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...où, me suis déjà engagée, ça dépend de quoi on parle en fait.

Nan mais il a bien capté ce que je lui ai dit, où il plane là ? La réaction de Paris était totalement contradictoire avec la mienne ou encore avec celle que j’imaginais. Si bien qu’en le voyant au départ se figer devant sa fille, je m’étais dit qu’il allait faire la même tête que moi, qu’il allait se dire qu’on avait sans doute merdé mais…mais nan ! Il faisait à nouveau comme si de rien n’était et semblait tout à fait okay avec le principe. Là, franchement, je ne suivais pas.

J’approchais du papa Dunster et de sa fille, les bras croisé et la tête penchée sur le côté en observant surtout Paris… « Nan mais dis ? Tu t’es shootée à quoi là, dans le bain ? T’as sniffé du talc ou quoi ?! » J’écarquillais les yeux et décroisais les bras pour brasser de l’air « T’as bien entendu ce que j’ai dit ? On est MARIÉS…mais genre Mariés tu vois ?! Les « je le veux » et « pour le meilleur et pour le pire » et bien sûr « qu’Elvis soit avec vous en ce jour mémorable… » Ouais enfin, mémorable, façon de parler vu que ni lui ni moi n’avions de souvenir de la soirée ! Je finissais par capituler face à sa réaction, et soufflais en me passant les mains dans les cheveux pour les rejeter en arrière « Ce n’est pas comme ça que je voyais les choses moi… » Ouais et en même temps, j’avais tellement envie de hurler BORDEL DE MERDE, LA VACHE, J’Y CROIS PAS, J’SUIS MARIÉE !!...mais comment réussir à réaliser les choses tant que je n’arrivais même pas à me souvenir des vœux que j’avais prononcé ?? D’ailleurs, qu’est-ce que je n’avais pas pu lui dire devant l’autel ? Que j’étais bourrée mais que je l’aimais, et que j’avais envie de lui ? Ouais parce que bourrée, j’suis quasiment sûre à 200% que je l’aurais balancé en public cette remarque !

Je me tournais à nouveau en direction de Paris en lui demandant : « Bon et si je te dis qu’on a claqué plus de 1000$ en conneries de Goodies pour notre mariage et qu’on aurait apparemment envoyé des petits cadeaux de mariage à nos amis, voire à notre famille ?! Ça te fais réagir ou nan, j’insiste pour rien ?! »



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Pour Paris les choses ne pouvaient pas être plus simples pour une fois : il s’était épargné les tracas et le cout d’un mariage en grande pompe. Il n’y avait vraiment pas de quoi paniquer ni même d’en faire un fromage ! Ils étaient mariés et alors ? « Babe, calme toi deux secondes… bien sûr que ça me fait quelque chose de savoir que nous sommes mariés mais c’est pas comme si nous n’en avions pas le projet à la base ? On a juste sauté le pas à Vegas… Je vois pas où est le mal. On a rien fait de ce que l’on ne ferait pas dans un futur proche ou lointain donc non, je vois pas pourquoi tu paniques » dit-il en continuant de préparer Ashlynn pour mieux faire face à sa belle, leur fille dans les bras. « Okay, le coup du découvert, c’est pas top mais c’est pas la fin du monde en soit. Je ferais des heures supplémentaires à la salle de boxe, je prendrai davantage de cours privés et on le comblera… En même temps c’est pas comme si c’était pas la merde à chaque fin de mois donc un peu plus ou un peu moins, franchement, je commence à ne plus faire la différence »soupira-t-il. Pour le moment, il n’avait pas envisagé les choses d’un point de vue romantique, il voyait le côté pragmatique comme tout bon scientifique. « Après, que nos proches soient au courant de notre mariage, j’ai limite envie de dire tant mieux ! C’est quoi le problème ? Tu ne voulais pas te marier avec moi ? Non parce que tu n’as qu’à le dire et je demande le divorce hein… je ne voudrais pas que ça te fasse un deuxième trou de t’appeler Maconahey » grommela-t-il sur la défensive car son stress le rendait au final, stressé. Pourquoi réagissait-elle aussi vivement ? Ils étaient mariés oui. Alors où était le problème ? C’était une bonne nouvelle de son côté mais visiblement, pas pour Summer. La peur qu’elle change d’avis, qu’elle ne veuille pas de lui pour le restant de leur vie commençait à nouveau à le travailler. Il avait pourtant réussi à museler ses angoisses au fil des mois -et surtout avec sa demande de fiançailles ; mais à présent, tout revenait comme au début à savoir qu’il la regardait avec une certaine appréhension. « Moi j’aime le fait que nous soyons mariés.. » dit-il d’une petite voix, tel un petit gamin osant avouer à sa mère qu’il a une amoureuse -ou qu’il a fait une grosse connerie.



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J’écoutais le pragmatisme de Paris, en me disant que j’aurais du prévoir ce genre de réaction de sa part finalement…et dans un sens il avait raison, on n’avait rien fait de plus que ce qu’on voulait depuis un moment mais…j’avais beau comprendre ses mots, je n’arrivais pas à m’y faire. Pourquoi ? Parce que moi, je voulais me souvenir de mon mariage avec Paris. Je ne voulais pas associer le plus beau jour de ma vie à une simple soirée beuverie où s’est débarrassé d’un truc qui allait nous prendre tout notre temps…ou notre argent. Je…je tenais à ce mariage. C’était comme si, je ne sais pas….comme si j’avais du renoncé pour la deuxième fois à un jour qui aurait dû être important. J’avais loupé mes premières fiançailles, et là bah : on les expédiait en une simple soirée à Vegas. Et puis, il y avait tous les à-côtés : les paroles échangés, les regards…j’aurais voulu me souvenir du visage de Paris en face de moi devant l’autel, j’aurais voulu échangé avec lui un sourire rempli d’espoir et à la fois confiant sur notre avenir. J’aurais voulu pouvoir me souvenir de tout ce que je lui aurais dit devant le prêtre….si tant est qu’il y en est eu un.

Mais Paris ne voyait pas cela apparemment, et pire maintenant : il commençait à croire que le fait que je sois sa femme ne me plaisait pas. « Mais si je suis contente qu’on soit mariés !! ce n’est pas ça le problème…c’est - »Je soupirais, désespérée de ne pas réussir à me faire comprendre et me laissait échouer dans le canapé, les coudes posées sur les cuisses et la tête entre les mains « c’est juste que je voulais…me souvenir…Paris, je ne me souviens même pas de ce que je t’ai dit, de ce que tu m’as dit. Je me souviens plus de ton visage ou de ton regard quand je t'ai dit "oui je le veux". Je…j’aurais juste voulu que ça reste gravé là. A vie ! » Concluais-je tout en amenant le geste à la parole, en pointant mon doigts sur la tempe, pour désigner ce qui me servait de cerveau, et accessoirement de boite à souvenir. « Je suis heureuse d’être devenue Madame Maconahey mais…j’aurais voulu être tout aussi heureuse ce jour-là, quand on s’est dit oui, et en être encore plus heureuse le lendemain, en sachant ce qu’on avait fait, ce qu’on avait accompli toi et moi. Tu comprends ? » Est-ce que c’était un caprice idiot de ma part ?



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Il s’était complétement planté sur la réaction de Summer, pensant qu’elle ne voulait pas de ce mariage tout compte fait. Paris devait apprendre à vraiment arrêter d’écouter cette petite voix dans sa tête, celle dictée par la peur d’être rejeté, abandonné comme il l’avait toujours été. C’était plus fort que lui : il avait beau avoir une vie fantastique, il craignait de tout perdre du jour au lendemain et cela, à chaque fois qu’il ouvrait ses yeux le matin venu. Silencieusement, il se retourna pour aller déposer Ashlynn dans son parc avant de revenir vers sa femme. Sa femme. C’était quand même ouah de prononcer ces mots-là n’est-ce pas ?! « Viens là bébé » dit-il avec tendresse en écartant ses bras pour mieux la recevoir tout contre son torse. Aussitôt, il referma ses bras autour de son petit corps pour mieux la bercer. « Je n’avais pas vu les choses ainsi. Je veux dire, cela fait des mois que je ne pense mariés dans ma tête alors apprendre que nous avions sauté le pas, c’était juste l’officialisation d’une envie très poussée » commença-t-il avant de déposer un baiser sur le sommet de son crâne. « Mais je comprends ce que tu veux dire… Ecoute, on est peut-être légalement mariés mais rien ne nous empêche d’organiser une cérémonie ? Je veux dire, on peut se fixer une date comme notre première année et tu aurais une magnifique robe blanche, tu remontrais l’allée de l’église au bras de ton père… On se fabriquera nos souvenirs. D’accord, ce serait notre second mariage mais comme on ne se rappelle pas du premier, autant dire que c’est le bon celui-là non ? Enfin je t’oblige à rien mais si c’est ce que tu désires, moi ça me gêne pas d’enlever la jarretelle de la mariée avec les dents » dit-il avant de s’éloigner faiblement d’elle pour mieux plonger son regard dans le sien. Pour Summer, il était prêt à organiser un million de cérémonies si seulement cela la rendait heureuse. « Tu as vu comme je suis l’homme idéal ? Je vais devoir me payer un costume sur mesure pour être le plus beau à notre mariage ! Si c’est pas du sacrifice ça » dit-il avec un petit sourire en coin histoire de la faire sourire, de la détendre également. « Je ne veux pas que notre mariage à Vegas te rende triste. Si tu veux, on l’annule et on en fera un autre plus tard… C’est toi qui décide »


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Paris s’était installé à côté de moi en ouvrant ses bras, et c’est tout naturellement que j’avais eu l’envie irrépressible de m’y blottir pour y trouver apaisement et réconfort comme à chaque fois. J’avais vraiment envie d’éclater de joie, mais c’était plus fort que moi, j’avais l’impression d’avoir échoué encore une fois. Pourtant, à mesure que Paris parlait, et qu’il m’expliquait que tout ce qu’on n’avait pas vécu ce soir-là, on pourrait le faire plus tard, je commençais à me sentir moins désespérée. J’aurais voulu que notre mariage se passe comme tous les autres personnes qui se marient mais…après tout…on a jamais fait les choses comme tout le monde lui et moi. C’est peut-être une façon qu’a le destin de nous le prouver encore une fois ? « Tu crois que ce deuxième mariage nous fera pareil que si on l’avait fait la première fois normalement ? » Question posée connement je sais, si bien que je me redressais un peu dans les bras de Paris pour le fixer dans les yeux « Je veux dire, tu crois que ça nous donnera des papillons dans le ventre, que ça nous fera sourire bêtement ou pleurer de joie, comme si on se disait oui pour la première fois ? » Traitez-moi de romantique stupide, je m’en fiche. Paris comptait pour moi, et les choses que j’aurais voulu lui dire le jour de notre mariage avaient son importance pour moi. Alors oui, si la solution était là, alors je la prenais ! « Je veux de cette cérémonie Paris. Pas de tout un tralala, mais…je veux juste pouvoir dire devant tous nos amis et nos proches à quel point je t’aime et…que je suis heureuse de devenir ta femme » Mais comme je l’étais déjà officiellement, il s’agirait là de le rappeler simplement à tout le monde ! J’allais me re-lover dans ses bras, quand le Dunster évoqua la possibilité d’annuler le mariage pour faire ça en bonne et due forme. Je me redressais comme un piquet en posant ma main sur son torse pour m’écarter de lui. « T’es fou ! Nan, on n’annule pas ! Je n’ai jamais envisagé ça bébé ! J’aime l’idée d’être Madame Maconahey, je surkiffe même ! » Et pour convaincre l’amour de ma vie de mes paroles honnêtes, je me penchais sur lui pour lui voler un baiser furtif, puis un deuxième. Puis une troisième. Pleins de bisous pressés sur ses lèvres jusqu’à ce que je n’y tienne plus et que j’entoure mes deux bras autour de son cou, en laissant aller mon buste sur son corps, le forçant ainsi à s’affaler un peu plus contre le dossier du canapé. « Je suis fière d’être ta femme ! » déclarais-je avec fierté justement, entres nos baisers ! « Ta femme Dunster ! » ajoutais-je en gloussant légèrement avant de m’emparer une bonne fois pour toute de ses lèvres !



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« Etant donné que l’on se souvient pas du premier, j’aime me dire que ce sera une vraie première fois » répondit-il tout simplement. Après tout, c’était vrai : il n’avait pas eu le plaisir de la voir dans sa robe blanche tout comme il n’avait pas eu le loisir de bomber le torse au bout de l’allée, fier de voir une telle femme s’avancer vers lui. Paris n’avait jamais imaginé qu’un jour, il puisse se marier alors il n’avait pas vraiment de plan sur la comète ni même d’attente. Pour lui, le simple fait qu’elle porte une alliance à son doigt était énorme surtout maintenant qu’elle portait le même nom que lui. Toutefois, il reconnaissait le fait qu’elle puisse vouloir d’autre chose. « Bébé, ne te fais pas de nœud au cerveau… je suis certain que même après 46000 cérémonies de mariage, on sera toujours autant dans l’émotion » lui dit-il avec le plus grand des sérieux. C’est ainsi qu’il se figurait les choses : chaque jour, quand il s’éveillait à ses côtés, il était toujours sous le charme. Elle pouvait avoir une haleine de poney, les cheveux en vrac et même la bave aux lèvres, il s’en foutait, il la trouvait merveilleusement belle et sexy. Paris s’était toujours demandé ce que cela ferait de vivre avec la même femme durant des années et il en avait eu la réponse : c’était magique. « Alors nous inviterons nos familles et nos proches à une petite cérémonie » lui assure-t-il. De tout de manière, il était prêt à tout pour assouvir le moindre de ses désirs et puis, honnêtement, il ne dirait pas non à pouvoir contempler sa femme dans une magnifique robe blanche. Il était tout de même soulagé qu’elle soit heureuse de porter son nom, d’être sa femme car pour lui, c’était juste la jouissance absolue de la tenir dans ses bras en tant que Mme Maconahey. De plus, cela faisait un point supplémentaire quant à l’adoption d’Ashlynn : ils étaient mari et femme. Ses baisers le faisaient rire et il entoura ses hanches de ses bras musclés. « Oui, ma femme Dunster… Je vais adorer te bizuter… Dommage que je ne puisse pas le faire sexuellement parlant parce que tu n’imagines pas le nombre d’idées salaces qui me passe sous le crâne actuellement » dit-il avec un sourire séducteur tandis que ses mains glissaient sous son haut pour caresser son épine dorsale du bout des doigts.


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Les paroles de Paris sonnaient le bon sens, et je retrouvais le sourire peu à peu. Tout ceci m’avait stressée pour rien mais, c’est uniquement parce que je misais vraiment tout sur ce mariage. Après avoir échoué au premier, je m’étais mise en tête que le deuxième devait se passer sans accroche, sans encombre, sans le moindre élément perturbateur parce qu’au moins, j’aurais eu la garantie (ou non après tout) qu’une cérémonie réussie serait synonyme de mariage réussi ! Hors, c’était idiot au final, et je le réalisais maintenant. Devenir Madame Summer Maconahey n’était-ce pas ce que je désirais le plus en réalité ?? SI ! Alors la cérémonie aurait lieu plus tard, et elle serait tout aussi merveilleuse pour moi qu’elle l’aurait dû l’être si elle avait été la première cérémonie. Et dans un sens, elle le serait vu que – comme Paris le soulignait- on en n’avait pas réellement faite. On s’était juste dit oui dans une chapelle, pour sceller notre amour et pour porter le même nom !
C’est finalement soulagée de voir que tout ceci prenait un tournant positif que je me lovais contre Paris pour le couvrir de baiser ! Je ne sais pas vraiment si moi, je nous voyais déjà comme un couple marié depuis longtemps, mais, je sais juste que l’idée d’être officiellement sa femme me réchauffait le cœur en cet instant. Madame Maconahey…c’était juste jouissif ! Il n’y aurait finalement plus rien pour contredire cet union, plus personne pour dire « Orhf, ce couple ne tiendra pas longtemps. Ce qui les anime c’est la fougue, une fois celle-ci dissipé, ils se lasseront… » NAN ! On s’était mariés ! Signe qu’on voulait l’un de l’autre pour TOUTE LA VIE ! Du moins c’est le symbole que tout ceci représentait pour moi : l’union sincère de deux êtres. L’accord mutuelle de s’aimer jusqu’à la fin de nos jours. Romantique utopique ? Peut-être…mais je préfère voir les choses sous cet angle, et m’émerveiller d’avoir trouvé l’homme de ma vie, plutôt que de penser direct au pire en se disant que la fatalité d’un couple sur deux est de divorcer…

Je sentais les mains de celui qui était devenu mon mari passées sous mon haut, et je frissonnais quelques peu au contact, bien que pas désagréable du tout. Contre les lèvres du Dunster, je laissais échapper un petit rire étouffée à cause de ses paroles, ma bouche finissant sa course dans son cou pour le dévorer. « On peut passer un arrangement si tu veux ? Il pourrait y avoir par exemple : un bizutage officiel. Et un non-officiel. » Réussissais-je à articuler entre deux baiser dans son cou « Un Formel. Et un Sexuel. » Une de mes mains qui s’était posée sur son torse pour tenir me maintenir au-dessus de Paris, s’était faufiler sur son estomac et descendait un peu plus bas, jusqu’à parvenir à se faufiler sous le t-shirt du Dunster. A mon tour, je venais prendre contact avec la chaleur de sa peau, mes doigts caressaient les lignes de ses abdos « Ce serait notre petit secret… »




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Summer n’avait pas idée du merdier dans lequel, elle venait de mettre les pieds en lui proposant un double bizutage : l’un pour l’officiel et l’autre pour le plaisir. Il avait vraiment plein d’idées en tête comme lui bander les yeux, l’attacher, lui faire l’amour quand elle s’y attend le moins. Vu qu’ils étaient à découvert ce mois-ci, il allait oublier cette histoire de chambre d’hôtel pour jouer deux inconnus se rencontrant par hasard et décidant de s’envoyer en l’air. Le sexe à ses limites : celles du compte en banque. Toutefois, il y avait une chose qu’il rêvait de pouvoir faire…. « Tu serais d’accord pour te plier à mes moindres désirs durant toute la durée de ton bizutage à savoir les deux mois qui viennent ? » lui demanda-t-il l’œil pétillant de malice. Sa femme savait pourtant qu’il était un poil dominateur alors lui tendre une perche aussi énorme… C’était à la fois étonnant et très excitant, il fallait bien le reconnaitre. « J’aime avoir des secrets avec toi » souffla-t-il en frissonnant alors qu’elle promenait ses doigts sur ses abdominaux. C’est fou comme l’ambiance pouvait changer du tout au tout dès lors que le contact entre leurs corps se faisait. La tension sexuelle prenait peu à peu le pas sur lui. « C’est con qu’Ashlynn soit dans son parc et non au lit sans quoi, je t’aurais prise aussitôt sur ce canapé mais je vais me montrer raisonnable » reprit-il en faisant une petite moue. « En plus, il faut que nous fêtions à notre manière ce mariage. Je vais pas attendre la bonne cérémonie pour vivre ma nuit de noce, je te préviens » tint-il tout de même à lui faire savoir. Pour Paris, c’était simple, la vie allait devenir une lune de miel où il allait lui faire l’amour à chaque instant. Après tout, c’était la première fois de sa vie qu’il était marié alors autant en profiter à fond ? « Dis-moi, le viol entre époux, ça existe pas ? Non juste pour savoir si tu vas pouvoir porter plainte contre moi le jour où tu pourras plus t’asseoir ou même tenir debout » rigole-t-il avant de l’embrasser légèrement et la repousser sur le canapé. « Je dois préparer le repas de la petite… C’est toujours la purée patate, brocolis avec le jambon mixé ? Ainsi que le biberon de lait habituel ? » lui demanda-t-il pour être certain de ne pas faire de connerie -dire qu’il aurait aimé que Summer ait également le droit à son « biberon ».


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Je savais que je n’aurais pas du tendre de perche aussi grande à Paris….mais je crois que dans le fond je dois être un peu maso. Ou accro. Ouais accro, c’est sans doute plus juste ! Proposé à Paris un bizutage sexuel c’était comme lui donné les pleins pouvoirs sur les règles de bases sur le sujet. Si je répondais oui à la question qu’il venait de me poser sur ma soumission à ses exigences, je disais oui à toutes ces idées farfelues, à toutes ses envies, sans rechigner, sans trouver d’excuses, sans chercher de compromis….alors ? Bah alors, je dois vraiment, mais alors VRAIMENT complètement dingue, parce que si je m’écoute là, je lui réponds oui, sans sourciller. Si bien que je préférais lui répondre par une autre question, histoire de la jouer plus fine « Ah parce que jusqu’ici je t’ai donné l’impression de ne pas vouloir répondre à tes moindres désirs ?? Ça fait plaisir à entendre… » Je gagne du temps, en fait, mais dans le fond je crois que Paris a déjà deviner – rien qu’à ma tête ou à mes joues rougissantes – que j’avais déjà en quelques sorte répondu oui.

Je jouais un peu avec sa peau, à caresser ses muscles et à m’imprégner de sa chaleur mais Paris me rappelait bien vite à l’ordre en évoquant Ashlynn. Un coup d’œil vers la miss qui nous regardait dans son parc et je reprenais mes esprits. Il ne fallait pas trop batifoler avec le Dunster, au risque que ça dérape trop vite, trop facilement et qu’on en oublie nos engagements …je vous dis pas le nombre de fois où l’on est arrivés en retard à une soirée chez des amis, ou chez sa mère ! La priorité restait tout de même notre fille, et à la voir avec sa bouille d’ange et son sourire, il était facile de se reconcentrer sur elle. Je m’écartais de mon mari quand ce dernier me repoussait légèrement du canapé, et je me rasseyais bien sagement dans un premier temps, en profitant de ce moment de flottement pour me recoiffer pendant que Paris me parlait de ses intentions pour fêter une lune de miel. « Tu comptes faire ça quand exactement ? Ce soir ? Ou…je peux encore avoir du temps pour me commander de la vaseline et un coussin de positionnement chirurgical…tu sais là ceux en forme de bouée ? » Je me levais enfin du canapé pour passer également en cuisine pour le rejoindre « Ouais c’est toujours ça…Par contre, faudra penser à racheter du lait en poudre, je pense qu’il doit nous rester quoi…euh…tout juste la fin de la semaine. » Quant à moi, j’ouvrais le frigo pour préparer ce qui serait notre dîner « Champignons farcis ça te tente ? Aux herbes pour moi et à la viande pour toi ? » demandais-je tout en m'assurant à l'avance que tous les ingrédients nécessaire étaient présent.



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« Joue pas à ce jeu-là avec moi bébé » rigole-t-il en la toisant avec un air à la fois mi-amusé, mi-sceptique. Elle pensait vraiment qu’elle allait l’avoir en répondant à sa question par une autre question ?! C’était mal le connaitre : quand Paris voulait quelque chose -surtout quand cela concernait le sexe, il faut bien l’avouer ; il était vraiment mais vraiment très attentif. « Tu sais, si tu aimes être soumise, tu n’as qu’un mot à me dire… moi j’aime bien quand tu me laisses te dominer, j’ai toujours trouvé ça très mais alors très excitant surtout quand tu me supplies » avoua-t-il sans fausse pudeur. Dieu qu’elle était sexy et craquante avec ses joues rougies, il en croquerait bien. « Alors… qu’est-ce que tu réponds ? » lui demanda-t-il. Il n’avait pas besoin de lui assurer qu’il ne ferait jamais rien d’humiliant ou de dégradant, Summer le connaissait parfaitement. D’ailleurs, il était toujours là à s’excuser quand il la prenait de manière un peu trop brutale ou trop vite quand la colère dictait ses humeurs libidineuses.

N’empêche, ils pouvaient vraiment être considérés comme des lapins car vu le nombre de fois où ils couchaient ensemble ! Paris avait longtemps douté sur la solvabilité de son couple. Il entendait surtout par-là, sa crainte de voir son désir partir en fumée au bout de quelques mois. Et bien il avait tort et croyez-le, pour une fois, il avait adoré se tromper. Summer le surprenait à chaque instant. Il se fichait bien de faire souvent la même position ou de toujours terminer dans le lit. Franchement, il s’en cognait complétement. La routine, il l’aimait, la cherchait même car cela l’apaisait, cela le réconfortait. Le reste, c’était toujours comme à leur première fois dans sa loge de stripteaseur : intense, passionné, tendre et surtout d’une extrême complicité. Ils avaient beau forniquer comme des lapins, le plaisir était toujours au rendez-vous, le désir aussi car il ne pouvait pas se lasser d’elle. Au contraire, il chérissait le moindre de ses gémissements, le moindre contact de leurs corps. « Ah ? Madame a envie que je visite l’entrée des artistes ? » répondit-il en jouant les idiots. Ils l’avaient fait une seule et unique fois, lors du spring break mais Paris contrairement à ce qu’il avait pensé, en gardait un bon souvenir. Toutefois, il s’était gardé de réitérer cette expérience peut-être par peur qu’elle ne veuille pas ou de lui imposer quelque chose qui, durant des années, avait été son enfer personnel. Le couple se leva du canapé pour se diriger vers la cuisine. « Je peux passer demain après les cours, je ne finis pas trop tard » lui dit-il avant d’ajouter « Ouais ça me va ! Au fait… question conne on a fait quoi avec ces 1200$ ?! Je peux essayer de prendre plus de cours pour en éponger une grande partie »



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