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but I need you. ❞
ASHLEIGH & ALEKSEÏ.
Tu viens de passer ce qu'on appelle plus communément une bonne journée de merde. Entre l'hôpital et l'université, tu ne savais plus où donner de la tête car cette dernière est obscurcie par l'altercation que tu as eu avec Ashleigh il y a quelques jours de ça. La virer aussi sauvagement du cours n'avait peut-être pas été la meilleure des idées que tu puisses avoir mais entre ton ardent désir pour elle et ton envie irrépressible de t'éloigner de ses tentacules, tu étais perdu. Et cette désagréable sensation se traduit par une colère sans nom que tu peines à contrôler. Contrôle, c'est justement ce mot qu'avait employer l'étudiante, et à juste titre. Tu fulmines mais le feu qui passe au vert te sort de tes songes. Tu enlèves alors ton pieds du sol, faisant rugir ta moto. Tu sens le vent s’engouffrer dans ton col et étrangement, cette sensation te détend.
Quelques minutes plus tard, tu tournes la clef de ton bolide sur la place de parking qui t'est réservée. Sans précipitation, tu ôtes ton casque en le posant sur le réservoir et passe une main dans tes cheveux, luttant contre l'effet écrasé que donne cette protection à ta coupe. Tu t'affaires à rassembler tes affaires lorsque tu sens une main se saisir de ton épaule. Détestant par dessus tout les contacts humains inopinés, tu entreprends un volte face afin de faire savoir ton mécontentement au malheureux. Une douleur immense assaillie ton visage et tes mains heurtent le sol violemment. Tu portes rapidement tes doigts à tes lèvres et sent ce liquide chaud glisser sur ta peau. Tu viens sérieusement de recevoir une droite ? Tu lèves des yeux embués vers ton agresseur, ou plutôt tes agresseur. Ils sont cinq et leurs visages te sont malheureusement trop familiers. « Jusqu'à Boston ... » soufflas-tu. C'était une affirmation plutôt qu'une question car tu reconnaissais parfaitement ces visages slaves qui t'avait déjà fait le coup il y a quelques années de ça, le jour de ta rencontre avec Clay qui t'avait d'ailleurs sauvé la mise. Mais cette fois-ci, par d'australien en vue, tu es seul, absolument seul. Ta main empoignant fermement ta mâchoire qui te fait un mal de chien, tu te relèves avec prudence, fixant l'auteur de ce coup. Sans prévenir, tu lui assènes un coup sur la tempe, similaire à celui qu'il vient de t'infliger. Il tombe à terre, inconscient, mais ses quatre collaborateurs te jettent aussitôt au sol, ne te laissant aucune chance de te défendre. Tu encaisses les coups, il n'y a que ça à faire. Tu sens une douleur répétée sur l'ensemble de ton corps. A coups de pieds et de poings, tu entends tes os craquer. Les mains derrière la nuque et tes coudes protégeant ainsi ton visage, tu pries pour qu'ils ne s'acharnent pas assez pour qu'ils ne te cassent quelque chose. Prières inutiles puisque tu sais que leur intention est de te tuer.
Soudainement, les coups cessent et tu entends les quatre hommes déguerpirent en courant. Tu ouvres les yeux, encore au sol, et voit leurs ombres se défiler, leur cinquième complice dans les bras. Pourtant tu es vivant : tu sens tes doigts se mouvoir dans ta nuque, le sang chaud couler sur ton visage et cette douleur dans la poitrine. Derrière toi, tu entends des pas précipités se rapprocher. N'ayant plus la force de te défendre, sentant ta tête tourner, tu ne bouges pas. Deux mains te tirent de la position recroquevillée que tu as adopté pour t'allonger dos au sol. « Ash ? » demandes-tu dans un murmure étouffé. Tu ne sais pas si tu délires ou si il s'agit véritablement d'Ashleigh. Tu distingues à peine son visage mais tu reconnaîtrais entre mille ce carré blond.
Quelques minutes plus tard, tu tournes la clef de ton bolide sur la place de parking qui t'est réservée. Sans précipitation, tu ôtes ton casque en le posant sur le réservoir et passe une main dans tes cheveux, luttant contre l'effet écrasé que donne cette protection à ta coupe. Tu t'affaires à rassembler tes affaires lorsque tu sens une main se saisir de ton épaule. Détestant par dessus tout les contacts humains inopinés, tu entreprends un volte face afin de faire savoir ton mécontentement au malheureux. Une douleur immense assaillie ton visage et tes mains heurtent le sol violemment. Tu portes rapidement tes doigts à tes lèvres et sent ce liquide chaud glisser sur ta peau. Tu viens sérieusement de recevoir une droite ? Tu lèves des yeux embués vers ton agresseur, ou plutôt tes agresseur. Ils sont cinq et leurs visages te sont malheureusement trop familiers. « Jusqu'à Boston ... » soufflas-tu. C'était une affirmation plutôt qu'une question car tu reconnaissais parfaitement ces visages slaves qui t'avait déjà fait le coup il y a quelques années de ça, le jour de ta rencontre avec Clay qui t'avait d'ailleurs sauvé la mise. Mais cette fois-ci, par d'australien en vue, tu es seul, absolument seul. Ta main empoignant fermement ta mâchoire qui te fait un mal de chien, tu te relèves avec prudence, fixant l'auteur de ce coup. Sans prévenir, tu lui assènes un coup sur la tempe, similaire à celui qu'il vient de t'infliger. Il tombe à terre, inconscient, mais ses quatre collaborateurs te jettent aussitôt au sol, ne te laissant aucune chance de te défendre. Tu encaisses les coups, il n'y a que ça à faire. Tu sens une douleur répétée sur l'ensemble de ton corps. A coups de pieds et de poings, tu entends tes os craquer. Les mains derrière la nuque et tes coudes protégeant ainsi ton visage, tu pries pour qu'ils ne s'acharnent pas assez pour qu'ils ne te cassent quelque chose. Prières inutiles puisque tu sais que leur intention est de te tuer.
Soudainement, les coups cessent et tu entends les quatre hommes déguerpirent en courant. Tu ouvres les yeux, encore au sol, et voit leurs ombres se défiler, leur cinquième complice dans les bras. Pourtant tu es vivant : tu sens tes doigts se mouvoir dans ta nuque, le sang chaud couler sur ton visage et cette douleur dans la poitrine. Derrière toi, tu entends des pas précipités se rapprocher. N'ayant plus la force de te défendre, sentant ta tête tourner, tu ne bouges pas. Deux mains te tirent de la position recroquevillée que tu as adopté pour t'allonger dos au sol. « Ash ? » demandes-tu dans un murmure étouffé. Tu ne sais pas si tu délires ou si il s'agit véritablement d'Ashleigh. Tu distingues à peine son visage mais tu reconnaîtrais entre mille ce carré blond.
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@Ashleigh H. Strauss
Chose promise, chose due
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