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(fb) real or not real. (amare)

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lola & amare
aesthetic x soundtrack | Dans cet espace clos, elle suffoque. Elle s’énerve, elle a besoin d’espace. Adossée au mur de l’ascenseur, ses mains cèdent, laissant tomber ses affaires par terre. Un soupire s’échappe de ses lèvres avant d’avoir le souffle littéralement coupé. Lèvres emprisonnées, baiser volé. Cabine émotionnelle arrêtée, figée dans le temps. Malgré ses pensées, son esprit bouillonnant, elle agit, plus vite qu’elle ne l’aurait voulu, répondant à son baiser. Plaquée contre la paroi de la cabine, elle s’accroche à lui, avec cette ferme intention de ne pas le lâcher. Puis, elle n’en avait pas envie. Encore une fois, Lola se laisse guider par son désir, par ses envies, par l’instant présent. Réfléchir sera pour plus tard, ou pas. L’anglaise n’est pas du genre à faire des choses qu’elle sait qu’elle regrettera plus tard, non. Entourant ses épaules avec ses bras, elle se hisse sur la pointe des pieds, réduisant la différence de taille entre eux. Lèvres toujours scellées, un ballet fougueux, elle sent ses mains agripper sa taille. Son corps est collé au sien. Au fond, elle sait qu’elle pourrait craquer, pour cet inconnu, pour cet instant. Même si elle a l’impression de revivre près de lui, la vérité est autre, elle manque d’air, probablement lui aussi. Brisant le baiser, l’air emplit immédiatement ses poumons, pourtant sa respiration est calme, normale. Ses lèvres toujours près des siennes, elle plonge son regard dans le sien. Elle se rend compte qu’elle ne connait toujours pas son prénom. Et maintenant, elle ne veut plus que ce soit un inconnu, pas après ça. Non, c’est vrai, elle ne le lui a pas demandé, parce qu’elle n’y avait pas pensé, tout simplement. Elle sent son souffle, son murmure contre son visage, un léger sourire se dessine sur ses lèvres. Amare. « .Amare. murmure-t-elle, plus pour elle-même que pour autre chose. .c’est beau. » elle se mord les lèvres, un dernier regard pour ses lèvres et reprend sa hauteur, son regard se glisse le long de son torse. Qu’est-ce que tu me veux. lui demande-t-elle. Curiosité malsaine piquée à vive. Curiosité mise en suspens. Il ne sait pas. Et il n’a pas l’air de lui mentir. Elle déglutit difficilement, sentant ses joues virer au rouge lorsqu’il lui déclare qu’elle ne le laisse pas indifférent. Un rictus amusé au coin des lèvres, elle avoue que le contraire lui aurait étonnée. On n’embrasse pas de cette façon quand l’autre partie n’est pas intéressante. Elle souffle et soudain, un hoquet de surprise s’échappe de sa bouche lorsqu’il la prend par la taille, la plaquant au mur une nouvelle fois, sans pour autant être brusque. Instinctivement, elle passe ses bras autour de ses épaules, elle se mordille les lèvres lorsqu’il se cale entre ses jambes. Elle enroule ses jambes autour de ses hanches. Son cœur manque un battement lorsqu’il lui parle, le ton de sa voix la rend chose. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Encore heureux qu’il ne la force à rien faire. Son genre ? La prend-il pour une précieuse ? Pourtant, ses actes sont le contraire de ses paroles. Elle se pince les lèvres, plaquant ses mains autour de son cou, posant ses pouces au niveau de ses jugulaires. Après tout, quel était son style à elle ? Elle ne se l’était jamais demandée. Une chose est sûre, elle était encore vierge et autant le savoir, l’anglaise n’était pas du genre à idéalisée sa première fois comme les jeunes filles de son âge. Certes, elle n’avait jamais imaginé ce lieu et encore, faut-il qu’elle le fasse réellement. Les lèvres d’Amare se posent dans son cou et Lola ferme les yeux, passant une main dans les cheveux courts du jeune homme. Sa peau s’électrifie au contact de ses lèvres. Elle ouvre les yeux, le regard se posant sur le plafond de la cabine. Elle frissonne lorsqu’il dépose un baiser à la base de son cou. Elle parcourt la cabine de son regard, se posant sur un objet qui fait tic dans sa tête. Une caméra, de surveillance. Elle inspire profondément avant de souffler, tout doucement. Elle prend possession de son visage entre ses mains, parcourant son visage, ses traits de son regard, sa lèvre inférieur coincée entre ses dents avant de la lâcher. « .tu as raison. » elle resserre son étreinte autour de ses hanches avec ses jambes, se collant un peu plus avant de lui glisser à l’oreille, dans un murmure amusé. .ça aurait pût … si il n’y avait pas de caméra de sécurité. » elle se redresse, un sourire sur les lèvres. Toujours dans ses bras, elle hausse les épaules, fronçant son nez. Ses doigts dessinent les traits de son visage, jusqu’à poser son pouce sur ses lèvres qu’elle redemande. « .et je ne suis pas le genre de fille à me retrouver sur une vidéo de surveillance en train de faire ça. » souffle-t-elle en plongeant son regard dans le sien. Une seconde, deux secondes, trois secondes. Et elle y retourne, déposant ses lèvres une nouvelle fois sur les siennes.  
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dream life

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La douceur de sa peau, de ses lèvres, de son corps, elle est pourtant aussi fragile qu'une fleur aux yeux du jeune homme. Il n'a pas l'habitude d'être avec des filles plus jeune ou de son âge, il aime la maturité de l'âge, l'expérience, l'audace qui s'accompagne avec l'âge. Il aime ça, mais avec elle, il change d'avis. Sa fragilité, con côté encore un peu enfant, la peur dont elle fait preuve mais qu'elle surmonte parce qu'elle veut expérimenter ça avec lui. Ça le transporte, lui fait changer d'avis juste pour elle. Il sait que personne ne surmontera Romy, mais il a envie de connaître un peu plus Lola. C'est rare, inédit, mais réel. Il a envie de la connaître car elle a l'air de réserver beaucoup plus de chose que l'on pourrait croire derrière ses longs cheveux bruns et son sourire mutin. Elle a l'air d'être de celle qui cachent des secrets avec un air angélique. De celle que l'on ne soupçonne pas la moitié de sa vie mais qui est pleine de ressources. Parce qu'il faut le dire, elle a l'air différente. Elle l'embrasse, dans cet ascenseur, dans cette cage argenté, sans la moindre retenue, sans la moindre question. Elle ne connaît même pas son nom, elle ne sait pas s'il est un serial killeur ou un violeur en série, elle l'embrasse comme si son existence en dépendait. Et lui-même n'est pas en reste. Il respire à travers elle, suffoquant lorsque la pression devient trop importante. Lorsque son corps le rappelle à l’ordre, que le désir devient trop fort et qu’il doit ainsi ralentir le rythme au risque de la blesser. Il n’a jamais été ainsi avant. Il s’en fiche en règle général des sentiments de l’autre, de leur émotions, leur envie ou leur désir. Il assouvit le sien et puis c’est tout. Pourtant, lorsqu’il prend le temps de satisfaire l’autre, il est doué. Particulièrement doué. Au point qu’elles en redemandent encore et encore. L’air vint à leur manqué et se détachant avec regret, ils restent tout de même proche l’un de l’autre. Amare en veut plus, il en veut toujours plus. C’est un gourmand, une personne animé par une passion brûlante. Elle finit par lui demandé son nom et il répond avec un sourire. « Merci. C’est exactement que ce que ça veut dire. » Il sourit légèrement. C’est tellement impensable que son propre prénom veuille dire « beau ». Sérieusement, comment sa mère a-t-elle trouvé cette idée ? Il sait bien que sa mère est éthiopienne, mais jamais il n’aurait nommé un potentiel enfant ainsi ne sachant pas la tête de l’enfant dans le futur. Mais bon, sa mère ne s’était pas trompé sur lui vu sa carrière montante. Il finit par laisser doucement la jeune femme, la laissant reprendre sa taille normale. Toujours accolée à la paroi froide de la cage d’aluminium, il baisse le regard, la voyant si petite mais si farouche dans son regard brillant. Les deux s’affrontent du regard, il lui avoue qu’il ne sait absolument pas ce qu’il lui veut. Il la veut juste elle. Elle et le mystère qu’elle représente. Craquant littéralement, il la hisse sur la paroi argenté, la laissant enrouler ses jambes autours de lui, la plaquant littéralement contre lui. Il ne faut pas être un génie pour comprendre qu’Amare aurait volontiers fait une petite séance dans l’ascenseur. Maintenant. Sa voix suave le dit pour lui, son corps réponds au monde. Il embrasse le cou de la jeune femme, laissant ses lèvres pleines glisser sur sa peau. Il caresse sa peau de ses lèvres, laissant un souffle chaud dans son passage, la faisant frémir au fur et à mesure. Elle a ses bras autours de son cou, il tient ses cuisses fermement pour ne pas la laisser tomber. Il évite ses lèvres afin de ne pas les user. Il veut garder la jeune femme dans un milieu sécurisé, qu’elle ne se sente obligée à rien à moins qu’elle ne le veuille.  Il sent alors la main de la jeune femme dans ses boucles brunes. Ses boucles bien serrées qu’il a hérité de sa chère mère et qu’il adore. Si elle les tire, c’est mort, il ne répond plus de rien. Il la sent frémir sur lui, frissonnant de plaisir ou d’appréhension. Il ne sait pas, mais en tout cas, il a envie de la faire sienne. Et elle le surprend. Prenant le visage du jeune homme entre ses mains, elle se rapproche de lui et lui glisse quelques mots à l’oreille. « Caméras ? » S’il y avait bien une chose que son agent lui avait demandé : pas de sex tape Amare, c’est de mauvais goûts. Alors les caméras seront pour plus tard. Les doigts fins de la jeune femme dessinent le contours de son visage avant de se poser sur ses lèvres. « Je pense bien. » qu’il lui réponds, la regardant droit dans les yeux. Dans cet ascenseur en pleine descente, leur désir pour l’autre est impossible à contenir. Elle plonge sur ses lèvres, les emprisonnant encore une fois. Impossible pour lui de rester stoïque. Impossible pour les deux de rompre leur étreinte. Elle resserre sa prise sur lui, lui laissant le souffle court. Il emprisonne ses lèvres dans un baiser ardent, ne voulant pas la laisser partir. Mais l’ascenseur arrive à destination, et le bruit des portes les interromps brusquement. Il se détache doucement d’elle. « Il est temps de revenir à la réalité, Lola. » Il colle son front contre le sien, ne voulant surtout pas la laisser partir. Mais il le fallait.


We meet, we talk and its was epic but the sun came up and reality sets in
 
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lola & amare
aesthetic x soundtrack | Le contact entre la paroi gelée de la cabine d’ascenseur et son dos, quand bien même la présence de son pull, la fait frissonner. Témoignant de l’embrasement de son corps au contact du jeune homme. Tout s’est passé trop vite, tout se chamboule, pourtant l’anglaise fonce tête baissée, à 200km/h. D’une simple invitation à une soirée d’inconnu, à cette agression sauvée par un inconnu, de ce baiser passionné, de ce mensonge, de ces baiser dans l’ascenseur avec ce sauveur encore inconnu, à une identité et à cette envie, ce désir de vouloir plus, elle cesse de réfléchir, du moins, pour l’instant. Elle agit et ça lui convient amplement. Accrochée dans ses bras tel un koala à sa branche, elle projette son corps un peu plus vers le sien, épousant la moindre parcelle corporelle qu’elle peut rencontrer. Elle sent la fermeté de la prise d’Amare autour de ses cuisses, la retenant de tomber. Ses bras autour de son cou, une de ses mains se perd dans ses boucles, elle se perd dans les baisers ardents qu’il dépose dans son cou. Ce souffle chaud qui la rend dingue. Il la rend dingue. Se mordant les lèvres, elle s’empêche de sortir le moindre son. Un sourire se dessine sur son visage, elle vient de comprendre l’allusion. Regardant autour d’elle, elle pose son regard sur l’une des choses qui casseront ce rêve. Alors qu’elle repose son regard sur lui, elle prend son visage entre ses mains, son regard se perdant dans l’abysse de ses prunelles, elle a du mal à s’en détaché. Oui, il porte bien son prénom. Amare. Beau. Parce qu’il est beau, il est envoutant. Le genre de mec qui vous fait rêver, même si vous ne savez rien d’eux. Amare, il ne ressemble pas à ses beaux garçons des séries télévisées, trop charmant, trop comme ci, trop comme ça. Non, il était bien plus. Il était réel et elle en voulait d’avantage. Ses doigts dessinent chacun de ses traits, comme si elle avait peur de ne pas s’en souvenir, comme si sa beauté allait se fané dans son esprit, devenant alors qu’un simple songe. Comme si il n’était qu’un rêve, ce genre de rêve qu’on voudrait rejouer encore et encore. Elle n’a jamais vécu ça, et ne le vivra probablement plus. Boston est une grande ville, il est très probable qu’ils ne se retrouvent plus une fois les portes de l’ascenseur ouvertes, et ça lui brise le cœur. Ça la tue de savoir qu’elle ne pourra probablement plus goûter à ses lèvres, ne plus entendre sa voix, cette voix qui la transporte, ne plus ressentir ce toucher, cette force dissimulé dans une prétention de sauvegarder. Parce qu’elle le sent, sous sa force, qu’il en a encore, que ce n’est qu’une façade. Elle rompt le contact visuel, taquine, elle s’approche de son oreille afin de lui prévenir de la présence de cette caméra. Il parait surprit, ce qui agrandit son sourire. Son cœur manque un raté lorsqu’il approuve ses paroles. L’un comme l’autre ne sont pas prêt pour ce genre de choses. Ses pouces sur ses lèvres, elle replonge une nouvelle fois dans son regard, sombre et désireux. Il la désire, elle le sait, tout comme elle le désire, elle aussi. Et elle se savait parfaitement capable de craquer, de succomber à ses désirs, capable de répondre à ceux d’Amare, de passer à l’acte avec ce mec, dans cet ascenseur. Elle ne se reconnait pas. Lola n’a jamais vécu d’histoires d’amour, Lola c’était toujours la fille qu’on considérait comme la bonne copine, toujours là pour aider et ayant essentiellement vécut sa scolarité dans une école de fille, elle n’était pas sujette aux invitations, elle n’est jamais allé plus loin qu’un baiser, surtout après … Encore marquée à vif, les mauvais souvenirs refont surfaces, lui foutant une claque violente dans la gueule et Lola combat le mal par le mal, cachant ses blessures les plus profondes dans ce baiser. Il répond, ardemment. Très vite, comme à chaque fois, l’air vient à manquer mais ce n’est pas ça qui rompt le baiser, c’est le signal. Le retour à la réalité. Le demain, l’après. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent sur le palier et Lola halète, essayant de reprendre une respiration convenable. Elle le sent se détacher d’elle. Le cœur qui se serre dans sa poitrine lui fait mal, elle se pince les lèvres, serrant la mâchoire lorsqu’il annonce la réalité. Son front se colle contre le sien, et elle ferme les yeux quelques secondes, essayant de s’imprégner de ce moment, de sa chaleur, de son odeur, de son toucher, de sa force, de lui. Avant d’ouvrir les yeux, les replongeant une dernière fois dans les siens. Ses pieds retouchent le sol et un poids s’installe sur les épaules, les regrets prennent formes en elle tandis qu’elle se penche pour récupérer son sac et sa veste. Les portes de l’ascenseur se referment, les replongeant dans une ambiance lourde. Elle se hisse sur la pointe des pieds, déposant un dernier baiser sur ses lèvres, un baiser chaste, timide, rien comparé aux autres avant d’appuyer sur le bouton de l’ascenseur, les portes s’ouvrent sur l’inconnu. Elle s’y engouffre sans se retourner, quittant l’immeuble sans un regard, le cœur affolé, les lèvres encore bouillonnantes de ses baisers.  

your fingertips set my skin on fire, your kiss made my heart
go up in flames, and all this heat, it made me feel so good
but in the end you left me burning down till i turned into cold ashes
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