TOPIC DE GROUPE ► USA PRESIDENTIAL

J'étais plutôt fière de moi et surtout, de ma réplique qui ne plut pas tellement à Tate apparemment. Moi, je gardais le sourire et sa réponse me fit même rire. Melania... Je m'intéressais tellement pu à sa campagne que j'ignorais totalement le prénom de... sa femme, je suppose ? Cette meuf refaite de A à Z. Je prend ça comme un compliment ! Je sais que je ne le devrais pas et pourtant, je pense que le qualificatif taré est plutôt flatteur. J'aime pas les gens plats, sans intérêt, pas marrant, sans ambitions, qui ne risque rien de leur petite vie misérable. Les canadiens en force ! Ajoutais-je tandis qu'il réussit à me trouver un avantage, chose que je n'aurais jamais cru possible. Je continue sur ma lancée en précisant à Andrew que je me battrais toujours contre à la Eliot House et ce, même s'il avait lui-même fait partie de la confrérie comme Zakhar d'ailleurs. Tate eut la même réponse et je glissais doucement avant de tremper mes lèvres dans mon verre. J'espère que c'est pour bientôt ! La connasse est de retour les amis !

@Tate L.Murray @Andrew R. Windsor

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Je roulais des yeux, il fallait vraiment une idiote pour être fière d'être comparée à Melania Trump. Elle était une sans-cervelle qui avait finalement épousé son sugar-daddy après quelques années. Je riais, je me disais qu'Alexys était sûrement pas au courant et que je devrais pas lui dire, vu qu'elle en prenait une fierté dans ce compliment. Pauvre Andrew, ils devaient être habitués de voir ces meilleurs amis se prennent la tête, c'était plus fort que nous, impossible qu'on puisse s'entendre même en public. ''Tu changerais jamais toi, toujours aussi chiante quoi.''. Je laissais la mather et mon meilleur ami ensemble, allant suivre la course dans un État clé un peu plus loin sur l'écran.

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J'étais fébrile. Un peu comme si je me doutais qu'une catastrophe allait arriver, mais je ne pouvais rien faire pour l'empêcher. Et comment dire que j'étais tellement nerveuse que je risquais de m'en prendre au premier crétin qui oserait m'adresser la parole. La tension était à son comble, pour une élection qui n'avait rien à voir avec l'envie de porter quelqu'un au pouvoir et tout à voir avec celle d'empêcher un homme d'être à la tête du pays le plus puissant au monde. Alors quand Amare, se pointa devant moi, j'étais presque prête à mordre. "Salut." répondis je grincheuse. Je fixais sa main pendant dix bonnes secondes, un air glacial sur le visage, avant de la saisir. "Ouais, Ebony." continuais je d'un ton cassant, suite à sa question. Un prénom que je détestais et que je n'utilisais que rarement. "Et toi, Amare, non ?" finis je par demander, d'un air presque curieux.

@Amare Dwight-Lindley

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