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sorry boy, it's just little ol' me ▶ alekseï

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Immobile, tu contemples cet homme, ce beau russe qui s'avance dangereusement vers toi. Malgré le peu de vêtements qui te recouvraient, tu n'avais guère froid, bien au contraire. Tu n'as pas eu le temps d'inspirer que déjà, Alekseï s'était accaparé de tes lèvres alors que ton corps se mouvaient littéralement avec le sien. Tu frissonnes de plus belle lorsqu'il appose ses mains au creux de tes reins, longeant tes hanches pour finir par te soulever avec délicatesse. Tu te surprends même à apprécier les moindres gestes qu'il a à ton égard. Tu agrippes tes doigts à ses larges épaules mais ne rompt pas pour autant votre fougueux baiser. En quelques secondes, tu te retrouves assise à même son bureau, emprise d'un désir inconditionnel. Tout était-il joué pour autant ? Tu n'en savais rien. Il poursuit ses caresses, enserrant ton fessier de ses mains puissantes. Bon sang, il savait y faire, tu n'avais aucun doute là-dessus. Tu faisais de même avec les tiennes, tentant d'ôter sa blouse blanche avant qu'il ne rétracte ses lèvres, coupant à nouveau votre élan passionnel, te laissant presque sur ta fin. S'en suis alors un long échange de regard auquel tu ne peux malheureusement pas gagner. Ses yeux pétillent de malice tandis que les tiens se décalent pour contempler le tissu rouge qu'il te brandissait : ta robe. Tu l'aurais presque oubliée s'il ne te l'avais pas déposé dans tes mains encore engourdies par ce qu'il venait de se passer. Du coin de l’œil, tu aperçois le médecin bifurquer vers son bureau avant de finalement rabaisser ton regard sur le morceau de tissu qui gisait aux creux de tes paumes. Tu avais l'air bien conne assise sur ce bureau, dans cet ensemble en dentelle et bas brodés dont tu n'aurais pas pensé qu'il serait resté aussi longtemps sur toi. Merde alors, tout ça à cause d'un simple appel téléphonique ? C'était trop beau pour être vrai. « Je... » tu déglutis, feintant de chercher tes mots alors que tu te redresses, prenant un instant appui sur le rebord du bureau. Prenant le temps de la réflexion, tu le laisses contempler ton derrière, qu'il n'était pas prêt de ravoir. Néanmoins, il ne fallait pas que tu flanches. Il fallait que tu trouves quelque chose, un truc pour rattraper la bourde que tu avais commise. Son petit air de compétiteur hors pair t'agaçait monstrueusement mais qu'importe, tu devais poursuivre ta tactique. « Je n'aurai pas pensé qu'une banale conversation téléphonique puisse vous stopper... dans votre élan. » une fois sur pieds mais toujours dos à lui, tu pris soin de défroisser ta robe qu'il t'avait donné comme un vulgaire sac de pommes de terre. On voit bien qu'il n'avait plus la notion de l'argent, cet héritier. Tu déplies alors ta robe et finis par te couvrir avec, remontant machinalement la fermeture, comme pour lui prouver que le 'coup de la robe' que tu lui avais fait il y a quelques instants, prouvait un minimum que tu ne te jouais pas de lui. « J'aurai apprécié poursuivre. » enchaînes-tu d'une voix penaude, jouant à fond la carte de celle qui s'avère confuse. Ta tête blonde se balance doucement alors que tes yeux parcourent un instant les tableaux accrochés aux murs. Tu tentes de trouver une échappatoire à ton problème, de ne pas le laisser froissé bien que tu étais convaincue qu'il ne l'était pas mais... ça te faisait chier qu'il ne t'ait pas prise, là, à même ce foutu bureau. « Ça m'aurait beaucoup plu. » Tu enfonces davantage le clou, te découvrant une nouvelle passion pour la comédie. « Mais il faut croire que je n'en vaux pas la peine. Peut-être que je ne réponds pas suffisamment à vos critères de sélection. » rétorques-tu tout en haussant les épaules pour enfin lui faire face. Tu cherches un bref instant son regard, comme pour lui faire comprendre qu'il rate quelque chose, avant de détourner le tien, joueuse. Il t'interroge par la suite, te demandant si tu désires autre chose. Esquissant un doux sourire, tu t'avances vers le bureau sur lequel trônait ton sac à main : farfouillant dans celui-ci pour en ressortir ton porte-feuille duquel tu finis par brandir une carte, au-dessus de son pc. « Ma carte vitale, il vous la faut pour remplir mon putain de dossier je crois. » Tu ne mâches pas tes mots alors que ton regard se veut plus perçant. Une odeur de satisfaction plane dans l'air, tu peux déjà la sentir. « Et pendant que vous y êtes, un café noir ne serait pas de refus. » un nouveau sourire de complaisance se dessine sur tes lèvres alors que tu te rétractes. Pas de merci ni aucun autre signe de politesse qui te caractérise si bien, rien, tu te plaisais à jouer le rôle d'une femme difficile à cerner. Tu préfères déambuler quelques instants pieds nus, au beau milieu de la salle, avant de te diriger vers le banc d’auscultation pour y chausser tes escarpins. S'il pensait vraiment que tu allais céder la première à son petit jeu qui t'insupportait d'ailleurs au plus haut point, il pouvait se mettre le doigt dans l’œil.

@Alekseï G. Voïnov sorry boy, it's just little ol' me ▶ alekseï - Page 2 226457400
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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Assit à ton bureau, tu jubiles de satisfaction. Tu n'aurais pas pensé l'occasion se présenter aussi rapidement mais il faut croire que le destin fait bien les choses. Elle devait avoir la preuve qu'elle n'avait précisément pas le contrôle et c'était chose faite. Tes yeux se promènent toujours sur les broderies de son ensemble lorsqu'elle se lève finalement. Doucement et sans un bruit, ses pieds rejoignent le sol et elle entreprend de plisser sa robe. Tu l'observes attentivement et tu vois bien à travers son attitude qu'elle est en train de réfléchir à un nouvel angle d'attaque. En enfilant sa robe, elle commence alors à feindre la confusion ainsi que la déception. Elle est bonne comédienne, très bonne même, c'est indéniable et tu ne le nies même pas. Son cerveau bouillonne, ses méninges travaillent et pourtant, sur son visage se lie un calme paisible, une assurance déconcertante. Un élan d'agressivité prenant possession de ce frêle corps, elle te tend une carte puis finit par faire volte face afin de prendre place sur le banc pour enfiler ses escarpins.
Tu n'as pas prononcé un mot, laissant la journaliste extérioriser ses émotions. Ses petits doigts glissent sur ses bas afin d'enfiler son premier escarpin. Tes yeux se baladent sur ces jambes qui te vont tant envie et la désinvolture d'Eleanore, sont regain d'autorité, provoquent en toi un désir intense. Cela pouvait paraître bizarre mais étant un homme glacial, tu aimais les femmes ayant du répondant, capables de t'envoyer au diable. Et c'est ce dont la jeune femme venait de faire preuve. Ton sourire ne quittant plus tes lèvres, tu te lèves calmement, contournant une énième fois ce bureau qui prenait décidément bien trop de place. Elle est toujours affairée avec ses beaux talons lorsque, arrivé à sa hauteur, tu passes délicatement tes doigts sous son menton. Tu exerces une légère pression vers le ciel afin qu'elle lève son doux visage et plante ses yeux dans les tiens. « J'aime vous faire languir Mademoiselle Brimsey », ta voix est très calme, très tempérée, et les doigts de ton autre main viennent caresser la courbe de son cou puis de son épaule, « et il y a une raison à cela ». Tes yeux se posent sur ses lèvres et tu les dévorent avec une envie folle de recommencer ce langoureux baiser auquel vous vous étiez adonné un peu plus tôt, « je veux que vous ayez envie de moi, réellement, et pas seulement par intérêt ». Sur ces mots posés et délicatement choisis, ton visage se rapproche doucement du sien pour finalement lui voler un nouveau baiser qui se veut aussi passionné que le précédent. Tes deux mains viennent épouser les formes de sa taille afin que vos corps se rapprochent de nouveau. Vous vous retrouvez à présent dans la même position que sur le bureau, la robe en plus.
Par tes mots, tu voulais lui faire savoir que ses intentions étaient claires comme de l'eau de roche à tes yeux et que tu n'étais pas dupe. Maintenant que tu le lui avais dit, tu laisses tomber votre éternelle compétition pour aujourd'hui afin de profiter de cet instant si jamais elle souhaitait le prolonger. « Parce que moi, j'ai très envie de vous, en tant que femme et non journaliste » lui murmures-tu avant de déposer tes lèvres sur la peau de son cou. C'était risqué et tu le savais. Tu venais de la repousser pour finalement revenir de plus belle mais tu ne sais absolument quelle allait être la nature de sa réaction. Mais ses beaux yeux te faisait oublier son véritable but et tu te berçais d'illusion à croire qu'elle pourrait finalement aimer ton contact.
 

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@Eleanor S.-Brimsey :fear:
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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Encore et toujours ses yeux glissent sur ton torse à la recherche d'un indice, aussi infime soit-il. Tu préférerais que son attention soit focalisée sur ta personne, sur le moment intime que vous veniez de partager plutôt que ces vieilles balafres qui font à présent partie de toi. Tu es presque entièrement vêtu lorsqu'elle te remercie pour ton compliment, faisant de même en ce qui concerne ton propre souffle. Tu souris d'abord, tout en ne quittant pas des yeux tes doigts qui bataillent avec ses derniers boutons puis tu pouffes littéralement de rire à la suite de sa phrase qui insinue que tes habitudes sont bien plus sportives que les siennes. Croit-elle réellement que tu es un infatigable coureur de jupons ? Si c'est le cas, elle se trompe. Tu lui vole ce dernier fougueux baiser avant de répondre dans le plus grand des calmes « tu sais, je ne cherche pas à séduire pour coucher, c'est tout ce qu'il se passe avant puis après qui est bien plus intéressant ». Elle doit ôter de son esprit cette image bestiale qu'elle semblait avoir de toi car elle est terriblement erronée. Cette embrassade, cette spontanéité ne procure pas l'effet escompté puisque tu remarques d'ores et déjà que la journaliste a reprit cette mine professionnelle qu'elle arbore habituellement. Dissimulant ta déception, tu entreprends d'enfiler ta blouse.
Les yeux un instant ailleurs, tu entends cet agacement venant d'Eleanore. Tu te retournes pour assister à une scène assez comique : la jolie blonde menant un rude combat avec une fermeture éclaire. Le visage traduisant l'amusement, tu commences à t'approcher d'elle lorsqu'elle remarque ton regard et s'arrête dans son élan, replaçant sa crinière dorée afin de montrer un peu de dignité. Elle te rétorque avec malice qu'elle a peut-être bien eu ce qu'elle voulait. Tu ne réponds pas, te contentant d'un soubresaut d'épaules. Aussi charmante et intelligente soit-elle, ce n'est pas aujourd'hui qu'elle arriverait à lui faire croire qu'elle était venue exclusivement pour s'abandonner à toi. C'est finalement elle qui fait plusieurs pas dans ta direction pour venir poser avec tendresse sa main dans tes cheveux, les ébouriffant plus qu'ils ne l'étaient déjà. Tu feins le mécontentement comme un enfant le ferait face à un bouillon de légumes mais tu te laisses allègrement faire. Ses doigts glissent sur ta joue avant de s'évaporer, emportant avec eux la magie de ce cours instant. « Un fantasme ? Heureux de t'avoir servi à quelque chose, ce fut un plaisir » réponds-tu en riant. Tu ne savais pas si le fantasme en question portait sur le médecin, le bureau ou les deux à la fois mais cette remarque t'amusa beaucoup. Tes petits yeux verts se posèrent sur ces deux adorables fossettes qui se dessinèrent lorsque l'irlandaise se mit à sourire. Tu allais te perdre une nouvelle fois sur les délicieuses courbes de ses lèvres lorsque tu repris tes esprits. Voilà Voïnov qui ressent un sentiment de tendresse, c'est le monde à l'envers.
La jolie blondinette se tourne pour te demander de l'aide pour la troisième fois en ce qui concerne cette maudite fermeture. « La prochaine fois viens avec quelque chose de moins compliqué à enfiler » lui proposes-tu avec humour avant de poser tes doigts sur sa peau, refermant ainsi cette magnifique robe rouge et avec, tout l'amour que vous veniez de partager. « Elle va probablement te regarder d'une drôle de manière ... » commences-tu en parlant de la secrétaire qui attendait l'annonce de la fin de la journée, de l'autre côté de la porte, « … parce ce rendez-vous a quand même duré », tu regardes ta montre, « 45 minutes » constates-tu avec surprise avant de lever des yeux étonnés vers la journaliste, un petit sourire en coin, ce petite sourire qu'arborent les enfants lorsqu'ils ont fait une énorme bêtise. Tu pouvais être aussi glacial que ton pays natal mais aussi attachant qu'un bambin. Tant d'incohérences qui font de toi l'homme que tu es aujourd'hui.  
 

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@Eleanor S.-Brimsey sorry boy, it's just little ol' me ▶ alekseï - Page 2 2659158125
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Ainsi, les discussions profondes l'intéressaient sincèrement et ce, juste avant de passer à l'acte avec une femme ? Même si tu n'en aurais pas douté une seule seconde, c'était bon à savoir. Au moins, ça te faisait un peu moins passer pour l'une de ses femmes en quête de relations sans lendemain. Dans l'immédiat, c'était ce sentiment que tu ressentais et, désireuse de ne pas paraître tel un vulgaire kleenex au yeux d'Alekseï, tu espérais bien éterniser cet échange. En gros, tu ne comptais pas en rester là. C'était tout toi, à avoir les yeux plus gros que le ventre, à toujours en demander plus... encore et encore, sauf pour la nourriture, là, tu avais tes limites. « Avoue quand même que la robe a fait sensation. » rétorques-tu d'une voix enjouée avant de sentir à nouveau la pression exercée par la fermeture éclair de la robe autour de ta taille : jamais deux sans trois après tout. Là encore, tu ne peux t'empêcher de frissonner lorsque sa main se pose sur ton épaule dénudée, c'était une sensation nouvelle mais étrange. Tes pensées se figent alors sur sa remarque et te réconfortent quant à tes appréhensions : il veut te revoir, ce qui signifie, passer plus de temps en ta compagnie et donc, cela démontre une certaine confiance qu'il t'accorde. Pourtant, malgré la joie qui devrait t'envahir, tu te mets à douter. Tu ne sais pas s'il s'agit de votre partie de jambes en l'air qui a suscité en lui, l'envie de te revoir ou bien votre petite discussion juste avant ou encore, le fait que ton boulot l'intrigue et qu'il essaie de te mener en bateau à sa façon : une manière russe plutôt sournoise où tu n'y verrais que du feu. Saloperie de russe, se pouvait-il qu'il voit clair dans ton jeu ? Non, impossible. Ses propos s’avéraient sincères tout comme son visage qui semblait beaucoup moins grave qu'avant et les deux réunis, cela ne trompe pas. « Merci. » souffles-tu en relâchant tes cheveux blonds le long de tes omoplates pour finir par faire face au brunet. « Bien reçu. Je saurai m'en souvenir pour... la prochaine fois. » rajoutes-tu, espiègle, alors que tu termines tes propos par un clin d’œil on ne peut plus malicieux. Au moins, tu savais que tu avais marqué des points en t'habillant de la sorte. Tu laisses Alekseï enchaîné et tu ne peux t'empêcher de mordiller ta lèvre inférieure, un tic qui caractérise plutôt bien ton tracas du moment. « Merde. » c'était sorti tout seul alors que tes pupilles se perdent dans le vide. Tu ne voulais pas attirer l'attention, autre que celle du médecin, bien entendu, mais, lasse de jouer à cache-à-cache, tu tentes de dédramatiser la situation. « Pour peu qu'elle est entendu les bruits bestiaux que tu faisais. » ajoutes-tu sur le ton de l'humour avant d'agripper ton imperméable et d'ajuster ton sac à mains à ton épaule. Tu étais prête à quitter les lieux, sans pour autant t'excuser auprès de sa secrétaire. Tu effectues quelques pas jusqu'à la porte, posant une main assurée sur la poignée puis, hésitante, tu te retournes, comme si tu avais oublié quelque chose, un geste d'affection peut-être ? Hum, cela lui prouverait ta sincérité probablement. Tu rebrousses alors chemin, t'arrêtant à sa hauteur et sans hésitation cette fois-ci, tu déposes un baiser sur l'une de ses pommettes, uniquement. Une manière à toi de le faire davantage languir. « Si tu as du temps à tuer, je serai dans le centre-ville à 21h, près du sapin pour les illuminations. » Tu écartes ta tête blonde, apposant délicatement ta main sur son torse, songeant soudainement au post-it qu'il t'avait remis, et où était inscrit quelques mots en alphabet cyrillique. Il fallait que tu découvres ce qu'il avait bien pu te mettre, quand bien même il s'agisse d'une vulgaire plaisanterie. Pour l'heure, pas besoin de lui donner ton numéro de téléphone, tu avais le sien et cela était bien suffisant. Tu te plaisais d'ailleurs à lui montrer une facette de toi que tu n'avais encore jamais testé : jouer avec les sentiments d'autrui. Pour l'instant, cela semblait porter ses fruits et intérieurement, tu jubilais, mais en connaissais-tu vraiment les risques ? T'écartant à nouveau du beau russe, tu finis par pousser la porte du cabinet, prenant finalement la direction de la sortie, un sourire victorieux au bout des lèvres.

@Alekseï G. Voïnov :loukas:
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