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ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams

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feat. RACHEL MCADAMS
avatar ©️ HEPBURNS

     
Eleanor Seaton-Brimsey
Nom Seaton-Brimsey, le premier est mon nom de jeune fille et le second celui de mon ex-mari, je l’ai gardé car je suis connue sous mon double patronyme mais on peut dire qu'il ne me sert plus à rien. Prénom(s) Eleanor, surnommée « Ellie », rend hommage à ma grand-mère qui n'a hélas pas eu le temps de me connaître.Âge Trente ans, un nouveau cap déjà.Date de naissance 22 août. Lieu de naissance Dublin, Irlande. Statut amoureux Divorcée et désormais célibataire. Je mène une vie sans attache après avoir eu mon lot de déception.  Orientation sexuelle Hétérosexuelle. Classe sociale Je vis convenablement. Job Journaliste/reporter, qui aime parcourir le monde et se rendre sur le terrain même si ces dernières années sont relativement calmes.Depuis combien de temps ? environ sept ans. Choix de groupe Citizens

     
Avez-vous étudié à Harvard ?
     Non, je n'ai pas eu l'occasion ni le loisir de mettre les pieds à Harvard. C'est sûr que lorsque l'on pense à Boston, Harvard figure en tête de liste. Pour être franche, je ne sais même pas si mon dossier universitaire et ce, malgré les brillantes attestations que j'ai pu recevoir, aurait suffit à y entrer. Pourtant, cette université aussi prestigieuse soit elle en fait rêver plus d'un. Me concernant, je m'en fiche un peu qu'elle vende du rêve, du moment que ça puisse déboucher sur un emploi c'est l'essentiel j'imagine.

        
APRÈS LA BOMBE.
     J'étais encore au travail quand c'est arrivé mais j'ai appris dans la journée ce qu'il s'était produit. On m'avait raconté qu'un type complètement fêlé s'était introduit sur le campus et avait menacé de faire tout exploser à l'aide d'une ou plusieurs bombe/s. Ce n'était pas si insensé que ça vu le monde dans lequel nous vivons. Mais quand je repasse devant le campus, je ne peux imaginer le drame que cet événement a pu causer et les vies brisées qu'il a produit. Certains de mes amis issus du corps administratifs ont été blessés et garderont à jamais les séquelles de cet attentat, si je peux l'appeler ainsi. A croire qu'il faudrait se méfier de chaque endroit où l'on met les pieds et sans sombrer dans la psychose. Monde de fous.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
       Cette fois-ci, j'ai appris la nouvelle en direct puisque mon patron m'avait demandé de me rendre sur les lieux pour « couvrir l’événement » et faire grimper les audiences. Sur place, c'était irréel. En tant que journaliste, j'ai pu avoir accès à certains endroits où le public ne pouvait se rendre. Etant loin d'être étudiante, je n'ai pas été confrontée directement à ces agressions. Cependant, j'ai vu l'horreur dans les yeux des parents des victimes qui ont eu le courage de témoigner face aux caméras. Moi-même, je pesais mes mots, ne désirant aucunement blesser davantage ces parents, déjà meurtris par ce qu'il venait de se produire. A Boston, on a tous souffert à notre manière d'autant plus que ce genre d’événement n'est pas le premier à arriver. Une fois encore même si l'horreur était au rendez-vous, la panique ne nous a pas submergé pour autant, bien au contraire.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
     Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D

     
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story of my life



i heard the angels singing.

W/ FINN BRIMSEY, DAD.

« Finn, rattrape là ! Elle va se noyer, Finn, bon sang, fais quelque chose ! » la voix de ma mère était à peine audible das les remous de l'eau. Je buvais la tasse, tentais de garder les yeux ouverts pour rester attentive. Combattre et lutter ; à sept ans, on ne sait pas vraiment comment y arriver ni comment faire. J'étais perdue, naviguant en solitaire dans le néant...non... dans cette eau chlorée, cette piscine qu’avaient construite mes parents il y a deux ans. Je ne cessais de plonger et de remonter, tentant d'aérer mes poumons, respirant avec difficulté. « Finn ! Aide la ! » Mon père avait parfois des absences pourtant en cet instant il n'avait pas réfléchi et s'était jeté la tête la première dans l'eau. Je me rappelle avoir été tirée hors du bassin ; mon père avait effectué les gestes de secours à la perfection, m'attribuant de l'oxygène dans mes poumons qui regorgeaient d'eau. L'hospitalisation avait été évitée, de justesse cela dit. Allongée au bord de la piscine, mes pupilles embrumées fixèrent avec attention les visages graves de mes parents mais également de mon frère qui, pour le coup, m'avait tenu la main. J'avais failli me noyer à l'âge de sept ans et je me souviendrai probablement toute ma vie de ce souvenir, douloureux tout de même. J'avais voulu faire ma grande, ma petite-fille un peu trop orgueilleuse. Délaissant mes bouées gonflables, je m'étais aventurée seule dans l'eau, prenant soin de vérifier que mes parents avaient le dos tourner avant de m'élancer dans l'eau. Mon frère n'avait pas été présent autour de la piscine et n'avait donc pas pu me gronder. A dix ans, on joue les gros durs ; pour lui, c'était vraiment un spectacle que de se montrer aussi fier à mon égard. Je n'aimais pas lorsqu'il prenait la place de mes parents car ce n'était pas son rôle. Il était mon grand frère et personne d'autres. Pourtant, lorsque le drame s'était produit, il n'avait pas été là pour me sermonner ni même pour me gronder. Il avait été présent lorsque mon père avait réussi à m'extraire des poumons les filets d'eau qui s'y étaient infiltrés. Il m'avait tenu la main et avait su me rassurer. Me réconforter sous le regard terrifié de mes paternels qui ne s'étaient pas attendus à ce que je commette un geste aussi dangereux. J'avais mis ma vie en danger, inconsciemment. A l'âge de sept ans, ce n'est pas totalement l'âge de raison, du moins ça ne l'était pas pour moi. Inconsciente, je l'ai été jusqu'à mon adolescence, jusqu'à ce que je vienne à remarquer mes propres erreurs, mes propres faiblesses. En classe de quatrième, j'avais vu l'un de mes amis se faire agresser par un garçon - un délinquant, surement -. Je n'avais rien fait. En classe de troisième, le même garçon avait frappé l'une de mes amies. Je m'étais interposée, recevant moi-même le coup. « Inconsciente » m'avait-il soufflé avant de décamper, trop lâche pour terminer ce qu'il avait déjà entrepris. A l'époque, j'avais quinze ans et là encore, je ne me rendais pas totalement compte de mes actes. A croire que je faisais tout pour m'attirer des ennuis à moins que ça ne soit l'inverse.



if you ever love me, you gonna let me go.
W/ FINN BRIMSEY, DAD AND RILEY BRIMSEY, BROTHER.

« Madame Brimsey a eu accident. Nous ... Nous l'avons hospitalisé d'urgence. » le médecin nous observait, serrant fermement le bloc-notes qu'il tenait entre les mains. Pour le coup, le mot « urgence » sonnait vrai. Nous n'étions pas dans les films où certaines répliques semblaient exagérées. Pour le coup, mon père, mon frère et moi-même étions face à la réalité, une cruelle réalité. Je savais que ma mère avait été victime d'un accident de voiture et savais également que son état s'avérait critique étant donné qu'elle avait été placée à la place du mort (...) « Est-ce que nous pouvons la voir ? » répliqua mon père d'une voix cassée, due à l'émotion probablement. « Pas pour l'instant monsieur Brimsey. Restez ici, je reviendrai vous chercher lorsque nous aurons terminés. » Terminé ? Que devaient-ils terminer ? Je n'étais pas convaincue par la franchise de ce toubib encore moins par son sourire crispé, me donnant froidement les jetons. Ma main s'appliqua tendrement sur celle de mon père qui fut parcouru d'un sursaut. Je n'avais jamais été aussi proche de lui qu'à cet instant. Les rares moments intimes entre père et fille n'existaient que très - trop - peu et c'est là, assise dans cette foutue salle d'attente de ce maudit hôpital, que je me rendais compte de tout ce que j'avais bien pu rater en sa compagnie. « Ils ont intérêt de ramener maman intacte du bloc. » mon frère s'était redressé. Vingt ans, 1m83 pour 86kg de muscles. Je savais qu'il serait capable du pire lorsqu'il s'agissait de toucher à sa famille. Il me l'avait démontré à maintes reprises lorsque des gamins de ma classe de seconde avaient été un peu trop tactiles à mon égard. La bagarre fut mémorable et mon frère s'en était sorti en vainqueur. Un sourire s'était incrusté sur mes lèvres alors que je songeais à ce souvenir maladroit. Songer à un instant joyeux alors que l'un de nos parents était entre la vie et la mort, il fallait avoir du culot. J'en avais. J'étais confiante quant à la survie de ma mère. C'était une battante. Pourtant, lorsque le médecin revint vers nous et demanda à voir mon père en privé, je compris qu'il y avait eu des complications. Tendue, j'observais mon paternel se diriger vers la salle avoisinante, accompagné par ce médecin qui ne me faisait guère bonne impression. Malgré la porte close, je pus réussir à lire sur les lèvres du toubib un « Je suis désolé. ». Je déglutis, croyant vaciller et m'ordonnant à croire que je venais d'halluciner. Je perdis rapidement pied lorsque mon père, muet, me confirma mes macabres pensées en ne me lançant qu'un seul regard. Mon frère comprit également et la descente aux enfers débuta. Le soir même, mon père rencontra une fois de plus le chemin de son vieux démon, l'alcool, et vida le stock de whisky écossais que l'on gardait généralement pour les invités. Le soir même, mon frère fut envoyé au commissariat suite à des coups et blessures à répétition à l'égard du personnel hospitalier. Le soir même, je fus prise d'un violent malaise qui me conduisit à dormir à même le sol du salon.
Plus les jours et les mois défilaient et plus le néant s'ouvrait à moi. L'enterrement de ma défunte mère avait été prononcé dans le cimetière de la ville. Quelques proches étaient présents mais la cérémonie resta intime. Mon père était mal en point, luttant férocement contre sa dépendance envers l'alcool. Il avait une mine déconfite et la gueule de bois. Sa détresse était sans appel. Je noyais la mienne dans mes articles, les sorties et mes entraînements de danse classique. Je tentais de prendre soin de ma famille du mieux que je pouvais mais la lassitude et l'exaspération de ne rien faire de ma vie s'accentuaient au fils des jours. Ce ne fut qu'au bout de six mois que je reprenais enfin mon destin en main, et m'étais décidée à quitter ma famille et ma ville natale pour conquérir le monde, du moins en partie. Quant à mon frère, il s'était engagé dans les Marines, ne nous laissant qu'une simple carte avec ces quelques mots « Prenez soin de vous. On se reverra. » Oui, on se reverra, un beau jour.


it's not what you thought, when you first began it.
BOSTON, MASSACHUSETTS: USA. ◄►.

J'ai relevé à maintes reprises que la qualité indispensable et première d'un bon journaliste était la curiosité. Certes, mais ce n'est pas tout. En fait, pour être un bon journaliste il faut surtout être réactif, être capable de s'adapter aux situations, à des interlocuteurs aux personnalités très diverses, être habile, un peu provocateur mais toujours courtois. Je crois qu'il faut savoir se rendre aimable, sans en faire trop -au risque de passer pour une hypocrite-. Être extrêmement patient, c'est le plus important. Sans non plus se faire marcher dessus. Être capable de savoir dire non, avec humour cela passe mieux, face à toutes les demandes de nos interlocuteurs, savoir conserver son indépendance en quelque sorte. Comprendre, sans interpréter, les propos de nos interlocuteurs. Et être capable de retranscrire ce que l'on a entendu et observé. Savoir écrire, enfin, de manière claire, précise, vivante, en évitant les observations personnelles. Ce n'est pas si facile d'être un bon journaliste. Je n'aime pas les dérives que j'observe : ceux qui écrivent pour se faire plaisir et non pour informer, ceux qui copinent beaucoup trop avec les informateurs potentiels, les décideurs, les politiques, oui, ça, ça me dérange. C'était mon ressenti dès mes premiers mois passés à Boston. J'avais postulé dans plusieurs agences de presse des Etats-Unis et seule celle de Boston avait retenu mon attention, à moins que ça ne soit le salaire qui m'a tout de suite décidé. J'avais donc quitté ma famille et ne l'avait plus revu depuis presque sept ans. Une page s'était tournée pour en débuter une nouvelle, plus prestigieuse qu'autrefois.



       
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Bienvenue parmi nous ma belle ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 3850463188 J'aime tes choix ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 2511619667
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Merci beaucoup Sloan ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 2511619667
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bienvenuuuuuue jolie demoiselle ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 3850463188
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Bienvenue parmi nous ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 3850463188
Good luck pour ta fiche and have fun Vic
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 3850463188

(bon choix) ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 2109348208
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Le pseudo + l'avatar :heaart:
Bienvenue ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 3997999705
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Merci à vous tous ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 4046487928 :heaart:
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Bienvenue ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 2511619667 l'avataaaar ELEANOR S.-BRIMSEY ► rachel mcadams 4205929361
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