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Lukà renouait avec ses amours passés en retrouvant une vieille habitude qui faisait autrefois ses premières parties de soirée. La pratique de natation il l’avait démarré jeune en Russie et il avait développé avec le temps un véritable coup de cœur pour cette discipline, allant même sur les conseils de son coach au lycée jusqu’à envisager une carrière professionnelle dans cette domaine. Dans cette optique, il avait été déscolarisé à l’issu de ses années lycées, une décision dont il avait deviné à l’époque qu’elle ne séduisait pas grandement ses parents (ces derniers étant largement plus emballés par la perspective de leur fils assis sur les bancs d’une prestigieuse université), mais qu’ils l’avaient néanmoins laissé prendre, sachant leur garçon posé et mature. Au final, ils n’avaient pas eut à s’opposer à cette décision pour que Lukà finisse par intégrer un campus universitaire étant donné qu’une blessure survenue durant sa première année en tant que nageur au niveau pro l’avait poussé à envisager une autre perspective d’avenir. Il avait donc fini par entreprendre des études supérieures avec un an de retard, mais son amour pour la natation n’en avait pas moins demeuré présent, part intégrante de son existence. Durant un long moment après son arrivée à Harvard, il avait pris l’habitude de venir nager au sein du complexe sportif de l’université, se délectant de ce moment de répit en fin de journée, un moment qui n’appartenait qu’à lui. Un moment qu’il n’aurait sacrifié pour rien au monde, mais qui avec le temps s’était néanmoins fait moins fréquent.

Ces derniers temps, la vie ne faisait pas de cadeau à Lukà, le mettant en pression chaque heure de chaque jour, l’épuisant tant physiquement que mentalement. Il ne parvenait plus à se réfugier de sommeil, ses nuits se faisant insomnies et parfois, il lui arrivait de penser qu’immerger son corps dans une étendue d’eau était sans conteste la seule chose toujours autant à même de le détendre et ce même pour une poignée de minutes seulement. Il avait plus que jamais besoin de s’adonner à sa vieille de passion. C’était une façon de repousser l’heure de rentrer aussi, l’heure d’un coucher qui allait indéniablement se solder par un échec. Lukà était donc arrivé à la piscine à une heure avancée, estimant qu’il aurait la paix. Il fila dans les vestiaires (une précaution qu’il ne manquait plus de prendre depuis qu’il avait exposé la vision de ses fesses nues à une jeune femme devenue l’une de ses plus proches amies) pour se mettre en maillot, laissant ses affaires en sécurité dans un casier qu’il ne manqua pas de verrouiller en dépit de sa présence solitaire. Une fois que ce fut chose faite, il rejoignit la piscine et s’enfonça dans son eau réconfortante, savourant comme toujours ce contact. Il commença ensuite à faire des longueurs sans but autre que se fatiguer, goûter à l’effort dans l’espoir franchement fou de n’en dormir que beaucoup mieux une fois allongé dans ses draps. Ainsi dans l’eau, il se retrouvait happé dans un monde n’appartenant qu’à lui ou presque. Ses bras et ses jambes bougeaient bien, témoignant de son expérience dans le domaine. Accaparé tout entier par sa nage, il n’entendait pas plus qu’il ne voyait plus rien d’autre. Brièvement, il fut un peu en paix.

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Moana n’aurait jamais pu être nageuse professionnelle, de son côté. La médecine avait toujours eu toute son attention et difficile de la détourner de sa voie. Mais rien n’empêchait l’italienne de s’adonner à la nage, régulièrement, seule, ne faire qu’un avec l’eau, pour se détendre de tout le stress que formait sa vie dernièrement. Oh elle ne se plaignait jamais, et aucun de ses amis n’était au courant. Personne ne la voyait péter un câble, ou pleurer un bon coup, personne n’avait non plus conscience des multiples cicatrices et brûlures recouvrant l’intégralité ou presque de son dos et dont elle faisait encore cauchemars et insomnies des années après. Récemment, elle aurait juré voir son ex, au détour d’une rue. Cela pouvait n’être qu’une illusion, une hallucination orchestrée par son cerveau fatigué et malmené, difficile de le savoir. Moana aurait rêvé de pouvoir pleurer, hurler en face de quelqu’un de proche mais non. Expliquer cette partie de son passé, c’était s’effondrer. Et elle préférait demeurer forte face à ses amis, celle qui console, qui aide, qui jamais ne trébuche. Celle qui sourit, sans arrêt, également. Voilà ce qui la poussait, en cette belle soirée, à venir ne faire qu’un avec l’eau. Sauf qu’elle ne portait pas un vêtement entier comme les surfeurs, celui-là même avec lequel Lukà l’avait toujours connue lorsqu’ils se croisaient à la piscine, non. Elle était venue en bikini deux pièces, sexy, son dos meurtri clairement visible. Sincèrement, elle n’y pensait plus lorsqu’elle le vit nager, si paisible. Son dos, elle ne le voyait pas dans la glace toutes les deux secondes… alors, après s’être mouillé nuque, bras et jambes, elle plongea à son tour dans l’eau pour le rejoindre, faisant de grands signes pour qu’il la remarque et évite au passage la crise cardiaque. « J’crois qu’on a trop les mêmes idées toi et moi… pas de naturisme ce soir ? » usa-t-elle de son humour à toute épreuve, s’approchant pour venir embrasser sa joue. « Me fais plaisir de te voir ! Avec nos emplois du temps c’est trop la folie… tu m’as manqué. »

@Lukà Petrov
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Dans ces moments-là, il s'enfermait dans une espèce bulle protectrice, prenant contact avec un monde n'appartenant qu'à lui. Aussi loin qu'il puisse s'en souvenir il en avait toujours été ainsi. Le contact de l'eau le transportait et lorsqu'il nageait, il oubliait tout le reste, se focalisant simplement sur ses mouvements. C'était en partie ce qui avait contribué à le rendre bon là-dedans : lorsqu'il s'adonnait à cette passion, il parvenait à repousser toutes autres pensées dans un coin de sa tête pour ne garder que ça. Quand il nageait, il ne pensait à rien d'autre et dieu sait qu'il en avait besoin ces derniers temps. Ces derniers temps, Lukà n'avait de cesse de souhaiter, un poids au coeur, qu'il y eut un interrupteur sur sa tête qu'il puisse actionner de sorte à mettre son cerveau en pause. Un moyen de se déconnecter, de sorte à pouvoir passer une nuit sereine et sans troubles, une nuit débarrassée des images sanglantes et mortifiantes qui n'avaient de cesse de s'inviter dans sa tête depuis le décès de sa mère. L'eau de part son effet sur lui était sans conteste ce qui se rapprochait le plus de cette idée d'interrupteur, ce qui expliquait sans mal qu'il ait manqué de peu de s'assoupir quelques jours plutôt alors qu'il prenait son bain. Le but ce soir-là était de bien nager, de sorte à se plonger dans cet état de légère sérénité, tout en espérant que ce dernier s'éterniserait un peu jusqu'à l'heure de son coucher. La vérité, c'est qu'il n'y croyait pas vraiment pour avoir déjà essayé à de multiples reprises, mais ce n'était pas non plus comme s'il avait des dizaines de solution. En plus, il n'avait pas grand chose à perdre.

Au bout d'un certain temps, l'attention de Lukà fut détourné par quelques mouvements provenant de sa gauche, de grands signes visant sans nul doute à attirer son attention. Il se figea, s'arrachant à la nage, pour découvrir Moana. Il ne pu s'empêcher de remarquer son bikini, son regard glissant rapidement sur ce dernier avant de revenir se poser sur l'expression du visage de la jeune femme. « J’crois qu’on a trop les mêmes idées toi et moi… pas de naturisme ce soir ? » Lukà rit devant cette allusion à leur toute première rencontre, rencontre autour de laquelle elle en avait malencontreusement vu bien plus qu'elle n'aurait dut. Ils arrivaient aujourd'hui en déconner et pour tout dire ils y étaient parvenus assez tôt, réussissant à faire relativement vite abstraction de cet embarras. « Non, c'est pas au programme ce soir » plaisanta-t'il avec un sourire espiègle. Elle le rejoignit et lui planta un baiser sur la joue, geste qu'il ne manqua guère de lui rendre. « Me fais plaisir de te voir ! Avec nos emplois du temps c’est trop la folie… tu m’as manqué. » Lukà acquiesça. Effectivement, il n'avait guère franchement beaucoup le temps de souffler ces derniers temps, ce qui l'arrangeait quelque part. A l'inverse de sans doute bon nombre de ses camarades de promo, il ne manquait jamais de se réjouir ces derniers temps devant une charge supplémentaire de boulot, y voilà un moyen de penser à autre chose qu'à son drame familial. Malgré cela, bien sûr, il aurait aimé avoir plus de temps à réserver à Moana. Sa présence lui accordait un sentiment de bien-être dont il doutait d'être un jour rassasié. « Tu m'as manquée aussi » répondit-il simplement en portant sur elle un regard doux et vibrant de sincérité. « Comment tu vas ? »

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Sans même réellement le savoir, les deux jeunes gens possédaient vis-à-vis de l’eau une sorte de connexion et d’apaisement réel. Un besoin ressemblant quasiment à de l’addiction - bien que très peu dangereuse pour la santé - qui leur permettait de souffler de leurs existences bouleversées par des évènements tragiques. Si lesdits évènements étaient récents pour Lukà et qu’il s’agissait d’un drame familial, pour Moana, cela s’apparentait davantage à des craintes passées et récurrentes, résultant d’un traumatisme important. Jamais ô grand jamais aucun mot n’était sorti de sa bouche à ce sujet, que ce soit à un spécialiste à l’hôpital lorsqu’on l’avait soignée, pour ses multiples blessures au dos ou pour sa fausse couche, ou bien auprès de l’un de ses amis. Mais même si le mal était bien différent pour les deux, ils trouvaient refuge de la même façon, sans vraiment le savoir. En tout cas, le sourire de l’italienne irradiait littéralement la pièce alors que son ami proche remarqua enfin sa présence et qu’elle put s’approcher de lui sans risquer de l’effrayer. « Pas au programme ? Dommage ! » rit-elle aussitôt, adorant le taquiner sur leur rencontre qu’elle trouvait finalement à la fois cocasse et adorable quand elle voyait combien leur amitié s’était renforcée au fil du temps. De toute manière, les plaisanteries de Moana, son sourire, étaient de loin sa plus grande force. Rien ne lui fit plus plaisir que d’entendre de la bouche de Lukà qu’elle lui avait manqué, malgré le fait que de son côté aussi, le travail lui garantissait de ne pas perdre totalement la boule. Entre ses études de médecine, les stages en hôpitaux, le boulot de clown qu’elle faisait auprès d’enfants malades dans un centre spécialisé… elle ne s’estimait pas si malchanceuse que ça. « Moi ça va ! J’ai plein de taff, j’adore ce que je fais, en plus que j’éclate à faire rire les gamins dès que j’ai du temps libre dans le centre dont je t’ai parlé. En fait tant que les autres vont bien moi j’vais bien c’est mon principal souci » expliqua-t-elle en haussant les épaules, demeurant droite face au jeune homme, qui ne pouvait pas encore voir ses odieuses cicatrices et brûlures dans son dos, heureusement. Mais cela viendrait… « Toi t’es blindé de travail ça c’est net mais t’as pas des millions de nénettes qui te courent après ? Allez j’veux du croustillant ! » rit-elle une nouvelle fois.

@Lukà Petrov
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Ca aurait put s'arrêter là entre eux. Ca aurait pu s'arrêter au moment où leurs regards s'étaient croisés pour la première fois, elle l'air hyper décontenancé, lui l'étant tout autant, mais étant par dessus le marché totalement nu. Ce n'était pas franchement conventionnel comme rencontre et bon nombre de gens auraient été furieusement gênés dans une telle situation. En dépit de sa belle assurance, Lukà l'avait aussi vécu ce moment de solitude, mais il avait réussi à passer au delà et ce qui aurait put être une anecdote furieusement embarrassante était devenu une histoire amusant qu'ils aimaient bien se ressortir à l'occasion. Après tout, c'est vrai qu'elle était vraiment drôle, cette histoire. « Pas au programme ? Dommage ! » Il souriait toujours, appréciant leur aptitude à rire ainsi de tout cela. Aussi étrange qu'eut été cette rencontre, elle avait permis de poser les fondations d'une amitié qui perdurait à présent depuis près de trois ans et, rien qu pour cela, Lukà n'aurait voulu pour rien au monde qu'il en soit différemment. « Eh, la vue de mon postérieur est un privilège, ça se mérite » rétorqua-t'il, taquin, un sourire amusé encore accroché à ses lèvres. Les plaisanteries sur le nudisme passées, Lukà la questionna, lui demandant comment elle allait. Peut-être était-ce le fait de s'être "exposé" à elle dès la première rencontre, mais il y avait toujours eut quelque chose chez Moana qui lui inspirait confiance. Il n'aurait sut dire avec exactement quoi, mais le résultat était là. Il avait l'impression qu'ils se comprenaient tous les deux, d'une certaine façon et (sentiment tout bonnement inédit pour lui) il ne ressentait pas le besoin de feindre que tout allait merveilleusement bien dans le meilleur des mondes. C'était une sensation incroyablement relaxante dont il se délectait et de ce fait, la présence de Moana au sein de ce cadre apaisant lui conféra un sentiment de bien-être tel qu'il n'y avait pas goûté depuis bien longtemps. « Moi ça va ! J’ai plein de taff, j’adore ce que je fais, en plus que j’éclate à faire rire les gamins dès que j’ai du temps libre dans le centre dont je t’ai parlé. En fait tant que les autres vont bien moi j’vais bien c’est mon principal souci » il pouvait le comprendre, ce besoin de sentir son entourage satisfait pour l'être à son tour. Après tout, il avait le même état d'esprit. Ses parents l'avaient responsabilisés très tôt, lui laissant entendre qu'en tant qu'aîné il était de son devoir de s'assurer du bien-être de sa reste de fratrie, l'amenant à devenir ce garçon surprotecteur qu'il était désormais. S'il ne manquait pas de défaut, on ne pouvait pas lui enlever qu'il n'avait pas en lui ne serait-ce qu'une once d'égoïsme. Il prenait toujours lui, tolérant sa propre peine sans jamais la laisser sortir et ce pour aider les autres à supporter la leur. C'était tout à fait honorable, mais aussi franchement épuisant. « Toi t’es blindé de travail ça c’est net mais t’as pas des millions de nénettes qui te courent après ? Allez j’veux du croustillant ! » Toujours souriant, il secoua la tête, le tout en passant une main sur sa nuque puis dans ses cheveux blonds trempés par l'eau de la piscine. « Je suis vraiment désolé de te décevoir mais, aussi bizarre que ça puisse paraître compte tenu de mon appartenance à la gente féminine, j'ai autre chose à penser en ce moment. » Répondit-il. C'était la vérité. Il avait malgré lui un peu tendance à se renfermer sur lui-même avec tout ce qu'il passait dans sa vie, même si ce n'était pas la chose à faire. Au contraire, il aurait été bon pour lui d'avoir de la compagnie. Dans les temps durs, c'est primordial.
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Effectivement, la gêne aurait pu être le terme de leur rencontre. Moana n’avait pas été celle dans la position la plus inconfortable, ceci étant. Son postérieur n’était pas dénudé au moment où son regarda avait croisé celui de Lukà, non. Par chance, ce moment restait un souvenir plutôt comique, dont ils se plaisaient à rire et telle qu’il la voyait actuellement, l’italienne le taquinait sans lourdeur, façon bien à elle de complimenter son corps somme toute très agréable à regarder. Si les rôles avaient été inversés, probablement la drôlerie aurait été la même, la demoiselle ne craignant pas sa plastique en elle-même, juste les marques de son dos. Son séant en lui-même restait très agréable à regarder et aurait pu être d’abord synonyme de gêne puis un agréable souvenir dans l’esprit et du jeune homme, et de l’étudiante en médecine. « Ouais ça se mérite c’est clair… ça veut dire que tu m’trouves toujours pas assez sage ou méritante ! » Moana n’était pas sérieuse une seconde, elle appréciait ce moment et le berçait de son doux rire qui résonnait en échos multiples dans le silence de l’immense pièce à haut plafond. Elle ne quittait pas Lukà des yeux, ravie de croiser enfin sa route, regrettant juste aujourd’hui que ses études soient si prenantes car son amitié lui était chère et ne pas savoir s’il allait bien ou pas l’angoissait. Elle y pensait régulièrement, d’ailleurs, sans forcément oser lui envoyer un petit message de peur qu’il n’y réponde pas. Y penserait-il ? Peu importe. L’italienne n’osait pas encore mais cela viendrait. Ce qui occupa bientôt son esprit, ce fut la réponse à sa question, qui l’intrigua au-delà des mots. Apparemment, il avait cette envie de ne pas côtoyer la gente féminine, si elle lisait bien entre les lignes. « Ah… heu j’ai peut-être dit une connerie désolée tu sais j’en dis beaucoup, je parle trop quand je m’y mets ! Mais j’comprends si t’as pas envie de voir de nénette. Tu veux que je te laisse nager seul un peu ? »

@Lukà Petrov
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« Ouais ça se mérite c’est clair… ça veut dire que tu m’trouves toujours pas assez sage ou méritante ! » Il souriait encore, témoignant de par ce simple fait le plaisir qu'il avait à la retrouver ainsi, dans un contexte similaire (à quelques détails non négligeables près) à celui de leur toute première rencontre. Il aimait bien Moana, tout bêtement. Elle était drôle, sympathique et, ce qui ne gâchait décemment rien, elle était vraiment super jolie. Il n'avait pas honte de le reconnaître et de toute façon il était à peu près sûr que cela se voyait sur son visage. Il n'avait jamais eut aucun geste qui puisse porter à confusion tel qu'il le percevait, mais c'était un fait. « Non, en fait, crois le ou non, je suis pas du genre à m'exhiber comme ça devant la première fille qui passe. Toi, t'étais un peu mon exception dans ce domaine » lui rétorqua-t'il, taquin. Effectivement, c'était pas franchement le genre de la maison. Lukà, il collait davantage à tous les codes du gendre idéal et ça sous entendait de garder ses vêtements sur lui quand il se trouvait en présence de quelqu'un qui n'avait rien demandé de tel. Malgré cela, il était très à l'aise avec son corps et l'avait toujours été et de toute évidence, Moana l'était aussi. C'était d'ailleurs sans conteste l'une des principales raisons du pourquoi ils avaient eut tant de facilité à accrocher l'un avec l'autre. Lukà tâcha de répondre à la question quant à ses histoire d'amour d'une façon claire et honnête et ce car en dépit du fait qu'ils ne se parlaient pas franchement sans arrêt, la faute à leurs vies respectives et tout le bordel les accompagnant, il s'était toujours senti quelque part en confiance avec elle, bercé de la certitude qu'elle ne le jugerait pas et qu'elle serait apte à le comprendre. Il lui expliqua en gros qu'il n'avait pas forcément la tête à ça et ce quand bien même, à l'instar des autres garçons de son âge, ses pensées avaient naturellement tendance à dévier vers ce genre de choses. Il avait eut des histoires d'amour, comme tout un chacun, mais n'était actuellement pleinement investi dans aucune nouvelle histoire. Il faut dire que son drame familial accaparait un peu trop ses pensées; En somme, il était trop occupé à se prendre la tête et à se sentir foncièrement impuissant pour se divertir dans les bras d'une fille à même de lui apporter du réconfort. Pour un mec intelligent, il pouvait vraiment être diablement stupide parfois. « Ah… heu j’ai peut-être dit une connerie désolée tu sais j’en dis beaucoup, je parle trop quand je m’y mets ! Mais j’comprends si t’as pas envie de voir de nénette. Tu veux que je te laisse nager seul un peu ? » Voilà, il avait réussi à lui laisser croire qu'il n'avait pas envie de la voir. Se rattrapant direct, Lukà repris la parole. « Non, bien sûr que non, reste. Je me suis mal exprimé, désolé, je suis un peu à l'ouest en ce moment, mais ça me fait plaisir que tu sois là » et il le pensait.
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Moana esquissa un petit rire avant de secouer négativement la tête de droite à gauche. « Tu sais je ne te prends pas pour un nudiste qui aime bien se trimballer les fesses à l’air en public toute la sainte journée, hein… je sais bien que j’étais l’exception qui confirme la règle. D’ailleurs c’est presque flatteur ! Et d’autant plus sympa comme souvenir… mais je n’ai jamais pensé que tu sois un mec comme ça. Vraiment. » L’italienne se permettait d’insister non pas seulement pour le rassurer mais également pour lui faire comprendre qu’elle le portait en estime. Les coïncidences pouvaient arriver à n’importe qui et l’inverse aurait très bien pu être vrai, d’ailleurs. La demoiselle aimait bien dévoiler son corps à l’eau mais uniquement lorsqu’elle se trouvait seule, pas lorsqu’elle était susceptible de croiser qui que ce soit, surtout dans un lieu public comme celui-ci. Même le soir, il existait toujours un risque pour que quelqu’un ait eu la même idée et se pointe la gueule enfarinée. A moins d’avoir une piscine privée à l’abri des regards, couvertes si possible - pour éviter de se cailler les miches au passage - il existait toujours un risque. Par conséquent, l’italienne ne pouvait pas considérer Lukà comme un mec facile aimant dévoiler son corps facile à une jeune femme et aimant surtout provoquer ce genre de situation. Après tout, elle avait vu sa gêne, il ne l’avait pas feinte. Son désintérêt pour les histoires d’amour non plus, il ne le feignait pas. Enfin, Moana ne savait pas s’il s’agissait d’un quelconque désintérêt, difficile à dire. Quoi qu’il en soit, il l’invita à rester, et elle lui envoya quelques gouttelettes au visage. « Entre toi qu’est à l’ouest et moi qui est trop expressive, on fait une bonne moyenne… en tout cas tu devrais t’entourer plus souvent, ça fait du bien. Tu sais au pire tu peux m’appeler, même cinq minutes. Ou me parler de ce qui te chiffonne. Au pire j’y peux rien, au mieux ça te fais du bien… »

@Lukà Petrov
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« Tu sais je ne te prends pas pour un nudiste qui aime bien se trimballer les fesses à l’air en public toute la sainte journée, hein… je sais bien que j’étais l’exception qui confirme la règle. D’ailleurs c’est presque flatteur ! Et d’autant plus sympa comme souvenir… mais je n’ai jamais pensé que tu sois un mec comme ça. Vraiment. » Lukà secoua la tête. Il déconnait, il ne doutait pas de la façon dont Moana le percevait sur ce point. Il n'avait rien d'un mec facile, il le portait totalement sur lui et en dépit de ses taquineries quant aux circonstances embarrassantes de leur première rencontre, il n'avait jamais cru que Moana puisse sérieusement le voir ainsi. « T'inquiètes pas, j'en doute pas du tout. » Après qu'il l'ai questionné sur son bien-être, Moana fit une allusion à ses conquêtes. Une question à laquelle il tâcha de répondre honnêtement. S'il n'avait jamais été très prude comme garçon, commençant à sortir avec des filles durant son adolescence en Russie, il ne pouvait pas dire sans mentir que sa vie sentimentale était franchement passionnante. Ces derniers temps, ses pensées avaient tendance à être intégralement accaparées par sa famille et tout le drame qui l'entourait. Il n'avait de cesse de craindre pour la vie des gens qu'il aimait et ça jouait énormément sur son moral. Il se faisait l'effet de passer ses journées dans un état d'angoisse constante et au delà de ça, au delà de sa peur qu'un nouvel évènement horrible ne survienne, il se sentait comme dépossédé de ce qui faisait partie intégrante de sa personnalité. Il avait toujours été le grand-frère, celui qui gère la crise, celui qui protège et ces derniers temps, il s'en montrait tout bonnement incapable. Cette situation lui conférait un sentiment d'impuissance qui le plombait beaucoup. Tant de problèmes qui s'entassaient sur ses épaules, tant de problèmes avec lesquels il tâchait de composer, mais ça restait beaucoup de pression, une pression permanente qui laissait pas la place pour grand chose d'autre. Ca n'avait rien à voir avec Moana, il n'y avait là rien du tout de personnel. Au contraire, il y avait quelque chose de très agréable dans le fait de se tenir ainsi auprès d'elle. « Entre toi qu’est à l’ouest et moi qui est trop expressive, on fait une bonne moyenne… en tout cas tu devrais t’entourer plus souvent, ça fait du bien. Tu sais au pire tu peux m’appeler, même cinq minutes. Ou me parler de ce qui te chiffonne. Au pire j’y peux rien, au mieux ça te fais du bien… » Et ça le touchait beaucoup. Il avait besoin de ça car ce truc de tout garder pour soit, de faire le gros dos sous la bourrasque en feignant qu'il peut gérer par fierté, ça pouvait pas marcher encore longtemps. Il pouvait pas tout cadenasser en lui, il en avait déjà eut la démonstration. Il manquait ni de bravoure ni de dévouement, mais il n'avait pas non plus à intérioriser ainsi sa peine. C'était une chose de ne pas vouloir faire l'étalage de sa douleur pourtant évidente auprès de ses frères et soeurs, mais c'en était une autre que de s'enfermer dans cette peine. Moana lui ouvrait là une porte, une porte dans laquelle il était invité à s'engouffrer. Et il n'allait pas se faire trop prier. « Merci beaucoup » répondit-il simplement, son regard bleu braqué sur elle. « Merci d'être là. »
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Entendre Lukà dire qu’il n’en doutait pas du tout soulagea grandement Moana qui reprit un grand sourire lumineux. Elle s’en serait voulu d’avoir plombé l’ambiance avec une plaisanterie lourde alors que son désir était surtout de lui changer les idées. Bien entendu, elle ne savait pas tout de la vie du beau russe, et se gardait bien de jouer les grandes curieuses devant l’éternel. Elle le laissait venir à elle si jamais il ressentait l’envie de lui confier quelque chose, autour d’un verre ou d’une bonne table. Cela arrivait parfois. Jamais ô grand jamais elle ne l’avait obligé à ouvrir la bouche sur ses problèmes, même si elle les imaginait nombreux. A voir le jeune homme se refermer ainsi sur lui-même, telle une huître, éviter un peu les autres et surtout la gente féminine si elle comprenait bien ce qu’il lui avait dit un peu plus tôt, le problème ne devait pas être piqué des hannetons. Mais difficile de lui tendre la main ou de l’aider s’il n’en disait pas un mot. Alors l’italienne allait rester de côté, patiemment, attendant pleine d’espérance qu’il ne fasse un pas vers elle et ne vienne déposer sa tête contre son épaule. Après tout, leur relationnel était basé sur la confiance jusqu’à lors. Il n’y avait aucune raison objective pour que cela continue. Elle fut d’ailleurs encouragée lorsqu’il la remercia, son regard bleu braqué sur elle. Moana s’approcha d’un seul pas et avança sa main pour frôler sa joue du bout de ses doigt, le touchant à peine de peur de l’effrayer. Non, elle ne voulait surtout pas l’effrayer. Tout ce qu’elle souhaitait, c’était l’aider, le soutenir. « Tu n’as pas à me dire merci, tu es tout le temps là pour moi aussi » répondit-elle d’une voix douce, sans pour autant éloigner réellement sa main. La demoiselle appréciait ce contact, sans savoir pourquoi, et ne quittait pas Lukà du regard. « C’est normal… et t'as l'air d'en avoir besoin. »

@Lukà Petrov
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