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COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux.

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En ce moment, ta vie, elle n'est pas parfaite, elle est semée d’embûches, elle est troublante et cauchemardesque. Tu te prends la tête avec à peu près tout le monde parce que t'arrives plus à réfléchir. Voilà, t'as plus de tête et c'est frustrant d'en arriver là. Tu t'es prises la tête encore une fois avec Cole, Noah disparaît dans la nature et tu récupères une Sage au bord du rouleau. Tout s'embrouille dans ton esprit et en ce moment, tu préfères te couper du monde. Tu aimerais vraiment t'éclipser, partir loin un petit moment, t'amuser et ne plus penser à rien. T'étais pas bien dans ta peau et comme si cela ne suffisait pas, tu venais de recevoir un message du vice-président des bleus en personne te donnant rendez-vous. Son message était sec, rien qui ne présageait quelque chose de bon. Tu soupires et te laisses tomber sur ton lit hésitante. Si tu y allais, c'était pour accepter de te manger encore et toujours des reproches et si tu n'y allais pas, tu le regretteras surement. La curiosité était un bien vilain défaut et aujourd'hui, tu le reconnaissais. Dans un pas lasse, puis deux, puis trois, tu sors ta plus belle tenue. Pourquoi d'ailleurs  ?. Ce n'est pas comme si tu as un rencart avec lui non  ?. Pas comme s'il sera heureux de te voir après la prise de tête que vous avez eu. Pourquoi tu enfiles ce jean et ce décolleté plongeant ainsi que cette demi veste en cuire noir, te donnant ce côté fougueux et sauvage tout en restant classe ?. Pourquoi tu boucles le bas de tes cheveux -à l'anglaise- sous ton nouveau carré à frange et maquilles tes lèvres pulpeuses de rouge à lèvres rouge sang  ?. Pourquoi tu soulignes ton regard de braise avec un crayon noir khôl ?. En fait  ? Pourquoi tu te fais belle alors que tu savais très bien ce qui t'attendait  ?. Pourtant, tu te regardes dans le miroir en espérant au fond de toi, que ce miroir parlera et qu'il te confiera avec assurance que Cole bavera, qu'il bavera devant la sublime petite femme que tu es. Petite certes, mais redoutable et pratique, toujours. Enfin prête, tu attrapes ton sac et te rends au lieu de destination où monsieur t'attendait au coin d'une ruelle vide, dos contre sa bagnole et les bras croisés. Ah bin, elle est où la limousine  ?. En tout cas, tu le préfères nettement mieux au volant. Peut-être ne voulait-il pas éveiller les soupçons parce que franchement, la limousine de monsieur ne passait plus inaperçue. Tu ne sais pas combien de filles ont pu visiter l'intérieur, mais toi, tu refuses et refuseras toujours d'y entrer. T'es pas de celles qu'on peut appâter avec ce genre de choses. T'es riches okey, mais tu t'en fiches, d'ailleurs, tu te fiches d'être héritière d'une marque reconnue ou pas. Ta propre vie passe avant tout. Tu prends une grande inspiration et libères tes poumons au fur et à mesure que tes pas te rapprochent de lui et une fois que tu juges bon de t'arrêter, tu balances nonchalante. « 'Lu... » D'un petit signe de main. Okey, là c'était vraiment bizarre. Ça ne te ressemblait pas d'être si distante avec lui. « Pourquoi ce message  ?. » Pourquoi ce rendez-vous alors qu'il aurait très bien pu t'appeler, ou bien te parler par texto. Au fond, ne serait-ce pas un prétexte pour te voir  ?. Était-il en manque de ton visage de porcelaine  ?. Ah que la suite nous en dira un peu plus. Loin de te douter de l'absurdité, de la raison de fou qui t'avait emmené jusqu'ici. Tu tomberas à la renverse.


@Cole S.-Wildingham voilàààààà comme promis choux, en espérant que ça te plaise COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 1001568715
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 Bye bye ma limo. Les temps étaient durs. J’avais le sentiment oppressant de ne plus pouvoir me fier à personne. Mon chauffeur inclus. Noah avait disparu. Le grand d’Aremberg. J’essayais une énième fois de l’appeler, ce grand déglingué ne me répondit toujours pas. « Bordel t’es où Noah… » soupirai-je en raccrochant avec de sortir de la ford quelconque et passe partout achetée dès mon retour. De la sobriété. Moins attirer l’attention, se fondre davantage dans la masse pour mieux tromper l’ennemi. Il était clair que la Eliot House était prise pour cible. Ayma avait parlé de l’implication de sa sœur dans les incendies, et même si Lucky ne l’avait pas avoué clairement, je la sentais elle aussi impliquée. Il n’y avait qu’à voir la façon dont elle s’était tout de suite braquée par sms. Et puis, quand je m’étais retrouvé chez elle, son alarme incendie s’était déclenchée, comme de par hasard… Etait-elle à l’époque déjà en train de plancher sur une façon de rendre HS les détecteurs de fumée ? Toutes les pièces du puzzle se mettaient peu à peu en place dans ma tête, et le dernier fait que l’on m’avait rapporté, la disparition suspecte de Noah, qui avait entretenu une liaison avec Sage par le passé, me parut une raison suffisante pour convoquer miss Burberry… Ca allait faire presqu’un mois qu’on ne s’était pas parlés, elle et moi, depuis le fameux échange de sms tumultueux, textos dans lesquels j’avais explicitement accusé sa confrérie d’être impliquée dans les incendies. Je sortis de mon mutisme pour lui envoyer un message court et concis, et qui ne laissa pas présager de chaudes retrouvailles. Pourtant quand quelques heures plus tard je la vis s’avancer dans cette ruelle déserte où je lui avais donné rendez vous, elle était toute apprêtée. Elle avait un rencard ensuite ? Ou bien c’était un piège, encore un. Comme ce fameux soir dans sa cuisine. Comme tous les autres soirs avant. Et je me maudis intérieurement d’avoir provoqué cette entrevue où j’allais une nouvelle fois mettre ma résistance à l’épreuve. Je soupirai à son petit signe de main, détachant mon regard d’elle un instant pour empêcher mes prunelles de détailler ses lèvres rouges, de se perdre sur son décolleté, de me noyer dans son regard… Je ne la saluai pas donc, ne bougeant pas de la voiture contre laquelle j’étais nonchalamment adossé, gardant un visage fermé, fixant le mur du bâtiment en face duquel je m’étais garé, je me contentai de répondre sur un ton lassé : « Arrête donc ton cinéma Lucky, tu sais très bien pourquoi je t’ai faite venir ici… » J’expirai, et me tournai finalement vers elle, venant enfin plonger mes yeux dans les siens, perçant, cherchant à scruter chacun de ses traits, détecteur de mensonges ambulant : « Où est-il ? Où est Noah ? »  Le pire c'était peut être que j'y croyais, à mes théories farfelues de complot. Y'avait pas besoin de beaucoup, quelques infos distillées par la radio, des paroles malheureuses de quelques uns de mes amis, et je sautais à pied joint dans la mare. L'idée que la MH soit impliquée dans tous les cafouillages de ma vie du moment, ça me donnait un but, une énergie : la réduire à néant. J'avais un grand ennemi contre qui me battre, quelques têtes à abattre, et ça anesthésiait un peu tout le reste...

HJ : Ton nouveau kit :jawdrop: COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 4205929361
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Tu savais, tu savais que ça allait se passer comme ça, tu savais qu'il allait t’accueillir sèchement et pourtant au fond, t'as espéré que ça se passerait autrement. Tu baisses ton bras et tu fourres tes mains dans les poches de ta veste. « Un salut ne t'aurait pas tué, après tout, je m'suis déplacée jusqu'ici alors que j'aurais très bien pu décliner ce rendez-vous. » Si on pouvait appeler ça un rendez-vous. Tu soupires en le regardant tourner la tête vers le mur en face de sa caisse. Il te parlait, mais il n'osait même pas te regarder dans les yeux. Quoi ? Il avait peur de s'y noyer ?. Monsieur lança tout de suite les hostilités et là, ce fut le choc. Après l'accusation des incendies, c'était l'accusation de la disparition de Noah. Mais WTF ? Tu tombes à la renverse, ton sang ne fit qu'un tour alors que tu sors tes mains de ta veste pour les laisser retomber lassivement le long de ton corps. Sa paranoïa commençait vraiment à lui faire perdre la tête. Tu mets presque deux minutes à encaisser ça tellement le choc était puissant. Après la case incendiaire, il passait à la case kidnappeuse. La prochaine case, ce serait quoi ?. Tu t'approches de lui avec une envie soudaine de le baffer pour le réveiller de sa paranoïa complètement déroutante, mais tu ne le fis pas, à la place, tu t'empresses de lui arracher ses clés entre les doigts donnant l'impression de savoir où se cache Noah. « Grimpe !. » Il n'avait pas le choix n'est-ce pas ?. Il voulait voir Noah non ?. Une fois à l'intérieur, tu actives le gps de ton portable et dès que son altesse le roi des con pose son cul, tu démarres rapidement. En chemin, pas un mot, le regard sévère et impatiente de pouvoir t'en aller, mais d'abord, tu veux en finir avec tout ça. D'ailleurs, à ta manière de conduire, ça se voyait que t'étais vénères. C'est seulement au bout de quelques minutes que tu arrives enfin à destination. Tu gares juste devant l'enceinte et tu tournes la tête pour plonger ton regard dans celui de l'éliot. « C'est ici... C'est ici qu'est ta place !. Là, précisément, dans cet hôpital psychiatrique, dans cet asile de fous. » Fis-tu en montrant l’hôpital de ton index ne quittant pas ses yeux. En gros, tout ce que tu retiens ce soir, c'est qu'il se servait de toi. T'es absolument rien pour lui, t'as jamais compté et tu ne compteras jamais. Tu lui balances les clés contre son torse et tu sors de sa voiture. « T'crois quoi ? Qu'il suffit de m'sauter pour qu'après je te fournisse des renseignements sur ma maison ?. » T'es aussi bornée que lui, même que niveau paranoïa, t'avais pas de leçon à lui donner, mais là, il dépassait les limites. Te rendre compte que tu n'as juste été qu'un pion pour lui servir de sources premières contre ta propre maison. Voilà, tu n'étais réduite qu'à ça et putain que ça te faisait mal de t'en rendre compte que maintenant, que maintenant que tu savais que tu ne pouvais plus te passer de lui. Tu le détestes à cet instant précis. « Avant de te baser sur des pistes infondées, d'en faire une affaire personnelle avec cette guerre, t'as pris le temps de savoir si Noah allait vraiment bien ? Ou bien t'étais trop occupé à courtiser et à faire des plans à la con pour ne pas voir qu'il souffrait ?. Tu vois, je vais t'apprendre quelque chose... Noah s'est confié à moi par rapport à Sage, par rapport à son chagrin, par rapport à cet enfant qu'il aurait vraiment voulu. Pourquoi moi et pas toi ?. Parce que t'avais pas l'temps et tu n'allais pas chercher à comprendre ce qu'il vivait, t'allais le condamner et condamner son histoire, ses maux, son chagrin, tu allais essayer de lui faire oublier Sage en lui présentant des poupées Barbie toutes refaites, mais en réalité, Noah n'avait pas b'soin de tout ça, juste qu'on l'écoute, juste qu'on le laisse vider son sac. » Tout comme toi aussi t'as envie de vider ton sac. Mais tu ne le feras plus maintenant. Noah avait bien eu raison de s'éloigner de tout ça, mais surtout des bleus. « Je ne l'ai pas kidnappé, aucun mather ne l'a kidnappé. Noah est juste parti pour oublier son chagrin, car je n'vois pas d'autres raisons à sa disparition. » Et tu comprenais son chagrin, tu comprenais que ça n'avait pas été facile parce qu'il avait vraiment aimé Sage, tout comme il aurait aimé son gosse, tout comme Sage l'avait vraiment aimé et tout comme il aura toujours une place importante dans sa vie. Tu le sais, tu connais très bien ta meilleure amie. « Maintenant, si t'as fini, je m'en vais... » Sans vraiment attendre, tu inspires et reprends ton chemin, dépassant Cole, dépassant cette nouvelle prise de tête. Vous ne vous étiez pas parlé tout un mois, alors vous pouvez très bien continuer à vous ignorer non ?.


HJ: T'as vu comme j'suis bonne ? COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 3997999705 Tu envies le futur chanceux ein ? COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 166564858
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 Pas de politesse élémentaire. Ton rude. Regard noir. Visage crispé. Je tournai même la tête alors qu’elle me sermonnait sur mon manque de courtoisie. « Tu veux qu’on se tape la bise aussi ? Je suis pas là pour jouer les hypocrite Lucky, je suis là pour découvrir la vérité. » A quel moment j’en étais arrivé à ce stade ? Ce stade où je doutais de tout. De tous. A quel moment on devenait un cas irrécupérable ? Lorsqu’on voit sa propre sœur vous tourner dos et s’éloigner ? Lorsqu’on voit ses meilleurs amis se faire tirer dessus ? Lorsqu’on voit sa maison, son repère, son refuge partir en fumée ? Lorsqu’on découvre que la femme qu’on aimait nous avait menti ? Lucky pensait peut être avoir récupérer l’ancien Cole, celui d’avant l’été, celui avec qui elle s’envoyait en l’air en douce, mais il n’était plus. L’ancien Cole n’était plus là. Je n’étais plus que méfiance et suspicion. Repoussant toute forme de sentiment et d’attachement. C’était peut être aussi pour cela, qu’aujourd’hui je déferlais ma rage sur elle. Pour étouffer ce truc qu’il y avait entre nous, cette alchimie, cette attraction, contre lesquelles il fallait sans cesse que je lutte, contre lesquelles j’étais d’ailleurs en train de lutter. Fuyant son regard avant de finalement l’affronter, me tournant vers elle pour l’interroger. Sondant ses yeux, je pus d’abord y voir naitre une lueur surprise. Un quart de seconde, je crus presque mettre trompé, je crus qu’elle allait me frapper quand elle s’approcha de moi, mais elle s’empara juste farouchement de mes clés et son –grimpe- vint alors nourrir ma paranoïa. Alors je ne m’étais pas trompé ? Je ne devrais pas monter, c’était peut être un piège. Elle allait peut être me conduire à ses complices. J’allais me retrouver séquestrer moi aussi. Mais y’avait la vie de Noah en jeu alors… J’ouvris la portière, m’installant sur le siège passager en ronchonnant : « Bordel Lucky, je te préviens si vous lui avez fait quoi que ce soit je… » Je me coupai, m’accrochant à la poignée sur la portière devant la conduite sportive et nerveuse de la brune. « Fais gaffe là ! » grognai-je. « C’est quoi ton plan ? Nous faire glamser dans un accident de la route ? » Mais la voiture s’arrêta finalement et le regard de la chauffarde se planta alors dans le mien alors qu’elle reprenait la parole en désignant le bâtiment devant nous. Une lueur étonnée alluma mes prunelles qui voyagèrent de la devanture de l’établissement de santé aux yeux de la jeune femme qui me scrutait alors qu’elle parlait.  Puis elle sortit en furie de la voiture et je fis de même, claquant violement la portière derrière moi. Je récupérai mes clés et un sermon sur mon cher ami au passage. D’Aremberg. Qu’il me manquait ce petit con. Alors j’entendis Lucky me raconter que Noah s’était confié à elle, à elle pas à moi, parce que j’étais surement incapable d’entendre, incapable d’écouter, incapable de comprendre ce qu’il vivait… Cole le cœur de pierre. Ou non mieux, Cole le sans cœur.  Alors ça devrait rien me faire, qu’elle me tourne le dos là, qu’elle annonce qu’elle s’en allait, et qu’elle s’éloigne, pas vrai ? Je ne devrais pas ouvrir la bouche pour l’appeler. « Lucky ! » Je devrais encore moins la retenir : « Attends ! » Je ne devrais pas non plus réduire la distance entre nous et me saisir de son bras pour qu’elle fasse volte face vers moi. Je ne devrais pas, et pourtant c’est ce que je fis. « J’ai pas fini… » Mon regard la sondait, la détaillait, la dévorait, cherchant toute trace de mensonges. Dans le déni total, je ne voulais pas intégrer l’idée que Noah était juste parti, qu’il nous avait simplement abandonné, qu’il m’avait juste abandonné… Je m’accrochai à l’idée d’un bourreau, je m’accrochai à Lucky, ne relâchant pas son poignet…

HJ : Trop !! L'heureux veinard COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 2511619667
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Parce que t'embrasser et coucher avec toi n'était pas de l'hypocrisie pure et dure  ?. En réalité, t'avais mal pour lui, il se perdait et il perdra petit à petit tous ces proches, son titre, sa place au sein de la Eliot House. En réalité, il te perdra toi aussi. D'ailleurs, pourquoi tu penses qu'il te perdra ?, T'as jamais compté ma pauvre. T'as juste été un vide couille, un moyen de se tenir aux nouvelles par rapport à cette guerre entre vous. Alors pourquoi tu penses qu'il te perdra et qu'il s'en mordra les doigts  ?. Peut-être parce que fond, toi t'avais peur de le perdre. Tu te détestais de penser ça, tu te détestais de t'être à ce point attaché. T'étais bien sans Wildingham dans ta vie. Maintenant, tu te retrouvais à espérer qu'il te revienne à chaque fois qu'il s'en éloignait. Non, tu ne veux pas du tout te rendre compte de ce que tout cela signifie, tu préfères jouer la sourde d'oreille et l'aveugle des yeux. Continuer à repousser toutes ces questions. « La ferme  !. » Dis-tu sèchement. Ne jamais faire chier une femme en colère, encore moins faire chier une femme en colère qui conduisait et encore plus moins faire chier une Lucky en colère. Satan même aurait peur. S'il fermait sa gueule, peut-être que vous arriverez en bonne santé là où tu désirais l'envoyer. Pas en enfer rassurez-vous. Tu ne réponds rien, te contentant de conduire presque comme une furie. Si le volant avait été la tête de Cole, il aurait vu les étoiles de minuit. Mais c'est une fois à destination, qu'il comprit enfin pourquoi tu l'avais mené jusqu'ici. Il comprit que t'en as marre d'être traitée comme une merde quand cela l'arrangeait. Tu rabâches son presque inefficacité en tant qu'amis. Puis, tu entends ton prénom s'évaporer dans les airs et ton poignet soudainement enserré par sa paume alors que tu virevoltas un coup pour te retrouver face à lui. Wow. Ton regard tombe dans le sien pour ne plus le quitter. Durant les trente secondes qui ont suivi, ton cœur s'affolait et dans son regard, tu vois la peur. Tu vois la perte, tu vois l'inquiétude, tu vois à peu près le même regard que celui de Noah. Cole n'allait peut-être pas aussi bien qu'il laissait paraître. Tu baisses la tête et tu fixes ton poignet. « Cole... » Tu laisses en suspense ce mot. Comme si une mauvaise nouvelle allait suivre, comme si tu lui dirais que toi t'avais fini, que tu ne voulais plus le voir, le parler, ni même l'entendre. Que votre "vous" invisible n'existera plus à compter de ce soir. Mais, c'est tout autre chose que tu allais sortir. « T'es en train de sombrer. » Fis-tu en relevant tes yeux pour les plonger dans les siens. « Remonte en selle. T'es Cole bon sang. » L'homme qui avait malgré tout, le cœur sur la main. Un king merde !. Pas un homme qui se mettait à douter de tout et de rien, qui n'agissait pas intelligemment, qui broyait que du noir. « Nous ne sommes pas là pour créer la troisième guerre mondiale. Tout ça va s'arrêter tôt au tard, une vie en dehors de la mather et de la eliot, de Harvard, nous attend. T'es en train de prendre cette guerre pour une revanche personnelle et, tu risques de tout perdre. C'est en train de te pourrir, tu prends ça trop à cœur. » Tu marquais une courte pause pour pouvoir respirer, parce que toi aussi tu voulais vider ton sac. « Aucun élève ne prendrait le risque d'ôter des vies à cause d'une banale guerre inter-maison. Bon sang, il y a des limites quand même. Cette guerre remonte à nos ancêtres et il n'y a jamais eu de mort. Juste des farces, des rumeurs, des coups bas pour arriver au sommet, rien de plus. » Tu l'attires un peu plus proche de toi et tu noies tes prunelles dans les siennes. « Moi j'aime bien qui tu es. Moi, je ne sais pas pourquoi, mais je te fais confiance et ce n'est pas cette guerre qui m'en fera changer d'avis. » Qu'il oublie un peu le statut des étudiants, qu'il juge la personne en fonction de ce qu'elle est au fond, pas la condamner à cause d'un statut qui ne durera pas éternellement. « T'as pas échoué en tant qu'ami, Noah le sait, mais tu t'es juste un peu perdu, égaré et ça aussi, Noah le sait. » Puis tu le connais, il allait se retrouver, il allait sortir indemne de tout ça, il allait remonter en selle. De ta main libre, tu poses ton index sur ton épaule que tu tapotes. « Si t'as b'soin d'une épaule où reposer ta tête sans être jugé, je peux bien le sacrifier quelques secondes. » Si au contraire, il voulait encore plus t'enfoncer, qu'il le fasse, qu'il se libère et que vous en finissez avec ça une bonne fois pour toute.


HJ: Je plussoie, il sera chanceux tout comme son prénom l'indique COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 166564858
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 L’échange commença donc sur un ton particulièrement sec, ambiance tendue, après ce mois de silence radio. Une rencontre à l’image de nos derniers sms en somme. Et pourtant, y’avait toujours ce truc là, caché sous ma rage, caché sous ma phobie, sous mon obsession du moment à voir le mal partout et chez tout le monde, excepté les rares privilégiés Eliot. Et quand au début, elle marcha dans mon délire, me demandant de grimper en voiture, comme si elle allait réellement me conduire auprès de mon ami, je la suivis. Il me parut rapidement évident qu’elle était énervée, à sa conduite, ses coups de volants, son pied un peu trop leste sur l’accélérateur. Je vérifiai nerveusement que ma ceinture et mes ronchonnements se turent lorsque je m’accrochai à la poignée et qu’elle m’ordonna de me la fermer. Elle paraissait furieuse. Ca y est. J’allais mourir. Je n’aurais jamais du monter dans cette voiture. Elle allait nous tuer tous les deux. Mais la conduite folle de la demoiselle cessa. Elle stoppa le véhicule brusquement devant… un hôpital psychiatrique. Elle sortit, toujours furax, me servit un sermon, dans l’espoir vain surement de voir mes pauvres neurones revenir à eux, mon cerveau imprimer cette réalité : Noah était JUSTE parti. Mais aveuglé j’étais, aveuglé je me complaisais à l’être. Il était plus simple de se dire qu’on me l’avait enlevé, qu’on avait cramé ma confrérie, plutôt que d’accepter l’idée que j’avais tout raté sur toute la ligne : j’avais foiré en tant qu’ami, échoué en tant que VP… Un échec sur pattes. Une idée que je refusais, me noyant dans ma paranoïa, cherchant le bouc émissaire n’importe où : les cabots, la winthrops, les mathers, Lucky… Et quand elle fit volte face, quand elle commença à s’éloigner, là où normalement j’aurais du me satisfaire, me contenter de ça, lui crier de ne plus s’approcher d’aucun eliot, je n’y parvins pas. Il y avait une part de moi qui me criait elle est dangereuse, elle te mène en bateau et une autre part qui m’hurlait -mais bordel, retiens là- C’est la deuxième voix qui l’emporta. Ma main accrocha son poignet, mes yeux les siens et elle laissa alors échapper mon prénom, avec une certaine gravité dans la voix. Elle parut complètement désemparée de découvrir la lueur de folie qui devait éclairer mon regard, et de nouveau elle reprit la parole.  Ses mots, je les entendais, je les comprenais et bizarrement, si ça m’apaisait quelques secondes, l’instant d’après, l’idée démente d’une conspiration contre la Eliot, contre moi revenait à la charge… Et pourtant ma prise sur son poignet se desserra, mes doigts glissèrent jusqu’aux siens lentement, se liant à eux tendrement alors qu’elle m’attirait un peu plus contre elle. Mon corps se détendait, mon esprit refusait néanmoins de le faire : « Je n’y arrive pas Lucky… Je n’arrive pas à te faire confiance quand je sais que t’es là bas, que t’es avec eux, avec lui… » Comme si tous mes maux, tous les malheurs de ma vie se résumaient à une seule personne : Wade Forbes. Et sa bande de vert. Elle était là devant moi, à m’offrir sa confiance, à me l’affirmer, alors que je l’avais de nouveau accusée, et moi j’étais pas fichu de lui retourner cette foi. « On ne devrait plus se voir Lucky. Plus du tout. » Parce que je savais qu’en grand maniaque j’allais avoir de nouvelles bouffées insensées du genre… « Ne réponds plus à mes sms. Ne viens plus aux rendez vous que je peux te donner. » lui soufflai-je, incapable pourtant de relâcher sa main, de me détacher de ses yeux…

HJ : COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 1881463262 j'avais pas fait gaffe au jeu de mot
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Respire. Respire, ma fille. Voilà, c'est bien. Une grande bouffée de l'air tiède de la ville. Encore un peu. Tu promènes un regard surpris sur vos doigts qu'il vient de lier, ton cœur ne fit qu'un bond dans ta poitrine et par réflexe, tu poses ta paume libre formée un poing que tu claques contre ta poitrine, sur ton cœur pour l'ordonner de se taire, de se calmer où sinon la cause principale de ces battements pourrait l'entendre de là où il était. C'est-à-dire, à quelques centimètres de toi. Ton regard quitte vos doigts que tu serres avec tendresses pour se poser à nouveau sur le sien alors qu'il te fixait, qu'il ne lâchait pas une seconde ton visage. Tu l'écoutais confier ses craintes à ton propos, au fait que tu sois chez les verts et aux côtés de son frère. « Si j'mourrais demain... Tu penserais encore à tout ça  ?. » Que tu balances vraiment sans peser tes mots, sans vraiment penser à ce qu'il pourrait vraiment ressentir de ton absence, de ta perte. T'en sais rien, mais tu veux lui faire comprendre qu'on a peut-être pas toute la vie devant nous pour se poser autant de questions, pour penser à des détails aussi insignifiants, pas importants. Tu baisses aussitôt ton regard, mesurant enfin l'ampleur de tes mots, mais tu n'allais pas mourir soyons clair, tu ne laisseras pas la mort t'emporter de si tôt, en tout cas pas aujourd'hui, pas demain, ni même dans dix ans. Tu lutteras et tu te battras pour vivre, pour être libre et c'est ce pourquoi tu vis aujourd'hui. « Ton frère, je ne suis pas sa pote, nous nous échangeons à peine des "salut" et rien de plus. Quant aux verts, je suis maître de mon destin, je ne suis que mes propres règles. » claironnes-tu en retour. Est-ce qu'il allait enfin piger ça  ? Ou bien allait-il encore et encore s'entêter  ?. Il te demandait de t'éloigner de lui, de ne plus le revoir, de ne plus répondre à ses sms, de ne plus venir à ses rendez-vous. Il te demandait l'impossible. Mais ne dit-on pas que rien est impossible dans la vie  ?. « C'est vraiment ce que tu veux  ?. Parce que si c'est vraiment ce que tu veux, je le ferais, mais à une seule condition. » Tu te rattaches à ses doigts également, comme si tu ne veux pas qu'il lâche ta main. Vous êtes là à parler, mais vos corps eux, répondent le contraire. « Que tu ne m'écris plus d'sms et que tu ne me donnes plus de rendez-vous, parce que tu sais pourquoi  ?... » Tu marques une pause, tu passes une mèche rebelle derrière ton oreille, ta langue fourche. « Je serais incapable de ne pas répondre à tout ça. » Que tu souffles à ton tour en soutenant son regard. Alors s'il voulait vraiment que tu t'éloignes de lui, s'il voulait vraiment te perdre, s'il voulait vraiment prendre le risque de voir tes doigts s'accrocher à ceux d'un autre homme, il savait quoi faire maintenant. Et non, ce ne serait vraiment pas la fuite qui résoudra les problèmes, qui vous fera sentir mieux. Au contraire, vous ne vous porterez que plus mal. « A chaque fois je te laisse parler, je te laisse me descendre sans broncher, m'accuser à tort et à travers, mais pour une fois, écoute-moi et laisse-moi te remettre sur le droit chemin. Ça prendra le temps qu'il faudra, mais je peux y arriver, je peux soigner tes maux Cole. » Ton regard brillait de sincérité, tu ne jouais plus, plus depuis des mois maintenant, plus depuis que tu t'es rendue compte que tu ne peux pas le voir en couple avec une autre. Plus depuis que tu t'es attachée à lui, plus depuis que tu ne réussis pas à fermer les yeux sans penser à lui, à ce qu'il fait et avec qui il est.


HJ: T'es nulle Paupau, mais jt'aime quand même COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 3997999705
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 N’importe qui réagirait autrement. D’imaginer le pire, d’entendre la supposition, ces trois petits mots –si je mourrais demain- ça suffirait à une personne lambda pour avoir un électro choc, se reprendre, serrer la personne face à soit contre soit et lui avouer combien on tenait à elle… Mais c’était loin d’être aussi simple. Et mes réactions étaient loin d’être celles de tout le monde. Je me raidis à ces paroles donc : « Pourquoi tu dis ça ? Pourquoi tu penses que tu vas mourir ? Lucky dans quoi tu t’es embarquée ? » Si elle se sentait en danger, menacée, c’était qu’elle subissait aussi des pressions, ça allait de soit. Mais qui ? Les membres de sa confrérie ? Sage ? Alexander ? Ses potes winthrops ? « Qui est derrière tout ça ? » demandai-je, oubliant un instant tout le reste, notre proximité, nos mains liées, la douceur qui avait teinté durant quelques secondes cet échange entre nous, tout ça s’éclipser remplacer par le doute, la suspicion, le délire encore… Je ne pouvais pas faire confiance à Lucky, c’était impossible. La preuve, à nouveau des flashs envahissaient mon esprit. Lucky, Wade, les mathers, la trahison… Tout se mêlait, s’emmêlait et je sentais comme un étau m’enserrait le crâne… Je l’entendais à peine, répliquer qu’elle n’avait aucun compte à rendre à qui que ce soit, qu’elle était maître de son destin. Est-ce que j’étais maître de quoi que ce soit moi ? Moi le maniaque du contrôle, des règlements en tout genre, le défenseur des apparences et faux semblants, je semblais plus que jamais pris dans un tourbillon de grand n’importe quoi, incapable de maîtriser cette pente glissante sur laquelle je paraissais glisser sans fin… Je m’accrochais à sa main, à ses yeux, et en même temps je lui demandais de me lâcher, de m’abandonner, de m’oublier, de ne plus répondre à aucune de mes demandes, aucun de mes sms, aucun de mes rendez vous. Elle me promit alors qu’elle le ferait, me demandant si c’était vraiment ce que je voulais. J’hochais lentement la tête pour acquiescer alors qu’ensuite, elle posa ses conditions : que je ne lui écrive plus, plus de rendez vous. « Je ferais ça alors. On ne se verra plus… » soufflai-je. C’était le moment du baiser d’adieu là ? J’amorçai un léger mouvement vers elle, rapprochement sensiblement nos lèvres sans pour autant qu’elles ne se touchent, me ravisant à ces mots suivants. Je déglutis difficilement et m’écartai. « Non, tu ne peux pas Lucky. Tu ne peux pas parce qu’il n’y a rien à soigner. Je vais BIEN ok. » Mes doigts relâchèrent les siens, mes deux mains venant se poser sur mes tempes alors que je faisais un pas en arrière. Qu’on arrête de me dire que j’étais dingue bordel. « Je vais bien, je vais très bien… » A part ce putain de mal de crâne… Je relevai le visage, et à nouveau, je me noyai dans mes délires : « J’ai pas envie de t’écouter, surtout si c’est pour essayer de m’endormir avec des salades… » Me soigner ? J’étais irrécupérable…

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COKY ► Quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. 1f4a5 Quand on veut, on peut alors
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À qui dis-tu que t'allais possiblement mourir demain ?, à Cole ?, le mec devenu super parano en ce moment. Tu aurais dû de taire, parce que là, il avait vraiment cru, il te demandait même qui était derrière tout ça. « Les extra-terrestres t'sais. Ils m'ont send un texto sur whatsapp comme quoi, ils viendront me kidnapper demain et voler mon âme ensuite. Demain, si je disparais, alerte les chercheurs, la population et lance l'alarme d'une invasion d'étrangère dans notre planète !. » T'as presque envie d'exploser de rire, d'ailleurs, tu tournes la tête sur le côté pour étouffer un petit rire discret avant de reprendre ton sérieux. « C'était une supposition Cole. Je ne vais pas mourir demain et puis tu crois que je me laisserais faire aussi facilement ? Jamais. Je me battrais jusqu'au bout pour vivre. J'aime trop la vie pour partir aussi jeune. » Tu tends ta main de libre vers le ciel -car ton autre main, monsieur ne semblait plus vouloir la lâcher- et tu fermes les yeux en humectant l'air si délicieux, tu aimes trop cette vie, tu aimes trop cette liberté. Tu laisses retomber ton bras et tu ouvres à nouveau les yeux pour entendre l'eliot confirmer qu'il ne t'écrira plus, qu'il ne te reverra plus de cette façon et tu ne sais pas pourquoi, mais t'as comme un lourd pincement au cœur. Ça te faisait visiblement mal d'entendre ça, mal de te dire que ce sera la dernière fois qu'il te touchera, qu'il t'embrassera et qu'il te parlera. Maudite et putain de sensation. Il s'approcha plus près, comptant surement marquer ce moment, cette promesse amère par un dernier baiser d'adieu, mais toi, tu ne veux pas de ce baiser. Ce n'était pas pour vous. Vous n'êtes que des plans culs, des âmes torturées, des têtes de mules qui ne veulent pas se rendre compte de l'intensité de cette relation, de la tournure qu'elle a prise. Vous n'êtes que deux cons qui ne sont pas fichus de s'avouer qu'ils ne pouvaient plus se passer l'un de l'autre. Deux cons qui allaient de nouveau s'ignorer. T'es rien pour lui et tu paries même qu'après cette nuit, il se tournera vers une autre et alors, tu ne seras plus qu'une fumée, une erreur, comme il aimait si bien te qualifier. Heureusement qu'il se recule, car s'il ne l'avait pas fait, c'est toi qui l'aurais fait. Mais avec tout ça, tu gardes ton calme. Au fond t'as mal, mais tu ne le montres pas plus que ça. « Bien... J'imagine que ce sera la dernière fois que tu entendras ma voix... À compter de demain, nous serons de parfaits inconnus. » Comme si t'as jamais existé dans sa vie et vise versa. Ouaip, plus facile à dire qu'à faire. « Tu ne vas pas si bien que ça. T'es fatigué, t'as plus les idées claires. » Tu respires un bon coup et tu recules de quelques pas histoire d'instaurer la première distance entre vous. Tu lui faisais clairement comprendre qu'il ne goûtera pas à tes lèvres pour la toute dernière fois, qu'il n'y compte même pas. T'avoir pris la main était déjà bien assez suffisant pour le reste de sa vie. « Tu ferais mieux de rentrer te reposer. Moi, j'irais de mon côté et puis de toute façon, j'dois aller voir quelqu'un. » Il n'avait pas besoin de savoir qui ein. Non mais ça pourrait sonner comme un rendez-vous, mais ce n'était rien de tel. Tu venais seulement et à cet instant de décider que t'allais voir Ashleigh qui préviendra Sage, car t'auras peut-être besoin d'elles ce soir. Tu croises tes bras dans ton dos et tournes la tête sur le côté fixant la ruelle en attendant qu'il s'en aille et que tu puisses enfin prendre ta route.


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 Un soupire exaspéré s’échappa de mes lèvres lorsque Lucky se moqua de moi. Elle évoquait les extraterrestres, en se retenant visiblement de se marrer. « Tu peux pas être sérieuse cinq minutes bordel ! Je ne t’ai pas fait venir ici pour écouter des idioties… » Parce que pour moi, mes paroles de parano, elles n’avaient rien d’idioties. J’étais persuadé d’être pris pour cible… La fusillade, l’incendie et la disparition soudaine de Noah étaient surement à blâmer dans ce soudain et oppressant sentiment de persécution qui m’envahissait. J’étais tendu, au point que même la vanne de Lucky sur les petits hommes verts ne m’arracha pas un rire et ne parvint pas à me décrisper. Elle m’expliqua alors calmement que c’était une simple supposition, qu’il ne lui arriverait rien, qu’elle ne se laisserait de toute façon pas faire. « Et bien méfie toi, je dois te rappeler avec quel genre de mauvaise graine tu traines ? » Sage, Ash… Et puis tout le reste de cette bande de sales mathers de mes deux… Elle était mather. Ca faisait forcément d’elle quelqu’un en mauvaise posture, quelqu’un de menaçant, et malgré tous les efforts de la brune, malgré nos mains liées, malgré ses yeux qui me criaient de lui faire confiance, j’y arrivais pas. Y’avait cette pensée démente qui continuait de marteler mon crâne et qui affirmait qu’elle était mêlée à tout ce bordel.  J’y arriverais pas, à abandonner mes soupçons, fallait qu’on arrête là. Et je m’écartais donc, difficilement, comme si mon corps, lui, avait du mal à assimiler l’idée. Ma tête m’hurlait qu’elle était une ennemie, et pourtant ça semblait compliqué de me détacher, de m’éloigner. Elle déglutit, elle acquiesça, ajoutant donc qu’à compter de demain, nous serions des inconnus l’un pour l’autre. Et je réaffirmais que j’allais bien, qu’il n’y avait rien à soigner, rien à réparer… Un doliprane, une aspirine, un peu de sommeil, et je serais remis sur pied. Il fallait juste que je me repose un peu, que j’arrête de cogiter, et que le marteau piqueur qui avait élu domicile dans mon crâne dégage de là. Elle, elle n’en était pas si sûre. « Lâche moi Lucky. » grognai-je quand elle objecta donc que j’étais fatigué. Ce qu’elle ajouta ensuite qu’elle avait quelqu’un à voir, je fronçai les sourcils, et mon air suspicieux refit son apparition sur mon visage, de même que mon ton. Oui, les nouveaux scénarios de complot se dessinaient à nouveau dans ma tête : « C’est ça, va faire un rapport à tes complices. » m’énervai-je en brandissant un index accusateur vers elle. « Et surtout, dis leur bien à tous, dis leur qu’ils ne m’auront pas comme ça. Que Cole Smythe Wildingham ne s’avoue pas vaincu ! » Et réserve moi une chambre dans l’établissement en face de nous aussi. Je fis volte face, retournant vers ma voiture, me plaçant derrière le volant non sans claquer la portière derrière moi, attrapant un instant ma tête entre mes mains, de nouveau assailli par de violentes céphalées.
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