Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Your heart got a story with mine » ∇ MAXWAN - Page 2
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« Your heart got a story with mine » ∇ MAXWAN

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Il en a fallut, des circonstances, pour nous réunir. Il en fallut croiser des chemins, cumuler les erreurs, se perdre dans des chasses vaines. Il en fallut des déceptions, des cœurs brisés. Les leurs, les nôtres, aussi. Vous dites que maintenant, c'est facile ? Ca l'est pas. J'ai toujours l'impression que tu vas partir, que tu ne m'accordes que des parenthèses, encore. Que tu ne me donneras qu'une nuit, qu'un baiser. J'suis une putain d'arnaque. T'as qu'à leur demander, à Ricardo, à Paris. Ils te diront combien ils ont du pardonner mes excès, combien j'avais raison, quand je leur ai dis que c'était pas le bon plan, de me donner leur cœur. J'sais pas quoi en faire moi. J'ai toujours peur de les abimer, et comme j'fais que de trébucher, ils m'échappent parfois des mains. Et je les griffe quand je cherche à les réparer. Puis nous, on sait pas se parler. Ce qui nous sépare se trace un sillon grandissant, quand on oublie qu'on est attaché. On sait faire les blessures, et on le fait bien. C'est plus facile quand on aime. « Tu feras de beaux rêves, j’te le garantis. » Mais pour l'instant, laissez-les vivre leur histoire d'adolescent. Celle qu'ils auraient du vivre il y a des années. Laissez-la hausser un sourcil, se trahir dans ce sourire. « Pardon ? J’ai mal entendu ta blague. » Laissez-la râler silencieusement, le gronder de ses prunelles obscurs. « Tu ne mérites pas ce côté merveilleux de ma personnalité. » Rictus, aux commissures. « Tu mérites le pire. » Tu auras les deux. Et j'aurai les tiens, j'en suis certaine. Impitoyables l'un envers l'autre, c'est ce qu'on se promettra. « Mais maintenant que tu es là.. » Ca y est, tu m'offres ton meilleur ? Docile, la demoiselle, qui se laisse débarrasser de son alcool. Naïve et intéressée. J'm'en mordrais la lèvre d'envie, si tu ne m'avais pas chargé comme un vulgaire sac sur ton épaule. « ..on va rattraper le temps perdu. » Et évidemment, elle gesticule, pestant contre l'homme. Ouais, elle imaginait pas ça McAllister. Le mur froid contre son dos lui rappelle combien la courbe de sa température vient de faire les montagnes russes. « Ou on peut le laisser perdu, c'est pas mal aussi. » Qu'elle ironise, de ses dernières armes. « Je t’ai manqué ? » La main qui vient sur le pommeau, comme si ses doigts allaient pouvoir arrêter l'eau. C'est désespérant. « Pas le moins du monde. » Que je murmure contre tes lèvres, avec cet air malin que j'ai du mal à calmer, qui m'emmène trop souvent à ma perte. Et crois bien que si je résiste à l'envie de t'embrasser, ca en coûte toute ma volonté. La fierté domine. Et sait-on jamais, que ma silhouette qui fuit le marbre froid pour préférer la tienne, parvienne à te distraire suffisamment. Demoiselle tente de dévier la menace. « C'est même plutôt reposant, quand t'es pas là. » Cousez-lui les lèvres, sauvez-la.
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« Tu ne mérites pas ce côté merveilleux de ma personnalité. Tu mérites le pire. » Evidemment. Mais tu sais, je vois le meilleur et le pire depuis qu’on se connait. « Tu penses m’effrayer ? » Tes instabilités, j’les connais. Tu trébuches, tu t’fais mal. T’entraines l’autre. Et il n’y a pas plus beau spectacle que celui où tu t’acharnes à réparer tes erreurs. J’suis conscient, partant. Ce n’est pas les égratignures qui me tueront. C’est la balle que je viens de mettre dans ton flingue. Parce que si ta crainte est celle de mon départ, la mienne est autre. C’que je crains c’est le jour où tu te rendras compte que tout c’que tu as pu ressentir au cours de ces deux dernières années ; Tous tes pincements au cœur ; Toutes tes crises de jalousie ; Tous tes regards noirs pour Elizabeth, ne sont pas les symptômes de l’amour. Que ce n’est que de la possessivité. Parce que si de mon côté rien n’a jamais été aussi clair, pour toi je ne vois qu’un brouillard. La balle est dans le pistolet. Le canon sur ma tempe. Ton doigt sur la gâchette. Amuse toi bien. Pendant ce temps, c’est moi qui rit de ta surprise. Pense pas que je serais toujours celui qui liera nos lèvres. J’t’attends. « Pas le moins du monde. » Moh, quelle belle petite menteuse. « C'est même plutôt reposant, quand t'es pas là. » Et lui sourit à la remarque. Parce qu’il n’y a que McAllister pour en sortir d’aussi belle. « T’as pas compris le principe. » Se sera de l’eau froide pour l'effrontée. Gelée même. Et ce n’est pas tes tentatives vaines qui te feront basculer dans la position de force. J’la garde, et toi tu retournes contre le mur, parce que j’t’ai pas donné l’autorisation de t’enfuir. Et c’est seulement quand je juge que t’es assez trempée que j’me recule, j’éteins l’eau et je retire mon pull pour te le tendre. « Ca me ferait de la peine que tu tombes malade. » Et n'y voit pas la sympathie. N'y voit que les abdos et cet air malin dessiné sur mes fossettes. « Tu mens très mal McAllister. », que je conclus.
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Tout à l'air pareil. La McAllister hurle, la McAllister fait la fière, et l'Wayans aborde cette tête d'Eliot que la fille d'en face déteste. Si tu voyais, pauvre fille, que vous avez la même. Débordants d'ego, vendant vos vies pour un dernier mot. Vous n'êtes qu'une suite de services, de langues tirées, de provocations. Sauf que cette fois, j'ai le droit de profiter de tes frissons. Un frisson qui s'amorce pourtant sur la peau féminine, quand le bellâtre s'amuse : « T’as pas compris le principe. » Et il laisse pas de deuxième chance, l'Impitoyable. C'est un torrent gelé qui s'abat sur la chevelure ébène, qui poursuit sur ses traits mélangés, et finit par congeler le corps sans défense. Oh, vous vous doutez qu'un cri s'en suit. Quelques : « ARRETE WAYANS ! » Et autres « Putain c'est gelé, Antwan! », sans compter quelques insultes censurées, qu'elle bafouille en essayant de se sortir de là, son corps se tortillant pour passer la barrière de la silhouette masculine, à l'aveugle. Na, elle est repoussée comme un vulgaire poupon en tissu, contre son mur qui a presque l'air chaud, maintenant. Il a toujours la force physique pour lui. Quand l'eau s’éteint, les paupières s'ouvrent sur les prunelles plus noires de la belle. « Ca me ferait de la peine que tu tombes malade. » Reprend son souffle, prenant ton pull, te flanquant un coup sur le torse avec ce foutu pull. « Trop aimable. » Accentue son sourire, dégoulinant d'ironie. Et ton blabla de  « Tu mens très mal McAllister. » j'l'écoute à peine, trop occupée à me débarrasser de ma robe trempée, que je balance parterre, revêtant ton pull trop grand. « C'est vrai, j'aurai dû te dire que tu m'avais manqué.. » Comme une demoiselle qui pardonne beaucoup trop vite, qui se fait un peu trop vite berner par ce spectacle que tu m'offres. La lèvre mordue, qui s'approche. Qui susurre un : « Comme ça, ça m'a manqué. » Qui t'embrasses. Parce qu'elles m'appelaient, tes lèvres. Et.. ouais, d'accord, que ça me permet de chopper de ma main qui ne se perd pas dans ta nuque, un gel douche. Je t'occupe de ma passion. Tu le sens, ce liquide sur tes cheveux ? Je quitte ta bouche juste avant que ça ne me touche. Et je finis de vider le flacon en t'aspergeant avec, m’afferant à t'en foutre un maximum partout. De tes cheveux à ton nombril. Bien sur que j'en profite. « T'es beaucoup mieux parfum fruits des bois. » Qu'elle se marre la gamine.
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Je sais bien que rien n'est joué. Que même avec de l'eau dégoulinant sur tes épaules refroidies, tu ne reviendras pas vers moi. Se serait trop simple. Et la facilité ne nous caractérise pas. Néanmoins j'apprécie le chemin que tu fais jusqu'à mon corps. Tes lèvres sur les miennes, j'les savoure. J'en oublie momentanément que tu ne me pardonneras pas pour cette douche improvisée. Mais j'm'en fous, j'te jure que j'm'en fous de tes idées de vengeance. Je veux juste que rien ne s’arrête. Sauf qu'un liquide se déverse sur ma tête. Tu t'éloignes, tu me recouvres de gel douche. Et moi, j’entrouvre la bouche, sans bouger, regardant le torse luisant, un sourire se formant sur le coin des lèvres. Bien joué Max. « T'es beaucoup mieux parfum fruits des bois. » Bien. Moque-toi. T'auras pire que ça. C’est à celui qui aura fait la meilleure connerie. J'passe mes doigts dans mes cheveux, constate le gâchis de produit. « Vraiment ? » Et il pourrait trouver vengeance directement, mais l’homme ne fait que s’approcher d’elle. L’embrasse. Avec fougue. Comme s'il allait se réveiller d'une seconde à l'autre. Le cœur s’accélère à chaque baiser. Et les mains viennent se glisser sous le pull, accompagné d’un « Franchement, tu ne mérites pas ma gentillesse. » qui lui permet de te le retirer. Et maintenant, les corps peuvent se coller. Le gel douche peut se partager. N’est-ce pas magnifique. Le corps s'embrase, tu dois le sentir. Les mains qui dessinaient les courbes féminines viennent se plaquer contre ton dos. J'te transmets ma chaleur. Plus tard, quand le ciel assombri sera déchiré par nos éclairs, souviens toi de ce moment. Souviens toi qu'un jour on a été ce soleil.
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