Hey I Just met you [silas]

Journée de merde. Tout allait de travers aujourd'hui. Il avait oublié des copies à son appartement, et il n'avait aucune envie de sacrifier du temps de sa pause de midi pour retourner les chercher. Si il n'y avait que ça. Aujourd'hui Maly était Mister Poisse, tout lui échappait des mains, et il avait la tête ailleurs. Pas dans Camille, mais au final ça aurait été plus agréable. NOn c'était sûrement à cause du coma, il avait du mal à être dans ce qu'il faisait. Ou alors c'était juste une putain de journée sans. C'était possible, et le blond sortait d'un cours, il avait ranger ses affaires, et s'apprêtait à partir, quand au moment de fermer la porte, parce que Mr ferme les portes, il se retrouva à faire tomber tout par terre. Décidément, Maly c'était pas son jour.

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I just met you
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Les jours étaient long. Les cours étaient un peu très ... théorique. Silas s'ennuyait à vrai dire. Il avait envie d'action, de vivre quelques choses. Et ce n'était pas le cas. Pas pour le moment. Il avait quitté un cours fini, et étudiait la possibilité de sécher le cours d'après qui ne lui donnait pas envie : Politique. Il avait accepté uniquement pour faire plaisir aux parents, et ça le faisait en vrai, juste chier. Il n'avait aucune envie de devenir Monarche. Il voulait seulement, pouvoir vivre sa vie, sans compromis, sans contrainte. Il se promenait dans le couloir quand il fut témoin d'un moment de maladresse d'un blond. Il ne le connaissait pas, et à vrai dire, il s'en fichait. Silas s'approcha de lui, , se précipitant presque à vrai dire, pour ramasser ses affaires, en disant à l'homme. « T'inquiètes je gère. » Par moment, on était loin de s'imaginer qu'il était Prince.
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Il n'avait rien demander à personne, seulement que cette journée maudite se finisse. Il n'en pouvait plus, et en réalité, il avait plus envie de rentrer chez lui que d'être là. Mais on ne fait pas toujours ce qu'on veut quand on est Adulte. Ce que ça fait chier bordel! Il soupira doucement en voyant l'étendu des dégâts, et au moment où il se baissait pour récupérer le tout étendu au sol, un type se pointa et l'aida. Maly en fut content, surtout que sa tête se mit à tourner sans prévenir, et qu'au final, accroupi avec des feuilles dans les mains, il dut se tenir au chambranle de la porte pour éviter de se retrouver le cul sur le sol. Il grimaça un petit « Merci. » Il était pas doué pour faire la conversation en ce moment. Mais il ne laissa pas le type inconnu tout faire. Il détestait avoir besoin de quelqu'un... A part Camille, mais là c'est un autre sujet.

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Silas était comme ça, il aidait les gens. Beaucoup avaient une mauvaise opinions de lui, probablement parce qu'ils étaient sortient ensembles et que Silas et sa vie privée, c'est très compliqué. Alors ils avaient tous, un apriori sûrement. Il aida l'homme blond à ramasser ses affaires, des feuilles qui volaient. Et par curiosité Silas s'arrêta pour lire une des feuilles, même si cela ne se fait pas du tout. Il écarquilla les yeux en se rendant compte que c'était un cours de langue qu'il avait entre les mains, et voulu demander à l'intéreser si il était prof ou étudiant, quand il vit qu'il ne semblait pas aller bien. Il posa une mains sur l'épaule de l'inconnu. « Tu vas bien? Tu veux que j’appelle un médecin ou quelqu'un? » Silas ne rigolait pas spécialement avec la santé après ses Leucémie qui revenaient le hanter régulièrement, et généralement au mauvais moment! Il ajouta quand même. « T'es étudiant en langue? »
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Maly détestait cette journée. Encore plus quand le type lui demanda si il allait bien. De toute évidence ce n'était pas ça, et il n'avait pas envie d'alerter qui que ce soit. Il n'avait pas un rhume ni quoi, mais il ne voulait surtout pas retourner à l'hopital et faire des examens, ou je ne sais quoi et être privé de Camille pendant quelques temps. Il soupira une nouvelle fois. « Non ça va. ça m'arrive parfois. Rien de grave.» Il mentait comme il respirait. Décidément les vieilles habitudes ont la vie dure. Il ouvrir les yeux surprit de cette question, récupérant des feuilles des mains de Silas en lui répondant. « En réalité, professeur de langue et Littérature Française. Et toi t'es bien curieux. » Maly le mec super sympas...

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(Invité)

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Silas regardait l'homme face à lui, lui répondre que tout allait bien. Et il n'y crut pas une seule seconde. Les vertiges c'est jamais bon signes. Il plissa les yeux, mais n'ajouta rien, se contentant de finir de faire une jolie pile avec les feuilles du type, qui lui les arrachaient des mains pour un peu, lui répondant peut être un peu trop abruptement qu'il était trop curieux. Il se mordit l'intérieur de la joue avant de lâcher quand même. « Et toi t'es un sacré menteur. Ils viennent d'où les vertiges? » Il n'avait pas l'intention d'en démordre. Silas, était parfois un peu borné. Il ajouta quand même, avec un sourire et une voix plus gentille. « T'es sûr, tu veux pas que j'appelle ta fiancée, ou ta copine.. ? » C'était pas de sa faute à Silas, si il draguait, presque tout ce qu'il voyait. Au moins il cumulait les chances d'un oui comme ça.

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Maly et cette journée pourrie. Quand allait-elle enfin finir? Il récupéra ses papiers que l'inconnu avait ramasser, et les mit dans sa pochette, même si au début il n'avait pas voulu les y mettre. ça lui apprendra à vouloir garder des trucs dans les mains. Il soupira à la réponse du type. Il savait très bien qu'il mentait, mais il ne lui devait rien à part un merci pour son aide, le reste c'était de l'intrusion dans sa vie privée, et ça agaçait notre blond. « Et comme ça ne te regardes pas, j'ai envie de dire, que tu n'auras pas de réponse à cette question. » Maly était peu sympa, et il le savait, mais merde, il détestait les questions. Et quand le type en rajouta, il le regarda bizarrement avant de lui dire. « Je n'ai pas de fiancé ni de petite amie, et je vais bien. » Il n'essaya pas de se lever, il n'avait pas envie de donner raison à cet inconnu.

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Le regard poser sur son vis-à-vis dans cette position de grenouille, vive les muscles, Silas ne le lâchait pas du regard. Il était borné. Et il ne laisserait pas quelqu'un faisant un malaise seul dans un couloir de harvard. Non ça lui donnerait mauvaise conscience. Il lâcha alors comme sentence. « Lèves toi, je t’emmène à l'infirmerie! » Il ne lâcherait pas l'affaire. Et quand il insista en lui demandant à propos d'une personne partageant sa vie, il eut une réponse qui laissait planer le doute. Il lui dit alors, clarifiant le tout. « Au cas où tu ne l'aurais pas remarquer, c'était une façon subtile de savoir si t'étais casé et si les hommes t'intéressaient.. » Il le regarda avec un grand sourire contrastant avec son ton ferme de tout à l'heure.

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Cette journée empirait à vue d'oeil. Ce mec voulait pas lui lâcher la grappe, et il commençait à lui donner des ordres. Maly détestait ça, et du se réprimer pour ne pas lui lâcher une insulte. Il était adulte maintenant, il devait agir comme tel, et ça l’énervait de l'entendre lui parler de la sorte. « Déjà, tu vas arrêter de me tutoyer, je suis ton aînée, t'as quoi 18 ans? Et ensuite je suis professeur, tu me dois le respect. Et je n'irais nulle part avec toi.» Il pensait l'affaire close, quand ce mec osa lui sortir une autre question, et là il lui disait clairement qu'en fait, il voulait savoir si il était casé et si c'était un mec avec qui il était, si il était avec quelqu'un. Et Maly péta un câble purement. « Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, tu me tombes sur les nerfs. Et j'essaie de rester courtois. Alors tu arrêtes ça tout de suite. Tu peux partir! Et Merci pour ton aide!» Maly, et sa forme olympique...

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(Invité)

I just met you
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La position grenouille allait cinq minutes, Silas était pas venu faire un cour de squats, il était là juste parce qu'il était au mauvaise endroit au mauvais moment, et maintenant il devait supporter ce blond un peu grincheux sur les bords. Mais Silas s'en fichait. Et c'est à ce moment là qu'il décida de faire jouer son statut Royal. « Ecoutes mon petit, tu vas lever ton cul du sol, et je te tutoyerais autant que l'envie m'en chantera. On ne refuse rien à un Prince, alors, bouges et plus vite que ça! » Et pour accompagner ses dires, Silas était déjà en train de lui choper un bras pour l'aider à se relever. Et là il lui expliqua à quel point, il était énervant. Silas lui lança un regard placide, avant d'ajouter. « Et bien ne sois pas courtois, je m'en tape. Mais y'a trentes milles autres façon d'envoyer chier les gens, beaucoup plus agréables. Et je te rassures, t'es aussi relou que je le suis. » ET Silas lui fit un petit sourire de starlette, comme il sait si bien le faire quand il était en représentation.
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