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(fb) real or not real. (amare)

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aesthetic x soundtrack | Elle ne cesse de regarder le verre dans sa main droite. Lentement, de façon incessante, elle bouge le poignet, faisant tourner le liquide dans un sens, puis dans un autre. Elle s’emmerde, elle s’ennuie profondément. Elle soupire, d’ordinaire, elle ne refuse jamais une soirée, mais pour le coup ce n’était pas une bonne idée. Elle aime les soirées, les partys seulement lorsqu’elle connait du monde, pas quand elle est lâchée dans une mare d’inconnue où presque la moitié des mecs à essayer de lui toucher le cul ou l’entraîner autre part. Elle se pince les lèvres et se recule d’un coup, réflexe primitif, avant de recevoir une personne en pleine face. Son dos touche le mur derrière elle, lui arrachant une légère grimace de douleur. Son regard se pose sur la silhouette qui s’évapore dans la foule. La musique bat son plein, parfois couverte par des cris, des rires, des jurons. Elle est si forte qu’elle ne pourrait dire le nom du morceau, quand bien même, la plupart des musiques qu’ils ont passés n’est pas de son style. Pourtant, il est varié son style. La nuit est tombée sur Boston pourtant à en voir la soirée, ce n’est pas le cas. Elle croise les bras contre sa poitrine. Un dernier regard à son verre presque plein avant d’inspirer profondément, relevant son visage sur ces inconnus. Elle ne les connait ni d’Eve, ni d’Adam. Face à sa mine fermée, celle qui l’a invitée à la soirée, une blonde un peu trop californienne à son goût, lui agrippe le bras et lui parle, lui cri des mots dans les oreilles. Son réflexe est de fermée les yeux, décalant légèrement la tête, fuyant cette voix stridente qui résonne maintenant dans sa tête. Elle n’a rien compris à ce qu’elle lui a dit, mais se met soudainement à s’amuser sur place en guise de réponse. Faire semblant, c’est la clé de survie dans ce genre de soirée. Discrètement, elle dépose son verre, là où elle peut, sur le rebord de la fenêtre. Après tout, un verre de plus ou de moins, ça ne changera pas la donne le lendemain. Elle aimerait partir, s’éloigner, respirer un air plus frais que celui de la transpiration, de la cigarette et de l’alcool. Elle aimerait voir autre choses que des jeunes en train de faire les préliminaires sur le sofa devant tout le monde. Elle tourne la tête et regarde par la fenêtre, si Ael la voyait, il péterait une crise, sur elle et puis sur tout le monde. Elle se mord les lèvres, posant un coude sur le rebord, faisant tombé pas mal de verre. Un juron sort de ses lèvres, d’un accent typiquement anglais qui fait rire les personnes autour d’elle. Elle sourit gênée avant de s’accroupir, visage caché par ses cheveux ondulés. Elle ramasse les verres, les empiles, certains étaient pleins, dommage pour le sol. Elle se relève et quitte sa place, prenant la direction du bar pour jeter ce qu’elle a dans les mains. Ses doigts deviennent collants et elle grimace de dégoût. Devant ses expressions, elle essuie quelques murmures et regards haineux. Elle n’y prête pas attention, finalement, elle réussit à jeter les verres et se laver les mains à même le bar, le serveur étant trop occupé à draguer des filles, elle prend un gobelet et se serre de l’eau au robinet. Elle le boit d’une traite. Au final, elle boit trois verres d’eaux avant d’abandonner ce verre dans le levier. Elle retourne là où elle était, essayant de se frayer un chemin parmi le groupe de mecs. Sans le vouloir, l’anglaise bute dans le dos de quelqu’un, poussée par une fille aux éclats de rires inquiétants. Elle regarde la fille rejoindre ses amies, bras en l’air, démarche de pétasse. Elle lève les yeux aux ciels et se rend compte qu’elle est toujours collée à la silhouette, très vite elle se détache de lui et s’excuse rapidement. Les regards sont posés sur elle. Mal à l’aise. Elle baisse la tête et retourne dans son coin, très vite récupérée par la blonde et un jeune homme, plus vieux qu’elle. Lola ne comprend pas tout à fait. Elle n’a pas le temps de comprendre. Le blond l’agrippe soudainement par la taille, la collant à lui plus que de raisons. La brune se recule mais il tient fermement ses hanches qu’elle pourrait jurer faire un 90° en arrière avec son corps. Elle pose ses avant-bras sur son torse, l’empêchant de s’approcher de son visage. Les choses deviennent de plus en plus compliquées lorsqu’elle se rend compte qu’elle n’a aucune force. Il n’a plus toute sa tête, il sent le tabac à plein nez et elle est sûre que l’alcool coule dans ses veines. « .lâchez-moi. » gémit-elle en le repoussant, son accent anglais le fait rire. Un rire qui la fait frémir. Elle détourne la tête au bon moment, fermant les yeux lorsqu’elle sent son visage dans ses cheveux. Dégoûtée. Lorsqu’elle ouvre les yeux, son regard tombe dans le sien, celui qu’elle a bousculé.
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Faut pas s’étonner de le voir là. Il l’est toujours. Verre à la main, clope à la bouche, le jeune étudiant fraîchement arrivé à Harvard depuis à peine un mois profite avec plaisir de la vie étudiante et de ce qu’elle a à offrir. Regardant les jolies filles qui passent, n’hésitant pas à aller les aborder et faire preuve d’un charme irrésistible avec son beau sourire et ses yeux noirs ardents, il récoltait des numéros à la pelle et ne se sentait pas le moins du monde coupable de ses actes. Au contraire. User et user encore des femmes sans leur promettre la lune, c’est tout ce qu’il fait. Il est sûr qu’avant la fin de l’année, il aurait essayé une fille de chaque ethnie, il aurait baisé une femme mariée et aura fait un threesome. C’est un peu sa bucketlist et franchement, il a hâte de commencer à la remplir. Il se lève, finit son verre et va uriner tranquillement. Une fille passe devant lui alors qu’il sort des toilettes, une fille qu’il a déjà vu dans la soirée. Jolie, de longs cheveux bruns, petite, un minois adorable, trop sage mais pas trop. Elle ne le voit pas, mais lui oui. Et il aime savoir qu’elle est là avec ses grands yeux noisettes et son visage de poupée. Reprenant sa place dans le canapé, il est à côté d’une grande blonde complètement fake mais totalement baisable dans son état. Amare n’est pas soul, il est un peu vaporeux, un peu comme sur un nuage tout mou qui bascule d’un côté à un autre. N’aimant pas perdre ce contrôle unique qu’il a sur lui, surtout dans une soirée où n’importe quoi peut arriver, il va à la cuisine et se verse un verre d’eau, deux verres d’eau, trois, quatre, cinq. Il boit de l’eau pour évacuer plus vite l’alcool dans son sang, pour perdre ce sentiment de vertige qui le prend, pour reprendre ses esprits. Et en moins de dix minutes, il retourne aux toilettes et vide sa vessie comme si le robinet n’allait jamais finir de couler. Sans la moindre exagération, il a du rester bien cinq minutes à uriner, à faire des aller retours au lavabo pour retourner uriner encore une fois. Il a l’habitude. C’est le prix à payer pour rester conscient de ses actes. Il finit par ne plus rien avoir à expulser de son corps et une faim de loup s’empare de lui. Il a faim et ça se voit à son visage crispé. La faim a toujours été un problème pour lui. Il l’a connu et sait comment elle est et il ne veut plus jamais la ressentir encore. Il entend des jeunes hommes grogner, des bruits de timbales qui tombent au sol, une voix de femme à l’accent bien anglais, des rires. Il tourne à peine la tête bien trop concentré sur ce bol de chips qui l’appelle avec amour et loyauté. Il arrive à l’atteindre sur cette table basse délaissée et enfourne une bonne poignée. Mangeant avec délice les chips un peu molle mais qui le contente pour le moment. La table se trouvant près de la cuisine, il revoit la jeune femme qu’il avait vu plus tôt en sortant des toilettes. Ils ne font que se croiser, ce qui n’est pas étonnant vu le lieu où se passe la soirée. Sauf qu’elle le bouscule, à nouveau. A croire que le début de leur relation sera violent. Elle le regarde droit dans les yeux avant de repartir vers la foule, gênée. Et avec raison. La jeune femme s’éloigne mais il la suit du regard. Son mètre quatre vingt-dix lui permet de surplomber la foule et il la voit se faire empoigner par un blond un peu moche. Il voit bien qu’elle lutte pour sortir de son emprise, mais le jeune homme ne l’entend pas de cette oreille. Il dépose son bol de chips et se dirige vers le lieu de l’altercation. Ce n’est pas dans son habitude d’aller sauver les jeunes femmes en détresse, mais là, il ne fallait pas exagérer. Le blond allait clairement faire quelque chose qui serait regrettable si Amare n’intervenait pas. De suite. Elle lui demande la lâcher, le blond rit. A cause de son accent anglais ? Amare la voit fermer les yeux de peur, et il prend le blond par le cou. « Tu la lâches. Maintenant petit con. » Éloignant l’assaillant de la jeune femme, il la protège de son corps. Elle finit par ouvrir les yeux et plonge directement dans le sien. « Quelqu’un veut essayer de s’en prendre à ma copine encore ? » dit-il en se détachant de ses yeux et regardant les mecs la regarder comme des chacals en chaleur. « C’est même pas ta copine vieux. J’te connais et t’a récolté des numéros toute la soirée. » Amare sourit faiblement au petit brun boutonneux qui venait de lui adresser la parole. « Oh, dans ce cas, je crois que l’on doit faire une déclaration au monde, babe. » murmura-t-il à la jeune femme qu’il venait de sauver avant d’avancer ses lèvres près des siennes. « Embrasse moi. »
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aesthetic x soundtrack | Elle a une chance de merde. Sa vie était un mauvais timing continu. Emprisonnée dans les bras de cette brute, elle ferme les yeux quelques secondes, priant pour que ce ne soit un mauvais cauchemar, que tout ceci ne soit que le fruit de son imagination débordante. Pourtant, elle est bien réelle. L’odeur de l’alcool lui vrille les sens, l’obligeant à plisser le nez et à retenir ces hauts le cœur qui la prenne à mesure qu’il lui souffle dans le visage, le son de cette musique trop forte qui lui brise les tympans, cette force autour de son corps lui donne l’impression qu’elle se brise, la ramenant à cette triste réalité. Discrètement, les mains de cet assaillant se font baladeuses, violant les parcelles de peau de son bas du dos. Elle s’exprime, pour la première fois, bien sûr, l’effet n’est pas escompté et elle n’a que le rire plein de sarcasme de son agresseur. Elle serre les dents, se retenant du mieux qu’elle peut pour ne pas hurler. Hurler cette frustration qui envahit son petit être. Elle détourne la tête, déjà pour essayer de chercher de l’aide mais elle n’entrevoit que des visages rieurs, moqueurs avant de tomber sur son regard. Elle a envie de vomir, se maudissant d’être venue à une de ces soirées. Elle ferme les yeux et repousse une nouvelle fois son assaillant. Alors qu’elle a l’impression qu’elle sent sa force lui échapper, la prise autour de sa taille se dégage d’un coup, la libérant d’un poids. Une voix s’élève, elle ne comprend pas les sens des mots, trop occupée à essayer de récupérer un semblant de figure. L’idée de lui faire payer cet affront lui traverse cet esprit, du moins, elle le fera en cachette, n’ayant aucunement l’occasion d’y mêler son frère à cette histoire. Lorsqu’elle ouvre les yeux, une douleur réveille ses sens aux niveaux de ses paumes. Elle s’est tellement enfoncées les ongles dans sa chair, qu’elle l’a transpercée. Elle plonge son regard dans le sien. Silencieuse, elle ne fuit pas lorsqu’il parle. Avant de rompre le contact, la protégeant de son corps, elle tourne en boucle ses mots dans sa tête. Elle fronce légèrement les sourcils, le visage incliné sur le côté, loin des regards indiscret. Elle déglutit difficilement. La supercherie ne semble pas être prise au sérieux, mais apparemment, ce n’est pas à son goût. Elle inspire profondément, se mordant les lèvres. Lorsqu’il s’adresse de nouveau à elle, une nouvelle lueur prend place dans son regard. La mâchoire légèrement contractée, elle reprend acquisition de son propre corps. Leur montrer ? Faire une déclaration au monde ? Babe ? Elle ne met pas longtemps à comprendre le plan de cet inconnu. Plongeant son regard noisette, elle coince le bout de sa langue entre ses dents, tiquant légèrement des sourcils. Il rapprochait son visage, ses lèvres contre les siennes, avant de lui donner un ordre, une demande. Son regard dériva sur ses lèvres. Étrangement, une certaine volupté se fit ressentir au sein de son ventre. « . nous qui voulions rester discret. » murmure-t-elle, assez fort pour que ce public dérangé puisse l’entendre. Elle fit un pas vers lui, agrippant le bas de son visage en coupe de ses mains. « .tu ne me le diras pas, deux fois. » lâche-t-elle en se hissant sur la pointe des pieds, plaquant ses lèvres dans un baiser ardent, un baiser qui ne lui ressemble guère. Instinctivement, son corps épouse la force du sien. L’anglaise entoure ses épaules d’un de ses bras, s’accrochant à lui. La différence de taille est énorme, pourtant à cet instant, leurs corps se confondent parfaitement. Son frère la tuerait, c’est certain. Elle n’est même pas encore officiellement inscrite à Harvard, qu’elle se retrouve déjà dans une situation compliquée. De plus, ce n’est absolument pas dans ses habitudes d’embrasser un véritable inconnu.
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Il n’est pas du genre à jouer les chevaliers servants. Ce n’est pas un sauver ni un héros. C’est un petit con qui aime bien voir les gens souffrir un peu, qui s’amuse du malheur des autres, qui rit parfois à la tête des handicapés. Il est peu fréquentable, peu compréhensible. Se nourrissant de la douleur des autres, il s’amuse de la détresse du monde en compensation avec celle de son coeur. Et c’est mal. Si mal que parfois il a des remords, mais pas assez longtemps pour réellement les ressentir. Il s’en fout pas mal en vrai de faire mal. Il s’en fiche tout simplement. Ce n’est pas dans sa personnalité d’être emphatique, d’être sensible aux autres. Il voit pourtant la jeune femme se faire emprisonné dans une prison alcoolique dans les bras d’un mec qui a visiblement trop bu et il ne peut pas s’empêcher d’aller les séparer. Il fait le héros pour une fois. Il sauve au lieu de rire, il sépare au lieu d’encourager, il est le chevalier dans sa belle armure. Il prend la jeune femme des bras du mec un peu trop collant et la place derrière lui, menaçant par la même le mec dégueulasse. Il regarde la jeune femme, ne sachant même pas comment l’appeler mais se plongeant dans ses grands yeux noisettes. Il s’y perdit un peu si bien qu’il lui fit une proposition déguisé en sauvetage. Il accueillit ses paroles avec un sourire en coin et posa ses lèvres contre les siennes alors qu’elle prit son visage entre ses mains. Le baiser le plus explosif qu’il eut à ce jour. Ils se donnèrent complètement l’un à l’autre, ne laissant pas leur identité inconnu les séparer une seule seconde. Un accord parfait, une symbiose. Leurs corps s’assemblaient à la perfection, sans le moindre espace entre eux. Elle, sur la pointe des pieds, lui baisser pour pouvoir atteindre ses lèvres. Elle entoure son cou d’un bras, s’accrochant à lui comme une bouée de sauvetage. Il prend sa taille entre ses mains, la rapprochant encore de lui, ne laissant pas l’air passer entre eux. Mais leur poumons crient au secours et il doit se détacher de ses lèvres. Il n’eut pas envie de partir. C’était comme respirer à nouveau de l’embrasser. Il déposa un dernier baiser sur ses lèvres et regarda le jeune homme qui avait admirer le spectacle avec un plaisir malsain. « Alors, convaincu ? » dit-il en se mordant la lèvre. Il regarda la jeune femme toujours dans ses bras, ses mains serrant toujours avec fermeté ses hanches fines. Amare ne voulait surtout pas lâcher la petite brune. Elle était un souffle d’air pour lui à cette soirée. Il se pencha un peu, effleurant l’oreille de la jeune femme de ses lèvres et souffla un : « Ton prénom s’il te plait. » Il déposa un doux baiser sur sa tempe et reprit son combat. « Ok mec, c’est ta meuf. Mais elle devrait savoir que t’as récolté des numéros toute la soirée au moins. » Il regarda le petit con avec un sourcil relevé en mode : WTF. « Ok, chère Lola. Sache que c’est pour mon bizutage. Chez les Mather, ils aiment faire les choses en grand. » Ce n’était absolument pas son bizutage mais il devait bien mentir pour le bien de la petite qu’il tenait toujours dans ses bras. « Désolé si je t’ai délaissé ce soir ma chérie. » Absolument pas lui. Ça lui écorchait la bouche de sortir ses mots, mais bon, autant jouer le jeu jusqu’au bout non. « Bon, t’a fini de m’emmerder maintenant Rylan. Je peux partir avec ma copine maintenant ? J’ai d’autres projets pour la fin de la nuit, si tu vois ce que je veux dire. » Pas du tout un mensonge. Il aurait adoré la ramener dans son appart en ville pour profiter de son corps toute la nuit mais il doutait qu’elle était ce genre de fille. Elle avait l’air très sage, et son accent très anglais le confirmait un peu. Même s’il avait déjà rencontré des anglaises aux jambes aussi ouverte qu’une porte sans serrure.  
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aesthetic x soundtrack | Lola était souvent considérée comme un caméléon, s’adaptant à n’importe quelles situations, passant des larmes à un sourire franc, à une mine furieuse à celle d’une joueuse sensuelle. Lola était une poker face, elle mettait souvent quelques secondes à comprendre la situation avant d’y plonger tête baissé, subissant les conséquences bien plus tard. C’était, c’est et ce sera toujours son mode de survie dans cette société répressive. Alors elle n’avait pas réfléchit, elle avait plongée dans le plan que lui proposait subtilement cet homme qui venait de la sauver. Son visage apeuré s’était transformé en une expression bien plus mystérieuse, celle de la petite amie. Attrapant son visage dans ses mains, elle s’était empressée de sceller ses lèvres aux siennes, prouvant par a + b qu’elle était sa copine et que par conséquent, personne ne pouvait la toucher. Seulement, jamais elle ne se serait imaginée un tel baiser. Ardent, brûlant, emplit de désir et de fougue. On dit qu’on a qu’un seul grand amour dans une vie, les amours précédant ne sont que des amours de rodages, les amours suivant ne sont que des bandages. Est-ce la même chose pour les attirances physiques ? Est-ce qu’il existe un corps, quelque part dans le monde, qui s’accorde parfaitement avec le nôtre ? Comme une évidence ? Elle commençait à se le demander. Etrange, c’était étrange, explosif. Alors qu’elle se sent happé par le jeune homme, elle colle son corps au sien, épousant sa carrure. Elle n’avait jamais rien ressentit de tel, pas qu’elle ait un nombre impressionnant d’expériences, mais elle n’avait jamais éprouvé ce genre d’attirance, ce désir, cette envie inexplicable. Le temps semble s’arrêter autour d’elle, capturée par cette force. Elle en demande encore, elle refuse de quitter ses lèvres mais ses poumons explose, elle manque d’air. Le baiser se rompt et elle ressent une pointe de frustration, ouvrant ses yeux, elle pose son regard sur le visage de l’inconnu. Elle se pince les lèvres, soupirant. Son palpitant tambourine dans sa poitrine, qu’elle jurerait que le boum couvre la musique. Ses lèvres vinrent se poser sur les siennes, dans un dernier baiser. Lola laisse glisser ses mains sur son torse, reprenant un peu de convenance. Il agrippe toujours fermement ses hanches, elle se laisse faire, ne le repousse pas. Elle passe ses mains dans ses cheveux lissés, serrant la mâchoire, priant pour que l’assemblée avale leur mensonge. Il se penche vers lui, lui demande son prénom, son souffle lui chatouille la peau. « .Lola. » murmure-t-elle, fermant les yeux quelques secondes lorsqu’il embrasse sa tempe. Il reprend sa joute verbale alors qu’elle s’accroche à ses bras, le visage tourné vers le sol. Elle sait ses joues rosées. Elle écoute attentivement. Des numéros à la pelle ? Elle ne peut s’empêcher d’afficher une mine narquoise. L’excuse ne tarde pas à venir. Bizutage, bizut de la Mather House. Et là, elle se sent dans la merde. Bien qu’elle soit fraîchement débarquée et n’ayant encore pas postulée dans une des maisons, elle sait d’avance qu’elle postulera pour la Eliot House, afin de rejoindre son frère. Et elle sait parfaitement que les Eliot et les Mathers ne s’apprécient guères. Se mordant les lèvres, elle regarde la partie adverse, haussant les épaules d’un air détaché. Elle a soudainement envie d’être vulgaire, mais elle doit se contenir, garder ce flegme anglais bien connu. Sans s’en rendre compte, elle resserre sa prise autour de son bras tandis qu’elle attrape son tee-shirt de l’autre, elle inspire profondément, affichant un faux sourire de garce sur les lèvres. « .well, moi ça ne me dérange pas, bizutage oblige, tant que tu ne les rappelles pas. » lâche-t-elle en posant son regard sur son ‘petit-ami’ « .on devrait y aller. » lâche-t-elle en claquant sa langue contre son palais. Elle relâche sa prise et se détache de lui, à contre cœur. « .avant, j’ai juste quelque chose à faire. » annonce-t-elle, son sourire de pute s’effaçant en une mine beaucoup plus sombre. Elle s’avance vers ce blond, d’une démarche assurée, bras croisés contre son ventre, remontant légèrement sa poitrine. Si les regards pouvaient tuer. « .tu sais, œil pour œil. dents pour dents. son ton est dur, claquant, accompagnant le bruit de ses talons aiguilles sur le parquet. Elle attrape un verre plein avant de lui balancer à la gueule, elle ne lui laisse pas le temps de comprendre qu’elle lui fout un coup bien placé dans le tibia. Il perd l’équilibre et le cri rauque de douleur la fait doucement sourire. Elle se place à côté de lui, empoignant sa nuque, approchant son visage de son oreille. « .hm. humiliation pour humiliation. » son accent anglais claque dans ses tympans alors qu’elle entend un juron sortir de la bouche du jeune homme, elle s’écarte, attrape ses affaires non loin d’elle avant de dire. « .on se casse. » d’un accent on ne peut plus américain. « .tu vas le regretter petite bât* » sa voix lui parvient à ses oreilles, ce qui la fit s’arrêter dans sa course. S’il y avait bien une chose qu’elle détestait, c’était qu’on l’insulte de ce mot. Elle se retourne, fait volte-face un peu trop brusquement, ses cheveux volent à son mouvement. Elle claque sa langue frénétiquement contre son palais. Derrière cette apparence de fille de bonne famille, de fille à protéger, il n’en est rien. Les apparences sont trompeuses et rapidement, son point s’abat sur le visage du jeune homme. Nez en sang. « .t’aurais pas dû. » dit-elle rageusement. Les poings serrés.
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Faut pas se mentir, il a le coeur entre ses jambes. Il ne pense pas avec son cerveau mais avec ce qui lui procure du plaisir et pour le moment, la douce jeune femme qu’il tenait dans ses bras lui en procurait assez pour vouloir la garder contre lui encore un peu. Ils se fondaient dans le corps de l’autre, s’assemblant à la perfection. Il n’est pas étranger des coups d’un soir, il est même un éternel habitué, mais là, c’est différent. C’est un jeu, un beau dangereux et attirant qu’il veut jouer toute sa vie. Ce n’est que le début de l’année et le voilà qui déroge à une de ses règles. Sauver une demoiselle en détresse. Il n’est pas comme ça Amare, il ne sauve pas, il enfonce. Alors sauver la jeune femme est entièrement contre ses règles. Mais pour un baiser comme elle lui offre, il serait prêt à le refaire des centaines de fois. Son bras qui entoure sa nuque, la douceur sucrée de ses lèvres, son corps contre le sien, tout le stimule, tout l’excite. Tout serait parfait s’il pouvait juste l’emmener chez lui par la suite. Le désir entre eux est là, brûlant dans leur corps. Une harmonie évidente entre ses deux étrangers. Ils en oublieraient presque qu’ils sont en public et que tous les regards sont pointés sur eux. L’air dans leur poumons vient pourtant à devenir inexistant et ils doivent se séparer par peur d’asphyxie. Ç’eut été une belle mort pourtant. Ils ouvrent les yeux et plongent dans le regard de l’autre. Un sourire en coin, un dernier baiser sur ses lèvres et Amare court encore une fois à sa rescousse. Quelle tragédie. Elle laisse ses mains glisser sur son torse. Si elle pouvait aller plus bas, ça aurait été magnifique. Les mains d’Amare sont toujours sur ses hanches, l’emprisonnant dans une étreinte puissante. La brune n’a pas l’air d’y voir un quelconque inconvénient. Parfait. Lola. Lola. Elle s’appelle Lola, comme cette chanson qui était assez populaire en France il y a des années et qu’il a entendu lors de son voyage là bas lors d’une fashion week. Il dépose un baiser sur sa tempe et continue sur sa lancée avec le petit con qui voulait clairement la violer devant tout le monde. Pas question qu’il ne l’approche. L’idiot tente de le déstabiliser, mais on ne déstabilise pas le jeune homme si facilement. Il a la répartie facile et le sarcasme dans le sang. Elle semble se crisper un peu lorsqu’il parle de sa maison. Il ne manquait plus que ça, une Eliot. Il la voit se mordre les lèvres. Il a envie d’y replonger et de l’empêcher de se mordre ainsi. Elle se détend peu à peu, et resserre sa prise sur le bras du métisse et attrape son t-shirt. « T’inquiète pas. Elles ne sont pas toi. » Tellement différent du Amare normal, que ça en est écœurant. Mais le jeu lui plait, elle lui plait, il ne faut pas se mentir. Ils veulent alors partir et elle se sépare de lui. Un vide se fait ressentir mais il sourit en la voyant se diriger vers le blond dégueulasse. Les yeux noisettes de Lola deviennent plus sombre, plus menaçant. Ce petit côté méchante lui va à la perfection. Elle attrape alors un verre et le lui balance à la figure. Il eut à peine le temps de répliquer qu’elle lui fout un beau coup de pied dans le tibia, le laissant tomber à terre. Amare éclate de rire en voyant la scène. Elle sait se défendre la petite brune. Tellement sexy. Il aime une femme qui sait se défendre, qui sait répliquer et n’a pas peur de se faire mal ou se salir. Amare utilise les mots, elle a utilisé ses poings. C’est parfait tout ça. Elle empoigne la nuque du blond et lui murmure quelques mots à l’oreille. Elle repart alors, laissant le blond à terre et Amare mort de rire. Mais le blond n’a pas l’air d’avoir fini avec elle et sort un mot peu convenable pour une jeune femme comme Lola. Elle s’arrête net et repart à l’assaut. Son poings s’abat convenablement sur le nez du connard et le laisse en sang. « Ok, Lola. Il est temps qu’on parte avant que tu ne l’envois à l’hôpital. » Il prend la main de la jeune femme et l’éloigne du mec. « Bon, je vais quand même finir un peu le travail. » Il fout un coup de pieds dans l’estomac plein d’alcool et de graisse du mec et s’accroupit pour que le blond puisse l’entendre. « Maintenant Rylan, tu vas être bien gentil et arrêter de t’en prendre aux jeunes femmes qui ne sont clairement pas intéressée par toi et ton bide plein de bière frelatées. Sinon, je finirais le boulot que ma chère et tendre a commencé. » Tapotant la tête bien ronde du mec, il se relève et prend la main de Lola. « On y va bébé. » Sortant de l’appartement, il souriait comme un gamin en regardant Lola. « T’en cache encore des surprises comme ça Lola ? » lui demanda-t-il en poussant la porte pour la laisser passer devant lui. Appuyant sur le bouton de l’ascenseur, il retira sa main de la sienne. La mascarade est finie. Il est temps de repasser aux choses sérieuses.
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aesthetic x soundtrack | « .C’est clair. » lâche-t-elle, légèrement hautaine. Non, elle n’est définitivement pas comme toutes ses filles, elles ne sont pas elle. Elle ne les juge pas, elle n’est pas comme ça, pour autant, elle se permet de penser qu’entre elle et ces filles qui donnent leur numéro au premier venu il y a un gouffre, un néant. Rapidement, elle sent le besoin de quitter les lieux, d’en terminer avec eux. Elle se détache du jeune homme, mettant de côté ce manque soudain, pour aller se venger comme elle sait le faire. Du haut de son mètre soixante, Lola peut, à des moments, se montrer comme une vraie lionne, ou un pitbull. A voir. Prenant plaisir à lui jeter un verre à la gueule avant de lui assener un coup de pied dans le tibia, elle ressent une pointe de fierté. Et elle se demande pourquoi elle n’a pas réagi avant, pourquoi elle a voulu garder la manière douce alors qu’elle aurait pu lui décrocher un majestueux coup de genoux entre les jambes. D’ailleurs, entre le tibia et l’entre-jambe, elle avait hésité trois secondes, avant finalement, de jour la manière sobre. Elle savait déjà qu’elle allait se faire une image de merde avec ça. Un visage, un prénom. Et les choses pouvaient s’envenimer. Mais elle avait quelque chose que les autres n’avaient pas. Et ça, ça la faisait doucement sourire. Parce que si il y a des jours, elle ne se sentait pas de cette lignée, elle était bien heureuse de pouvoir compter sur la peur que pouvait inspirer son appartenance. Raudenfeld. Un nom qui pouvait en dire long. Certes, elle savait qu’elle allait en prendre plein la gueule si ça se savait mais les choses n’étaient rien comparés à ce qu’elle pouvait faire avec ça. Alors qu’elle lui murmure des mots cinglants à l’oreille, Lola quitte sa présence, le cœur lourd, tambourinant dans sa poitrine. Jusqu’à ce mot. Un mot qui la fait réagir au quart de tour. Une seconde plus tard, c’est son poing qu’elle abat sur sa figure, une rage silencieuse en son sein. Et ça, ce n’était rien comparé à ce qu’elle pouvait lui faire. Une main se resserre autour de la sienne, la ramenant à la réalité. L’envoyer à l’hôpital ? Impossible, c’était le paradis. Elle se laisse entrainer par le métisse, son regard haineux sur le blond, choqué par ce qu’il venait de se passer. Elle relâche sa main, alors qu’il s’occupe de l’achever. Laver son linge sale en public, ce n’était pas son goût, mais pour le coup, l’histoire avait été trop loin. Ramassant sa veste en cuir et son sac à main, elle ne jette aucun regard à ce mec. Non, il parcourt cette assemblée, choquée. Elle a le droit à plusieurs expressions. Fier, peut-être parce qu’au final, elle ne s’est pas laisser faire, brisant cette image de demoiselle en détresse, d’autre, plus dur, plus froid. Mais elle n’en démord pas, plongeant la tête la tête la première dans ces regards. L’inconnu lui reprit la main. Bébé, ce mot a le don de lui arracher un frisson. Elle se laisse entraîner, le regard droit. Une Raudenfeld, ne baisse jamais la tête. Elle sent son cœur tambouriner, elle entend les pulsions dans ses tempes. La mâchoire serrée, elle passe volontiers devant lui, sortant de cet appartement. Des surprises ? Un rictus hautain se dessine sur ses lèvres. La porte fermée, la musique parait moins présente, juste un fond sonore. Le regard rivé sur les portes de l’ascenseur. Il relâche sa main, ce qui a le don de lui faire relâcher la pression, elle souffle, bruyamment. « .effectivement, tu n’as rien vu. » lâche-t-elle en se prenant la tête entre ses mains, ébouriffant ses cheveux d’un geste enragé. Ses excès de colères étaient rares, les seuls qu’elle connaissait à l’heure actuelle étaient surtout avec sa mère, le moindre truc partait au clash avec elle. Et un, qu’elle avait verrouillé dans les profondeurs de son esprit. « .honnêtement, il aurait pu me traiter de pute, de traînée, de n’importe quelle connerie possible. mais ça, jamais. » elle se mord la lèvre inférieur. Non, pas ce mot, parce qu’au final, ce n’était pas une insulte, mais la vérité. Une vérité qu’elle avait encore du mal à accepter. Le ding de l’ascenseur annonçant sa présence s’exprime, les portes s’ouvrent. Elle s’engouffre dedans, après avoir attrapé la main du jeune homme pour qu’il la suive. « .j’ai besoin d’air. et vite. » murmure-t-elle en appuyant sur le dernier palier, le rez-de-chaussée. Ils ont dix étages à descendre. Elle se tourne complètement vers lui. « .au fait, je n’ai pas eu le temps de le faire. mais, merci. beaucoup. » fit-elle en se mordant une nouvelle fois les lèvres, reculant de quelques pas, s’accrochant à la barre de support de l’ascenseur, le regard baissé vers ses pieds. Elle lâche ses affaires au sol, à ses pieds.
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Elle est belle Lola. Elle a cette grâce rien qu’à elle, cet éclat dans ses yeux, ce sourire si particulier. Amare la regarde et se dit qu’il n’a jamais vu quelqu’un comme elle. Littéralement jamais. Elle est unique, comme chaque personne sur Terre en même temps. C’est dans notre diversité que l’on fait notre force, et Amare n’a jamais compris pourquoi tout le monde veut ressembler à quelqu’un d’autre. Pourquoi tuer ce qui fait votre force, votre puissance. Il ne comprend pas, vraiment pas. Il aime son unicité, il aime le fait de n’être qu’un être unique et particulier. Sa différence, il l’embrasse, l’aime et l’adore. Alors en voyant la jeune femme aussi unique que Lola, il se dit qu’au final, il existe encore des personnes comme lui, qui aiment leur différence et assument leur personnalité complètement. Il sent encore ses lèvres sur les siennes, la douceur de sa peau, la fermeté de son corps entre ses mains. Il aurait voulu prolonger le moment, et c’est rare pour un être si solitaire. Il veut retrouver le plaisir de son corps contre le sien, de cette union impossible à décrire. D’habitude, il n’aime pas l’étranger, c’est un mec d’habitude. Il n’aime pas être balloté de haut en bas et les deux années passées à l’étranger l’ont bien confirmer. Passez d’un pays à l’autre, d’une chambre à l’autre. Ne pas avoir de repère. Lui qui a passé sa vie à être dans un endroit puis un autre et encore un autre, il aime la stabilité que lui offre Boston. Un repère. Harlem aussi l’était, mais cette époque est finie. Il la regarde frapper le mec à terre et en rit. Il prend sa main et l’entraine au loin. Ils sont deux soldats ayant abattu l’ennemi, le mettant à terre sans aucuns remords. Ils fendent la foule, n’en ayant rien à faire des regards des autres. Il s’en fiche d’avoir une réputation Amare, il sait que de toute façon, son deuxième nom va le faire pour lui. Sabian a déjà bien tracé la voie, il allait juste faire la sienne en parallèle. Ils arrivent devant l’ascenseur et le coeur d’Amare est aussi calme que s’il venait de sortir d’une sieste réparatrice. Il en faut beaucoup plus pour l’emballer. Pour le rendre fou. Même si la jolie Lola lui faisait de l’effet, c’était sur et certains. « J’espère bien. J’aime être surpris. Même si personne n’arrive à le faire en règle générale. » lui répondit-il. Lola, elle ne connait même pas son prénom et pourtant, elle lui parle comme si elle le connaissait depuis toujours. Il ne va le lui dire, elle doit le demander. Lui mâcher le travail serait beaucoup trop facile. « Qui aime se faire traiter de la sorte en même temps. » Il l’avouera bien volontiers, il s’en fout qu’on le traite de bâtard. Il en est un. Ce n’est un secret pour personne que John a un bâtard de fils. Un métisse. Un fils avec la femme de chambre. Mais il s’en fiche Amare, parce que c’est sa mère qui compte et rien d’autre. Elle se mord la lèvre. Il a envie d’y retourner. De ressentir cette douceur bien particulière. L’ascenseur arrive, le sortant de ses rêveries perverses. Elle prend sa main et l’entraîne à l’intérieur, comme s’il n’allait pas la suivre. Appuyant sur le bouton du rez-de-chaussée, elle murmure quelques mots. Il les entend bien distinctement et est bien d’accord. L’ambiance surchauffée de l’appartement ne les avait pas quitté et cela se voyait. Lui est calme, mais elle est nerveuse. Elle se mord la lèvre, encore. Et le remercie. Il n’en peut plus. Elle ne le regarde pas, mais lui ne fait que ça. Fasciné. Les affaires de la petite brune tombe au sol. C’est un signe. Appuyant sur le bouton stop de l’ascenceur, il plonge sur ses lèvres encore une fois. Cette fois-ci, il ne demande pas. Il y va franco. Il a besoin de ressentir encore une fois cette sensation. D’avoir les mains de la jeune femme sur sa peau. De sentir son corps entre ses mains. S’il n’avait pas l’intime conviction qu’elle le repousserait, il l’aurait sauté dans l’ascenseur sans le moindre préliminaire. Mais il se retient. Par respect ? Peut-être. Par peur ? Sans doute pas. Il ne sait pas à vrai dire. Il a juste besoin de sentir ses lèvres contre les siennes. Ça lui suffit pour le moment. Il la plaque contre le mur, se retenant à la barre pour ne pas la serrer trop fort entre ses mains. Il ne veut pas la blesser, lui d’habitude si peu prudent et doux. Sa langue glisse à travers ses lèvres, tâtant la sienne. Une sensation de retour à la maison.
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aesthetic x soundtrack | La voix du jeune homme s’élève dans le couloir. J’espère bien. J’aime être surpris. Y a-t-il un sens à ses mots ? Une explication, une suite ? Elle n’en sait rien. Probablement pas. Sûrement des paroles en l’air, ça doit être ça. Elle s’efforce de ne pas y penser, se sachant capable de se monter le cerveau, s’imaginant des scénarios pour rien. Elle est comme ça, un peu naïve, un peu fleur bleu sur les bords, capable de monter des plans sur la comète pour si peu. Elle baisse ses pupilles abyssales pour regarder ses mains, elle tremble encore. Les mots du blond encore bien présent dans sa tête. Il n’a pas eu le temps de terminer le mot, elle ne lui en a pas laissé le temps. Pourtant, elle l’entend distinctement dans ses pensées. Bâtarde. Mot qui se répercute comme une balle de tennis contre les parois de son être. Oui, il aurait pu l’appeler d’une autre façon, elle aurait rien dit, ce serait barré, simplement. Mais ça, jamais. Elle resserre sa prise autour de ses affaires. « .effectivement, personne. » souffle-t-elle, les portes de l’ascenseur s’ouvrent sur leurs silhouettes. Sans réfléchir, elle lui attrape la main et l’embarque à sa suite. Pourquoi, elle n’en sait rien. À ce stade, elle préfère agir plutôt que penser. Appuyant sur le bouton rez-de-chaussée, ses pupilles abyssales s’agrippent sur cette surface plane, métallisée que représente la porte de l’ascenseur. Pourtant son regard est vide, complètement perdue dans ses pensées ; elle a l’impression de suffoquer, elle a besoin d’air, de sortir, de se calmer. Elle suffoque psychologiquement. Corporellement, ce besoin de respirer s’évertue à martyriser ses poumons. Elle respire trop vite, trop fort, trop, l’air emplit ses poumons, s’extirpent d’eux à une vitesse folle. Non, il n’a rien vu, et elle non plus à vrai dire. Ça l’effrayait, autant que ça l’intriguait, se découvrir dans un autre milieu, avec d’autre personnes. Parce qu’au final, elle avait toujours vécut dans sa tour d’ivoire, enfermée dans un monde scellé par les règles de ses géniteurs. Se tournant complètement vers cet inconnu, dont elle ne connaissait guère l’identité, elle prend le temps de le remercier, enfin. Parce qu’au final, si ça n’avait pas été lui, personne ne serait venu l’aider. Elle en était pleinement consciente. Reculant de quelques pas, elle s’appuie contre le mur. Elle est nerveuse, elle a besoin de se calmer et elle comptait bien sur la froideur de cette nuit pour calmer ses nerfs embrasés. Elle laisse tomber ses affaires au sol. D’ordinaire, elle ne laisse jamais rien la perturbé ainsi, non, elle est du genre à fermer la porte aux problèmes, les ignorer. Et elle se détestait de l’ampleur que ça prenait au fond d’elle. Déglutissant difficilement, le regard au sol, elle peine à se concentrer sur sa respiration, encore trop rapide à son goût. Mais elle n’a plus l’occasion de le faire. Respiration coupée. Surprise. Figée. Il vient de capturer ses lèvres par les siennes, dans un baiser inattendu. Elle ne s’y attendait pas, elle n’avait rien vu venir. Après tout, Lola était trop concentrée sur sa petite personne pour avoir remarqué le regard insistant qu’il lui lançait depuis le début. Plaquée, emprisonnée contre le mur et son corps, elle ferme les yeux, serrant ses poings. Alors qu’elle le sent plus présent près d’elle, la brune sent ses barrières lâchées. Sans s’en rendre compte, elle prend le visage de cet inconnu en coupe avec ses mains, collant son corps au sien ; le rapprochant un peu plus d’elle. Elle ne veut pas le lâcher, trop éprise de cette sensation, de ce désir grandissant en son sein. C’est intense, trop intense, ça l’effraie presque. Le cœur tambourinant dans sa poitrine, elle affronte cette intensité la tête la première. Elle glisse un de ses bras autour de son épaule, sans jamais quitter sa bouche. Sa langue joue avec la sienne, un sourire ne quitte pas ses lèvres. Plaquant une de ses mains entre ses omoplates, elle se hisse sur la pointe des pieds. Chaque parcelle de son corps s’embrasant à son contact. Elle caresse, nargue de ses doigts la peau de sa joue. Et puis, presque à contre cœur, elle rompt le baiser, ses lèvres toujours aussi proche de ses lèvres. « .je ne connais même pas ton prénom. » murmure-t-elle en plongeant ses prunelles dans les siennes. Elle reprend, doucement, sa taille initiale, faisant glisser ses mains sur son torse, penchant légèrement la tête sur le côté. « .qu’est-ce que tu me veux. » lâche-t-elle, sans réfléchir.
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Il n’a jamais fait ça. Sauver une inconnue. Se mettre en « danger » pour quelqu’un d’autre. Ce n’est pas lui, ce n’est pas dans sa nature. Alors quand il a tiré la jeune femme, quand il l’a protégé de cet enculé de Rylan, il n’a pas réfléchis. Il n’a pas pensé à l’après. Devant cet ascenseur, la regardant dans sa petite tenue très mignonne, il ne peut s’empêcher de penser à la suite, à l’après. A ce qu’ils allaient faire à présent, à leur lèvre qui s’étaient touchés, à leur corps qui se sont embrasés. Il n’a pas l’habitude. Alors, oui il embrasse souvent des inconnues, mais c’est pour les baiser et c’est tout. Là, il l’a fait pour la sauver, pour la sortir des griffes d’un mec louche et complètement beurré. Autrement dit, un véritable mystère pour lui. Discutant devant les portes métallisées, entendant toujours la musique qui sort de sous la porte de l’appartement qu’ils venaient de quitter, Amare appuya les paroles de Lola. Non, se faire traiter de bâtards n’est jamais plaisant. Lui, il s’y est habitué, il a accepté sa condition, son statut, mais Lola trouve ce mot insultant, et avec raison. Les portes grises s’ouvrent devant eux et elle le tire à l’intérieur. L’atmosphère devient lourde, chaude. Électrique. Elle appuie sur le bouton du rez-de-chaussée, s’appuyant contre la barre de fer. Elle se retient. Il la regarde. Il la matte, clairement. Son petit cul bien moulé dans son jean déchiré. Son pull beige qui sied son corps à la perfection. Ses talons de la même couleur qui allonge son corps. Ses cheveux bruns se balançant sur son dos. Il l’admire. Il l’a reluque. Il profite de la vue avec un grand plaisir. Mais il sait qu’il n’allait pas la ramener chez lui, parce qu’elle n’est pas du genre. Elle n’est pas ce genre de fille. Ça se voit à son regard, ça se voit à sa posture. Se faire sauter par le premier gars venu, définitivement pas elle. Elle se tourne, le laissant voir son visage tourmenté. Nerveux. Ses affaires tombent sur le sol et il ne se retient plus. Plongeant sur ses lèvres. Accro à la douceur de sa peau, au goût sucrée de sa bouche. Il retrouve la respiration. Il retrouve ce sentiment qui lui a manqué pour les dizaines de minutes à peine depuis leur dernier baiser. La plaquant sur la paroi glacée de la cage d’aluminium, il profite. Complètement. Les yeux fermés, il apprécie le baiser autant qu’elle. Elle place ses mains contre ses joues, prenant son visage en coupe, se collant à lui ostensiblement. Il sent les moindres parcelles de son corps sur lui. Ses seins, son ventre, ses jambes. Il se retient pour ne pas s’emballer, pour ne pas la brusquer. Avec elle, c’est différent. Pourquoi ? Aucunes idées. Aucunes putain d’idées. Mais ça l’est. Il ne la connait même pas, mais elle l’attire, le fascine. Le passionne. Il n’a jamais ressenti ça. Déjà, le fait même qu’il ne ressente quoi que ce soit est étrange. Leurs coeurs tambourinent dans leur cage thoracique, les laissant haletant, à la recherche d’oxygène alors qu’ils ne veulent pas se séparer de l’autre. Elle glisse son bras autours de ses épaules, se calant dans le creux de son cou, se rapprochant encore plus de lui. Elle est sur la pointe des pieds, il en est sur. Les mains du jeune homme accroche sa taille, il se retient de la hisser sur le mur afin d’avoir un meilleur angle d’attaque. La main de Lola arrive dans son dos, entre ses deux omoplates. Sa main douce caresse la peau rugueuse d’Amare, laissant une traînée chaude à son passage. Essayant avec difficulté de respirer, elle rompt le baiser, laissant ses lèvres à quelques millimètres de celle du jeune homme. « Tu ne me l’as pas demandé. » dit-il en souriant faiblement. « Amare. Je suis Amare. » qu’il murmure, essoufflé. Lola finit par revenir sur Terre, à revenir à sa taille initiale. La petite Lola. « Je ne sais pas. » Il répond honnêtement. Il ne sait pas. « Mais je sais que tu ne me laisses pas indifférent. » Vraiment pas. Il finit par craquer. Raffermissant sa prise sur la taille de la jeune femme, il la hisse sur le mur, se calant entre ses jambes, l’obligeant à l’entourer de ses jambes. « Je ne vais te forcer à rien. Je sais que ce n’est pas ton genre de faire ça dans un ascenseur et encore moins avec un mec que tu viens de rencontrer. » Il pose ses lèvres dans le cou de la jeune femme, les laissant glisser sur sa peau, respirant son parfum. « Mais je me dis que des baisers comme ceux que l’on vient d’avoir ne sont pas une mauvaise idée non ? » Il dépose un baiser à la base de son cou, entre son menton et ses seins. Laissant son souffle chaud lui donner la chair de poule.
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