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let me photograph you in this light (roycina)

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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — J’avais décider de me reprendre en main. De passer par une certaine soirée, un certain mariage qui avait bouleversé tout ce en quoi je croyais. Toutes les choses que je m’étais forcée à faire pour me sentir mieux, pour me sentir plus épanouie, avaient finalement été des efforts vains. On avait pris mon coeur et on avait marché dessus. Et la seule solution que j’avais trouvé avait été de prendre un billet d’avion pour l’Italie, de fuir : comme si ça pouvait régler les choses. Comme si ça l’avait jamais fais.
Et pourtant aujourd'hui je devais faire face à ma vie. À mon passé, à la chose qui m’avait fait fuir, avec l’espoir de pouvoir tourner la page. J’avais perdu mon meilleur ami et mon copain en même temps, parce qu’une connasse n’avait pas su garder sa langue dans sa bouche et mon copain n’avait pas su garder ses mains dans ses poches. Merde. J’m’étais faite piétiner.
Je sonne à la porte de Royce, la tête baissée, n’assumant pas trop encore l’humiliation qu’il m’avait infligée.
« Je viens récupérer mes affaires »
Sans un bonjour, je reste le regard bas, tentant de ne être déconcentrée en voyant Royce, en sentant son parfait, et de ne pas repenser aux sourires heureux qu’on avait tout de même réussi à avoir en une période de temps si courte.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — Il s'en est passé des choses dans ma vie dernièrement. Leevy est partie, pour de bon, faire je ne sais quelle chose avec la mafia et encore heureux qu'elle ne m'a pas pris mon enfant. C'était la seule chose qu'il me restait d'elle... Et puis, il y a Valentina qui a déserté depuis presque deux mois. Ouais, je comptais, je comptais les semaines et les jours en me demandant quand est-ce qu'elle allait revenir. J'aurais aimé que ça fonctionne entre nous, mais Hippolyte s'est pris un malin plaisir à me torturer et j'ai craqué. Je n'en suis pas fier. A l'heure actuelle, je ne la vois plus. Ce n'est pas pour autant que je l'ignore, mais je ne prends pas la peine de lui montrer que je suis toujours présent pour elle. Je peux encore vous faire la liste des filles qui me détestent mais je pense qu'une année c'est pas assez pour tout expliquer. Moi même j'ai du mal à saisir. N'ayant plus aucun signe de vie de Tina, j'en ai conclu qu'on a rompu. C'était ma relation la plus rapide de la terre mais pas pour autant la moins douloureuse. Au fond, c'est mon amie, ça l'a toujours été et on a quand même tenté le diable.
J'étais dans mon appartement en train de ranger le foutoir que j'avais laissé la veille. J'ai une coloc maintenant, mais cela fait quelques jours qu'elle n'est pas venue. A croire que j'fais fuir tout le monde. Soudain, quelqu'un sonna à la porte et je me suis dit que c'était peut-être Millicent qui avait oublié ses clés. Et là, je tombe sur qui, sur une fille tête baissée qui n'avait pas trop envie d'affronter mon regard. J'étais soulagé de revoir Tina, enfin ! J'en pouvais plus.
« Tina tu es revenue... mais... t'étais où? » je suis pas sûr qu'elle va me répondre, c'est sorti tout seul. Attendez what, ses affaires? Je clignais plusieurs fois des yeux, fronçant les sourcils et je me reculais pour la laisser entrer. « Tes affaires... oui bien sûr, elles sont dans ma chambre. » je me pinçais les lèvres et je refermais la porte derrière elle.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — C’était dur de le voir. Enfin, plutôt de sentir qu’il était face à moi. Mon regard est en effet toujours baissé et je suis incapable de lever la tête et de le regarder dans les yeux. Bien que notre relation fût courte, elle n’en était pas moins intense. De mon point de vue. Sûrement parce que c’était la première fois que je m’ouvrais à nouveau à un homme depuis mon ex-fiancé. Depuis qu’en plus de perdre un mariage, j’avais perdu ce qui faisait de moi une femme : la capacité de donner la vie. En avouant finalement à Royce qu’il y avait une chose entre nous que je considérais comme magique, j’avais franchi une étape, un cap, une sorte de barrière qui m’avait presque retenue de vivre pendant deux ans.
Et j’avais fini humilié.
J’avais plié bagage plutôt que d’affronter cette épreuve, cet affront, ce qu’on venait de me faire, à moi qui avait donné ma confiance alors que je pensais que je ne devrais plus le faire. J’aurai du m’y tenir. J’entrais dans l’appartement, gardant la tête baissée, de peur de croiser son regard et de capter des choses dans son regard que je pourrais mal interpréter. Oui, parce que j’avais réellement tenu à Royce.
« J’étais en Italie. J’avais besoin d’être seule. C’qui est assez drôle c’est que j’ai appris que t’as filé en Italie avec… » Prononcer son prénom me faisait mal à la gorge. « La garce. »
Je lève les yeux, regardant l’appartement. Des affaires de femmes. Ah. Ok. Bon, bah j’étais juste une passade, comme j’avais eu peur de l’être. Comme quoi Royce n’en finirait jamais d’être un dragueur.
« Ouais j’ai du laisser quelques tee-shirt ou une connerie comme ça. J’ai pas envie de laisser trainer ça. »
Ou alors je venais le voir, pour être sûr que j’avais fais le bon choix. Que j’avais bien fait de fuir. Ce n’était pas comme s’il s’était battu pour moi. Au final, j’avais l’impression de ne pas avoir compté. Et ça me détruisait de l’intérieur.
« Oscar va mieux ? »
Et merde, il avait fallu que je l’ouvre, que je lui pose une question, que je tente un fichu dialogue. Tout ça parce qu’au fond, il me manquait. Cet idiot. Ce connard quand même. Oui bien sur Tina, essaye de te rassurer comme tu peux
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — Je me sentais con face à Tina. Je ne savais pas trop quoi dire en fait. Peut-être que je n'avais pas mon mot à dire, qu'avec ce que j'ai fait je devais juste la fermer. Surtout, je ne dois pas jouer le mec malheureux qui a pleins de regrets sinon elle va le sentir et me dire que ce que je dis c'est du pipeau. Ah je les connais les gonzesses. Alors je dois juste faire comme si de rien était, même si j'ai été mort d'inquiétude de sa disparition. En Italie, bien sûr, j'aurais dû y penser. Et alors? Si j'avais su, est-ce que j'aurais été la chercher jusqu'en Europe? Je ne pense pas. Trop froussard pour assumer ses problèmes. Je ne la regardais pas quand elle me parlait d'Hippolyte. Comme je vous dis, aucun son ne sort de ma bouche.
Donc j'ignore et je l'accompagne jusque dans ma chambre pour qu'elle récupère ses affaires. Elle est quand même courageuse de venir jusque chez moi rien que pour ça. Je sais pas si je l'aurais fait moi. Je croisais mes bras, ne sachant pas trop quelle posture utiliser. « C'est tes affaires, tu as le droit de les reprendre. Je vais pas porter tes trucs. » je souriais en tentant une petite blagounette. Valentina enchaîna sur mon fils et je comprends tardivement pourquoi elle me demande ça. Elle s'est quand même absentée un long moment. « Oui, il va mieux. Il fait sa sieste donc... il est rentré. » oulala je sais plus parler moi au secours. Je regardais l'italienne prendre ses affaires et je la regardais en me demandant si c'était tout, si elle était venue que pour ça ou si elle avait encore envie de me lâcher des insultes en pleine face.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — J’aurai du rentrer comme une furie, chercher mes affaires et déguerpir en deux deux. Parce que là, j’avais cette impression de faire durer la chose, comme si j’attendais quelque chose de lui. Parler d’Oscar en cherchant trois malheureux tee-shirts… Mais qu’est-ce que j’espérais avoir ? Je faisais durer l’échange entre lui et moi. Et puis merde, en plus de ça, son appartement me rappelait trop de choses. Des choses qui sûrement de bien avant qu’on se mette ensemble mais tout de même. Et puis c’était ça ce qu’il y avait de douloureux dans l’histoire aussi. On avait beau n’avoir passé que quelques semaines officiellement ensemble, en couple, on avait pourtant eu un historique plus que douloureux. Amis, amants, trop fiers pour s’avouer quoi que ce soit. Et aujourd’hui tout ça avait été réduit à néant.
« Tant mieux, s’il va bien. »
Et dire que je m’étais presque mise à m’imaginer être une image de belle-mère pour son fils, son Oscar. Et voilà où j’en étais : à chercher un tee-shirt, un soutif ou quoi que ce soit qui m’appartenait et qui était encore chez lui. Et pour autant, bien que je sois sûre d’avoir en main tout ce que j’avais pu laisser, je continue à chercher, comme si j’attendais avec impatience quelque chose de la part de Royce. Et ça en devient pesant.
Je me relève alors d’un bond, alors que j’étais en train de chercher à quatre pattes ce qui aurait pu m’appartenir. Et pour la première fois depuis que je suis là, j’ose affronter le regard de Royce. Mon coeur se met alors à battre. De stress ou d’autre chose, je n’en ai aucune idée.
« Tu sais quoi ? Je sais que pour toi c’est peut-être pas pesant, mais pour moi ça l’est alors il faut que je me débarrasse de ce problème dont on parle pas : j’aimerai des excuses. »
J’essaye tant bien que mal de rester fière face à lui. D’être celle que j’étais avant lui. Pas la Tina faible et humiliée, pas cette Tina là.
« Des excuses parce qu’au fond tu savais que j’aurai jamais ma place dans ta vie. Entre tes Sacha, tes Hippolyte et toutes les autres, j’aurai jamais eu ma place. T’es un homme à femmes. Sauf que je pensais naïvement qu’on avait quelque chose et je me suis faite avoir. »
Tais toi Tina, maintenant arrête.
« J’me suis fait du mal pour rien avec toi. J’crois. »
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — Des excuses, tout ce à quoi je suis nul. Je fais pitié, je sais même pas comment me comporter face à ma meilleure amie ou ex-meilleure amie voir ex tout court. Rah c'est trop compliqué entre nous. Elle me fait de la peine et tout ça c'est de ma faute. Ça me rend triste, ça m'énerve. Si Hippolyte ne m'avait pas sauté dessus - oui parce que j'ai essayé de la repousser mais vous savez je suis faible - rien de tout ça ne serait arrivé. Je pense même que je n'aurais pas été facilement près de Sacha. C'était parce que j'étais malheureux et que la seule chose qui pouvait consoler c'était voir son sourire... J'ai été troublé pendant l'absence de Valentina, elle m'a sincèrement manqué. J'en ai marre de me comporter comme un enfoiré. Je lui ai promis putain ! Promis de ne pas lui faire de mal, de ne pas être le mec que je suis, celui qui croque les filles à pleines dents version illimité. Quel bâtard je fais, là ma mère pouvait bien me foutre une grosse fessée.
J'inspire, j'expire, je la regarde et j'en tremble presque. « C'est faux, tu as ta place dans ma vie. Tu es... ma Valentina à moi, peut-être pas en temps que petite-amie mais tu restes à moi. » monsieur plus possessif que jamais. Non mais c'est vrai, le jour où quelqu'un l'embrasse ce gars a plus de vie. « Je voulais te faire des excuses mais tu as tout coupé les ponts avec moi, jusqu'à maintenant. » enfin je crois. J'espère qu'il y a un moyen que je me rattrape, que je la retrouve car je ne veux pas la perdre, pas comme ça. « Mais bon quoi que je dise ça ne changera rien entre nous, tu me détesteras jusqu'à la fin de tes jours. » sur ce, je me posais sur mon lit, joignant mes mains, la tête en bas.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — Les mots de Royce m’heurtaient comme si j’avais foncé dans un mur. Ces mots, je les avais sûrement imaginé sortir de sa bouche. Pour autant, j’avais l’impression qu’ils sonnaient faux. Oui, pendant quelques instants, en Italie, je m’étais surprise à penser à Royce, à comment il réagirait si je venais le voir, ou tout ce qu’il pourrait me dire, les excuses qu’il pourrait me faire. Mon coeur me faisait mal, me pinçait dans ma poitrine. Au fond, ses mots, ce qu’il appelait des excuses, me faisait encore plus mal. Il restait possessif sans pour autant savoir sur quel pied danser, sans pour autant savoir ce qu’il voulait. Il n’avait jamais su ce qu’il voulait, en même temps. Et moi, j’avais espéré. Espéré qu’il me dise « Je t’aime » pour ne pas me ridiculiser à le dire la première.
Mes yeux se perdent dans les siens. Je tente de me tenir droite alors qu’en fait, mon corps et mon coeur se tordent de douleur. C’était comme s’il essayait de me retenir dans sa vie, au cas où…
« J’peux pas croire que j’ai une place dans ta vie après ce que tu m’as fait Royce. » Je soupire et fronce les sourcils. « J’ai pas l’impression que tu comprends que je me suis ouverte à toi et que je me suis comme jetée dans le vide en me mettant avec toi. Et regarde ce que ça fait ? Je perds un ami. Je perds un petit-ami. »
Je lui tourne alors le dos, incapable de lui faire face et de résister au besoin d’être forte.
« J’étais plus ta Valentina à partir du moment où t’as fourré ta langue dans la bouche de…. »
Il m’était impossible de prononcer son nom.
« Tu comptais pour moi. Et je pensais être spéciale. Putain quand est-ce que t’arrêteras de faire le con. »
Je m’assois alors sur le lit, joignant presque Royce dans la position qu’il entretenait : la tête en bas, le visage enfoui dans mes mains.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — J'ai envie de disparaître là, de ne plus être moi et d'être un mec super qui prenait Valentina dans les bras et qui trouverait le moyen de la rassurer. Mais je ne suis plus cet homme là. La friendzone m'a rendu méchant, égoïste... je pensais qu'à mon petit bonheur et putain ça me saoule. Quand je me suis laissé aller avec Hippolyte, c'était quand j'étais dans une mauvaise phase, dans ma phase déprime, bipolaire powa. Pourquoi je déprimais? A cause de Tina, à cause de Sacha, à cause de toutes les filles me rendent fou et pas dans le bon sens du terme. Je m'en suis arraché des cheveux vous savez. Là ce qui compte pour moi c'est de ne surtout pas la perdre. Ma Valentina. Et qui sait, peut-être qu'un jour on écrira notre histoire. Ce n'est juste pas le bon timing, pas le bon du tout.
Je l'écoute, je me tais et quand elle a fini, j'ouvre la bouche. « C'était juste un baiser sans importance. » soufflai-je pour ma défense. Quelle défense. J'suis pas en position d'être excusé. « Tu comptes pour moi Tina, t'es pas comme toutes les autres. J'ai juste été maladroit, je suis un gros con qui n'a pas pu repousser les avances d'une autre fille. » putain je la détestais là Hippolyte. A chaque fois elle met son grain de sel à foutre la merde puis hop elle s'éclipse, ni vu ni connu. Elle se mettait près de moi et je n'osais même pas la regarder, ni la toucher. « Et... actuellement... j'aime quelqu'un d'autre. » j'ai le coeur serré rien que de lui dire ça. Mais c'est vrai, c'est Sacha encore et toujours. « Je pensais l'avoir oubliée, j'avançais avec toi mais... tu es partie pendant deux mois et on s'est en quelques sorte rapproché, beaucoup rapproché. » le malaise. Là j'entends presque son coeur qui se casse en deux et j'ai juste envie de foutre ma tête dans le mur rien que pour ça.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — Ça me brisait le coeur d’être là. D’être chez lui. De revoir défiler des moments qui nous appartenait devant mes yeux, des moments qui nous caractérisait, des souvenirs, des trucs à nous. La première fois où je me suis rendue compte qu’il y avait quelque chose entre nous, au réveil après une soirée trop arrosée qui avait fini dans ses draps. Les premières soirées en couple, devant la télé, à boire du vin. Trop de souvenirs. Et ça me brisait le coeur de le voir lui, celui qui m’avait humilié, prit ma dignité. Celui à qui j’avais ouvert la porte de mon coeur et qui pourtant n’avait pas jugé bon d’y faire attention.
« C’est le principe, pas le geste. Avec des ‘si’ on peut refaire le monde, mais ‘si tu étais venu me voir’ tout aurait été différent. Comme une conne je t’ai laissé prendre une place importante dans ma vie et regarde comment je me sens aujourd’hui Royce… »
Une sorte de tension pesait entre nous. Bien qu’à quelques centimètres d’espaces, on ne pouvait pas se toucher.
« Si j’étais si exceptionnelle, pourquoi t’as pas su résister à cette blondasse qui fout la merde partout où elle passe ? Si t’étais dans un moment de doute pourquoi tu m’en as pas parlé Royce ? »
Je me sens alors stupide de remuer le couteau dans la plaie. Je repensais à tout ce qu’il aurait pu faire. Parce que je ne voyais pas où j’avais pu fauter. C’était de sa faute. Il avait tout gâcher.
« Et je peux pas supporter le fait que t’ai TOUT gâcher. »
Notre amitié, notre relation.
Et là il me lache sa bombe. Il aime quelqu’un d’autre. Et je n’ai pas à tortiller du cul pour trouver qui c’est. Sacha. Ah Sacha.
« T’as jamais arrêté de l’aimer. J’étais une occupation pour toi. Tu ne m’as pas aimé.»
Je me lève et lui tourne le dos. Je baisse le regard. Comment pouvait-il dire de moi que j’étais différente des autres alors que finalement, on avait foncé dans un mur ? Encore une fois, je venais de foutre ma fierté à bas devant lui. Pour lui. Parce qu’au fond il était jamais vraiment sorti de ma tête, et que tous les voyages du monde en Italie ou ailleurs ne me permettrait pas de l’oublier.
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Let me photograph you in this light, in case it is the last time that we might be exactly like we were before we realized — « Pourquoi crois-tu que je ne comprends pas, comme si ça me faisait rien? » c'est mal me connaître. Au fond je suis un mec sensible et ça elle devrait le savoir. Non tout ce qu'elle a en tête c'est l'image du gars qui a fait le connard et que ça le touche pas. Je hais cette conversation, j'aurais aimé ne jamais l'avoir. Elle est triste je sais mais ça lui passera. C'est pas comme si on avait vécu des années ensemble ou des mois, juste quelques semaines et je préfère la faire souffrir maintenant que plus tard, car la chute aurait été encore plus douloureuse. « Parce que je pensais pouvoir gérer. » et je me suis trompé. Mais maintenant c'est clair et net, je laisserai plus cette blondasse m'approcher comme elle dit. Elle ne sert à rien, elle est toxique et je n'ai pas besoin de ça dans ma vie. J'ai fini par jouer la carte de l'honnêteté en lui disant que mon coeur est déjà pris et ce qu'elle me lâche... ça me gonfle. Je soupirais en me levant pour faire quelques pas histoire de ne pas péter un câble. « Tu as raison, j'ai jamais cessé de l'aimer. Mais je t'ai aimé, d'une façon différente mais mes sentiments n'étaient pas du vent. » y'avait ce truc avec Tina que je pouvais pas franchir tant que j'avais pas oublié mon ex. J'ai essayé mais je n'ai pas réussi. Peut-être qu'elle s'imagine que je suis sorti avec pour oublier Sacha et c'est peut-être ça tout compte fait. « Tu me crois, tu me crois pas, c'est pas mon problème. » on va pas rester des heures à débattre là-dessus.
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