[FB] Je m'engage !....

Mar 22 Nov 2016 - 23:28

...où, me suis déjà engagée, ça dépend de quoi on parle en fait.

Je jubilais à moitié en voyant la réaction de Paris. Je l’avais titillé en restant vague sur mes possibles intentions quant à ce bizutage secret entre nous, mais je savais que je n’allais pas pouvoir jouer à ça trop longtemps ; il ne lâcherait pas l’affaire tant que je n’aurais pas été claire sur le sujet. « Ce que je réponds, c’est que… » Je feintais un petit suspense à deux balles juste histoire de m’amuser un peu et finissais par dire « …tu le sauras bien assez tôt quand tu tenteras ton premier défi bizutage secret. Tu connaîtras ma soumission ou non… » Je lui fit un clin d’œil mais tous les deux on savait très bien qu’en proposant à Paris de tenter son premier défi, c’était une manière pour moi de lui dire que j’étais prête à me soumettre à sa volonté. Je pouvais y aller à l’aveugle avec Paris, tellement ma confiance en lui était sans borne.

Nous nous étions remis de notre petit moment câlin qu’Ashlynn avait mis par la seule force de sa présence, mais dans nos têtes, la tension sexuelle devait être encore bien présente puisque Paris évoquait une Lune de miel à la fois torride potentiellement brutale, et que moi je m’amusais à lui faire sous-entendre que j’allais sans doute prévoir des accessoires plus qu’inhabituel, en l’occurrence le fameux coussin pour s’asseoir. Bien évidemment, en parlant de ça, je ne pouvais que laisser croire à Paris que je voulais qu’il passe par un autre « chemin » que d’habitude. Et pourtant ce n’était pas ce à quoi j’avais pensé au départ. Je ne faisais que plaisanter mais….je ne sais pas, maintenant qu’on en parlait, je me remettais un souvenir pas si désagréable que cela que j’avais mis de côté parce qu’il s’était passé au Spring Break et que ces vacances avait été aussi les pires passées émotionnellement pour le Dunster…du moins à son retour de vacances. Peut-être qu’inconsciemment, j’avais associé cette première fois avec lui, avec cette mésaventure avec les enfants et que j’avais souhaité oublié. Enfin bref, quoiqu’il en soit aujourd’hui, l’idée n’était pas des plus idiotes « Je n’ai pas dit ça. C’est toi qui a dit que j’allais avoir du mal à m’asseoir » tentais-je pour me dédouaner d’avoir donné l’idée. Mais mon sourire mutin en disait long… « Mais bon, maintenant que tu en parles eeuuuhhh….je me dis que...tant qu’à faire…tu peux t’amuser à passer par toutes les entrées que tu veux ! C’est portes ouvertes pour les nouveaux mariés » plaisantais-je avant de me concentrer vers quelques choses de plus sérieux : les dîners d’Ashlynn, de Paris et le mien. « Bah écoute oui, si tu veux t’en charger ca m’arrangerais, je risque de finir tard moi demain contrairement à toi. Y’a une réunion à l’école sur la fête de fin d’année et son organisation et apparemment, c’est nécessaire que j’y sois. » Et tout d’un coup, Paris me rappelait à ce découvert de 1200$ ! C’est vrai qu’avec tout ça, j’avais oublié de lui dire que je m’en étais chargé. C’est donc tout naturellement que je lui répondais « OOOhh ça ?! Nan t’inquiète c’est bon, c’est réglé : c’est mon cher papa qui paye » déclarais-je, Paris sachant très bien ce que je voulais dire par là. Il était au courant de ce deuxième compte que j’avais et que mon père avait passé sa vie à agrémenter « Après tout, c’est en partie de sa faute si on s’est bourrés la gueule ce soir-là, et qu’on a claqué notre fric sans savoir »

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Jeu 24 Nov 2016 - 22:45

« Bébé…. Je sens que tu vas la connaitre bien vite la réponse si tu me cherches » grommela-t-il car c’était quoi comme réponse ?! Elle s’amusait de lui et lui, il n’avait qu’une seule envie : la balancer à cheval sur ses cuisses pour lui mettre une belle fessée déculottée. N’empêche, maintenant, il était déjà en train de s’imaginer des choses pas nettes. Bordel pourquoi avait-il fait une fille déjà ? C’était méchant, il ne le pensait évidemment pas mais par moment, être père l’emmerdait royalement surtout quand sa libido se manifestait et qu’il était obligé de la mettre en sourdine. « Tu as de la chance que notre fille nous regarde sinon crois-moi, ta culotte serait déjà morte pour la patrie » soupira-t-il en croisant les bras sur son large torse. Ashlynn, elle, continuait de leur sourire comme si elle comprenait réellement ce qui se tramait entre ses parents et que cela la faisait bien rire. Elle allait être à bonne école avec eux deux mais secrétement, Paris souhaitait qu’elle puisse avoir une bonne image du couple, de l’amour, de la vie de famille -chose qu’il n’avait pas eu et qui avait dicté sa vie sexuelle et sentimentale. Aujourd’hui, il voulait vraiment être un modèle pour sa fille et qui sait, pour ses enfants à venir. C’était con car ils avaient déjà du mal à gérer avec Ashlynn et les problèmes financiers mais le Dunster espérait vraiment lui donner un petit frère ou une petite sœur. Il se sentait un peu frustré de ne pas avoir été là pour sa fille mais aussi dans cette grossesse alors, l’envie d’être à nouveau père le titillait de plus en plus.

Mais bon, pour ce soir, il était père d’une petite fille de quatorze mois qui avait besoin de manger. « Je pensais que tu n’avais pas vraiment aimé l’expérience puisque tu n’en parlais plus » répliqua-t-il très sérieusement à la boutade de Summer. C’est vrai qu’ils n’avaient plus jamais évoqué le sujet. Paris, lui, parce que quoiqu’il arrive, restait un peu sur des œufs concernant cet aspect de leur sexualité et Summer pour quelle raison ?! Bonne question tiens. « Tu voudras que je t’attende pour dîner ou tu vas vraiment finir tard ? » lui demanda-t-il par la suite. N’empêche, c’était fou comme ils arrivaient à parler de cul et de leur quotidien sans sourciller songea-t-il non sans amusement. En parlant de quotidien, il revint rapidement sur cette histoire de découvert mais sa femme le rassura bien vite. « Ouais… c’est sûr que s’ils avaient pas voulu se jeter l’un sur l’autre… Je crois que ma mère est passée à autre chose. D’après Matthew, elle fréquenterait un homme et ça semble sérieux d’après lui… elle a mis une jupe qui lui allait en-dessous des genoux »

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Jeu 24 Nov 2016 - 23:51

...où, me suis déjà engagée, ça dépend de quoi on parle en fait.

Je m’amusais de Paris, mais dans le fond, je n’en menais pas large non plus. Le titiller de la sorte, c’est me titiller moi-même, soyons honnête ! « Peut-être que c’est justement que je veux mon cher ! Je te cherche, et ça marche du feu de dieu ! » Déclarais-je en riant légèrement alors que Paris commençais à me menacer gentiment en expliquant qu’il avait l’excuse d’Ashlynn pour ne pas pouvoir mettre sa menace à exécution. « Et moi je dis que c’est impossible….vu que de toute façon, je ne porte pas de culotte actuellement » à ces paroles, j’ajoutais un clin d’œil malicieux avant que mes plaisanterie de nous ramène à l’expérience sexuelle partagée pendant le spring break. Paris s’était apparemment figuré que j’en avais gardé un mauvais souvenir et ce constat me surprenait « C’est vrai tu pensais ça ?! …Ah mince, désolée ! Franchement j’en ai un très bon souvenir moi. » Avouais-je le plus sincèrement du monde, bien qu’encore surprise d’avoir laissé sous-entendre autre chose « Si j’en ai pas reparlé moi, c’est surtout à cause de ce qu’il s’est passé après en fait…enfin, tu sais quoi : le retour ici, la perte des gamins, et…enfin bref, c’était sans doute idiot de ma part d’avoir pensé ça » finissais-je par dire en haussant les épaules tout bêtement. Je sortais les aliments du frigo, passant facilement du coq à l’âne avec Paris parce que c’était toujours comme ça qu’on fonctionnait : nos conversation pouvait dévier sur tout ou rien ; l’aisance et la confiance que j’avais en lui me permettait d’évoquer n’importe quel sujet. Parfois avec un peu plus d’hésitation – surtout quand il s’agissait d’un sujet pas encore évoquer et délicat – mais au final, je me confiais à Paris comme je pouvais me confier à ma meilleure amie, ou mon meilleur confident. Encore une fois, Paris était plus qu’un petit-ami –enfin mari maintenant – il était tout : un ami, un confident, un amant, un pote de guerre (et de bière apparemment), bref toute la panoplie du mec idéal qui remplit tous les rôles à la perfection ! « Euuuuhmm nan, ne m’attends pas. On sait jamais combien de temps ça dure ces réunions…au mieux je mangerais un truc sur le pouce en rentrant. » Disais-je simplement tout en sortant un plateau à découper, pour préparer les champignons à farcir. Se faisant, on discutait également du découvert et à fortiori de nos parents « Bah écoute, c’est tout ce que je lui souhaite à ta mère ! Pour ma part, mon père ne s’est toujours pas décidé à rentrer à la maison. Et le pire, c’est que ça n’inquiète pas ma mère plus que cela. Il est toujours installé dans un hôtel de ce que j’en sais… » Je n’avais pas souhaité reparlé avec mon père de tout ça. Premièrement parce qu’une part de moi lui en voulait encore, deuxièmement parce que ce qu’il se passait avec ma mère ne me regardait pas. Je les savais décaler dans leur manière de s’aimer, et du coup, j’aurais de toute façon été incapable de comprendre ce qui avait poussé mon père du jour au lendemain à tout plaquer, alors que depuis 23 ans, il avait tout supporté de sa vie, et de sa relation avec ma mère. « Bref, problème de découvert résolu, et parents raisonnable, que demander de plus ?! » lançais-je en tentant de voir positivement « Faudra quand même qu’on leur annonce qu’on s’est marié sans eux ! » notais-je à voix haute, tout en observant Paris s’occuper du lait de sa fille pendant que le reste de la nourriture chauffait. « C’était cool votre bain au fait ? » demandais-je même si je connaissais déjà la réponse. J’étais persuadée qu’ils en avait profité pour me refaire la déco de la salle de bain tous les deux !

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Ven 25 Nov 2016 - 21:31

« Pardon ?! » s’écria-t-il l’air effaré. Elle ne pouvait quand même pas lui annoncer qu’elle n’avait pas de culotte comme si de rien n’était. Elle savait pourtant l’état dans lequel cela le mettait. « T’es une vilaine fille Maconahey » grommela-t-il en se retenant de vérifier si c’était effectivement vrai ou si elle le baladait sur place. Cela pouvait être le cas, il la savait prête à se battre avec ses armes. Là encore, elle avait de la chance que leur fille les observait sans quoi, elle serait déjà soit à genoux devant lui, soit en train de le supplier de la prendre sur le champ. Cette conversation en amena une autre toujours autant motivée par une libido sans faille. « Ah ?! Crois-moi, je n’ai pas fait le rapprochement. Je veux dire, ce qui se passe dans notre lit est différent à mes yeux de notre quotidien et surtout de nos emmerdes. Si je commençais à lier les deux, putain mais je coucherai plus jamais de ma vie » répliqua-t-il en secouant négativement la tête. « Non c’est pas idiot, c’est juste à ton image : incroyablement prévenant et maternel » dit-il avant de déposer un baiser sur sa joue. Summer était adorable et elle ne changeait jamais à cette ligne de conduite pour son plus grand bonheur.

« Okay on fait comme ça. Je pense que je prendrai un truc en sortant de l’entrainement ou mieux : je vais m’inviter chez ma mère comme ça : pas besoin de faire à bouffer et encore moins la vaisselle et en prime, Ashlynn sera surveillée par sa grand-mère tandis que Matt et moi, on pourra jouer à Call of Duty » planifia-t-il sans prendre le temps de demander à la principale intéressée si elle voulait bien de son fils. En même temps, depuis leur retour de Vegas, sa mère semblait ne rien vouloir lui refuser alors autant en profiter n’est-ce pas ?! « Oui, à un moment donné, c’est sûr qu’il faudra bien leur annoncer mais on a le temps non ? Au pire, on leur balance l’info en texto » hausse-t-il les épaules non sans se glisser derrière elle pour tirer sur son pantalon afin de voir si ou non, elle portait bien une culotte. « Disons comme d’hab, faut éponger » rigole-t-il doucement contre son cou.

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Ven 25 Nov 2016 - 22:22

...où, me suis déjà engagée, ça dépend de quoi on parle en fait.

Fière de ma repartie sur le coup de la culotte, je souriais d’un air de défi pendant que Paris, me traitait de vilaine fille « J’ai été à bonne école » lui répondais-je en me dandinant à moitié sur place, trop contente de moi. Et comme à notre habitude ou l’on discutait de tout, il devenait normal que cette histoire expérience sexuelle passé sous silence après le spring break soit remis sur le tapis pour que chacun s’explique « Donc ça veut dire que tu n’as pas été rebuté par l’expérience toi non plus ? » En hochant la tête comme pour prendre ses paroles comme acquises, je rajoutais bien vite « Je suis contente, alors !...enfin pas dans le sens « chouette, il va encore pouvoir me culbuter par derrière » hein ?! » je ricanais bêtement à la précision, mais après tout, sait-on jamais, mes paroles auraient pu être détournées « Nan, c’est plutôt dans le sens « je suis contente que cette expérience ait été bien vécue par tous les deux et que…bah…qu’on puisse à nouveau retenter ça un jour » » je tendais alors la joue, acceptant volontiers le baiser de Paris et le compliment qui l’accompagnait

Les paroles suivantes du Dunster ne m’étonnaient pas plus après cela : lui dire qu’il avait carte blanche pour manger ce qu’il veut, à l’heure qu’il veut, sans être obligée de m’attendre, c’était plus que la fête pour lui. Pas besoin de réfléchir à deux fois. Pour tout dire, moi-même avant qu’il ne le suggère, je l’avais imaginé se réfugier chez sa mère pour la soirée, et terminer sur la console avec son frère « C’est marrant, mais…ça ne m’étonne même pas que tu aies eu cette idée. Limite je l’aurais parié » je souriais à mon homme en lui cédant tout de même un « Mais t’as raison, profiter de demain soir ! Et puis Matt sera trop content de t’avoir pour la soirée alors… Et puis ta mère : c’est limite si elle ne te cède pas tous ces derniers temps » D’ailleurs, je trouvais cela à moitié bizarre. A moitié seulement parce qu’aux vues de ce qu’il s’était passé à Vegas, j’avais toujours pensé que si Grace se montrait si chaleureuse et serviable en ce moment c’était sans doute pour mieux se faire pardonner. Mon père était pareil qu’elle depuis l’incident Vegas. En pensant à tout ça, je n’avais pas vraiment vu Paris passer derrière moi. Je m’étais plus concentrée sur ces paroles « Bona est déjà au courant vu que c’est lui qui m’a confirmé qu’on était marié….et en fait, pendant que j’y pense » Je sentais les mains de Paris s’agripper à mon pantalon pour le faire glisser légèrement de mes hanches pour constater qu’il n’y avait aucun autre tissus en dessous. Je souriais en réalisant le subterfuge et continuais ma phrase l’air de rien « ils ont sans doute TOUS reçu un colis de notre part avec notre cadeau de mariage…donc à mon avis, c’est eux qui nous appellerons bien vite pour en savoir plus ! » Je penchais la tête sur le côté, laissant Paris embrasser mon cou, et rire quand je lui demandais comment s’était passé le bain « Mouais ! J’ai compris le message… » Ces deux-là, pas un pour rattraper l’autre. Je remontais gentiment mon pantalon et tournait un peu la tête pour murmurer à l’oreille de Paris « C’est bon, tu as fait tes vérifications d’usage ? » demandais-je amusé avant d’embrasser sa tempe qui se dévoilait devant moi. Une de mes mains passait dans ses cheveux pour les caresser, mais au bout d’un moment, je tirais dessus pour écarter la tête de Paris de mon cou et le rappeler à l’ordre. « Regardes ta fille là : elle attend pour manger ! Si tu ne veux pas qu’elle te fasse la gueule ce soir, ou qu’elle te charger d’un autre caca atomique avant d’aller dormir, tu ferais mieux de la nourrir maintenant ! » Je déposais un baiser sur ses lèvres, avant de reprendre mes activités culinaires.

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Ven 25 Nov 2016 - 23:01

« C’était plaisant en effet » répondit-il avec une petite moue. Paris avait encore du mal à l’idée de prendre du plaisir dans cette pratique, il avait l’impression que c’était mal. Certes, au Spring Break, il avait été pris dans l’élan et il avait vraiment éprouvé du plaisir avec Summer. C’est juste qu’il se demandait bien comment il pourrait amener de lui-même ce genre de chose. Pour lui, c’était clair, il ne pourrait pas l’imposer à Summer mais si sa femme en faisait la demande, là, il reconsidérerait les choses. Un jour, peut-être essaierait-il de faire un travail sur lui-même avec un psy mais il restait toujours plus ou moins réfractaire à l’idée à cause de toutes les assistantes sociales, thérapeute et autres personnes du genre qu’il avait dû se farcir avant, pendant et après le procès de l’homme qui avait abusé de lui.

« Tu me connais trop bien… si tu veux, je pourrais même ramener les restes pour que tu puisses goûter à la bonne cuisine de ta belle-mère préférée » lâcha-t-il. En même temps, s’il y avait bien une chose que Grace ne ratait jamais (en dehors de ses rapports sexuels), c’était bien la cuisine. Paris avait toujours pu compter sur les petits plats de sa mère. « Bon, à la prochaine soirée poker, je taperai Bona pour avoir été au courant avant moi de mon propre mariage. Merci bébé, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu un nouveau prétexte pour le taper » rigole-t-il. Summer savait qu’il n’en ferait rien, il aimait simplement emmerder son meilleur ami. Bon, d’accord, il y avait peut-être des restes de jalousie derrière ses taquineries mais bon, elle lui pardonnerait très certainement surtout que madame ne portait pas de culotte comme il venait de le vérifier. « Tant pis pour l’effet de surprise dans ce cas… » grommela-t-il au sujet de l’annonce de leur mariage et des fameux colis. « Ouais ouais je vais nourrir notre fille et puis après, toi, tu viendras jouer de la flûte » rétorqua-t-il en lui claquant une main sur les fesses pour mieux réchauffer la purée et faire le biberon de la miss. Finalement, cette soirée était parfaite songea-t-il en revenant vers Ashlynn. « Maman va adorer le jaune, tu vas voir princesse »

TOPIC CLOS.

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