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❝ I would like to hate you
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ASHLEIGH & ALEKSEÏ.

Tu viens de passer ce qu'on appelle plus communément une bonne journée de merde. Entre l'hôpital et l'université, tu ne savais plus où donner de la tête car cette dernière est obscurcie par l'altercation que tu as eu avec Ashleigh il y a quelques jours de ça. La virer aussi sauvagement du cours n'avait peut-être pas été la meilleure des idées que tu puisses avoir mais entre ton ardent désir pour elle et ton envie irrépressible de t'éloigner de ses tentacules, tu étais perdu. Et cette désagréable sensation se traduit par une colère sans nom que tu peines à contrôler. Contrôle, c'est justement ce mot qu'avait employer l'étudiante, et à juste titre. Tu fulmines mais le feu qui passe au vert te sort de tes songes. Tu enlèves alors ton pieds du sol, faisant rugir ta moto. Tu sens le vent s’engouffrer dans ton col et étrangement, cette sensation te détend.
Quelques minutes plus tard, tu tournes la clef de ton bolide sur la place de parking qui t'est réservée. Sans précipitation, tu ôtes ton casque en le posant sur le réservoir et passe une main dans tes cheveux, luttant contre l'effet écrasé que donne cette protection à ta coupe. Tu t'affaires à rassembler tes affaires lorsque tu sens une main se saisir de ton épaule. Détestant par dessus tout les contacts humains inopinés, tu entreprends un volte face afin de faire savoir ton mécontentement au malheureux. Une douleur immense assaillie ton visage et tes mains heurtent le sol violemment. Tu portes rapidement tes doigts à tes lèvres et sent ce liquide chaud glisser sur ta peau. Tu viens sérieusement de recevoir une droite ? Tu lèves des yeux embués vers ton agresseur, ou plutôt tes agresseur. Ils sont cinq et leurs visages te sont malheureusement trop familiers. « Jusqu'à Boston ... » soufflas-tu. C'était une affirmation plutôt qu'une question car tu reconnaissais parfaitement ces visages slaves qui t'avait déjà fait le coup il y a quelques années de ça, le jour de ta rencontre avec Clay qui t'avait d'ailleurs sauvé la mise. Mais cette fois-ci, par d'australien en vue, tu es seul, absolument seul. Ta main empoignant fermement ta mâchoire qui te fait un mal de chien, tu te relèves avec prudence, fixant l'auteur de ce coup. Sans prévenir, tu lui assènes un coup sur la tempe, similaire à celui qu'il vient de t'infliger. Il tombe à terre, inconscient, mais ses quatre collaborateurs te jettent aussitôt au sol, ne te laissant aucune chance de te défendre. Tu encaisses les coups, il n'y a que ça à faire. Tu sens une douleur répétée sur l'ensemble de ton corps. A coups de pieds et de poings, tu entends tes os craquer. Les mains derrière la nuque et tes coudes protégeant ainsi ton visage, tu pries pour qu'ils ne s'acharnent pas assez pour qu'ils ne te cassent quelque chose. Prières inutiles puisque tu sais que leur intention est de te tuer.
Soudainement, les coups cessent et tu entends les quatre hommes déguerpirent en courant. Tu ouvres les yeux, encore au sol, et voit leurs ombres se défiler, leur cinquième complice dans les bras. Pourtant tu es vivant : tu sens tes doigts se mouvoir dans ta nuque, le sang chaud couler sur ton visage et cette douleur dans la poitrine. Derrière toi, tu entends des pas précipités se rapprocher. N'ayant plus la force de te défendre, sentant ta tête tourner, tu ne bouges pas. Deux mains te tirent de la position recroquevillée que tu as adopté pour t'allonger dos au sol. « Ash ? » demandes-tu dans un murmure étouffé. Tu ne sais pas si tu délires ou si il s'agit véritablement d'Ashleigh. Tu distingues à peine son visage mais tu reconnaîtrais entre mille ce carré blond.
 

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@Ashleigh H. Strauss
Chose promise, chose due  I would like to hate you but I need you ♣ Ashleigh 3997999705
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Lucky t'avait prévenu qu'elle ne dormirait pas à la mather house ce soir alors tu avais décidé de te rendre chez elle pour le dîner. Tu dormirais toi dans ta confrérie mais tu voulais pas laisser ta meilleure amie seule. Nina n'était pas là ce soir là en plus et puis tout moyen était bon pour t'incruster chez ta brunette préférée. Une soirée fille avec ton amie d'enfance, à boire du vin, discuter de vos vies compliquées, de ses histoires de coeur avec le vice président eliot et toi de tes histoires de jambes en l'air, voilà qu'il y avait de quoi s'occuper. Comme toujours tu passas un excellent moment. Beaucoup de rire résonnèrent dans son appartement. Des souvenirs de votre enfance fit surface une énième fois et tu avais le sourire jusqu'aux oreilles quand tu lui fis un bisous sur la joue pour lui souhaiter une bonne nuit. Le campus était pas bien loin, tu prévoyais d'appeler un uber donc tu allumas ton application sur ton téléphone tandis que tu descendais les marches, une à une, lentement, pour rejoindre le rez de chaussé. C'était calme, les gens étaient tous au chaud chez eux, tranquillement installés devant leur télé ou bien déjà sous leurs draps. Tu pouvais entendre une mouche voler tellement c'était apaisant. Un peu trop d'ailleurs. Jusqu'à que ce soit plus le cas. Sans vraiment savoir ce qu'était ce bruit, le silence n'avait plus lieu d'être. Tu relevas la tête de ton smartphone pour pousser la porte du bâtiment et sortir à l'extérieur quand tu vis au loin, deux trois bâtiments après celui de Lucky, que des hommes étaient en train de tabasser un autre homme. Cinq contre un, tu devrais ça plus que moche. C'était lâche et faible de s'en prendre à une personne quand on est plusieurs. Tellement plus simple de faire les forts quand l'on est en supériorité comparé à notre victime. Tu étais une belle garce, tu aimais écraser les gens que tu n'appréciais pas pour un sous, mais tu avais le mérite de le faire seule. Tes victimes tu t'en occupais à ta façon et sans aucune aide. Heeeeeeeeee te mis tu à crier pour faire entendre ta présence à ces brutes. Tu avais pas réfléchi, tu avais crié et c'était stupide car soit ils allaient fuir, soit ils allaient s'en prendre à toi aussi. S'ils avaient aucune pitié pour attaquer un homme sans défense, ils pouvaient en avoir aucune pour une simple femme. C'était limite suicidaire ce que tu venais de faire, mais il n'était pas question que tu tournes la tête, que tu fasses comme si de rien n'était et que tu laisses passer ça. Tu t'avanças vers les six hommes et quand les cinq brutes se mirent à courir, tu accéléras le pas. Dieu merci pour toi, ils avaient préféré s'enfuir que te donner le même sort ou pire... Tu te mis à courir toi aussi vers l'homme qui était au sol, te doutant aucunement de sur qui tu allais tomber. A la hauteur du jeune homme, celui ci recroquevillé sur lui même, tu te mets à genoux et de tes deux mains tu l'aides pour qu'il s'allonge sur le dos. Dans un premier temps tu ne fais pas attention à son visage parce que tu sens juste ton coeur qui bat à une allure affolante. T'es légèrement paniquée parce que ce mec il est bien amoché, que vous êtes en pleine ruelle et qu'ils peuvent revenir à tout moment. Il a du sang sur le visage, des hématomes et quand tu entends ton surnom sortir de sa bouche, tu te figes. Cette voix tu la reconnais et cela même si elle est affaiblie. Ton visage se rapproche de l'homme au sol pour alors y reconnaître le visage d'Alekseï. Ton coeur se met à battre que plus vite. T'es loin d'être super proche avec lui, mais vous l'êtes suffisamment pour que ceci te touche, t'atteigne. Ton bras gauche passe derrière sa nuque pour relever son visage, tandis que le bras droit se dépose sur son épaule gauche. Pour une fois tu es douce, calme et silencieuse. Pour une fois la Ashleigh voltaïque, séductrice et au tempérament de feu a disparu. Tu peux te relever ? lui demandes tu d'une voix posée. Appuie toi sur moi rajoutes tu pour l'inciter à se mettre sur ses jambes. Vous ne pouvez pas rester ici, c'est bien trop dangereux, pour lui, comme pour toi. Ton regard se déloge de son visage pour regarder autour de vous. Tu reconnais les lieux, c'est là où il vit et tu n'avais jamais fait attention au fait que c'était non loin de chez ta meilleure amie. Donne moi tes clés et ton code. Tu comptes le ramener chez lui et surement pas le laisser dans ce piteux état. Ton regard à nouveau sur le russe, tu l'entraînes avec toi pour qu'il remonte et tu lui passes son bras droit autour de ta nuque.


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hj : thaaaaaaaanks  I would like to hate you but I need you ♣ Ashleigh 3997999705 j'aime le titre  I would like to hate you but I need you ♣ Ashleigh 166564858
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Elle ne t'a pas reconnu, tu le sens, tu le vois. Ton visage maculé de sang ne lui permet pas de reconnaître cette bouche qu'elle embrasse si souvent. Ce n'est que lorsque que tu prononces son prénom, d'une voix presque inaudible, que son expression se transforme soudain. Enfin, ses yeux s’écarquillent et ses mains serrent leur emprise sur tes épaules. Fidèle à elle-même, elle ne laisse transparaître aucune forme de panique, restant aussi calme que possible et étant ainsi capable d'apaiser n'importe lequel des feux. Tu aimerais, mais tu n'as pas la force de lui répondre. Tes côtes te font un mal de chien et tu peine à te redresser malgré les bras de la blonde qui t'enserrent. Elle te tutoie, c'est la première fois. Même dans un état second tu remarques ce détail qui d'ordinaire t'aurait empli de satisfaction. Ce rapprochement te plaît bien.
Sans un mot mais avec de nombreux râles de souffrance, tu passes ton bras autour de ses épaules, te hissant ainsi sur tes deux jambes. Ta tête tourne, tu ne vois toujours que des ombres mais la chaleur du son corps est rassurant. Tu fouilles difficilement dans une de tes poches et lui tend les clefs de l'appartement. « 0313 », le code de la grande porte qui garde l'immeuble dans lequel tu habites. Tu es heureux qu'elle soit là, qu'elle soit arrivée à temps sans quoi tu ne serais peut-être déjà plus de ce monde. Seulement, tu aurais mille fois préféré qu'elle n'assiste pas à ça, qu'elle ne se mêle pas malgré elle de cette sombre affaire. Elle va forcément se poser des questions auxquelles tu n'as aucune envie de répondre. Faisant de ton mieux pour ne pas t'écraser sur elle, vous bénissez l'ingénieur qui a décidé qu'un ascendeur se trouverait dans le hall de cet immeuble. Elle a de la force, tu n'en doutes pas, mais ton corps est large et lourd, bien trop pour une demoiselle de son gabarit. Non sans mal, vous atteignez l'appartement qui est le tiens. Un peu débordée par ton poids, Ashleigh a du mal à libérer une de ses mains pour ouvrir la porte mais elle y parvient tout de même. Une fois à l'intérieur, elle te dépose doucement sur le canapé, beaucoup plus proche que la chambre, et part fouiner quelques minutes à la recherche de n'importe quel objet pouvant lui servir à nettoyer tout ça. « Dans la salle de bain, troisième tiroir », il s'agissait de l'emplacement de tes sets de premiers secours ainsi que ton matériel de suture. Tu en avais toujours, au cas où, tu es du genre à attirer les ennuis alors mieux vaut être prévoyant. Et puis, tu sais qu'elle connait les lieux pour y être venue plusieurs fois. Ta voix est encore fébrile mais tu fais de ton mieux pour ne pas laisser la jolie blonde se débrouiller seule. Lorsqu'elle revient vers toi, tu la suis du regard, « tu n'aurais pas du passer par là » soufflas-tu difficilement, ton habituelle intonation autoritaire toujours présente. Tu lui es reconnaissant de s'être arrêtée, d'avoir prit l'initiative de t'aider mais on ne chasse pas le naturel aussi facilement.
 

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Ça caractérise assez bien leur relation actuelle je trouve  I would like to hate you but I need you ♣ Ashleigh 1153642411
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Tu peux être une vraie garce avec certaines personnes comme avec ta soeur par exemple, mais tu ne peux pas accepter de voir quelqu'un se faire tabasser sans lui venir en aide. C'est impossible que tu fasses l'aveugle et que tu continues ton chemin, alors tu cries pour marquer ta présence aux brutes qui s'acharnent sur cet homme au sol. Tu veux les faire fuir, leur montrer qu'il y a un témoin et qu'il vaut mieux pour eux qu'ils s'en aillent avant que tu ne vois leur visage, avant que tu puisses donner leur description physique à la police quand celle ci sera avertie. Tu ne penses pas une seconde que ça peut se retourner contre toi, qu'ils peuvent t'attaquer aussi. Tu penses rarement aux conséquences de tes actes en fait et là en est la preuve. Tu fonces tête baissée dans le mur, mais pour la bonne cause, pour venir en aide à cet homme, cet inconnu qui est seul contre cinq. Ca fonctionne, ils s'enfuient et tes jambes te pressent vers la victime. Victime que tu ne reconnais pas dans un premier temps mais à qui tu viens en aide tout de même. Victime que tu reconnais finalement quand celle ci prononce ton surnom. Cette voix tu la reconnais et ce visage aussi quand tu t'y approches de plus près. C'est ce professeur à Harvard, celui avec qui t'as passé plus d'une nuit. Le même qui t'a foutu à la porte de son cours après que tu lui aies fait des avances. Et si tu avais été en colère après lui, après les paroles qu'il avait osé prononcé quand tu avais quitté le cours après l'avoir embrassé, c'était comme si tout ça n'existait plus. Tu avais pour habitude de le vouvoyer et sans même t'en rendre compte pour une fois tu le tutoyais. La situation faisait que tu le tutoyais. Un signe qui montrait probablement que tu tenais à lui plus que tu ne le pensais, mais un signe que tu ne fis absolument pas attention, trop préoccupée par son état et le mettre au chaud et surtout à l'abris. Tu l'entraînes donc pour essayer de le relever, tout en lui demandant ses clés et le code de la porte du bâtiment. Tu sais comment entrer par effraction chez quelqu'un, mais une porte d'un immeuble avec une ouverture électronique c'était bien plus compliqué et pas dans tes cordes. Il pèse bien plus que toi et tes soixante kilos tout mouillés, mais tu peux le faire et puis il n'est pas non plus un poids mort. Malgré les coups qu'il a subit, il t'aide à tenir son poids pour ne pas vous faire écrouler au sol à deux. Tu tapes le code, la porte s'ouvrant et vous laissant glisser à l'intérieur de l'immeuble. Tu appels l'ascenseur et une fois devant la porte du russe, tu essayes tant bien que mal d'ouvrir la serrure. Chose pas facile avec le jeune homme appuyé sur toi, mais tu te débrouilles à merveille, presque comme si ce genre de situation t'arrivais souvent. Un coup de pieds pour fermer la porte de son appartement, tu le guides jusqu'au canapé. C'est le plus près et le plus simple. Tu fais attention en le déposant. T'es douce, très douce et c'est rare de te voir agir ainsi. Il est vraiment mal en point donc tu te diriges aussitôt vers la salle de bain à la recherche de n'importe quoi qui pourra désinfecter les plaies qu'il a. Tu entends sa voix qui t'indiques un tiroir. Il se doute parfaitement de ce que tu recherches et tu suis ses indications. Une chance que tu connais l'appartement, c'est bien plus simple pour t'en sortir et trouver ce qu'il faut. Tu attrapes donc le nécessaire, une petite trousse de secours avec de l'alcool, des cotons, une petite paire de ciseaux, des bandages, des pansements et bien encore des choses utiles, et tu reviens vers lui. A peine de retour, qu'il te fait une remarque, qui sonne presque comme un reproche. Je l'ai pas choisi et je ne savais pas que c'était toi si ça peut te soulager. Mine de rien ta voix était moins calme, moins douce que précédemment. Tu venais de lui épargner le pire et c'était tout ce qu'il avait à dire ? Tu te montrais donc un peu plus froide, peut être car tu n'appréciais pas le ton de sa voix, ni sa phrase. Tu te rendais toujours pas compte que tu le tutoyais. Un morceau de coton, tu versas quelques gouttes d'alcool dessus pour ensuite approcher ta main près de son visage. Ca va faire mal. Tu le mettais en garde même s'il s'en doutait, puis tes doigts vinrent tamponner doucement et délicatement les plaies sur son visage. Tu le voyais grimacer alors tu retires le coton pour ensuite redonner quelques appuies sur sa peau. Il souffrait c'est clair mais il devait passer par là pour que ça ne devienne pas pire. Pour un médecin il se doutait bien que c'était le prix a payer. Aucune parole ne sortirent de tes lèvres. Un silence troublant s'installa. L'appartement sonnait comme vide malgré votre présence. C'était perturbant et déstabilisant. Tu avais envie de casser ce silence, tu n'aimais pas ça les silences mais tu étais partagée entre deux feux. Tu avais envie d'être douce et de prendre soin de lui, tandis que de l'autre si tu l'ouvrais ça risquait d'être un règlement de compte au vu de ses dernières paroles ou bien un questionnement sur la raison de son état. Et tu savais que l'un comme l'autre n'était pas un bon sujet. Tu savais qu'il voudrait rien dire sur les raisons de ce cassage de gueule. Tu restas donc silencieuse, prenant juste soin de lui nettoyer tout ça. Posant ce premier coton sur la table, imbibant un second pour continuer à le soigner.


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Aussi rapide qu'efficace, Ashleigh revient vite à tes côtés afin de commencer les premiers soins. C'est lorsqu'elle t'adresse sa réponse que tu sens que sa voix a changée. La douceur et l'attention s'envolent pour laisser place à une intonation sur la défensive. Tu te rends comptes de l'agressivité dont tu as fais preuve à travers les mots que tu lui as adressés et tu clos tes yeux de culpabilité. Lorsque tu les rouvres, la jeune femme brandit un coton imbibé d'alcool juste devant tes yeux et tu fronces les sourcils, signe avant coureur de la douleur que tu allais recevoir. Malgré la non reconnaissance dont tu as fait preuve vis-à-vis d'elle, ses gestes sont contrôlés et délicat. Elle prend soin de faire les choses minutieusement et malgré tes grimaces et ton visage qui ne cesse de bouger, elle garde un professionnalisme à toute épreuve. Toi, grand et large slave, en train de te donner en spectacle pour un peu d'alcool qui picote sur tes joues ? Les yeux de nouveau fermés, tu imagines la scène et décides finalement de reprendre ton calme et de laisser l'étudiante faire. Tu infliges des douleurs bien pires que cela à tes patients, de quoi te plains-tu.
Un silence apaisant s'est installé entre vous. La pièce semble vide de toute âme mais il n'y a là aucune gène. Ne bougeant plus un cil, tes yeux regardent ceux concentrés d'Ashleigh. Le droit, puis le gauche, puis le droit. Tu ne sais lequel est le plus beau : les deux sûrement. De temps à autres, elle lève furtivement son regard, semblant perturbée bien plus que toi par ce silence soudain. Le premier coton étant gorgé de sang, tu regardes la jeune femme en déballer un second pour continuer son travail. « Excuses-moi Ash … Pour ma réflexion » souffles-tu d'une voix presque inaudible. Tu voulais voir revenir cette Ashleigh douce et attentionnée que tu avais put apercevoir quelques minutes plus tôt. Malgré vos nombreuses rencontres et entrevues, elle ne s'était jamais dévoilée sous cet angle là en ta présence. A cet instant, tu avais levé le drapeau blanc, cessant de faire la guère aux tourments qu'elle provoque en toi et admettant que ce soir, tu serais aussi docile qu'un agneau. « Je suis rassuré que ce soit toi qui soit passée par là » tentes-tu de te justifier, baissant ton visage vers le sol, encore gêné de ton agressivité passée alors qu'elle se dévouait à t'aider, « mais je voulais pas que tu vois ça ... », tu relèves tes yeux vers elle, des yeux inquiets « … ou plutôt qu'ils te voient ». Tu savais très bien qu'elle se posait des questions muettes sur le pourquoi ainsi que le comment de cette violente scène à laquelle elle venait d'assister. On ne tabasse pas un homme sans raison, surtout en ayant pour but de le faire taire à jamais. Si jamais lui venait l'idée de t'exposer ses interrogations, tu serais bien obligé de lui apporter quelques explications, tu en es bien conscient. Mais elle est là, indemne, et c'est ce qui compte. Tes yeux la supplie de faire revenir la Ashleigh que tu ne connaissais pas encore assez à ton goût, celle qui est douce et que tu découvres à peine. « Merci », d'être là, tu n'ajoutas pas ces trois derniers mots, mais ils résonnèrent dans ta tête. Que ce serait-il passé si elle n'avait pas décidé de passer par cette rue ce soir ?
 

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Alors que tu prends soin de lui, que tu le soignes du mieux que tu peux, que tu répares les blessures que ces brutes lui ont causés, il te fait un reproche avec une voix à lancer un froid sidéral. Tu le prends mal, clairement, et tu ne peux t'empêcher de le montrer. Sans même le vouloir tu lui réponds assez sèchement. Tu es là pour lui, tu lui as évité le pire et tout ce qu'il trouve à te dire c'est ceci ? Ca te déplait oui. Tu lui demandes pas de te dire merci, ni même de te rendre la pareil. Tu n'as pas fait cette bonne action pour avoir un retour mais juste car ça te semblait juste. Tu n'attends donc rien de lui, même pas un merci, mais tu n'attendais surtout pas une telle réaction. Tu te focalises donc sur les plaies qu'il a et sur ton rôle d'infirmière. Le coton s'imprègne du sang qu'il a sur le visage tout en le désinfectant. Tu te charges d'en prendre un autre et tu sens bien qu'en plus de ce silence pesant, il a son regard fixé sur toi. Tu évites de le regarder mais tu sens ses prunelles se poser sur ton visage et ça rend le silence encore plus lourd et pénible. Jusqu'à qu'il le brise. Et par des excuses. Ce qu'il t'interpelles en premier c'est la façon dont il t'appelle ; par ton surnom. Il l'a déjà fait juste avant mais cette fois il semble bien plus conscient que c'est toi sous ses yeux et que tout ceci est réel. Cette fois ça te surprend car tu n'es plus sous l'effet de l'angoisse de l'avoir trouvé en petits morceaux sur ce goudron. Tu y fais attention, sans trop même savoir pourquoi. Tu ne réponds rien, tu le fixes juste dans les yeux, tandis qu'il reprend. Ta main stop tout mouvement quand il s'explique. Il ne voulait pas que tu vois ça et ça pouvait se comprendre mais toi comme lui, vous ne l'aviez pas choisi. Tu avais été au bon endroit, au bon moment. Ou peut être que c'était au mauvais endroit, au mauvais moment. Peut importe, c'était comme ça et ça ne pouvait pas changer. Ton bras se pose sur tes cuisses, prenant une pause dans les soins de ton patient. Je ne pense pas qu'ils m'ont vu dis tu dans un premier temps pour le rassurer mais peut être te rassurer aussi. Puis son merci vient, accompagné de sa tête de chat potté. Même défiguré tu lui trouves du charme. Qui étaient ces types... ? oses tu finalement demandé. Tu sais au fond de toi qu'il vaut mieux que tu ne saches pas la réponse, que tu n'en saches pas plus tout court, mais c’est plus fort que toi. T'es curieuse et tu veux comprendre. Comprendre pourquoi cinq types s'en sont prit à lui. Quelle est la raison pour montrer autant d'acharnement envers un seul homme ? Ton regard se tourne vers son appartement. Un bel appartement, tu en conclus donc que ça ne doit pas être un problème d'argent sinon il ne vivrait pas ici. Qu'est ce que ça peut-il bien être d'autre ? Tu n'as aucune idée, aucune et t'aimes pas rester dans le flou. T'aimes pas ne pas aller au bout des choses, ne pas savoir ce qui se trame derrière tout ça. Tu veux y mettre le doigt dessus, quitte à en payer le prix. Un prix que tu ignores complètement. Puis tu reprends du service, tes doigts à nouveau se posent délicatement sur son visage.


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ASHLEIGH & ALEKSEÏ.

Les cotons défilent entre les doigts de la jeune femme sans sembler pouvoir s'arrêter, tout comme le sang chaud qui coule de ton nez inlassablement. Avec une patience d'ange, Ashleigh éponge ce qu'elle peut, comme elle peut. La grande croqueuse d'homme s'est transformée un instant en sainte au doigts de fée, effectuant son travail avec minutie et respect. Et avec cette éternelle manie de répondre aux gens comme si tout était de leur faute, tu avais tout gâché mais la l'incompréhension mêlée de colère que tu avais put lire dans ses yeux t'avaient immédiatement remit à ta place, comme un vilain enfant. Crier plus fort que toi, c'était la seule façon de te faire céder et ce soir, la jolie blonde n'avait pas eut besoin de crier très fort.
Lorsque tu lui fais par de ton inquiétude vis-à-vis de tes agresseurs, ses mouvements s'arrêtent et elle marque un temps d'arrêt. Viens-tu de lui faire peur ? Tu éprouves instantanément un regret de lui avoir confié cela, de la troubler peut-être inutilement. Tes lèvres se pincent et ton regard redoute les mots qui vont sortir de sa bouche. Tu lâches finalement un long soupir lorsqu'elle t'annonce qu'ils ne l'ont probablement pas vu. Elle essai probablement de te rassurer, mais tu préfères la croire sans poser de questions superflues. De toute manière, les choses étaient ainsi et il vous est impossible de retourner en arrière. Son regard planté dans le tien, ses yeux analysant chacune de tes réactions, elle te pose la question que tu redoutais quelques minutes auparavant. Tu te mets à tousser. Pas pour éviter de répondre mais parce que ta cage thoracique te fait un mal de chien. Tu tousses encore, tu as du mal à respirer et tu finis par attraper un morceau de coton pour venir le mettre devant ta bouche. Ton visage est déformé par la douleur, tu te diagnostiques une côte ou deux de cassées. Lorsque tu retires ta main de ton visage, du coin du l’œil tu aperçois que tu as craché un peu de sang mais rien d'alarmant. Une fois le calme revenu, tu reprends ton souffle et poses tes yeux sur Ashleigh qui attendait des réponses. « De vieilles connaissances de mon pays natal ... » lances-tu très vaguement, ta voix reprenant tout doucement de l'intensité. Tu évites un instants les billes bleues de l'étudiante, les tiennes se baladant se le sol et le matériel médical qui est y est étalé. Tes pupilles ne savent pas où se poser, errant partout où elles le pouvaient. Tu es dans un cul de sac, tu ne peux malheureusement pas effacer ce qu'à vu Ashleigh. Ta main gauche vient frotter lentement mais avec force ton front ainsi que tes cheveux. Tu réfléchis à la façon la plus sûre de lui répondre tout en la laissant loin de tous tes problèmes. « Écoutes … C'est compliqué, très compliqué. Je ne peux pas t'en parler, je ne veux pas te mêler à ça et je ne veux surtout pas qu'il t'arrive quoi que ce soit » essais-tu d'expliquer calmement, toujours sans la regarder. Soudain, tu sens ton téléphone vibrer dans ta poche. Tu hésites un instant mais finis tout de même par l'en sortir pour vérifier de l'urgence de ce message. Un numéro inconnu. De l'alphabet cyrillique. Tes sourcils se fronces pour finalement lire dans ta langue maternelle « Aussi blonde et belle qu'Anna. T'as intérêt d'obéir. Merci Voïnov ». Dans un élan de rage tu lances ton téléphone si fort qu'il vient s'écraser contre le mur sur ta droite, faisant tomber au sol le tableau qui y était accroché, « putain de merde ! ». Ton visage vient s'enfouir dans tes mains et la culpabilité fait bouillir en toi un sentiment de colère immense. Tu supplierais le bon Dieu si tu le pouvais. Pas elle, pas Ashleigh, s'il vous plaît.  
 

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Tu n'aurais pas imaginé une seconde qu'en sortant de chez Lucky, tu allais faire ta BA de la journée. Qui pouvait s'imaginer en train de voir un mec se faire tabasser par cinq personnes et devoir lui venir en aide ? C'était surement pas le genre de choses que la plupart des gens, voir tous, ont envie d'assister. Pourtant, c'était désormais ton cas. Sans que tu le veuilles, tu t'étais retrouvée dans cette position et c'était pas question que tu fasses comme si rien n'avait eut. Pensant que c''était d'abord un inconnu, tu avais quand même accouru pour le défendre et lui venir en aide. Un inconnu qui finalement c'était révélé être un visage familier. Très familier. La panique t'avais envahit en découvrant Aleksei dans cet état mais ce qui était plus important là, était de le mettre à l'abri. Tant bien que mal, tu l'avais fait monter à son appartement pour le déposer sur son canapé et jouer à l'infirmière. Qui l'aurait cru hein ? Toi en train de jouer à l'infirmière, étant douce comme un agneau ? C'était surprenant, ce côté de ta personnalité se voyant peu souvent, mais t'étais pas sans coeur non plus. Tu t'occupes donc du russe. Les cotons défilent sous tes doigts et sur son visage. Le sang coule toujours. Ils l'ont pas raté, vraiment pas. Si il se montre à nouveau froid avec un reproche, finalement l'atmosphère se détend à nouveau, et c'est plus fort que toi, cette question qui se perd dans tes pensées, vient alors se perdre sur tes lèvres. Qui sont ces hommes ? Tu ne crois pas que tout ceci est une coincidence. On ne s'en prend pas à un inconnu en étant cinq, derrière y avait surement un règlement de compte, aucun doute là dessus. Tu le regardes donc pour essayer de capter ce qui transpercera à travers ses yeux. A la place, il tousse. Il tousse encore et le sang qui sort de sa bouche tu l'as bien remarqué. Il est vraiment mal et ce ne sont pas tes petits soins qui vont améliorer grandement son état. Faut que tu ailles à l'hôpital lui dis tu ne te doutant aucunement qu'il n'en n'aura pas envie. Ce n'est pas juste une bagarre de rien du tout, tu es certaine qu'il a quelque chose de cassé et qu'il a même besoin de quelques points de suture. C'est alors qu'il t'apprend que ce sont des vieilles connaissances de son pays natal. Son regard est fuyant et tu te doutes encore plus à cet instant qu'il est plongé dans une histoire louche. Quelle genre d'histoire ? Tu ne sais pas. Et si tu devrais fuir, si tu devrais ne pas chercher à en savoir plus, ta curiosité est bien trop grande. Il tente une explication. Une pour te dire qu'il ne veut pas t'en parler, ni que tu sois mêlé à tout ça et encore moins qu'il t'arrive quelque chose. A cet instant, tu le sens mal. Tu sens encore plus que quelque chose ne tourne pas rond. Il est encore plus fuyant et pour qu'il dise de telles paroles c'est que ça doit être assez grave. Tu sens comme un courant d'air souffler dans ton dos et tu frisonnes légèrement. T'as pas peur pour toi, parce que tu ne penses pas vraiment au fait qu'ils voudraient s'en prendre à toi. T'as plus peur pour lui vu le pétrin dans lequel il est. Puis tu ressens qu'il veut être protecteur avec toi. Tu t'apprêtes à parler mais il prend son téléphone dans sa poche. Tu dis rien, tu retiens presque ta respiration. Tes yeux vagabondent du professeur à son téléphone, quand soudainement... l'objet en question vole contre un mur. Surprise, t'y attendant pas une seconde, tu sursautes en entendant le bruit du téléphone s'écrasant contre le mur pour venir tomber. Tu ne comprends pas ce qui lui arrive. Il paraît juste énervé, en colère et perdu. Sa tête est enfouie dans ses mains, tandis que ta main droite vient se poser sur son épaule gauche. Qu'est ce qui se passe ? Qu'est ce qu'il avait pu lire pour s'énerver de la sorte ? Si tu étais habituée à un Aleksei froid, distant et rude, c'était une autre facette que tu découvrais du médecin. Tes mains vinrent retirer les siennes de son visage pour ensuite lui relever la tête afin qu'il te regarde. Il semblait en détresse et tu n'aimais pas ça. Tu détestais voir quelqu'un à qui tu tiens dans un tel état. Que t'arrive t-il ? tu lui demandes avec une voix douce en plongeant ton regard dans le sien. Tu comprenais pas, tu comprenais plus rien. Cette soirée était décidément des plus étranges et prenait un drôle de tournant dans votre relation.


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❝ I would like to hate you
but I need you.

ASHLEIGH & ALEKSEÏ.

Les mots d'Ashleigh résonnent un instant dans ta tête. Tes yeux se plissent pour atténuer la douleur sans aucun succès. Hors de question de te rendre à l'hôpital en tant que patient et qui plus est, pour ce genre de blessure. Tu attirerais bien trop l'attention sur toi et tu ne veux surtout pas perdre ce poste qui est le tien, ce travail qui te tient tant à cœur. De toute façon, personne n'est mieux placé que toi pour savoir qu'une côte brisée, il n'y a rien à faire mis à part attendre que la douleur passe et que les os se soudent d'eux-même. Tu expires doucement avant de répondre aux inquiétudes de ton infirmière personnelle pour la soirée, « ça va aller, c'est rien » soupires-tu, la mâchoire crispée. Tu lui sera redevable. Tu lui est redevable même. Elle s'inquiète probablement pour toi malgré votre relation tendue ces derniers jours, malgré cette colère qui vous anime l'un et l'autre. Vous semblez avoir mit vos différents de côtés, au moins pour ce soir. Tu lis dans ses yeux qu'elle a conscience de tes blessures et tu essais d'adopter un comportement rassurant. S'il te fallait des points du suture, tu te les poserais toi-même, ce ne serait pas la première fois que tu t'adonnes à ce genre d'exercice. « J'ai la meilleure des infirmières non ? » tentes-tu de dédramatiser, laissant apparaître sur ton visage un léger sourire. L'humour, ce n'est pas vraiment ton fort, mais il y a des situations où cela s'impose, même pour toi. Quelques minutes, un téléphone ainsi qu'un cadre de détruit plus tard, tes mains se crispent sur ton front. Voilà que pour une histoire pas nette de drogue, d'argent et de règlements de comptes, Ashleigh se retrouve embarquée dans un torrent de violence dont elle n'a pas même conscience. Tu as senti son sursaut et à présent sa main sur ton épaule. Un contact étrangement apaisant mais pas assez pour faire taire les démons qui hurlent dans ton crâne. Tu respires vite et fort, ton tempérament slave a fait de toi un homme excessif qui s'emporte vite, surtout lorsqu'il s'agit de ses proches. Proches ? Vous ne l'étiez pas avant ce soir mais avec ce qu'il vient de se passer, la blonde va vite se rendre compte que votre récit ne va pas s'arrêter à une histoire de fesses. Et puis merde, avoues-le, tu t'y es attaché à cette étudiante aussi caractérielle que toi.
Doucement, les mains froides de la jeune femme viennent se poser sur ton visage afin que vos yeux puissent se retrouver. Tu es admiratif du calme dont elle fait preuve, du sang froid qu'elle essai désespérément de te transmettre. Ses questions sont évidentes et te voilà prit au piège dans un cul de sac. Ils l'ont vu, tu ne peux plus lui mentir. « J'ai ... », tu hésites un instant pour finalement reprendre d'une voix tremblante de colère, « fais des choses pas nettes dans ma vie ... ». Tu marques un arrêt, scrutant les yeux d'Ashleigh, tentant d'appréhender sa réaction, « et ils sont venus me le rappeler une dernière fois », tes yeux trahissent peu à peu une détresse mal dissimulée. Tu as peur pour elle bien plus que pour toi. Elle n'a rien demandé de tout cela et tu espères qu'elle ne te repousse pas. Dans un élan peu contrôlé, tu te redresses et vient plaquer ton dos contre le cuir du canapé. Tu repousses au maximum le moment de lui avouer la signification de ce message, tu souhaites la préserver même si cela te paraît peu réalisable. « Je ne veux pas que tu prennes peur, j'ai arrêté tout ça, je suis pas un criminel », inconsciemment, tes yeux la supplient de te te croire, de t'accepter ainsi, « mais ils n'ont pas eu ce qu'ils voulaient alors ils viennent le reprendre de force ». Tu parles d'argent mais également, et surtout, de vengeance. Ton père, cet influent monsieur Voïnov, dans ses magouilles diverses et variées les a arnaqués et t'y a mêlé, sans te prévenir. Dans un ultime espoir de la garder près de toi, tu te penches en avant, posant tes mains sur ses joues et plongeant ardemment tes yeux dans les siens, « crois-moi je t'en prie » murmures-tu, presque inaudible.   
 

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@Ashleigh H. Strauss
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Vu son état tu lui dis qu'il faudrait qu'il aille à l'hôpital. Là bas il aurait des meilleurs soins que ceux que tu lui donnes présentement. Là bas, il pourrait avoir des points de suture, car tu penses qu'il en a bien besoin. Cependant, t'es pas étonnée qu'il veuille pas. Le costaud qu'il est préfère surement souffrir et gérer ça de lui même que se rendre à l'hôpital. Sans compter que vu la situation, ceci n'est pas une simple bagarre et que se rendre dans un tel lieu ferait se poser beaucoup de questions à ses collègues de travail vu qu'il est médecin en plus d'être prof à Harvard. Tu ne l'obliges donc pas. Puis façon même en piteux état comme il est, tu n'arriverais pas à le traîner jusqu'à un hôpital à toi seule. C'était une bataille perdue d'avance. Sa remarque concernant le rôle que tu joues en cet instant, t'étire un léger sourire. Celui ci se fane aussitôt quand le jeune homme reçoit un message et que son téléphone finit dans le mur pour se décomposer en morceaux. A croire que tu venais de t'absenter, que tu avais dû quitter ton corps durant quelques minutes, parce que là tu comprenais pas ce qu'il venait de se passer. Pourquoi soudainement avait-il jeté son téléphone de la sorte ? D'où venait cette colère ? Tu l'avais vu en colère la dernière fois, quand tu avais osé le défier durant son cours devant tous tes camarades, mais c'était pas le même genre.Cette fois c'était plus intense. Il était comme désespéré et en détresse, se repliant sur lui. Tu étais paumée. Putain de soirée, mais tu savais te contrôlais et assez calmement tu déposas une main sur son épaule comme pour lui montrer ta présence. Tu voulais qu'il sache qu'il n'était pas seul, que t'étais là et que ça allait aller. Tu lui enlevas les mains de son visage pour faire remonter celui ci afin que vos regards se croisent. Tu comprends pas et tu veux comprendre. Tu veux savoir ce qui lui arrive, ce qui le met dans un tel état. Eclaire lui la lanterne Aleksei. Il parle enfin en admettant avoir fait des choses pas nettes dans sa vie. Tu bouges pas, tu l'écoutes juste. Ils sont venus lui rappeler ses mauvaises choses. Il est vague. Tu vois qu'il sait pas comment te dire les choses, qu'il cherche ses mots et ton regard lui dit de continuer. Tu veux en savoir plus puis pourquoi n'ose t-il pas ? Tu es si effrayante que ça ? Tu le fixes toujours, se posant contre le cuir de son canapé tandis qu'il essaye de te rassurer sur ces choses passées. Tu vois bien qu'il est peu fier de lui et que ce que tu vas penser compte pour lui, mais tu comprends toujours pas. Que sont ces choses peu nettes ? Rien n'est vraiment expliqué et il te manque beaucoup de morceaux du puzzle pour assembler tout ça et enfin voir l'image bien nette. Tu t'apprêtes à lui demander mais il se rapproche à nouveau de toi, venant à son tour poser ses mains sur ton visage. Tes yeux se plongent dans les siens. Vous êtes en parfaite symétrie. Je veux bien te croire mais... qu'as tu fait pour qu'ils reviennent ? Tu veux savoir car il te manque des bouts et t'en as besoin pour de plus être confuse. Tu peux me le dire, t'as rien à craindre. Parce que tu vas commencé à te faire des scénarios comme qu'il a tué quelqu'un peut être. Qu'il mette des mots sur tes questions et sur ces choses pas nettes. Tu veux des mots explicites, qui exprimeront la raison de pourquoi ces hommes étaient là pour lui. Que ce soit clair, net, précis. Pas de sous entendus ou de suppositions. La vérité, juste la vérité. Ton regard toujours dans le sien, tes yeux parlent pour toi. Dit moi que tu murmures. Toi aussi t'as fait des choses pas très belles dans ta vie. Surement pas aussi grave que lui, mais personne n'est parfait. Tout le monde fait des erreurs et tout le monde change. Son passé était son passé, t'avais rien à juger de ça. Il pouvait t'expliquer. Non, il devait car tu lâcherais pas l'affaire. Tu voulais savoir et tu ne partirais pas sans avoir des réponses.


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