilles à cet instant précis et fort heureusement pour toi, que t'as pas de culotte en dessous, fort plus heureusement, l'eau te lavait de toute gêne. T'es folle de lui et il a fallu Kyla et Feryel pour t'en rendre compte.
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