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Alekseï (+) Mon deuxième chez moi.

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Ce soir j'avais décidé de boire, je passais ma vie entre mon chez moi et l'hôpital, d'ailleurs j'avais l'impression que c'était ma deuxième maison et ce soir cela allait encore ce confirmer. Quand je n'étais pas au boulot j'essayais un minimum de rester en dehors de chez moi, Zoé était avec son père et je vivais mal le fait d'être loin d'elle, pendant des mois j'ai vécu avec ma fille sans avoir à la partager donc sans elle je n'étais rien, sans compter que Jamie m'avait brisé le coeur du coup je n'avais pas la force de me battre, en sortant du bar quand le serveur ma mit dehors parce qu'il était l'heure de fermer j'aperçus une voiture et je traversais volontairement. La voiture avait tout fit mon m'éviter du coup l'accident ne m'était pas fatal, j'étais ivre et blesser plus gravement à la cuisse et quelques égratignures au visage, j'étais inconsciente quand on était venue me chercher mais je repris assez vite mes esprits et j'étais là au urgence, j'attendais un médecin, j'avais demandé à ce que ce soit un médecin que je connaissais, je ne voulais pas avoir de problème au boulot étant donner que c'était volontaire en attendant ma cuisse me faisait souffrir et j'espérais être placer dans une chambre et qu'on s'occupe de ma cuisse.
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❝ Ton deuxième
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SALLY & ALEKSEÏ.

Les urgences sont pleines à craquer ce soir. A tel point que tu as été appelé à la rescousse grâce à tes quelques années d'urgentiste avant de te spécialiser dans la cardiologie. Tu sors des vestiaires à toute vitesse en terminant d'enfiler ta blouse. Sur ton passage, le personnel s'écarte car personne n'a envie de subir la colère slave qui gronde en toi et qui peut surgir d'un moment à un autre. Telle était ta réputation à l'hôpital et elle te plait assez. Au moins, tu es certain que personne ne va venir te faire perdre ton temps pour des inepties.
A peine arriver au service qu'on te confie le dossier d'une patiente qui vient d'arriver. Percutée par une voiture. Alcoolisée. Plaie superficielles au visage et hématome probable sur la cuisse. Au moment où tu rentres dans la chambre indiquée, tes yeux lisent le nom de la patiente. Sally Mendoza. Interloqué, tu lèves ton visage et ton regard se pose sur la secrétaire avec laquelle tu as l'habitude d'aller boire un café. Le dossier toujours dans les mains, tu t'approches d'elle, « Sally ? ». Elle est assise sur le bord du lit, face à toi et tu vois bien dans son regard qu'elle n'est pas dans son état normal. Tu poses le tas de feuilles sur le matelas et tes doigts viennent inspecter les plaies qui ornent son visage. « Comment tu t'es fait ça ? » lui demandes-tu calmement. Tes yeux se posent finalement sur la jolie plaque rouge brun qui commençait à se former sur sa cuisse. Tu remarque qu'il y a une plaie au centre et qu'elle va probablement nécessiter quelques points de suture.
 

© MADE BY LOYALS.


@Sally L-A. Mendoza
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Ce soir je m'étais juste retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment, enfin c'est ce que j'allais répéter aux autres même si c'était tout autre chose, bien sûr que j'avais vu cette voiture, bien sûr que j'étais consciente que c'était grave et au final j'étais ravie d'avoir rater mon coup parce que j'avais Zoé et je ne comptais pas laisser ma fille, elle n'avait que moi depuis le début et jamais je laisserais Jamie lui présenter une autre femme et lui imposé une belle mère parce que j'étais sa mère et je le resterais, je m'étais rendu compte que c'était une grosse connerie ce que j'avais fait ce soir et avoir mal physiquement atténuait les cicatrices que Jamie avait ouvert dans mon coeur, j'étais dans une chambre à attendre un médecin après avoir demandé un médecin que je connaissais, j'avais peur de perdre mon poste et vu que le conducteur était témoin et qu'il avait dit que j'avais sauté limite sur sa voiture je ne voulais pas qu'un autre médecin l'entende et mette mon statut au boulot à mal. J'entendis une personne entrer et en apercevant Alek sur le coup j'étais un peu soulagé, bien qu'il soit distant on ce connaissait et je me disais que peut être il n'irait pas à me faire du tort, je le regardais approché en me pinçant les lèvres surtout quand il examinait mes plaies au visage. "J'ai pas vu la voiture." Je repris en ayant peur que e conducteur est tout raconter et je repris en me perdant dans mes explications. "Enfin si je l'ai vu je pensais quand me dépêchant j'aurais eu le temps de traverser...Il croit que j'ai fais exprès le mec au volant." J'étais ivre et j'avais mal alors en plus essayer de me faire passer pour innocente c'était difficile dans un état comme ça, je baissais mon regard sur ma cuisse quand il posait son regard dessus en soupirant, je n'aurais pas dû me retrouver ici ce soir.
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❝ Ton deuxième
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SALLY & ALEKSEÏ.

Tu lui adresses un regard de réprimande lorsqu'elle essaie de t'embobiner en te racontant que cet accident n'était pas volontaire. Bien sûr, tu avais lu son dossier, tu avais lu la déposition des témoins ainsi que celle du conducteur et tu le sais maintenant, Sally s'est jetée sous la voiture de son plein grès.
Tu reportes rapidement ton attention sur son visage, laissant la cuisse pour la fin. Tu te diriges vers la petite étagère disposée dans la chambre et y sorts compresses et flacons de désinfectant pour les petites plaies sur son visage. Une main sur sa joue et l'autre tenant la compresse imbibée, tu entreprends de nettoyer le sang superflu ainsi que les éraflures pour une meilleure cicatrisation. Tu te rends vite compte que tu n'es absolument pas bavard et te décides à te rattraper « je vais devoir te poser deux ou trois points de suture sur ta cuisse, ça ne fera pas mal ». Tu n'as jamais su rassurer qui que se soit, et ce n'est pas aujourd'hui que ça commencera malgré tes efforts. « En ce qui concerne ton visage, ce n'est rien, juste des égratignures, ce sera terminé dans quelques jours ». Une fois ton nettoyage effectué, tu sors quelques secondes dans le couloirs afin d'aller récupérer ton matériel de suture. Tu le poses sur la table en face de la secrétaire et commences à préparer l'aiguille et la seringue.  
 

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@Sally L-A. Mendoza
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A son regard je voyais bien qu'il était au courant, je ne voulais ps mentir mais je ne voulais pas être juger non plus ou être prise pour une folle, j'avais été malheureuse et j'étais encore ivre, le choc m'avait remit les idées en place tout de même. Il était distant, silencieux, froid mais je le connaissais donc je n'étais pas surprise du coup je le laissais faire son travail en me pinçant les lèvres, je n'étais pas douillette et avec l'alcool j'avais l'impression d'être comme anesthésier, je ne dirais pas que c'était agréable mais j'avais connu pire. Je me laissais faire par lui quand il s'occupait des égratignures sur mon visage en l'écoutant ensuite, je répondis alors en secouant les épaules. "Tu peut y aller je ne suis pas du genre douillette." Je n'avais aucunement besoin d'être rassurer donc pour le coup il s'en sortait bien. "Je m'en fais ps pour ça mais plus pour ma réputation dans l'hôpital... Tu va tenir mon responsable au courant??" J'étais ivre mais pourtant mon boulot était ma priorité là puis je m'inquiétais aussi pour Zoé au final, il allait récupérer son matériel avant de s'installer face à moi près à s'occuper de ma cuisse, elle était dans un sale état par rapport à l'hématome tout autour mais la plaie en soit n'était pas trop importante.
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« Tant mieux, parce que je ne suis pas très délicat » lui réponds-tu avec un léger sourire au coin des lèvres. Elle est ivre et ça se voit. Ou plutôt ça se sent. Tu n'en tiens pas rigueur, libre à elle d'occuper ses soirées comme elle le souhaite, tu es le dernier à refuser un verre, quel que soit le contexte. La jeune femme semble s’inquiéter de la répercussion que pourrait avoir l'accident dont elle vient d'être victime. Tu lèves un sourcil en posant la petite seringue que tu tiens entre les mains. « C'est inscrit dans ton dossier Sally, je ne l'ébruiterai pas mais quiconque mettra le nez dedans découvrira la vérité », dans ta voix se trouve une pointe d'autorité. Tu apprécies énormément Sally mais tu n'es pas véritablement réjouit de l'attitude qu'elle a eut ce soir. Mettre ainsi sa vie en danger, tu trouves cela incohérent.
Tu t'approches d'elle, la seringue de nouveau dans ta main. Tu injectes tout autour de la plaie le produit anesthésiant même si tu ne doutes pas un seul instant que l'alcool qu'elle a ingéré fait exactement le même effet. Ton geste n'est pas précautionneux, tu as toujours ignoré la douleur des patients lorsqu'elle ne te semblait pas importante pour le diagnostic. Mais la secrétaire ne bronche pas. Une fois l'anesthésie locale effectuée, tu empoignes la pince porte aiguille et l'apporte jusqu'à la peau de la blonde. Tu entreprends alors de refermer cette plaie qui ne mettra pas bien longtemps à se refermer définitivement. « Qu'est-ce qui t'es passé par la tête Sally ? » lui lances-tu sans lever les yeux des points que tu es en train de faire. Trois points, il aura suffit de trois points. Tu te redresses alors afin de ranger un peu ton matériel.   
 

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@Sally L-A. Mendoza
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"Même au lit." J'étais clairement ivre pour poser ce genre de question en règle générale je le ferrais avec n'importe qui mais pas un collègue, j'aurais pu le draguer plus délicatement mais de là a poser ce genre de question comme ça c'était clairement que l'alcool me donnait du courage ou de l'idiotie a voir. Je m'inquiétais forcément pour mon boulot, moi qui voulait passer une formation pour devenir infirmière par la suite et moi qui m'attachait pas à ce boulot mais à ce train de vie que j'avais je m'inquiétais vraiment de devoir y renoncer, je le regardais dans les yeux quand il me dit ça en me pinçant les lèvres. "Et ce dossier ne peut ps ce perdre??" J'étais secrétaire alors est ce que moi je pouvais le faire disparaitre j'en sais rien et est ce que je ne m'attirais pas plus de problème comme ça, je n'avais pas réfléchi aux conséquences et évidemment là je flippais un peu. Je le regardais faire avec la seringue et pour le coup je ne sentais vraiment rien, mais alors rien du tout, je n'avais déjà pas peur des piqûres et je serais juste les dents pour les endroits plus douloureux mais là rien du tout, ma cuisse me faisait légèrement souffrir mais là sa allait déjà beaucoup mieux, je me mordillais la lèvre quand il décidait de me poser cette question après avoir prit son aiguille et commencer les points de suture. "Un coup de folie, une connerie enfin tout ce que tu veut, je n'étais pas bien et je voulais que sa s'arrête." J'étais honnête aussi quand j'étais ivre, je l'ai toujours été en étant ivre beaucoup plus que sobre, je le regardais terminer sa merveille en regardant l'état de me cuisse.
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Tu te contentes de lever les yeux vers elle, supposant que sa réflexion sur ta délicatesse était simplement due à l'alcool qui coulait dans ses veines. Elle te t'avait jamais fait du rentre dedans ainsi c'est pourquoi tu décides simplement de l'ignorer, de faire la sourde oreille. Tu es un séducteur né mais hors de question d'abuser de la crédulité d'une jeune femme ivre et probablement en état de choc.
Elle te demande ensuite si ce dossier, le sien, ne pouvait pas se perdre par inadvertance dans la paperasse de l'établissement. Sans un mot et un regard grave sur le visage, tu te redresses pour lui faire face. « Si tu veux le faire disparaître, libre à toi, mais je ne m'impliquerais pas dans ce genre d'histoire » et c'était la stricte vérité. Tu avais baigné dans bien trop de magouilles bien plus sombres et violentes que celle que tu proposait la secrétaire mais il était hors de question que tu recommences. Tu te remets rapidement au travail minutieux que tu étais en train d'effectuer sur la plaie qui ornait sa cuisse.
Tu termines rapidement de poser les trois points de suture qui seront à ôter dans une petite quinzaine de jours. « Une énorme connerie en effet » lui réponds-tu sur un ton impartial et sans même lever les yeux vers elle. Tu apprécies Sally et savoir qu'elle s'est volontairement jetée sous cette voiture tu fais de la peine. Tu la réprimandes par le ton froid que tu emploies même si la secrétaire est une grande fille et qu'elle fait ses choix elle-même. Tu commences donc à ranger ton matériel et tu finis par le sortir de la pièce. Lorsque tu repasses le pas de la porte, tu te plantes face à la jeune femme, les bras croisés, « je ne suis pas certain que ta fille saurait se débrouiller sans toi ».  
 

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J'allais surement me réveiller avec un mal de tête demain matin en plus de cette douleur à la cuisse avec cet alcool dans le sang et je commençais déjà a dire des bêtises, le truc c'est que j'en avais conscience en plus et j'essayais de passer au dessus parce que là c'est pas ce qui me préoccupait le plus, j'avais besoin de retrouver ma fille quand j'irais mieux et que j'aurais évacué cet alcool et surtout mon boulot me préoccupait. "Ce qui veut dire que tu ne mentira pas si on te demande ta version des faits??" Si je faisais disparaitre ce dossier mais que derrière lui disait la vérité, à quoi bon à part me retrouver sans boulot et encore être au plus bas, déjà que j'avais limite envie de me foutre en l'air mais si en plus je perdais mon boulot il me resterait vraiment rien et c'est ce que je craignais. Je le laissais travailler sans rien dire surtout quand il insistait sur le fait que ce soit une connerie, en même temps je le savais donc je ne pouvais pas me justifier là dessus. J'étais assise sur ce lit face à lui impuissante et quand il revenait près de moi pour me parler de ma fille c'était pire, j'avais regretter à la minute où j'avais pensé à Zoé et puis j'avais volontairement traverser cette route mais bon si vraiment je voulais mourir j'aurais agit différemment et je ne me serais pas rater. "Son père aurait été ravie au contraire il aurait eu Zoé rien que pour lui. Et puis c'était une connerie mais je ne voulais pas ça crois moi si je voulais mourir je ne me serais pas rater, il y a d'autres moyens plus radical."
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SALLY & ALEKSEÏ.

Avant de quitter la pièce pour mettre au sale le matériel souillé de sang, tu te tournes vers Sally, la mine grave, « non je ne mentirai pas, au mieux je dirais que je n'ai pas lu ton dossier ». Par ton intransigeance tu voulais également qu'elle comprenne l'importance de ce qu'elle avait fait ce soir. Tenter de mettre fin à ses jours était tout simplement inconscient. Tu bous de l'intérieur et tu hésites un instant à lui balancer que bon nombre de personnes décédées auraient aimé avoir la chance qu'elle a d'être en vie et en bonne santé. Notamment Anna. C'est vers elle que tes pensées se tournent l'espace de quelques secondes. Si seulement elle avait eut le choix, elle.
En revenant dans la pièce, tu écoutes sa réponse qui signifie en fait que c'était une fausse tentative, un coup de tête, un caprice. Tu tiens dans tes mains ce grand carnet contenant tes ordonnances vides. D'un geste sûr, tu sors un stylo de ta poche pour commencer à griffonner sur le papier. « Bats-toi pour elle, plutôt que de baisser lâchement les bras » tes mot étaient durs mais avaient pour but de la réveiller, de lui faire prendre conscience des choses qui l'entourent. Tu as toujours été un homme détaché et froid, même avec les personnes que tu apprécies, la secrétaire ne dérogeait pas à la règle. Tu arraches vivement la première feuille de ton calepin et la tends à la jeune femme, « des anti-douleurs, une crème cicatrisante, reviens dans quelques jours pour que je constate de l'évolution de la plaie ».  
 

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@Sally L-A. Mendoza
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