Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Your heart got a story with mine » ∇ MAXWAN
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« Your heart got a story with mine » ∇ MAXWAN

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Tu m'as dis demain, on est demain. On est même des jours, des semaines après le jour 1. La faute à mon départ, promis c'était pas voulu. Même si j'avoue, ça a bien nourrit mon instinct de fuite, cet appel de Leyna. Je sais pas vraiment ce qu'on est, et moi les déceptions, je les gère mal. J'imagine toujours le pire, te concernant. Une question d'habitude. Une question de rousse, de brésilien, de temps mals choisis. On sait pas comment se trouver, nous. On est juste doué pour rater nos instants. Face au miroir, McAllister accumule les chances, pour contrer la roue. C'est plus facile de se parer pour le monde, plutôt que pour un. Elle souligne ses lèvres, elle se rappelle de tes lèvres, à toi. Elle dompte sa crinière, elle dompte son caractère enflammé, colérique. Sa manie de foutre le feu partout. Regarde derrière mes pas, qui me mènent jusqu'à ton appartement. Tape à la porte, avec une assurance qu'elle surjoue. T'ouvres, je vérifie même pas que c'est toi. J'ai trop peur de me trahir avec des traits trop concernés. « Je voulais t'envoyer un message plus tôt, mais je savais pas quoi dire. » Que je lâche directement, étalant mes cartes sur ta table. Et me dit pas que l'inverse n'est pas vrai aussi. Dit-le que toi aussi, t'as été plusieurs fois sur mon prénom, que t'as même, peut-être, tapé quelques lettres, hésité avec le doigt sur l'envoi, et que tu t'es résigné. Parce qu'on vaut pas mieux l'un que l'autre, là-dessus. Si on se fournit des portes entre-ouvertes, on s’engouffre dedans. Regarde-les mes prunelles, qui finissent par remonter vers les tiennes. Regarde-les et ne t'en lasse jamais.
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Antwan ne sait pas, ne sait plus. Les certitudes fragiles d’une soirée se sont envolées. Les mains liées se sont séparés trop brutalement. L’homme n’a pas eu le temps de s’acclimater à la nouvelle dynamique que la belle s’en est allée pour New-York. Comme c’est arrangeant de retrouver Leyna. Antwan n'y voit que le cruel parallèle avec le Housing Day. Il en est même à penser que le retour de Maxym ne date pas d’hier, mais de plus tôt. Qu’elle a continué à fuir, même de retour sur le sol de Boston. Et aujourd’hui elle est juste obligée d’arrêter sa fuite parce que le manque. Parce que l'amitié. Alors l’homme ne se précipite pas, invente une occupation pour la soirée dernière afin de se préparer à leur confrontation. Wayans range, fait la maniaque, s’observe dans le miroir avant l’arrivée de Maxym. Ridicule, mais nécessaire. Un sursaut quand la porte est secouée par deux coups. Qu’il se déteste pour ce stress. Allez, c’est que Max. Celle que tu connais depuis des années. Celle qui est ta meilleure amie. Celle que t’as embrassé aussi. Il passe une main dans ses cheveux, oublie la chemise pour enfiler le t-shirt porté depuis le début de journée. Pour faire plus vrai. Plus celui qui n'est pas inquiet par la possible tournure de leur relation. C'est rien. Ca le rassure. Et il vient enfin à la porte, ouvre, sourit. « Tu pouvais entrer, c’était ouvert. » Naturel. Pas de malaise. Ils peuvent le faire. Wayans se décale pour la faire entrer. « Je voulais t'envoyer un message plus tôt, mais je savais pas quoi dire. » Sa bouche s’entrouvre, prit de court. Il est pas habitué à ça, autant de rapidité, il s'était pas préparé. Ah. Sa main vient attraper sa nuque. La gène. « La vérité. » Ce à quoi il rajoute un « Même si elle fait mal. » précipité. Il peut pas rester debout, face à elle sans rien faire. Attendre est trop long. « Tu veux boire un truc ? » C'est qu'il ne fait même plus gaffe à l'image qu'il donne. Juste s'occuper.
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Qui aurait dit que ça serait encore compliqué, après que nos lèvres se soient consumées ? Qu'on se soit dit qu'on était pas vraiment des amis. Hein, qui l'aurait dit ? Nous, déjà. Parce qu'on est des emmerdeurs pour Cupidon, il le sait. Pas des cibles faciles. Pourtant, le principal est la. Dit-moi qu'il l'est. Que toi aussi, ton cœur est boiteux, qu'il marche mal, trop fort, quand on se frôle. Je suis dans l'encadrement de cette porte, et d'habitude, je serai rentrée plus vite. Sûrement que je ne me serai pas annoncée. Je n'aurai pas accepté que tu ai mieux que moi, hier. Je te regarde. Mieux, plus intensément. J'observe, t'es mal à l'aise. Ça me provoque un léger sourire. Le visage se penche légèrement sur le côté. " J'ai pas l'impression que mentir nous ai bien servi jusqu'à maintenant. " Tu sais, quand je réfutais la jalousie alors que je cherchais tes frissons. Quand je te repoussais de ma vie, après que tu m'ai repoussé d'une pièce. Ma lèvre se fait mordre, tandis que mes billes regardent autour. "Tu as retrouvé le numéro de ta femme de ménage ?" Qu'elle essaye de détendre l'homme. Avant de vite enchaîner. " Offre-moi un verre, oui." Peut-être que l'alcool déliera le noeud formé dans mon ventre. Mes pas me mènent jusqu'à la cuisine, et mes doigts habitués sortent deux verres. Les deux billes foncées se relèvent vers l'Antwan. " Et dit-moi que tu ne m'en veux pas d'être partie." C'était pour Leyna. Et pour moi aussi, un peu. Appuie ses mains sur le bar, solidifie sa posture. Tu la vois, l'assurance des McAllister ? J'avais la même, quand par jeu, j'ai perdu quelques vêtements dans cette rue. Ce soir là. "Je fuis pas." Puisque j'ai essayé d'être plus belle que d'habitude. Puisque je combats toutes mes craintes. Puisque je suis là, ce soir.
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Jamais se sera simple. Il y aura toujours des doutes, des craintes, des malaises. Aujourd'hui, il n'y a que ces sentiments qui émanent de la carcasse masculine. Maintenant qu'elle a goûté à ce qu'elle voulait, qu'elle a compris qu'il était à elle, peut-être que tout a changé. Aucune confiance en lui. Voit le mal partout. Même dans le sourire amusé que tu arpentes quand tu entres. J'vois la moquerie, j'y peux rien. Alors j'me réfugie près du frigo pour que tu ne puisses pas me fixer avec tes grands yeux bruns. « Tu as retrouvé le numéro de ta femme de ménage ? Offre-moi un verre, oui. » Fin sourire, il sort deux canettes de bières tout en répondant à la demoiselle. « Fallait bien. Ça devenait un vrai bordel.  » Puis Wayans a toujours été dans la facilité. Jamais trop se fouler. Surtout en terme de ménage. Il a assez d'argent pour en gaspiller. Puis ça aide la femme à arrondir ses fin de mois. Tout le monde est heureux. « Et dit-moi que tu ne m'en veux pas d'être partie. Je fuis pas. » Le sourire se fait plus acide, les dents serrés. Puis le regard se lève pour affronter celui de la demoiselle et ses mains abandonnent les canettes sur le comptoir. « Tu veux peut-être quelque chose de plus fort ?  » Lui, veut plus d'alcool, mais se contente d'ouvrir sa canette et d'en boire une gorgée. Il tente de paraître détaché alors que la question féminine se répète dans sa tête. « Pour moi t'as fuis. Peut-être que Leyna avait vraiment besoin de toi, mais t'en as aussi bien profité pour t'éloigner. Et ça, tu vois, j'l'ai en travers de la gorge, parce que pour une fois j'ai assumé ce que je ressentais. » Rire nerveux. Regard abaissé vers la boisson. Quand il avait besoin d'elle, elle n'était plus là. « Et quand t'as pas de nouvelles de la fille que t'as embrassé, t'as toutes les raisons du monde de croire que t'as merdé en beauté.  » Et il boit une nouvelle gorgée. « Alors à toi de me dire maintenant, si j'ai pris la bonne décision ce soir là. »
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« Fallait bien. Ça devenait un vrai bordel.  »On est autant en bordel que ces pièces ? J'suis pas sûre qu'on puisse compter sur quiconque pour nous ranger. Nous sortir de là. Faire en sorte qu'on fonctionne à nouveau, dans une espèce d'harmonie qu'on cesse de simuler. Demoiselle fait glisser ses doigts sur une canette, l'observant du coin de l'oeil. C'est à ce point, que tu m'en veux ? Je le vois à ton sourire qui n'est pas complet, ta mine qui devrait être plus réjouit. On a fait plus expressif que Wayans, d'accord, dont la neutralité de ton tranche toujours clairement avec l'excessivité adverse. Mais j'ai pas besoin de traits forcés, de m'attarder d'avantage, pour voir que nous ne sommes plus sur la même vague que notre entrevue précédente. On est plus des enfants, on s'amuse plus. On doit être des grands, Antwan, des grands qui parlent. On s'les prise en pleine gueule, la vague. J'bois la tasse. J'bois une gorgée. J'hoche la tête. « Tu veux peut-être quelque chose de plus fort ?  » J'hoche encore la tête, imbécile, mais je bois quand même. Faudrait me maintenir la tête dans une piscine de vodka, au moins. Au moins ça pour encaisser : « Pour moi t'as fuis. Peut-être que Leyna avait vraiment besoin de toi, mais t'en as aussi bien profité pour t'éloigner. Et ça, tu vois, j'l'ai en travers de la gorge, parce que pour une fois j'ai assumé ce que je ressentais. » Vas-y, avale ta gorgée, elle brûle hein ? T’étouffe pas avec, il dirait encore que tu fuis. Garde les yeux hauts, voilà, bien en face. Non, on ne faiblit pas McAllister. Qu'importe qu'il continue : « Et quand t'as pas de nouvelles de la fille que t'as embrassé, t'as toutes les raisons du monde de croire que t'as merdé en beauté.  » Pose sa bière, maintenant. Et l'uppercut semble laisser place à une incompréhension. C'est notre mot préféré. « Alors à toi de me dire maintenant, si j'ai pris la bonne décision ce soir là. » Un léger sourire, sur les lèvres féminines. Tu ne me repousses pas. Les craintes quittent ses entrailles. « T'es vraiment un idiot. » Qu'elle souffle tout en portant le goulot à ses lèvres, brièvement. Et j'te le dis, avec tout le stock de sentiments qui dégoulinent pour toi. « Tu crois que t'as merdé ? Tu penses que j'ai regretté, que je voulais pas assumer ? » Ses doigts retrouvent le bar. « T'as raison, pour une fois t'as assumé.. et moi, j'ai eu peur que tu fasses machine arrière. Ca m'a pas rappelé nos meilleurs souvenirs. » Et l'animal ne saurait se faire frapper deux fois au même endroit. Elle se protège. Peut-être pas de la meilleure des manières. Se mord la lèvre, et porte ses billes sur l'homme, à nouveau. Le bras se tend, jusqu'à ce que les bières s'entre-choquent. « T'es un idiot, mais pour une fois, t'as pris la bonne décision. » La bouche maline, la voix taquine. Attrape son téléphone dans la poche de son jean, et, alternant son regard, sur l'écran puis sur lui, tape un message, et lui envoie un : « Embrasse-moi, idiot. ». Vaut mieux tard que jamais.
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Comment je devrais réagir d’après toi ? Etre celui qui t’embrasses quand tu passes le seuil de mon appart ? Celui qui se fiche de ne pas t’avoir parler plusieurs jours ? Tu me connais. Tu sais que bousculer mes certitudes m’amène à trop réfléchir. A émettre des hypothèses. Les mauvaises souvent. Parce que tu me rends vulnérable. Je déteste cette faiblesse comme je l’aime.  « T'es vraiment un idiot. » Arque un sourcil, l'air grave. Arrête de boire. Attend la suite. Balance ce que t'as McAllister. « Tu crois que t'as merdé ? Tu penses que j'ai regretté, que je voulais pas assumer ? » Vois ce que ta distance imposée me fait penser. « T'as raison, pour une fois t'as assumé.. et moi, j'ai eu peur que tu fasses machine arrière. Ça m'a pas rappelé nos meilleurs souvenirs. » Pourquoi faire machine arrière après ça. Après avoir ouvert son cœur, avoir admis que tu es la seule. J'aurai pas reculer. Pas si tu étais venue dans la semaine. Aujourd'hui, j'suis obligé de me protéger. Parce qu'il y a eu trop de temps écoulé depuis notre échange. « C’était pas suffisamment clair ? » Je vois pas comment te montrer que c’est bon, je suis à toi. Que y a personne d’autre. Que je nous fais confiance. L’homme s’intéresse au sms qu’elle semble lui envoyer. Sort son teléphone, s’enquiert. Le sourire est trop sincère pour être contenu. Il abandonne la technologie pour revenir dans le monde réel, s’approcher de la belle, l’empêcher de s’en aller. La confiance revient. « On a un sérieux problème de communication. Même pas capable de me dire que tu meurs d’envie de m’embrasser ? » Allez Maxym, t’aurais pu venir à lui directement et ne pas passer par des sms. C’est si difficile de le dire à voix haute ? Je nous rapproche, je t’embrasse. Je me lasse pas. Et je veux plus. Doucement. « Va falloir que tu me trouves un autre surnom. Idiot c’est pas sexy. », soufflé contre ses lèvres.
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Tu l'sais pourtant, que je suis mauvaise pour deviner tes prochains pas. Les autres, ceux qui ne comptent pas, j'anticipe leurs décisions, je sais avant eux ce qu'ils désirent, surtout quand ça me concerne. J'ai été élevé pour ça. Mais rien ne marche sur toi. J'ai plus qu'à balancer tous les modes d'emploi, y en aucun qui marche. J'me contente de subir tes décisions, de les craindre, de fauter en les anticipant, en me trompant. J'suis plus douée pour l'erreur. « C’était pas suffisamment clair ? » Le jour où tu seras parfaitement clair, Wayans.. t'as pas l'air de savoir que t'es un vrai bordel, dans ton genre. Demoiselle se contente d'une légère grimace, histoire de ne rien prononcer qui pourrait lui porter préjudice. J'préfère écrire. Car tu m'as reproché de ne pas l'avoir fait, durant mes quelques semaines d'exil. Je le fais maintenant. Et n'ose pas me dire que c'est trop tard. J'le vois à ton sourire, que ça l'est pas. Mes prunelles t'observent t'approcher, mes lèvres se pincent pour résorber ce sourire en retour. Tu me rends idiote, je déteste ça. Je perds dix ans, et si ma peau n'était pas basanée, sûrement se serait-elle teintée d'avantage. « On a un sérieux problème de communication. Même pas capable de me dire que tu meurs d’envie de m’embrasser ? » J'ai l'habitude de le penser, pas d'avoir le droit de le dire. Pas d'avoir le droit de le faire. « Faut toujours que t'exagères. » Que j'ai juste le temps de glisser, avant que mes doigts se referment sur ton haut, le souffle fait une pause, j'me rappelle que ça n'était pas qu'un souvenir enjolivé.« Va falloir que tu me trouves un autre surnom. Idiot c’est pas sexy. » Un sourire rieur. « Ca va être difficile de trouver plus approprié.. » S'écarte légèrement, lâche le tissu et va retrouver sa bière, la mine espiègle. Laisse-moi te regarder. L'air de rien, le sourcil qui se hausse et les billes qui s'attardent. « En même temps, j't'ai plus connu idiot que sexy, ça doit être pour ça. » Hausse les épaules, et une gorgée plus tard : « Un surnom, ça se mérite. » Le sourire se pointe aux commissures, à peine dissimulé par le goulot. On dira que je provoque, et ils n'auront pas tord. C'est de ta faute, tu t'es trop approché.
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T'sais qu'on n'est pas fait pour s'accorder. Le temps m'en avait convaincu. Te voir avec d'autres mecs étaient les plus beaux poignards. Bien aiguisés, les lames reflétant mon faux sourire, juste avant de se planter dans ma carcasse. T'sais, en haut, à gauche. Il n'y avait rien de plus clair que tes lèvres sur celles d'un autre, que ton rire mélangé au sien. Que ton regard de braise attendri par ses paroles. Naïve, amoureuse d'un autre. D'un Ricardo. Sadique inconsciente. T'étais plus celle que je voulais, mais celle que je n'aurais jamais. S'en était devenu une certitude. Et regarde-nous, aujourd'hui. Moi, m'approchant. Toi, attrapant mon haut. Moi, t'embrassant. Ouai, je suis à toi McAllister. Rien de nouveau. Le garçon toujours accro à la demoiselle sous le masque. « Ca va être difficile de trouver plus approprié.. » qu'elle lance, s'éloignant, laissant l'Antwan les yeux fermés, les lèvres pincées. Frustré. Va, prend ta bière, j'ferai de même. « En même temps, j't'ai plus connu idiot que sexy, ça doit être pour ça. » Une grimace. Vrai. C'est ce qu'on appelle l'amitié. « J'sais pas si ça va changer. » Je ne suis pas le meilleur ami, alors rêve pas trop, je serai pas le meilleur copain. Loin de là. La française pourra en témoigner. Toi-même tu l'sais, McAllister. T'as assisté à mes paroles bancales, à mes paniques, à mes indécisions douloureuses. « Un surnom, ça se mérite. » J'suis pas celui qui t'appellera mon coeur ou mon amour demain. Pas même le jour suivant. Toi non plus. « Tant que mon prénom est toujours dans tes pensées, ça me va. » Allez, j't'offre mon plus beau sourire, légèrement moqueur, parce qu'on n'est pas de ceux qui se lancent de belles paroles dégoulinantes d'affection. Incapable de s'dire qu'on se manque. « C'était bien chez Leyna ? » J'm'enquis de ta vie, vu que t'as toujours pas repris mes lèvres.
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On a eu notre lot de galères, nos détours, chacun dans les bras d'autres. Si pour vous, c'est une fin logique, Maxwan qui s'embrassent, si pour vous, les sacrer comme « plus belle amitié » était de l'ironie pure, pas pour eux. Pas pour Elle. Elle, qui l'a vu s'épanouir, toucher du doigt un espèce de bonheur qui lui tordait le ventre. Si, son cœur pu s'enflammer pour l'Autre, c'est car tu m'en avais donné l'autorisation. Un droit d'essayer, elle aussi. Je n'ai pas de regrets, tu sais, le temps n'est pas perdu. Il nous a construit plus solides, bien que les fondations frôlent parfois avec le sol. Qu'on se fait des frayeurs, avec nos entailles partout, nos fissures dans notre beau mur. Qu'on doit parfois rafistoler à la va-vite, et mal. Qu'on a dit trop de mots, rarement les bons, rarement sur la même tonalité. Qu'on a des fantômes, partout.« J'sais pas si ça va changer. » Ouais, tu seras toujours cet emmerdeur, têtu au possible, aux idées trop optues pour moi. Même qu'on sera sûrement jamais d'accord. Même que j'm'en fous, et que ça me va. « J'ai pas trop envie que ça change, de toute façon. » Dans l'ironie, je glisse une vérité. J'sais pas de quoi l'avenir est fait, mais j'ai pas envie qu'on change ce qu'on est depuis l'enfance. Peut-être qu'on est bancal, mais on a apprit à marcher comme ça, en s'appuyant l'un sur l'autre. « Tant que mon prénom est toujours dans tes pensées, ça me va. » Allez sourit va, t'as l'air malin comme ça. Ca la fait rire, l'idiote, qui continue, sur le même ton : « Toujours, nuit et jour, chéri. » Qu'elle accentue l’appellation, se moquant de tout ce qu'ils ne sont pas. J'te tiendrai pas la main, t'auras pas de surnom débile, je connais mal le romantisme, mais, j'ai le battant qui portera ta signature. « C'était bien chez Leyna ? » J'vois pas pourquoi ça m'étonne que tu t'y intéresses. Un sourire amusé, et : « Marshall a fait du Marshall, Leyna a fait du Leyna.. Donc, j'ai dû faire du Maxym, et jouer les médiateurs. » Ce qui est simple, quand ce sont tes meilleurs amis. Du moins ils l'étaient. La distance joue, quoiqu'on en dise. « Je suis une fille géniale, quand je veux. » Qu'elle s'en amuse, se jetant un char de fleurs. Et, une gorgée plus tard, la joueuse s'avance vers l'homme, prenant de ces airs qui minaudent. « Alors, je t'ai manqué ? » C'est comment, le temps sans moi ? Aussi long que le temps sans toi ?
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« J'ai pas trop envie que ça change, de toute façon. » Se seront les mêmes, demain. Toujours aussi mal foutus qu’avant. Bien sûr qu’on est bancal, qu’on n’est pas les bonnes personnes à mettre ensemble. T’aimes le danger. J’fais de la sécurité mon quotidien. Et quand on essaye de s’échanger les rôles, tu vas te mettre en couple avec un gars qui t’oublie, et moi je m’empare de tes lèvres, détruisant la belle harmonie formée avec la violette. Et là on s’décide à mélanger les deux, haha. La belle connerie. Tu verras, mes réactions seront exacerbées. Mes décisions plus cruelles. Mes instabilités bien moins cachées. Tu t’prendras mes coups, tu l’sais, tu signes. « Toujours, nuit et jour, chéri. » Fronce les sourcils, sourit. « Tu feras de beaux rêves, j’te le garantis. », avec un furtif haussement de sourcils. Quelle absurdité. Je ne nous vois pas sortir de l’appart main dans la main, l’annoncer aux autres. Certainement parce que j’te vois encore comme l’inaccessible. Que je ne suis pas habitué à nos lèvres réunies. Égoïstement, je veux garder ça pour moi. « Marshall a fait du Marshall, Leyna a fait du Leyna.. Donc, j'ai dû faire du Maxym, et jouer les médiateurs. » Un bon séjour, dis-moi. « Je suis une fille géniale, quand je veux. » J’ris devant ta désinvolture. Compte pas sur moi pour le confirmer. « Pardon ? J’ai mal entendu ta blague. » Voyez comme on ne sera pas le couple cliché. McAllister en profite pour s’avancer, provoquer. « Alors, je t'ai manqué ? » J’attendais ton message, je checkais tes réseaux sociaux, ceux de Leyna, ceux de Marshall. J’voulais voir c’que tu faisais, avide d’informations dont tu me privais. « Terriblement. » Tu n’auras pas le ton sincère qui va avec. J’y arrive pas. Trop peur d’être à nouveau vulnérable. Au lieu de ça, j’t’offre un sourire amusé. « Mais maintenant que tu es là.. » Se débarrasse des boissons, attrape la demoiselle qu’il place sur son épaule. Si, si, un sac à patates. « ..on va rattraper le temps perdu. » Le voyage se termine dans la salle de bain où, tout en riant, il dépose McAllister dans la baignoire, contre le mur froid. Et quand son visage est assez proche du sien, il ne fait que souffler un « Je t’ai manqué ? », avec la menace du pommeau de douche si la réponse est mauvaise.
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