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sorry boy, it's just little ol' me ▶ alekseï

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ALEKSEÏ X ELEANOR.

Cela faisait deux semaines. Deux semaines que tu n'avais pas voulu tenter le diable en allant directement frapper à sa porte. Parfois, il fallait s'armer de patience pour obtenir ce que l'on désirait. C'était ton cas. Pendant cette quinzaine de jours, on ne pouvait pas dire que tu avais chômé : entre des réunions d'informations ennuyantes, la recherche de nouveaux sujets d'investigation, la présentation du journal télévisé et ton reportage sur les activités criminelles, tu n'avais pas eu une minute à toi. Mais, ta soif d'ambitieuse, et d'en vouloir toujours plus, s'était manifestée à nouveau à l'égard d'Alekseï Voïnov, ce mystérieux individu mafieux qui t'avait - rappelons le - planté au beau milieu d'une conversation dont il était le pilier central de ton prochain reportage. Même s'il avait réglé vos boissons et ta viennoiserie, tu n'avais toujours pas digéré le fait qu'il s'était éclipsé de la sorte. Il ne voulait pas te donner les informations nécessaires à ton reportage ? Très bien, tu savais comment t'y prendre, ce qui signifiait que tu allais devoir t'en charger toi-même. Cela avait d'ailleurs été chose faite en dix minutes chrono. Un soir, tu étais sortie boire un coup avec des amis avant de tomber sur un groupe de policiers, mais pas n'importe lesquels, ceux du FBI et, là où cela était intéressant, était le fait que chacun d'entre eux possédait un petit fichier informatique où était répertorié les étrangers et ou ceux dont le profil s'avérait plutôt louche. Tu avais eu l'embarras du choix et tes beaux yeux s'étaient posés sur un blondinet, plutôt craquant s'il n'avait pas eu le crâne dégarni. Tu ne sais plus comment tu t'y étais prise mais vous vous êtes retrouvés dans son bureau, ou 'crâne dégarni' avait manqué de dégobiller à tes pieds. Alors qu'il s'était mis à piquer un somme, tu en avais profité pour faire tes recherches, bloquant un instant sur le mot de passe qui verrouillait l'ordinateur. Facile, cet idiot l'avait noté au dos de son calendrier. La suite ? Un vrai jeu d'enfant. Tu as juste eu le temps d'imprimer la fiche de renseignement de Voïnov avant de filer dans la nuit. Une fois cet épisode passé, tu avais eu plus de temps pour analyser cette fameuse fiche, que dis-tu, ce sésame ! Outre les renseignements standards tels que sa taille, son poids, ses origines etc, ton attention s'était portée sur le tragique accident de voiture qui avait causé la mort de sa fiancée et... rebondissement... de son bébé. Tu avoues être restée sans voix après la lecture de ces quelques lignes mais dans ton esprit, cela ne faisait plus aucun doute. La mafia avait été derrière tout ça, tu en aurais mis la main au feu.
Le lendemain, dans un élan de folie, tu avais pris rendez-vous pour une consultation avec le médecin, pas n'importe lequel, le docteur Alekseï Voïnov. Oui, il faut dire qu'il t'avait beaucoup manqué en l'espace de deux semaines. Tu avais donc pris rendez-vous, prétextant un problème cardiaque qui te semblait-il, t'étais apparue soudainement au cour de la matinée. Tu n'y connaissais rien en médecine mais qu'importe. Tu avais joué le jeu à fond, en venant même à supplier la secrétaire pour que tu puisses avoir un rendez-vous le plus tôt possible. Alors que tu t'attendais à en obtenir un dans les semaines voir, les mois à venir, il se trouve qu'une patiente avait annulé sa consultation à la dernière minute aujourd'hui même et que la place t'était attribuée. C'est ainsi que tu avais mis les voiles à 18h15 précise à l'hôpital, dans le service Cardiologie. Le must dans cette histoire est  que tu allais être sa dernière patiente, ce qui te laissait le temps de tâter le terrain et de renforcer ta stratégie d'attaque. Oui, tu comptais bien le mettre à genoux, le faire plier pour qu'il te balance enfin ce qu'il savait. Pour se faire, tu t'étais donnée des moyens, des grands moyens pour qu'il se dévoile : robe rouge épousant parfaitement les courbes de ton corps surmonté d'un imperméable cintré de couleur noir, cheveux blonds relâchés et ondulants quelque peu, trait d'eyeliner et rose sur les lèvres sans oublier tes célèbres escarpins vernis... Il devait craquer. Assise telle une enfant sage dans la salle d'attente, tu triturais un morceau de papier qui s'était retrouvé toute la journée au fin fond de la poche de ton imperméable. Tu restais silencieuse malgré le fait que tu trépignais d'impatience à l'idée de voir la tête qu'Alekseï ferait lorsqu'il franchirait le pas de la porte. Oh, tu allais presque oublier un petit détail : tu avais pris rendez-vous au nom de « Anna Ikachev » autrement dit, sa fiancée, enfin, ex-fiancée vu qu'il n'en reste plus grand chose à présent. Autant dire tout de suite que la soirée risquait d'être riche en émotions et ce n'était pas pour te déplaire.

@Alekseï G. Voïnov  sorry boy, it's just little ol' me ▶ alekseï 152426858
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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Le soleil commence à décliner dans le ciel lorsque tu te frottes les yeux, assit à ton bureau. C'était la journée de l'horreur. Tu avais pratiqué des interventions toute la matinée, sans pause, et tu n'avais cessé d'avoir des problèmes. Des infirmières qui prenaient des pauses plus longues que prévues, des instrumentations non stériles, des patients qui n'arrivaient jamais … Bref, il était temps que tu ailles te coucher. Les coudes fortement appuyés sur ton bureau, tu continues de frotter tes yeux à t'en arracher quelques cils. Lorsque tu redresses ton visage, tes yeux sont rougis par la friction qui tu viens de leur imposer et l'heure tardive t'arrache un bâillement. Tu es seul alors tu en profites pour t'étirer en appuyant bien ton dos dans ton fauteuil. Ton bureau est d'ailleurs tout ce qu'il y a de plus sobres. Des couleurs boisées aux murs ainsi que des tableaux de paysages slaves, il est chaleureux mais tout à fait impersonnel. Pas de crayons de toutes les couleurs, pas de corbeille à papiers débordantes et certainement pas de photos vous représentant Anna et toi, sur ton bureau. Ce genre de cliché, tu n'en a qu'un seul et il est bien protégé au fond d'une boite en carton, elle-même au fond d'un placard. Il était hors de question que quiconque pose ses yeux sur ce souvenir.
Prenant ton courage a deux mains, tu te redresses puis prends la direction de la sortie. Tu rejoins ta secrétaire afin qu'elle te renseigne le nom du prochain patient. « C'est la dernière Docteur, alors … C'est madame Ikachev », tu ne prends pas le temps de la remercier, trop interloqué par le nom qui vient se sortir de sa bouche. Ce nom était assez courant en Russie mais certainement pas à Boston. Tu fronces les sourcils, expression du visage qui t'était assez familière dans ta vie quotidienne, puis tu prends la direction de la salle d'attente. Lorsque tu ouvres la porte, ton regard se pose sur ce même blond que portait Anna. Une magnifique robe rouge donc la couleur sensuelle te sauta au cou et … Des escarpins. Presque autant que la lingerie, les escarpins étaient à ton goût ce qui allait le mieux aux femmes et il s'agissait d'un des seuls arguments que tu ne pouvais qu'accepter. Tes yeux dévorent le sourire que t'offre ta journaliste favorite. « Mademoiselle Ikachev, ou devrais-je dire, Mademoiselle Brimsey, je vous en prie », d'un geste de la main, tu l'invites à se lever et à aller jusqu'à ton bureau. Lorsqu'elle passe devant toi, vous vous serrez la main comme un médecin à son patient. Tu es à la fois étonné de sa présence et tout à fait satisfait. Tu te doutais bien que la jeune femme n'allait pas en rester là, que sa détermination la pousserait à recroiser ton chemin, mais tu ne t'attendais pas à ce que ça se fasse dans de telles conditions, avec tant d'imagination. Tu la suis, regardant le sol, le sourire aux lèvres et secouant doucement ta tête de droite à gauche, épaté par le dynamisme d'Eleanor. Le son de ses talons résonne dans tes oreilles, un son qui te transporte et qui te ferait lui donner le bon Dieu sans confession. Enfin presque.
La journaliste vêtue comme une beauté des tapis rouges s'installe dans le fauteuil en face de ton bureau. Tu referme avec précaution la porte qui est à présent gardienne de votre intimité. Sans un mot, tu fais le tour de ton bureau pour venir t'asseoir en face de cette femme fatale que visiblement rien n'arrête. Le dos appuyé contre le dossier du confortable meuble, tu passes une main dans ta barbe naissante, un sourire amusé aux lèvres, « vous m'amusez beaucoup Ellie, si je peux me permettre. Voilà que je vous retrouve, avec une longueur d'avance cette fois-ci ». Riant presque de la situation, tu bascule ton corps vers l'avant pour finalement venir poser un coude sur le bois laqué de ton bureau, ton autre main jouant avec ton stylo. « J'imagine que vous ne venez pas pour une douleur à la poitrine ou une tachycardie. Qu'est-ce qui vous amène ? Qui plus est dans une tenue aussi élégante », ton compliment se voulait galant et tout à fait respectueux. Tes yeux commencent à se perdre sur les coutures de cet imperméable qui semble cacher tant de merveilles.  
 

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@Eleanor S.-Brimsey
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L'excitation se lisait dans ton regard. Tu agissais ainsi comme si tu attendais la venue du père noël, te délivrant des liasses de billets. Tendant l'oreille, tu perçus des bruits de pas jusqu'à ce que la porte de la salle d'attente ne vienne à s'ouvrir sur... Alekseï. Merde, il dégageait encore plus de classe affublé d'une blouse blanche. Un large sourire se dessine sur tes lèvres alors que tu te relèves gracieusement, agrippant ton sac tout en jetant les morceaux de papier dans la poubelle avoisinante. Tu observes durant une fraction de seconde le visage du russe pour y déceler un soupçon de surprise mais rien ne se produit, son visage semble figé, toujours aussi impassible. Fais chier. Tu pinces les lèvres avant de déboutonner ton imperméable puis, tu te décides enfin à franchir le pas de la porte de la salle d'attente, glissant un « J'aime passer incognito monsieur Voïnov. » à hauteur du trentenaire avant d'empoigner fermement sa main. Tu le laisses te guider jusqu'à son bureau, longeant un corridor aux murs blancs cassés et dont le silence te glaça les os. Une fois arrivée dans son cabinet, tu te permets de contempler les lieux, faisant claquer tes talons au sol à force d'effectuer des petits pas, alors que ton regard se perd sur les peintures accrochées aux murs. Dans l'ensemble, tout est étrangement neutre, même son bureau n'est recouvert d'aucun cadre photos, encore moins de bibelots symbolisant son pays. En somme, rien de bien folichon qui pourrait susciter ton intérêt. Tant mieux, tout sera porté sur lui, rien que lui. Sans un mot, tu agrippes le dossier de l'une des deux chaises entourant le bureau du russe et la recule délicatement pour y prendre place. Ton imperméable, dont tu es toujours revêtue, laisse entrevoir une partie de ta robe qui s'avère plus courte que tu ne l'aurais pensé. Cela te gêne mais tu feras avec, pour le bien de ta mission. Ton sac se pose sur la table du praticien où tu avais pris soin d'enclencher ton dictaphone pour tout enregistrer - maligne comme tu es. Cette fois-ci, fini les conneries, tu ne comptais pas le laisser partir comme lors de votre dernière entrevue. A sa première remarque, ton étonnement se porte sur le surnom auquel bon nombre de personnes t'appellent « Ellie », et qu'il venait d'employer. Un bon point pour toi puisque cela prouve, en partie, que vous étiez 'proches', à quelque chose près. Cependant, tu fais abstraction de son compliment, connaissant l'individu, il risquait fortement de ne pas s'arrêter là. « Comme je dis souvent, on est jamais mieux servi que par soi-même. J'ai compris que je n'aurai rien à y gagner en vous interrogeant. » ton regard percute le sien alors que tu viens à croiser les doigts. Ta stratégie était bien ficelée : lui faire comprendre que tu possédais beaucoup d'informations à son sujet pour conclure ton reportage et que tu cherchais également un homme avec qui passer la soirée, histoire de te réconforter. Tu espérais qu'il le saisisse rapidement, quitte à accepter ses avances et toutes les autres conneries qu'il pouvait te sortir. Croisant également tes jambes, un pan de ton imperméable s'échoue au niveau de ta taille afin de mieux dévoiler une partie de tes cuisses dénudées ainsi que l'un de tes bas en satin noir. « Pour tout vous dire, vous me manquiez... » ton visage ne traduit aucune émotion mais tes yeux restent rivés sur ceux du beau brun. Tu enfonces un peu plus le clou en rajoutant un « ...beaucoup » dans un soupir puis, comme pour gâcher le spectacle qui semblait énormément plaire à Alekseï, tu rabats le pan de ton imperméable sur ta cuisse autrefois dénudée. « Je m'étais dis qu'après notre petite conversation auquelle vous avez pris beaucoup de plaisir à écourté, j'aurai aimé qu'on reprenne à zéro vous et moi. » Un furtif sourire apparaît sur ton visage alors que ton coude s'abat tranquillement sur l'un des accoudoirs. « En passant, votre secrétaire, si j'étais vous, je la virai. » renchéris-tu, plus ferme que jamais avant d'abattre tes pupilles sur tes mains dont les ongles sont recouverts d'une couche de vernis rouge sang. « Elle aurait pu remarquer que je passais à la télé tout de même. Non mais, est-ce que j'ai une tête de russe, franchement ? » Tu hausses les sourcils avant de relever ton regard en direction du médecin. Dieu qu'il était beau avec ses cheveux quelque peu désordonnés, sa barbe naissante et sa chemise bleue qui se dévoilait sous sa blouse. C'était peut-être cruel de lui infliger cela mais le jeu en valait la chandelle.

@Alekseï G. Voïnov sorry boy, it's just little ol' me ▶ alekseï 166564858
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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Ikachev. Lorsque tu avais entendu ce nom, et surtout découvert le visage qui le portait pour cette journée, ton cœur avait oscillé entre l'amusement et la colère. La rage que cette inconnue ressorte de ton passé des mots que tu ne voulais plus entendre, des mots que tu gardais jalousement au sein de ton âme. Habituellement, ton tempérament slave l'aurait emporté et tu aurais simplement refermé la porte dans le même silence que tu l'avais ouverte. Ou alors tu te serais emporté, emporté de rancune et de remords, la colère étant une de tes seules défenses. Mais la journaliste avait un effet bénéfique sur toi. Tu ne sais ni pourquoi, ni comment, mais cette intrigue qui plane au-dessus d'elle te force à être aimable et courtois. Tu l'accompagnes donc dans le silence jusqu'à ce que vous soyez tout les deux installés dans vos sièges respectifs, vos regards ne se quittant pas l'un et l'autre.
La jeune femme t'explique la raison de sa venue, sa soif de connaissance et son ambition d'y arriver seule, avec ou sans ton accord. Tu te redresses, croisant tes bras sur ton torse large et froissant légèrement ta blouse parfaitement blanche. Tu ne souris pas mais tu as le regard d'un homme intéressé par les paroles qu'il vient d'entendre. Tu plisses légèrement les yeux, « en effet, vous n'obtiendrez rien de moi ». Ni plus, ni moins, tu confirmes ses dires, ne cherchant ni à les nuancer, ni à inciter une réponse. Tu attends sagement et patiemment une suite à la conversation, intriguant par ton silence et ton regard qui ne baisse pas. Finalement, le voilà qui prend la direction de la cuisse d'Eleanor. Cette dernière, dans un mouvement exagérément naturel, laisse glisser le bas de son imperméable qui découvre ainsi à l'air libre une partie de sa cuisse. Une peau claire et unie comme celle des poupées. Tu ne nies pas que ton regard s'est attardé un bref instant sur ce joli beige, mais étant un homme respectueux, tu ne lorgnes pas dessus. C'est alors qu'elle t'adresse une douce phrase à laquelle tu ne t'attendais absolument pas. Tu hausses les sourcils de surprise. Lui manquerais-tu réellement ? Ou simplement les informations qui sont enfouies dans ta tête ? Tu n'es pas dupe, mais accepte de jouer le jeu. Lorsqu'elle termine sa phrase tout en recouvrant cette douce vision, tu ne peux que laisser entendre ce rire bref et léger qui traduit ton étonnement mêlé à ton amusement. « J'avais du travail, vous semblez vexée de ma fuite » lui réponds-tu sur un ton calme mais interrogateur. Tu n'avais ce jour-là aucune obligation professionnelle, simplement le désir de piquer à vif la curiosité de la journaliste et de la ramener un peu plus vers toi. Visiblement, ton petit manège avait eut l'effet escompté.
Tu regardes en même temps qu'elle ses ongles parfaitement entretenus, ce vernis d'un rouge que tu ne connaissais que trop bien. Décidément, tu arrives à te demander si elle n'a pas également réussit à mettre le doigt sur chacune de tes préférences quant à la gente féminine. Elle parle de ta secrétaire, elle semble être une jolie petite starlette en mal de reconnaissance et ça t'amuse. « Vous n'avez ni le visage, ni le caractère slave si ça peut vous rassurer » lui rétorques-tu sans méchanceté aucune. Voulant jouer son jeu pour que jamais il ne s'arrête, pour qu'elle continue sur la voie sur laquelle elle venait de se lancer, tu te devais de l’appâter. Sans un mot, tu portes ta main à une des poches de ta blouse pour en sortir un post-it ainsi qu'un stylo. Tu griffonnes quelques mots dessus puis poses le papiers sur le bureau. De deux doigts, tu le glisses ainsi sur le bois pour qu'il se retrouve face à Eleanore. « Il s'agit du nom d'une personne ayant un lien avec ce que vous étudiez, le problème, c'est qu'il s'agit d'alphabet cyrillique. Vous le déchiffrerez, j'en suis convaincu, mais il se peut que je commence à semer quelques indices », tu emploies un ton subtilement provocateur, un léger sourire au coin des lèvres. Bien évidemment, il n'en est rien, il ne s'agit absolument pas d'un indice, simplement un « cette robe rouge vous va à ravir » qu'elle aura le plaisir de découvrir. Tu n'as absolument pas l'intention de la laisser penser un seul instant que tu es lier à ce qu'elle recherche. Ce n'est qu'une simple compétition.
Tu te lèves du ton fauteuil pour contourner ton bureau et atteindre le banc d’auscultation. D'un geste de la main, tu invites la jeune femme à s'y asseoir, « j'ai besoin de données médicales pour remplir votre dossier, sinon ils vont croire que je ne fais rien de mes consultations ». Prise de pouls, écoute de respiration, de la circulation, tu n'avais pas l'intention de la torturer, simplement de faire un minimum ton travail.   
 

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Tu n'avais nullement parlé de ton plan délirant, qui consistait à amadouer le jeune russe dans l'unique but de toucher une prime annuelle, à quiconque puisque l'enjeu était bien cela : l'argent. Tu n'étais pas vénale mais tu avouais que ces billets verts t'attiraient comme jamais, surtout lorsqu'ils pouvaient combler ton désir d'acheter une nouvelle paire de chaussures où de la lingerie. Après votre première entrevue, tu avais clairement retourné la situation trois fois de suite dans ta tête blonde afin d'en peser les pour et les contre. Concrètement, si tu songeais un seul instant pouvoir t'en sortir en lui posant directement les questions que tu souhaitais, tu étais dans la merde. A l'inverse, si tu la jouais finaude, il se pouvait qu'il craque et tu insistais bien sur le terme 'pouvait' car tu n'étais sûre de rien avec lui, malheureusement. Forcément, sa première remarque te fit pincer les lèvres, faisant ressortir les légères fossettes qui entouraient tes pommettes. Tu avais vu juste : tu n'obtiendrais rien de lui en lui faisant passer un interrogatoire. La suite te fit acquiescer d'un signe de tête tout en inclinant celle-ci sur le côté. Vexée ? Oui, tu l'avais été et tu ne pouvais nier le contraire. On pouvait même clairement affirmer que ça t'avait extrêmement emmerder mais tu n'allais pas lui lister tous les états d'âme qui t'avaient posséder auparavant. « Dans ce cas, je n'ai pas mon mot à dire même si j'aurai aimé qu'on puisse continuer notre discussion. » réponds-tu sur un ton neutre, lissant calmement les pans de ton imperméable. C'était véridique, tu aurais apprécié poursuivre votre échange même si, dans le fond, tu n'aurais pas pu t'empêcher de le soumettre à tes interrogations. Tu esquisses finalement un franc sourire avant de décroiser tes jambes devenues quelque peu engourdies à cause de ta position statique. « Je vous remercie, me voilà rassurée. » ironises-tu tout en lui lançant un clin d’œil complice avant de le voir sortir puis griffonner sur un post-it qu'il te tend par la suite. Intriguée, tu te penches au-dessus dudit morceau de papier avant de l'agripper pour mieux en lire le contenu. Bordel, tu ne comprends rien, absolument rien. Tu tends l'oreille, prêtant une attention particulière à ce qu'il venait d'expliquer. Un nom ? D'une personne ayant un lien sur la mafia ? A l'entendre, cela pourrait être du pain béni pour toi ! Si seulement c'était vrai. Cependant, cette écriture te laisse pantoise. Tu te bernes d'illusions si tu espérais que cela puisse être vrai. Ne voulant pas te mettre dans l'embarras, tu glisses le papier dans l'une des poches de ton imperméable avant de recroiser tes doigts. Ton regard se plante dans celui de ton interlocuteur, acquiesçant d'un signe de tête comme pour le remercier. Tu ne veux pas risquer de le froisser en décrétant qu'il te menait en bateau, pas ce soir. « J'avoue être surprise. C'est inattendue mais toute information est bonne à prendre. Je ne saurai comment me racheter si cette information s'avère... satisfaisante. » tu avais pris soin d'articuler le dernier mot alors que tes pupilles s'amusaient à scruter avec plus de profondeur le visage du médecin. Tu te mis à repenser à ce qu'il venait de dire, désirait-il vraiment semer quelques indices ? Tu en doutais bien que ta conscience espérait qu'il puisse honorer sa parole. Pensive, tu observes finalement l'homme se relever de sa chaise, contournant le bureau pour te dépasser et se'arrêter face au banc d'auscultation. A sa remarque, tu peines à ravaler ta salive alors que tu es tournée de trois quarts, enserrant fermement l'un des accoudoirs. Fais chier, tu n'avais pas prévu qu'il te fasse un coup pareil. Désireuse de ne pas trop le faire attendre, tu te redresses enfin pour mieux lui faire face. Ton regard balaie la salle alors que celui du médecin te contemple, attendant probablement que tu te donnes en spectacle. « J'en conclus que vous ne pouvez pas rayer un simple nom de votre liste. » ta voix semble enjouée mais trahit une certaine excitation, comme si tu avais attendu depuis le début pour te retrouver en élégante tenue face à lui. D'un geste, tu déboutonnes ton imperméable et desserre la sangle qui entourait ta taille, dévoilant ainsi ta robe. Épurée et épousant à merveille les avantages que Dame nature avaient pu t'offrir, tu déposes ton pardessus sur le dossier de la chaise avant d'entortiller un instant tes doigts. Tu relèves ta tête pour mieux poser ton regard dans celui d'Alekseï, plus déterminée que jamais à atteindre ton but. Tu t'avances en sa direction d'une démarche presque féline, s'arrêtant à sa hauteur tout en poursuivant l'analyse détaillée de chaque parcelle de son visage. Putain, qu'est-ce qu'il était beau. « Bien, je me place donc entre vos mains d'expert monsieur Voïnov. » susurres-tu, sentant son souffle contre le tien, avant de prendre place sur la table, ne perdant pas de vue le russe qui se tourne vers toi. Tu restes en position assise, agrippant les rebords mousseux de la table alors que ton rythme cardiaque s'accélère anormalement. Tes escarpins se balancent dans le vide et tu finis par replacer tes cheveux blonds derrière tes épaules. « Quels examens comptez-vous me faire ? Si vous souhaitez connaître mon poids ou mes mensurations, je peux tout vous donner. » l'interroges-tu, un sourire jovial sur les lèvres, tout en continuant de balancer tes jambes satinées par les bas que tu avais enfilés, dans le vide, telle une enfant excitée. Ces examens tombaient à point nommé car tu espérais vraiment avoir fait ton petit effet avec ta robe, achetée spécialement pour l'occasion.

@Alekseï G. Voïnov :giggle:
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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Tu ne te fichais absolument pas d'elle, seulement, tout était devenu bon pour attirer son attention, pour que plus jamais elle ne s'intéresse à quelqu'un. Tu t'étais prit à cette petite compétition à tel point que son interruption te rendrait fou de rage. Tu te contentes de lui adresser un sourire professionnel lorsqu'elle te fait aisément comprendre qu'elle ne te crois pas. Elle glisse tout de même le bout de papier dans une poche de son imperméable. Elle ne te crois pas mais son comportement prouve qu'elle aimerait que ton charabia soit véritable. Tu es loin de te douter que, sans s'en rendre compte, elle est en train de tisser sa toile autour de toi et que plus tu essaies de t'en sortir, plus tu te rapproches d'elle.
Debout près de cet inconfortable lit qu'est ton banc d'auscultation, tu regardes la journaliste se redresser, presque gênée par ta demande. Ton but avait été atteint, la mettre dans une situation à laquelle elle ne s'attendait pas. « En effet, je ne peux pas » lui répondis-tu sans même prêter attention au ton que tu venait d'employer, trop intéressé par le spectacle qui se déroulait devant tes yeux. D'un geste élégant et mesuré, Eleanore enlève son manteau pour le poser sur le dossier de la chaise. Tu ne peux t'empêcher de la dévorer du regard. Elle est belle, vraiment très belle. Et elle provoque en toi quelque chose de différent. Toi, homme à femmes, coureur de jupons ou encore grand séducteur, tu brûles habituellement de désir pour la gente féminine qui ne te procure qu'un plaisir charnel. Mais là, à cet instant, te voilà très calme et sans aucune arrières pensées, la jolie blonde te procure une drôle de sensation de sérénité et d'envie de séduction. Tu ne prêtes pas attention au tourbillon qu'elle engendre dans tes pensées, la regardant s'approcher de toi puis s'asseoir sagement là où tu le lui as indiqué. « Expertes je ne sais pas, mais elles n'ont  jamais tué personne » lui réponds-tu, amusé. Pourtant ta phrase est cruellement fausse puisque des vies, tu en as ôtées plus d'une. Certes, pas dans l'exercice de ta profession, fort heureusement, mais pour faire taire quelqu'un qui en sait un peu trop, tu n'as jamais trouvé meilleure méthode.
Tu te places face à elle et attrapes ton tensiomètre qui se trouve déjà sur le banc. Avec grande douceur, tu saisis son bras et place le brassard que te gonfles en quelques pressions du poing. « Rien d'extraordinaire ne vous en faites pas, simplement surveiller votre tension artérielle ainsi que votre cœur. Après tout, je suis payé pour ça », la brassard se dégonfle rapidement, « 16/9 de tension, ne seriez-vous pas un peu stressée mademoiselle Brimsey ? ». Sa tension est en effet légèrement élevée mais il te suffit de poser l'embout glacé de ton stéthoscope sur le haut de sa poitrine pour vite te rendre compte que son rythme cardiaque est un peu élevé. Est-ce toi qui lui fait cet effet ? Tu esquisses un sourire, t'amusant de cette situation cocasse. Tu déplaces le petit rond métallique et froid sur la peu de la jeune femme, écoutant chaque son émanent de sa poitrine puis de son dos. Tu constates que sa peau est aussi douce au toucher qu'elle en a l'air, presque comme de la porcelaine. Aucun de tes mouvement n'est parasite, ne souhaitant aucunement passer pour un ignoble personnage auprès de la journaliste. Ton œil est attiré par la brillance de ses collants, ou plutôt de ses bras. Étant un très grand amateur de lingerie fine, tu fais aisément la différence. Tu commences sérieusement à croire qu'elle connaît tes goûts sur le bout des doigts.
Tu te redresses finalement, lui faisait une nouvelle fois face, « il va falloir apprendre à vous détendre mademoiselle, mais vous ne présentez rien d'alarmant, rassurez-vous ». Ton intonation est calme et tu lui adresse un sourire charmeur mais élégant. Cette robe rouge t'hypnotise et ses yeux bleus te donnent l'impression qu'ils crient au baiser. Tu oses un instant imaginer quel genre d'ensemble elle peut porter à se moment là, de la dentelle ? Tu en mettrais ta main au feu et surtout, tu mourrais pour le découvrir. D'un pas, tu te décales sur le côté, lui laissant le libre choix de se lever si elle le souhaite.    
 

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@Eleanor S.-Brimsey :loukas:
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Tout te paraissait tellement étrange. Du jour au lendemain, tu avais renversé la tendance afin de mettre Alekseï dans ta poche ou plutôt dans ton lit. Il était si facile de manipuler les sentiments d'un homme lorsque l'enjeu était de taille. A t'entendre, on pourrait presque croire que tu regrettais la position délicate dans laquelle tu t'étais foutue. C'était tout le contraire. Tu étais plutôt disciplinée, assise sur ce banc d'auscultation et en même temps tellement impatiente qu'il pose ses mains sur son corps. Tu t'étais dis que ta robe rouge allait lui en faire voir de toutes les couleurs mais en fin de compte, peut-être qu'un simple chemisier et un pantalon cigarette auraient suffit à le faire tomber à tes pieds. Tu étais désirable, tu l'étais pour lui et ça te faisait bougrement plaisir. Si ta conscience ne criait pas « boulot », tu lui aurais certainement déjà arraché sa chemise à l'heure qu'il est. Manque de chance, tu avais des principes et le premier était de ne pas céder face à l'égard des mauvais, très mauvais, garçons qui plus est, incapable de te donner ce que tu désirais. Bon en l'occurrence, tu voulais juste des informations à son sujet, ce n'était pas la mort non plus. Il fallait croire que si. « Vraiment ? Je doute que vous ayez sauvé des vies à chacune de vos opérations. » Oserait-il te mentir ? Evidemment. Tu n'allais pas débuter ton interrogatoire au risque qu'il te fiche à la porte, mais ce n'est certainement pas l'envie qui t'y manquait. La médecine et toi, ça faisait deux, bien que tu connaissais les basiques : les médicaments à attribuer en cas de grippe, douleurs ou autres, les gestes de premier secours même ! Mais, ça s'arrêtait là. Tu avais toujours eu une admiration envers les médecins, surtout les chirurgiens, car tu n'aurais jamais pu être à leur place et opérer des gens, charcutant leur corps pour en remettre ou ôter certains organes. Rien que l'idée te donnait quelques soubresauts. Vient alors le moment tant attendu de la prise de tension. Tu le scrutais discrètement, orientant inlassablement ton visage doux sur lui mais également sur ses lèvres. Des lèvres qui te donnèrent envie, l'envie d'y goûter ne serait-ce qu'une fois. Tu rêverais d'embrasser un gangster une fois dans ta vie pour mieux t'en débarrasser. Tu ôtais rapidement tes pensées salaces de ton esprit alors qu'un brassard était présentement attaché à ton bras. Muscle relâché, tu tentais de retrouver la raison en pensant à ton boulot qui t'attendait dès le lendemain mais rien n'y fit : ton cœur palpita de plus belle alors qu'une bouffée d'air chaud s'empara de ton être. A sa prise de parole, tu te permis de lâcher un soupir à peine audible. Tu avais abaissé ta garde et il pouvait dès lors savoir que tu n'étais pas insensible à son sourire, son putain de sourire renversant, à ses yeux glaciales et à ses lèvres si désirables. « C'est parce qu'il fait chaud dans cette salle, vous comprenez ? Et puis, ça sent le renfermé. Je vous conseille d'ouvrir la fenêtre histoire d'aérer un peu. » tu te racles la gorge avant de secouer ton bras auparavant compressé. La chaleur dans la pièce... Mouais, quelle excuse bidon, tu aurais pu trouver mieux mais c'est tout ce qui t'étais venue à l'esprit. Le russe se décale pour finalement te rassurer sur ton état qui ne semblait guère alarmant, fort heureusement. Tu passes une main dans  ta crinière blonde, malaxant un instant ta nuque engourdie. « Je vous remercie pour cet examen, monsieur Voïnov. Il m'arrive que j'ai une hausse de tension lorsqu'une situation m'échappe. » tu te ventiles à l'aide de ta main avant de pivoter ta tête blonde en sa direction. Tu lui lances un tendre sourire tout en songeant à cette petite confidence que tu venais de lui avouer. Et pourtant, c'était véridique, tu tentais vainement d'avoir le contrôle sur cette irrépressible envie de prendre possession de ses lèvres, de son corps. Il fallait que tu penses à autre chose, quelque chose de bien dégueulasse comme une araignée ou un cafard pour que tu puisses reprendre le contrôle des choses. Tu devais te ressaisir bordel ! « Pourriez-vous revenir s'il-vous-plaît ? » tu l'interpelles, désireuse de capter son attention car c'était bien le but : ne, surtout pas, le voir échapper à ton contrôle. « J'ai une douleur au niveau des côtes ainsi que sur ma cuisse. Pour être totalement honnête, je suis tombée en sortant de ma douche avant de venir et... Je vous avouerai avoir un peu mal. Ca vous dérangerait de... » tu laisses glisser ta main le long de ta robe rouge, soulevant légèrement le pan de celle-ci au niveau de ta cuisse, dévoilant plus largement ton bas satiné. « ...m'ausculter à nouveau ? » tu étais confiante, déterminée à le mener à la baguette, alors que tu finis par te redresser. Une fois sur tes escarpins, tu les ôtas, te retrouvant à une tête et demie de moins que lui. Tu finis par pivoter sur toi-même, te retrouvant dos à lui avant de ramener ta chevelure blonde sur l'une de tes épaules. « Il faudrait défaire ma robe, la fermeture est un peu difficile et je ne veux surtout pas risquer de me casser un ongle. » ton intonation se voulait douce et paisible comme si tu le connaissais depuis longtemps. Immobile, tu n'osais guère bouger, patientant jusqu'à ce qu'Alekseï obtempère. Au fond, tu bouillonnais d'impatience ; impatiente qu'il puisse jeter son dévolu sur ta lingerie en dentelle satinée beige et noir, impatiente qu'il puisse poser ses mains et son regard perçant sur toi. Tu voulais qu'il aille au bout, qu'il puisse céder le premier pour te prouver que tu étais la plus forte.

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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Dans le mille, tu viens de jouer une de tes cartes et la voilà qui feint d'avoir trop chaud. Sûrement l'avait-elle, mais certainement pas pour les raisons qu'elle avançait. Tu arques un sourcil, un léger sourire au coin des lèvres puis ton regard se tourne vers la seule fenêtre de la pièce, « je prends note de votre conseil mademoiselle ». Sans un mot de plus, tu te décales légèrement, laissant la jeune femme se redresser sur ses hauts talons, les faisant claquer contre le sol, un son dont tu ne te lasserais jamais. Elle se passe une main dans la nuque tout en essayant de justifier sa hausse de tension tant bien que mal. Tout en t'approchant de ton ordinateur, tu lui réponds sur un ton provocateur, sans quitter l'écran des yeux, « parce que la situation présente vous échappe ? ». Toujours debout, légèrement penché vers ton bureau, une main appuyée sur le bois et l'autre sur la souris, tu entreprends de créer un dossier pour ta nouvelle patiente, ne t'occupant plus de cette dernière. Comme si cet éloignement la contrariait, Eleanore te rappelle poliment à elle, prétextant d'avoir mal .. Où déjà ? Tu relèves ton visages et tes yeux se posent sur la dentelle du bas qu'elle venait de te dévoiler sans aucune gène, avec un sourire en prime. Ton regard oscille entre ses yeux et ce bas qui ne demande qu'à être embrassé. Ton sourire s'est effacé, comme si finalement, c'était à toi que la situation échappait. Aucun mot ne sortit de tes lèvres et, comme envoûté, enivré, tu te diriges vers elle sans protester. Tu reprends ta place initiale, face à la journaliste qui ôte ses magnifiques escarpins, pour ton plus grand malheur. Dans tes yeux se mêlent incertitude et envie d'en voir plus, tes deux pupilles vertes sont posées sur ce petit bout de femme qui t'arrive à présent au niveau des pectoraux et qui se tourne doucement, te présentant son dos. Tes yeux glissent sur son épaule en même temps que sa crinière blonde, dévoilant ainsi une nuque aussi blanche que désirable et un instant, tu hésites à y déposer tes lèvres. Tu es bien vite sortis de tes songes pas la vois d'Eleanore qui te demandes gentiment de défaire cette fermeture éclaire. « A votre service » sont les seuls mots qui sortirent de ta bouche et sans te faire attendre, tu déposas doucement une main sur le côté de sa nuque tandis que l'autre descendait cette fermeture qui était à présent devenue plus gênante qu'autre chose.
Le beau tissu rouge tombe à terre et le spectacle auquel tu assistes te laisse le souffle coupé. Tes yeux s’écarquillent devant le corps divin de la jeune femme qui se tenait devant toi, profitant qu'elle ai encore le dos tourné pour prendre une inspiration afin de ne pas lui sauter dessus tout de suite. Pendant qu'elle pivote sur elle même, ton regard ne sait plus où se poser. Entre ses bas, la dentelle, les couleurs, ses lèvres, ses courbes, les escarpins posés un peu plus loin, tu sens une puissante montée d'adrénaline prendre possession de ton corps. Reprenant un semblant de conscience professionnelle, tu secoues vivement ton visage puis reporte ton attention sur ses côtes. Attention qui se trouve être encore de courte durée puisque tu ne penses qu'à une seule chose : embrasser cette douce peau. « Vous n'avez aucun hématome, probablement seulement un muscle froissé », tu ne savais plus réellement ce que tu disais et ton intonation traduisait ton hébétude. Tu t'agenouilles alors devant la jolie blonde, passant une main à l'intérieur de son genou et l'autre sur l'extérieur de sa cuisse. Tu es si près de son bas que tu peux sentir cet agréable parfum qu'est celui de la lingerie fine de grande qualité. Ta main passe un instant sur la dentelle qui orne sa cuisse, chacun de tes mouvements étant accompagnés d'une grande douceur ainsi que d'un respect sans faille. Tes mains viennent se poser sur ses hanches puis, en même temps que tu te redresses, elles épousent chacune des formes d'Eleanor, remontant finalement jusqu'à sa nuque où tes dis doigts se retrouvèrent. Ton visage surplombe à nouveau le sien et vos yeux ne se quittent plus, « rien non plus pour votre cuisse ». Ta voix est monotone car tu es absorbé par ce regard bleu dans lequel tu te noierais volontiers. Ton regard passe plusieurs fois sur son œil droit, puis son œil gauche. Ton sourire n'est pas revenu, tu es complètement perdu par la tempête d'émotions que cette tête blonde déclenche en toi. Tu hésites un instant à sceller ses lèvres mais une étrange sensation te retient. Qu'a-t-elle que les autres femmes n'ont pas ? Ce n'est pas seulement du désir que tu éprouves pour elle, et tu ne commences seulement qu'à t'en apercevoir.     
 

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Tu t'étais lancée dans un jeu dangereux, auquel tu risquais d'y laisser une certaine envie et passion débordantes. Ton boulot te permettait de rencontrer un florilège de mauvais garçons qui, en temps normal, restaient très à l'écart de ta vie tranquille de journaliste. Cependant, il se pouvait que, parfois, des événements inexpliqués déboulent dans ta vie et que ton avidité finisse par prendre le dessus sur une personne, une connaissance, en lien direct avec une affaire. Présentement, c'était exactement le cas. Tu désires le russe sans oser le toucher car tu sais que cette passion finirait par te bousiller. Ton boulot compte pour beaucoup, tu es une acharnée, une workaholic et s'il s'avérait que ta carrière soit brisée à cause d'un homme, tu le détruirais avec toute la délicatesse dont tu sers faire preuve. Dans l'immédiat, tu connaissais ton plan sur le bout des doigts et tu aspirais férocement à ce qu'il se concrétise. « En effet, je suis le genre de femmes à aimer avoir le contrôle. » lui lances-tu avec fierté avant de planter ton regard luisant sur lui. Tu aimes à ce que tout fonctionne selon le plan, pas forcément le tien d'ailleurs. Mais avais-tu seulement songer à te dévêtir devant le médecin comme dans le cas présent ? Avais-tu imaginé te retrouver dos à lui, en petite tenue pour qu'il en vienne à t'ausculter de plus près ? Peut-être, tu l'avais envisagé du moins et comme tu veux jouer cartes sur table, il fallait passer à l'action et être imaginative pour que toute son attention ne soit rivée que sur toi. Tu semblais avoir réussi alors que le beau russe se positionne derrière toi, faisant glisser la fermeture éclair de ta robe pour mieux dévoiler ta lingerie, comme à Noël, lorsqu'on déballe un cadeau tant attendu. A cet instant précis, tu retiens ton souffle, sentant le regard d'Alekseï posé sur toi, ton corps ainsi que les endroits que tu avais ciblées auparavant. Repliant ton genou pour plus de facilité, tu finis par tressaillir lorsque sa main entre en contact avec ta peau. Ton cœur s'emballe de plus belle alors que ses mains remontent tes courbes gracieuses pour s'agripper à ta nuque. Tu te sens fébrile alors que tes pupilles s'accaparent des siennes. Tu sembles toucher du bout des doigts ton but ultime tandis que vos lèvres semblent enfin se sceller. Tes mains se plaquent dans le bas du dos du médecin, remontant sa colonne vertébrale alors que ton corps exerce une pression contre le sien. « Merci beaucoup. » lâches-tu dans un soupir avant d'appliquer finalement tes lèvres ardentes sur les siennes, partageant ainsi le baiser que tu avais tant espérer lui donner. Brûlante de désir, votre échange se veut plus passionnel, plus emprunt à cette soif d'envie qui te retenait depuis ton arrivée dans la pièce. Tu le forces à se décaler pour mieux le plaquer contre le mur face au banc d'auscultation tandis que tes doigts glissent le long de sa jugulaire, suivant le contour de ses épaules. Une sonnerie de portable retentit au beau milieu de cette scène dans laquelle tu sembles très bien prendre tes marques. Tu fais la sourdre oreille, titillant du bout des doigts le col de la chemise de médecin alors que les siens semblent prêts à défaire ton soutien-gorge. Deuxième sonnerie de portable puis trois. Contre tout attente, tu stoppes net votre baiser, reprenant ton souffle avant de laisser l'une de tes mains se balader sous la chemise désormais débraillée du praticien « Je... Je crois qu'il faut que je réponde. » confuse, tu t'écartes et file jusqu'à son bureau afin d'empoigner ton téléphone portable, rangé dans la poche interne de ton sac et de décrocher vivement. « Ellie, j'écoute. » ton intonation est tempérée mais tes yeux cherchent ceux du médecin. Moue boudeuse, tu lui fais quelques gestes de la main, lui faisant comprendre que tu es bien désolée de ce qu'il se passe présentement même si tu ne l'es pas spécialement, cela t'arrange en fin de compte. « Non Mike, désolée mais je... Oui, je comprends... Je prépare ça demain... Mais elle avait qu'à se bouger aussi... Hum, c'est sûr... Bien. C'est tout bon ? Parfait, oui, à demain c'est ça. » tes doigts se crispent autour du combiné alors que tu portes ton autre main sur ton visage, dégageant les quelques mèches de cheveux qui te gênaient. « Quoi encore ?!... Le sujet de demain ?... Débute par l'accident en Floride après on enchaînera sur le psychopathe qui kidnappe des enfants et on clôtura par... Voilà, c'est ça... Et Gaby va bien ? Elle compte revenir un jour ? » Ca y est, tu étais lancée et impossible de t'arrêter. Impossible dis-tu ? Tu en aurais presque oublié le médecin s'il n'avait pas croisé à nouveau ton regard. Tu grinças des dents avant de lui lancer un regard forcé. « Mike ? Faut que je te laisse, je suis sur un truc... A demain, salut. » Tu raccroches enfin après cinq minutes de bavardage. Tu poses ton téléphone sur ton sac puis pivotes pour enfin faire face au russe, faussement gênée. « Désolée, c'était... Mike, le producteur TV, un chouette type qui d'ailleurs, vient de se faire larguer alors... » oh, c'est vrai que tu aimais beaucoup parler mais ce n'était pas au goût de tout le monde, y comprit Alekseï. L'ennuyais-tu ? Probablement. « Bref. Où est-ce qu'on en était déjà ? » tu l'interrogeais du regard, le voyant s'avancer en ta direction. Allait-il seulement poursuivre ce que vous aviez déjà débuté ou se demander si tu n'en valais pas la peine, trop occupée à gérer ta vie professionnelle sans te soucier du reste, comme tous les autres petits-amis que tu avais eu et que tu avais largué à cause de/grâce à ton ambition.

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ELEANORE & ALEKSEÏ.

Le contrôle, le contrôle. Mais toutes les femmes n'ont donc que ce mot à la bouche ? Récemment, une autre tête blonde t'a fait à peu près le même discours, mais de façon plus houleuse. Tu es toi même un maniaque du contrôle mais tu as l'impression que la vie de tous tourne autour de ces trois syllabes. Tu roules des yeux, exaspéré que cela revienne sur le tapis. La journaliste ne comprendra probablement pas ta réaction mais cela t'importe peu. Ce qui te préoccupes plus à cet instant, ce sont ses petits doigts qui prennent d’assaut ta colonne vertébrale, rapprochant vos deux corps plus que de raison, appuyant ton torse contre sa poitrine. Ta mains initialement dans sa nuque glisse sur ses épaules et l'aident à se hisser jusqu'à ton visage où vos lèvres rompent enfin cette tension qui règne entre vous depuis de longues minutes. Tu es étonné, tu pensais véritablement te prendre un énorme stop de la part d'Eleanore mais elle n'en fit rien, scellant vos lèvres un peu plus passionnément chaque seconde qui passe. Tu ne sais si elle en éprouvait réellement le désir ou si ce n'est qu'un pion de plus qu'elle avance sur son échiquier. Sûr de toi, pensant pouvoir garder le contrôle, tu prends le risque.
Avec force mais élégance, elle te fait faire quelques pas en arrière, te plaquant contre un des mur de ton bureau. Le tableau au dessus de vos têtes tremble un instant mais tu ne le remarques même pas. Tes mains glissent maintenant sur ses fines hanches, l'incitant à ne jamais quitter tes bras par une pression légère mais souhaitée. Ses mains dansent dans ton cou pendant que valsent vos lèvres … Et c'est le drame. Une sonnerie de téléphone, puis deux et enfin trois. Tu aurais voulu la retenir mais la jeune femme s'échappe de votre étreinte en t'informant qu'elle allait répondre. Tu restes planté comme un idiot, dos contre le mur, les bras ballants et la chemise à moitié déboutonnée. Tu ne la quittes pas des yeux, interloqué par cette fuite soudaine. Elle débute sa conversation lorsque tu te rends compte qu'objectivement, il y a une blondinette qui est vêtue de dentelles, qui porte des bas magnifiques, qui se dandine dans ton bureau au téléphone plutôt que pendue à tes lèvres. Tu esquisses un sourire en croisant les bras et te redressant contre le mur. Ton regard se perd sur cette peau de pèche ainsi que sur ces broderies dont les formes sont aussi variées que les plaisirs qu'elles procurent à tes yeux verts. C'est presque caricatural, ses boucles blondes font d'Eleanore une véritable pin-up que tu ne peux toucher qu'avec les yeux.
Mais c'est que cette conversation commence à être bien trop longue à ton goût. Tu t'impatientes, lui lançant des regards de faux reproches pour l'inciter à couper court son dialogue. Tu te sens tout de même plus intéressant à ce moment que n'importe quel producteur TV. Elle finit par raccrocher, tentant de se justifier jusqu'à ce qu'elle se rende compte que c'était inutile. Tu décolles ton large dos du mur pour t'avancer dans sa direction. « Un truc ? Serais-je un simple truc Mademoiselle Brimsey ? » lui lances-tu sur le ton de la taquinerie, ignorant sa question. D'un geste sauvage mais calculé, ta main vient se poser dans le creux de ses reins, l'attirant à toi tel un aimant. Tes cinq autres doigts plongent dans sa crinière blonde afin de reprendre ce baiser fougueux que vous aviez inopinément arrêté. Ceux qui se trouvent dans son dos descendent doucement dessiner les courbes de ses fesses puis de sa cuisse pour finalement la soulever à la seule force de se bras afin de la faire s'asseoir sur ton bureau. Vos lèvres redoublent d'ardeur dans leur étreinte et tu viens coller ton bassin entre ses jambes. Tu sens le souffle de la journaliste devenir plus fort, plus rapide et ça te rend fou de désir. Tu décides de te redresser quelques instants pour contempler le bleu de ses yeux, ne sachant encore lequel regarder. Elle est splendide, aussi naturelle que belle.
« Vous risquez d'attraper froid, je m'en voudrais » lui lanças-tu en arquant un sourcil, un sourire diabolique sur les lèvres. Ton regard se tourne vers ta main levée à hauteur de visage, ton index portant par le col la robe rouge qu'elle portait quelques minutes plus tôt. Profitant de cet instant d’inattention, tu avais saisis le vêtement pour mieux te faire désirer. Après ces mots, tu te reculas, posant la robe dans ses mains. Tu lui adresses un regard de satisfaction, la laissant idiote, assise là, tout comme elle l'avait fait lorsqu'elle avait prit la décision de décrocher son maudit téléphone. Tu fais le tour de ton bureau, venant prendre place dans ton fauteuil et tu commences à taper frénétiquement sur ton clavier, remplissant ainsi le dossier nouvellement créé sur la jeune femme. « Il vous faudra autre chose Mademoiselle ? » lui demandes-tu en levant les yeux vers ce petit cul qui était encore assit sur ton bureau, juste en face de toi. La compétition, une éternelle compétition qui ne te plaisait que trop ainsi qu'un revirement de situation qui ne faisait qu'accentuer la rivalité qui s'était installée entre elle, l'irlandaise, et toi, le slave.      
 

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@Eleanor S.-Brimsey :hum:
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