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Armour & Buffet fusionne et pas que..

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— with @Kaylee Armour

"Aller mon fils, fait moi plaisir et tien toi bien. Tu sais combien c'est important pour l'entreprise de finaliser cette fusion." Je grimace comme simple réponse quand mon père me dit ça en m'ajustant la cravate de mon costard. Comment peut-il me demander ça? Il m'organise une soirée de fiançailles alors que j'ai même pas fait ma demande auprès de Kaylee. C'est surtout qu'il s'agis de la brune qui me fait le plus chier. J'ai tout fais pour qu'elle me déteste afin de fuir mon attachement un peux trop présent chez moi, notre relation à Omaha était pourtant super et c'est certainement ça qui m'a complètement fait flippé et qui m'a obliger à raconter des conneries. Je pensais être débarrasser de toute cette histoire afin d'oublier complètement mon attachement à elle et BIM voila qu'il m'annonce cette nouvelle.
Je ne dit pas un mot dans la limousine qui nous conduit au lieu de la réception et écoute mon père qui me donne une leçon sur le comportement à avoir ce soir, il sais combien c'est lourd pour moi de devoir me marié à quelqu'un que je n'est pas choisis, mais il sais aussi que j'aime l'argent et que l'héritage qui m'attend est bien plus important que tout ça. Puis je suis son seul héritier, donc impossible pour lui de voir les choses différemment, mon grand père est du même avis puisque cette idée est la sienne.
Le chauffeur se gare prêt de l'entrée et sort de sa place pour venir nous ouvrir, ma belle mère sort la première, mon père la suit de très prêt pour lui prendre la main afin d'avancer à l'entrée de la salle se laissant prendre en photo par tous ces journaliste. Je sors à mon tour, ajuste mon costard et avance jusqu'à l'accueil ou mon père m'arrête net. "Il faut que reste ici pour attendre Kaylee afin que vous puissiez rentrer ensemble. Après tout c'est votre soirée. Elle à eu les même recommandations que toi, donc laisser vos différents de côté et faite semblant, tous le monde doit y croire." Je lève les yeux au ciel. "Oui papa je sais." Il me donne une tape sur l'épaule et part avec ma belle mère dans la salle ou il se fait accueillir comme un roi par les invités.  

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This is a modern fairytail, no happy ending, no wind in your sails
Hardin & Kaylee.

Tu viens de faire une manucure au fini brillant. Ta tenue est impeccable. Ta robe n’est pas trop courte. Tes talons sont renversants. Et ton col arrondi ferait presque dire à tes potes de soirée que tu t’es assagie. A te voir dans le miroir, tu as l'impression de faire parti de ces filles qui ont réussi leurs vies. Ce soir tu ne sors pas, tu fêtes tes fiançailles. Tu as jurer contre ton frère au téléphone pendant une bonne demi-heure pour lui reprocher le fait de te laisser seule avec les monstres. Tu as tout tenté pour essayé de reporter la date, mais en vain, donc tu te contentes de t'asseoir en croisant les jambes en attendant que ça passe. Ta mère a sortit le grand jeu. La réception est vraiment chic. Peut-être un peu trop kitch à ton gout, mais bon, elles sont bidons de toutes façon ces fiançailles. Hardin n'a même pas encore eu la décence de t'offrir une bague. Il faut tout de même avouer que le champagne était excellent. Tu es lassée de devoir remercier tous les membres de ta famille d'être venu. Jusque là tout s'est relativement bien passé. Tu as parler de ton boulot avec quelques amis à ton père qui pourraient te pistonner, d'art avec tes tantes, de mode avec tes amies... Tu as laissé ton père venter les excellentes notes que tu a obtenais à la fac fratrie, sans faire de commentaires. Puis ta grand-mère t'interpelle. Tu ne l'as pas vu depuis des lustres. Elle vient de Baltimore spécialement pour l'occasion. Elle te félicite, elle pense qu’il est temps. Temps de te calmer. Temps de grandir. Temps d’avoir une vie d’adulte. Selon elle, il serait même temps pour toi de transmettre. Tu te contentes de l'écouter en plissant les yeux. Transmettre quoi, tu n’en as pas la moindre idée. Mais apparemment il y a un moment dans la vie où il faut faire des enfants, pour transmettre justement. Encore faudrait-il avoir appris quelque chose… à part des bouquins de droits. Ah si elle savait qu'il y avait un tas de cellule qui se multipliaient dans ton ventre au moment même où elle te parlait. Tu aimerais l'arrêter dans sa diatribe et éclater en sanglot dans ses bras. Tu ne veux pas du gosse d'Hardin. Tu ne veux pas de lui comme mari. Il t'as trompée. Il t'as menti. Il s'est tiré. Il t'a fait trop de mal. Et le voilà qu'il se repointe dans ta vie comme une fleur, pour officialiser une union par interêt. Interêt commun certes, mais tu aurais préféré te marier avec quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui ne se serait pas foutu de toi. Tu aimerais tout plaquer, mais tu as des ambitions, toi. Pas de projets, mais des ambition. Tu ne peux pas renoncer à ton héritage. Elle voit Hardin passer et elle l'interpelle. Tu roules des yeux. Tu soupires. Elle vous trouve magnifique ensemble. Vous êtes le plus beau couple qu'elle n'a jamais vu. Ça te fait rire. Elle se voile la face. « Non grand mère, c'est surement pas le cas ! » Tu te pinces la joue de l'intérieur pour te retenir d'extérioriser toute ta colère envers Hardin, là, maintenant. C'était plus facile quand tu t'imaginais cette reception dans ta tête. « Y a un tas de couples plus beau que nous. » Tu joues ton rôle àla perfection. Tu feins un sourire. Tu fais passer ta première réplique pour de la timidité. Manipulatrice comme tu es, ça va surement marcher. Ton père et ta mère t'en voudraient trop si tu faisais un scandale là maintenant. Même si tu as une furieuse envie de renverser ton verre de jus sur Hardin - bien sur que tu ne bois pas d'alcool. Tu es enceinte voyons et même si tu comptes probablement avorter, tu envisages tous les cas de figure et il est hors de question pour toi de faire des conneries qui pourrait aboutir à une malformation ou autre. Tu n'y peux rien si tu es anxieuse, à la limite hypochondriaque.
B.DAVIS sur Bazzart.


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Je ne sais pas du tout ou cette histoire va nous conduire, n'y comment elle va se terminer, mais je dois avoué que ça ne me plait pas d'être promis à une femme que j'ai pas choisis. J'aime l'argent et m'imaginer à la tête des deux entreprises, peux que me faire oublier ce détail, le pouvoir c'est quelque chose que j'ai toujours rêvé d'avoir alors même si je dois le partager avec quelqu'un je prend le risque de me marié et puis ça ne m'engagera pas à lui être fidèle si on met les choses au clair de suite.
J'attend la jeune femme qui arrive à son tour et je dois avoué que cette robe lui vas vraiment bien, elle est magnifique comme toujours. Je sais pas vraiment comment réagir avec elle parce que je lui est pas donné signe de vie depuis notre histoire, mais comme à mon habitude je fais le mec sur de lui et ne laisse rien apparaître. "Tu es magnifique." Dit-je en lui déposant un baiser sur la joue, le père de la jeune femme souris en voyant ça et nous laisse tous les deux pour que nous puissions ensuite rentré ensemble dans la salle ou tous le monde nous accueille bras ouvert. Aucun des invités mise à part les concernés ne sais que c'est un mariage purement arrangé. Nous jouons tellement bien la comédie que personne ne s'en douterait une seconde. J'espère vraiment que mon père va me glisser un joli chèque après cette soirée, parce que je prend beaucoup sur moi pour évité de faire un scandale ou d'être désagréable comme à mon habitude. J'arrive même à faire bonne figure devant la grand mère de Kaylee, je me mord aussi fort que je peux la joue pour ne pas l'envoyer chier et partir en courant, c'est compliqué mais c'est pour la bonne cause.
Je tourne le visage et aperçois mon grand père qui est venue spécialement de Omaha pour la soirée me faire signe. Je repose mon regard sur les deux femmes. "Veuillez m'excuser je reviens." Je passe ma main sur le bas du dos de Kaylee et dépose une nouvelle fois mes lèvres sur sa joue mais plus proche des lèvres que la première fois.
Je m'approche ensuite de mon grand père qui me donne une accolade en me chuchotant quelque mot à l'oreille pour ensuite me glisser une boite dans ma poche de veste. Je me recule d'un pas et passe ma main dans la poche pour y sortir l'écrin, j'ouvre la bouche tout en comprenant ce qu'il venait de me dire à l'oreille. "Putain sérieux? NON." Il me regarde d'un aire sévère et me parle en Italien, notre langue natale, il m'ordonne de le faire et sans discuter. Je soupire et sans attendre il tapote sur son verre de champagne en cristal. "Mesdames messieurs, merci à tous d'être venue ce soir, ça nous tenait vraiment à coeur d'organiser tout cela pour nos amoureux qui on décidé de se marié. Le jour ou Hardin m'a annoncé ses fiançailles, j'étais tellement heureux que j'ai verser ma larme. J'espère que l'histoire continuera avec un petit héritier." Je manque de m'étouffer à ses mots et j'avoue qu'il est aussi bon comédien que moi, je sais maintenant de qui je tiens. "Hardin, mon petit fils, je suis sur que tu prendra soin de Kaylee, elle le mérite vraiment. D'ailleurs je crois que tu as quelque chose pour elle." Putain quel connard cet ancêtre, il me les brises vraiment. Je rentre de nouveau dans mon rôle d'homme amoureux, et m'approche de la jeune femme en question. Je lui prend la main qu'elle à d'ailleurs très bien manucuré et la regarde dans les yeux. "Kaylee, le jour ou je t'est rencontré, j'ai su que tu serais la femme de ma vie, à l'instant même ou mes yeux se sont posés sur toi, je t'avais déjà choisis. Aujourd'hui devant tous le monde, je t'offre cette bague qui appartenait à ma grand mère et je suis sur que tu l'as portera à vie. Je t'aime." Putain ses mots sorte de ma bouche comme si je les pensais vraiment, je ne l'est jamais dit à personne et la première à qui je le dit c'est à la femme qui me déteste le plus au monde. J'ouvre l'écrin, prend la bague et la lui passe au doigt, sous les applaudissements des invités. Passer la bague de ma grand mère au doigt de la femme que j'ai pas choisis me donne envie de gerbé, mais encore une fois je fais bonne figure et souris tout en allant embrasser la jeune femme.  

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Hardin & Kaylee.

T'as beau lui en vouloir de tout ton cœur voire le détester, revoir Hardin te fait quelque chose. Il est beau. Il est intelligent. Il a un super boulot. Il est galant. Il est impeccable. Il a tout ce qu’il faut pour être le garçon idéal. Il plait à ta mère très à cheval sur la politesse. Il plait à tes copines qui se prennent pour les gardiennes du temple de la fashion-attitude. Il plait à tes potes qui se prennent pour la brigade de la coolitude. Il répond à tous les critères, il peut cocher toutes les cases, mais c'est un salaud. C'est le seul homme qui a réussi à t'atteindre et le seul qui a réussi à t'achever. Toi qui croyais ne pas avoir de cœur, tu t'es rendu compte que si, lorsqu'il te l'a brisé, explosé, déchiré et émietté. C’est ta seule définition de l’amour. Finalement, le cœur, la raison, l’ignorance ce ne sont pas que des conneries. Et malgré tes talons hors de prix, ton dégradé impeccablement travaillé et tes ongles qui brillent par tous les temps, tu as un cœur qui, même s’il est bien caché, ne demande qu’à battre. Tu as beau être manipulatrice Kaylee, tu prends énormément sur toi pour garder ton calme dans cette situation. Tu fais un travail mental monstre pour ne pas retirer les sales pates d'Hardin de ta hanche lorsqu'il joue au lèche cul devant ton père. Tu fais ton entrée à ses bras. Le simple fait qu'il puisse t'effleurer après tout le mal qu'il t'a fait te donne envie d'exploser. Tu n'en as jamais autant voulu à quelqu'un de ta vie. Tu sais qu'il ne pense pas un mot de ce qu'il dit. Tu es tellement secouée de le revoir après tout ce qu'il t'a fait que tu as du mal à jouer la comédie. Pourtant tu le fais. Tu es trop vénale. Tu aime trop l'argent et le pouvoir pour risquer de faire un scandale, là, maintenant. Ses lèvres se posent pour la deuxième fois de la soirée sur ta joue. Près des tiennes. Trop près. Tu soupires. Sa main sur creux de tes reins. Tu ne peux t'empêcher de repenser à toutes les caresses qu'il t'a donné. Enffoiré. Tu es convaincue que tout ce qui le motivait à être avec toi à Omaha, c'était le sexe. Il s'en va, tu peux enfin respirer. Les bulles trop fraîches. Les verres qui trinquent. Les sourires de circonstances. Les inconnues et leurs vœux aussi fake que leurs sein refait. Les accolades par réflexe presque machinal. Les « tu m’as manqué ma chérie » venant d’une fille qui ne sait même pas épeler ton prénom correctement. Les rires trop bruyants. Les émotions un peu exagérées. Les compliments. Tu prends tout. Tout ce qui est illusoire. Tant qu'Hardin est loin de toi. Tu te sens plus sereine. Tu entres mieux dans ton rôle de fiancée comblée. Sa présence et la haine qu'elle engendre en toi te font perdre le contrôle. Tu lèves les yeux vers le grand père de ton futur faux mari lorsqu'il fait tinter sa coupe. Merde non ! Ta main se dépose automatiquement sur ton ventre lorsqu'il parle d'héritier, non ce gamin ne naîtra pas. Tu ne veux pas mettre au monde un bébé qui serait aux yeux de sa famille, rien d'autre qu'un gage de la fusion de deux entreprises. Tu souris lorsqu'Hardin. Sourire nerveux que tu essayes tant bien que mal de faire paraître naturel. Tu l'entend jouer de la flûte comme il sait si bien le faire. Il te passe la bague au doigt. Une belle bague tu dois l'avouer. L'idée de l'humilié à ton tour en lui jetant sa bague à la figure t'effleure l'esprit, mais tu te ravises en pensant à ton héritage. « Je t'aime aussi. » Tu aura surement une crampe aux muscles de ton visage tellement tu te forces à sourire. Ces paroles ont extrêmement de mal à franchir la barrière de tes lèvres. Sans doute parce qu'au fond tu sais qu'elles contiennent une part de vérité. Tu le laisses t'embrasser avant d'approcher tes lèvres de son oreille. « T'es vraiment un très bon menteur Buffett. Ça a surement un rapport avec le fait que tu aies du mal à porter tes couilles et à être sincère. C'est sans doute pour ça que j'ai cru tous les cracks que tu m'as rabâchés. » Tu murmures en continuant à sourire pour faire bonne figure. Tu veux le faire réagir. À l'emmerder. Tu sais qu'il déteste qu'on lui manque de respect. Tu sais qu'il a le sang chaud. Tu cherches à le faire craquer. Si c'est lui qui foire tout, tes parents ne peuvent pas t'en vouloir. Ça fera d'une pierre deux coups. Tu éviteras d'avoir à te marier avec un homme aussi faible face à la genre féminine et tu garderas ton entreprise. Tu cherches aussi peu être un peu à toucher à sa conscience. S'il en a une. Le faire regretter. C'est lui le salaud dans l'histoire, ce n'est pas à toi de te sentir mal après tou. « Connard. » Il est le seul à pouvoir t'entendre. Les invités croient surement que vous vous échangez des mots doux. C'est ça, oui. Tu ressens une irrépressible envie de vider tous les verres d'alcool que tu vois. Tu pourrais le faire. Tu ne comptes pas garder ton bébé de toute façon. Ça pourrait te détendre un peu. Mais non. Tu calcules toujours tout. Tu as trop peur. Tu as toujours été prévoyante et tu sais que certains corps de femmes ne supportent pas l'avortement, alors tu te retiens.

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Heureusement que le père de Kaylee, ne me connait pas comme elle me connait, sinon il est évidement qu'il ne me laisserait jamais épouser sa fille, quoi qu'on sais jamais parce que les hommes d'une telle puissance comme lui et mon père, ne s'occupe pas de tout ça. Je suis persuadé que tout comme mon père, il a épousé sa femme parce que ses parents l'on marié. Mon père aujourd'hui est heureux en ménage, puisqu'il a épousé la femme qu'il a choisis, du moins pour ce mariage, puisque ma mère lui a été choisis par mon grand père, tout comme moi aujourd'hui. Je n'aurais jamais pensé subir le même sort que lui, de nos jours les mariages arrangés n'existe plus et bien je me suis trompé puisque aujourd'hui j'assiste à MA soirée de fiançailles, je n'arrive toujours pas à y croire. Je me retrouve dans une situation vraiment délicate, mais je ne peux pas faire autrement, être marié à Kaylee risque d'être difficile à vivre, peut être avec une autre femme inconnue aurait été moins compliqué, parce qu'il est clair que cette jeune femme ne me laisse pas indifférent, même si je montre le contraire.
Mon discourt terminé, les applaudissements ne se font pas attendre, la réaction de Kaylee non plus, je force un sourire quand elle me dit qu'elle m'aime aussi, parce que je sais très bien qu'elle est dans la même situation que moi, elle ne veux pas de ce mariage et elle joue aussi bien la comédie que moi. Je la serre dans mes bras et lèves les yeux aux ciel lorsqu'elle me dit tout cela. Je sais très bien qu'elle essaie de me pousser à bout afin que je pète un cable mais c'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace. Je la serre contre moi un peux plus fort et à mon tour je m'approche de son oreille. "Merci du compliment, je trouve aussi que je suis vraiment doué, parfois je m'admire vraiment. Mes couilles t'inquiète pas que je les portes, je n'avais juste pas envie d'entendre ta voix héritante. A quoi bon perdre mon temps avec toi alors que je vais le perdre déjà toute ma vie." Je ne suis pas tendre avec elle, mais je sais qu'elle a autant le sang chaud que moi, alors peut être que si je la pousse à bout elle va s'énerver et m'en coller une. Je souris à son connard et lui dépose un baiser sur le cou. "Moi aussi je t'aime." Je me positionne ensuite en face d'elle et lui fait un énorme sourire avant de l'embrasser sur le bout de son nez. Je me retourne ensuite pour serre la main de ceux qui s'approche de nous pour nous félicité.   

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Hardin & Kaylee.

On ne choisit pas sa famille. C’est bien ça la fameuse phrase que tu as entendue des dizaines de fois et que tu as aussi prononcée dans un soupir à plusieurs reprises? Eh bien non, pour sûr, on ne la choisit pas… Et pourtant tu l’aimes, ta famille. Et puis surtout tu lui ressembles. Tu ne sais pas si c’est la loi du double déterminisme comme le prétendait Zola, le déterminisme social et le déterminisme génétique, mais tu as hérité de pas mal de traits de caractères de tes parents. Tu es aussi ambitieuse et intelligente que ton père. Mais heureusement pour toi, tu es plus humaine que lui. Par contre ta mère, c’est toi dans quelques années. Toi, le poids des années et des chagrins en plus. Toi, en pire. Ta mère a très souvent de folles envies d’acheter. Ta mère aime sentir qu’elle fait partie d’un tout. Elle, elle suit les modes de sacs à main, les tendances déco et les rumeurs. Elle a été en Grèce quand il fallait et a cessé de porter de l’or jaune quand ça ne se faisait plus. Même en matière de bouffe, elle suit la mode. Elle faisait de grands buffets quand il était de bon ton de faire de grands buffets. Elle s’est mise au quinoa quand tout le monde s’est mis au quinoa. Elle a acheté des cupcakes par dizaines avant de se rendre compte que ce n’était pas vraiment bon un cupcake. Forcément, la pauvre a essayé de raisonner ton paternel lorsque tu lui appris tout ce qu'Hardin t'avait fait. Mais le père Armour, s'est contenté de prendre un ton faussement conciliant et te dire que si Hardin voulait t'épouser c'était parce qu'il avait tout regretter. Et que donc il fallait que tu te marie. Du moins, si tu ne voulais pas perdre tout ton héritage. Un héritage qui s'élevait à quelques centaines de millions de dollars. T'aimerais bien que ton cher et tendre petit papa écoute les mots que le fils de son ami est en train de te glisser à l'oreille. Quoi que, même en écoutant ça, tu es sure que ton père te demanderait de lui pardonner. Tu soupires en voyant Hardin serrer quelques mains. « Je peux vous l'emprunter deux secondes? » Tu passes ton bras sous le sien et sans attendre de réponse, tu le prend à part. Tu sais bien que tu ne leur rendra assurément pas Samuel. Tu lui esquisses un regard faussement attendrissant, ourle légèrement les lèvres et lui montre tes dents blanches malgré la cigarette. Non, tu ne comptes pas te laisser faire.  « Tu viens bébé? » Tu le tires jusqu'au bout de la salle de réception où se trouve une petite pièce aménagée pour les organisateurs. Tu refermes la porte derrière toi et te rapproche dangereusement d'Hardin. Tellement près qu'il te suffirait d'un seul mouvement pour plaquer tes lèvres contre les siennes, mais à la place c'est ta main qui atterrit sur sa joue.  « Ça c'est parce que tu t'es comporté comme un vrai salaud avec moi. » Tu te sens soulagée. Ta main te démangeait.  « Et aussi parce que tu me parles mal. Si tu veux pas de ce mariage t'as qu'a te barrer. Tu m'offriras la direction d'Under Armour sur un plateau d'argent. Et crois moi, je veux encore moins que toi de cette union. C'est moi qui vais me marier à un enffoiré totalement imbu de sa personne et incapable d'aimer qui que ce soit et manipulateur qui plus est. » Ça vient de cœur. Ça te fait du bien de pouvoir lui cracher à la gueule tout ce que tu lui reproches.  « Je méritais pas Hardin. » Non tu ne méritais pas.
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Je ne me savais pas si bon menteur et encore moins comédiens, je devrais peut être changer de branche pour essayer la comédie, parfois je me trouve époustouflant. Les mots dit par la jeune femme me touche quand même, bien que je ne le montre pas. Je serre les mains qui s'offre à moi et très rapidement j'entends Kaylee prononcer quelque mots, son bras entour le mien et me tire dans une pièce vide, je regarde autour de moi et comprend qu'il s'agis d'un petit salon éloigné de la salle de réception. J'ai su à l'instant ou elle a prononcer le "Tu viens bébé" que je vais passer un très mauvais moment.
C'est sans attendre que sa réaction se fait savoir et bien que j'ai cru un instant qu'elle allait m'embrasser, c'est rapidement que je me retrouve sa main sur ma joue, je sursaute un court instant parce que je m'y attendais pas vraiment et passe ma main à l'endroit ou elle ma gifler, je dois dire qu'elle m'a pas loupé et que ça me chauffe un peux. "Mais tu es complètement malade?" Je serre la mâchoire signe que j'essaie de me contrôler pour ne pas m'énerver et je suis sur qu'elle connait trop bien cette expression. Je l'écoute verser son venin sans l'interrompre, quelque chose me dit que j'ai plutôt pas intérêt et une fois terminé je soupire un coup. "C'est bon tu as fini?" Je passe ma main dans ma barbe et la regarde un instant. "Jamais je te laisserais gagné, j'ai pas plus envie que doit de ce mariage, mais tu sais très bien ce qui me pousse à le faire. Tu parle de moi, mais tu es pareil, nous sommes identique tous les deux. C'est ça qui te fais vraiment chier, parce que tu es attiré par moi et peux importe ce que tu dira, ça ne changera rien, tu essaie juste de te faire croire que tu me déteste." Je souffle un coup et j'attrape la jeune femme par le bras, je glisse mes lèvres dans son cou pour effleurer sa peau, son parfum m'a vraiment manquer. "Je sais que tu me désire." Je la plaque contre le mur et me colle contre elle tout en allant l'embrasser.

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Tu ne regrettes pas une seconde le fait d'avoir abattu ta main sur la joue d'Hardin. Il le mérite. Il en mériterait même une autre tiens. Mais tu n'es pas vraiment une adepte de la violence. À vrai dire ça doit être la deuxième ou la troisième fois que tu lèves la main sur un homme. D'habitude, tes paroles minutieusement étanchées te suffisent. Mais Hardin, il te met presque dans un état second, alors tu ne cherches même pas à te contrôler. Tu en as marre de le voir se permettre d'agir en toute impunité. De faire comme si de rien était. Alors tu fais dans la provoc’. Et ça l'enrage. Ça lui fait serrer les poings et crisper la mâchoire. Pourtant vu le nombre de femmes qu'il a du mener en bateau, il devrait avoir l'habitude de se faire gifler. Un rire cristallin t'échappe lorsqu'il te traite de malade. « Va consulter un psy Hardin, il te dira qui de nous deux est vraiment malade. Tu dois surement avoir un trouble de la personnalité tellement t'es Narcissique. » Tu lui balances tout ce que tu as sur le cœur et il se contente de te répondre que vous êtes pareils.  « Peut-être que j'aime autant l'argent que toi, mais j'ai jamais fait de mal à personne, moi. » Non, t'es pas comme lui. Non, t'as jamais brisé le cœur de quelqu'un juste pour le fun. Non, tu ne fais pas passer ton bonheur devant celui de tout le monde. Mais tu ne le détestes pas. Il a raison sur ce point. Tu aimerais. Tu aimerais ressentir une haine viscérale à son égard. Tu aimerais le détester du plus profond de ton âme. Mais ton cœur et ton corps en ont voulu autrement. Si bien que tu ne peux pas t'empêcher de frémir lorsque ses lèvres effleurent ta peau. Tu te laisses faire. Tu lui donnes l'accès à tes lèvres. Comme une idiote. Tu le laisse t'embrasser. Sans rien dire. Tu glisses même tes mains dans ses cheveux pour le pousser à continuer. Tu places ensuite tes mains sur son torse et tu le repousses légèrement.  « Pourquoi tu fais ça? » Tu soupires. Tu passes ta main dans tes cheveux comme pour reprendre tes esprits avec ce baiser.  « Ecoute Hardin. On sera pas comme nos parents. » Tu refuses de te laisser faire comme ta mère. Tu ne seras pas fidèle à un homme qui ne te respectes même pas le moins du monde.  « J'irais voir ailleurs, si j'en ai envie et j'en ai rien à foutre de ce que ça pourra faire à ta réputation. » Oui parce que si une femme cocu suscite la compassion, un homme cocu passe plus pour un homme qui ne sait pas tenir sa femme ou qui n'arrive pas à la satisfaire. Pour une fois que le sexisme se range du côté des femmes...
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Il est clair qu'elle me déteste et pas qu'un peux, je sais pas si je dois me réjouir de ça ou si je dois en avoir peur, après tout c'est ce que je souhaitais? Je l'est voulus qu'elle me déteste et on dirait bien que c'est réussi, mais ce qui me fais le plus chier, c'est qu'elle soit blesser et ça par contre c'était pas mon but. J'avais pas envie de la faire souffrir bien que je savais que ça allait être le cas, je me suis consolé en pensant que ça ne durerait pas et pourtant elle est toujours aussi blessé. Je lève les yeux au ciel à ses dires et me mordille légèrement la lèvre. "Je sais très bien que je suis plus fou que toi ou n'importe qui d'autre, la différence entre nous deux, c'est que j'en suis bien conscient." Je sais que je suis narcissique, mais ça ne me dérange pas, je même que c'est une qualité chez moi, c'est aussi ce qui m'a permis d'en être là aujourd'hui. Il y a pas beaucoup de personne qui m'apprécie et chez quelqu'un d'autre ça pourrait être une faiblesse, mais chez moi c'est une force, j'aime qu'on me déteste. Je ne préfère pas répondre au faite que je fais du mal et me contente de la plaqué contre le mur afin de l'embrasser. Evidement j'en attendais pas moins de sa part et sa réaction ne me surprend pas, elle prolonge et j'en suis bien content, mais ce fut de court instant puisqu'elle me repousse pour ensuite parler. Faut toujours qu'elle parle, c'est bien de la femme. Je hausse les épaules. "J'avais envie de t'embrasser, tu es vraiment splendide dans cette robe et c'est plus fort que moi." J'aime les femmes je n'y peux rien. Je soupire ensuite et remet mes cheveux bouclé en place. "Je ne t'est jamais demander de mettre fidèle, ce mariage est simplement pour les entreprises, on devra vivre ensemble mais on se promet pas la fidélité." C'est vraiment étrange comme situation et j'ai pas envie de pensé à l'avenir qui m'attend avec elle.

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This is a modern fairytail, no happy ending, no wind in your sails
Hardin & Kaylee.

Tu te sens conne. Comment tu peux retomber aussi facilement dans ses bras après tout ce qu'il t'a fait? Après tout, peut-être bien que tu l'es. Tu n’avais qu’à pas te laisser embobiner aussi facilement. Tu n’avais qu’à pas crois qu'un mec comme lui changerait pour tes beaux yeux. Mais tu es une fille, alors tu t’es fait berner facilement. Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez toi? Pourquoi tu as accepter de te plier aux désirs de ton père? C’est vrai que tu es étrange comme fille. Une sorte de romanichel en sac Chanel. Eprise de liberté, attachée aux belles choses. Mais certainement pas prête à renoncer à quoi que ce soit. C'est paradoxal. Alors, face à Hardin comme devant toute personne qui a la prétention de te faire penser, tu te piques de réalisme. Et lui, ce sont des piques de provocation auxquelles il a droit. Piques auxquelles il répond. Arrogant. Sur de lui. Franchement Kaylee... tu n'aurais pas pu t'enticher d'un mec gentil? « Arrête de te trouver des excuses. C'est pas parce que tu es conscient du fait d'être détestable que tu as le droit de te servir des gens comme tu le fais. » Tu es également lucide : tu sais que les femmes sont faites pour aimer, pas pour être comprises, mais il y a des limites à ne pas dépasser. Et Hardin, il ne semble pas les voir, ces limites. Alors en attendant, pour ne pas broyer du noir, tu noies ton cœur dans un semblant de haine. C’est tellement plus facile que d’espérer. Sauf que le grand brun en face de toi semble tout faire pour te rendre la tâche plus compliquer. Lassé de t'écouter parler, il te fait taire en plaquant ses lèvres sur les tiennes. Tu délectes de ce baiser. Et tu te maudis de l'intérieur en même temps. Pourquoi faut-il qu'il y ait un tel magnétisme entre vous? Tu finis par rompre le contact de vos lèvres. Sans t'éloigner de lui. Tu veux savoir pourquoi il fait ça. Tu lèves les yeux au ciel. « Par caprice, rien que ça. Juste parce que tu aimes bien ma robe. Demain quand je serais en jeans, ça te plaira moins alors tu te barreras? » Encore une pique. Il faut dire qu'elle était bien placée celle là. « Ah mais, j'oubliais. Tu pourras pas. On va se marier. » Encore et toujours du sarcasme. C'est comme ça que tu es. Une vraie voltairienne. « Sérieusement, je suis pas ton jouet. Tu me traiteras pas comme tu traites tes autres pouffes. » Son discours anti fidélité t'agaces. C'est donc ça? Il se fiche complètement du fais que tu te fasses sauter pas un autre. « Oh, j'ai jamais eu la prétention de croire que tu me l'avais demander. C'est juste que je ne veux pas que tu te plaignes quand tout le monde racontera que ta femme va voir ailleurs parce que tu n'es pas performant ou parce que tu n'arrives pas à la tenir. Tu sais les bruits de couloirs ne se contrôlent pas. » Tu le provoques encore et toujours. Tu lui souris en t'approchant encore de lui. Tu cherches à renverser la situation en ta faveur en le faisant réagir.
B.DAVIS sur Bazzart.


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