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Lysandre Carrington ► Chloe Moretz

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lysandre carrington

     
Chloé
      Grace Moretz
Fiche d'identité
Nom CarringtonPrénom(s) Lysandre, EmmaÂge 23 ans Date de naissance Le 7 Novembre 1994 Lieu de naissance Londres Statut amoureux Célibataire. Orientation sexuelleHétérosexuelle Classe sociale Plus tôt riche. Études majeures Social Études mineures Psychologie.Job Dogsitteuse.Choix de groupe #1 Quincy House. Choix de groupe #2 Cabot House.

     
GROUPE 1.
      La Quincy House, elle m'appelait du bout des lèvres. Un chant des sirènes auquel je me devais de céder. Tout les doutes qui s'étaient fondés dans mon esprit tourmenté venaient de s'envoler à l'entente de ce nom. Pas de cheerleader prétentieuse, de geek morbide, ou de sportif crâneur, non, j'échappais à tout ces clichés, j'allais avoir ma vraie petite maison où on prêchait le bonheur. Et pendant un instant, quand j'y réfléchis, je me demande comment j'ai pu vivre sans.

      GROUPE 2.
      Les hommes j'aime pas ça. Non, non, la plupart d'entre eux me dégoûtent même. Les seuls que j'aurais pu aimer se sont barrés de mon monde. Mon père a fui ses responsabilités, et mon mec, le seul qui m'ai vraiment compris, a suivi le mouvement. A croire que c'est un tic dû aux testostérones. Au moins à Cabot House, j'évites les emmerdes de ce genre. Du genre petit copain surtout. Je reste entre filles, avec vos petits problèmes de filles, et ça me convient très bien. Mais avouons-le, j'aimerais bien laisser une dernière chance à la gente masculine en étant à Quincy.
APRÈS LA BOMBE.
    Replie tes jambes. Ne fais pas de bruit. Calme ta respiration. Des pas. Une sueur nouvelle coule sur ta nuque. Tu as froid, chaud, faim soif, et surtout peur. Tu les entends, les cris, les hurlements, les appels au secours. Et t'as peur. Tu tiens chancelante sur la pointe des pieds sur le bord de la cuvette. Et t'attends. T'as l'impression, la terrible impression que ce fou va débarquer et qu'il va t'emporter. Tes jambes tremblent comme jamais, tes doigts fébriles palpent les murs à la recherche d'une main. Une main que si tu serrais très fort t'emporterait dans ta chambre, dans ton lit. Sous les draps chauds, t'aurais pincé ton avant-bras et t'aurais vu que ce n'était qu'un cauchemar. Pourtant, il n'y a pas de main. Il n'y a que toi, tes larmes, et l'ombre d'une menace sur ta silhouette frêle. Alerte à la bombe. Ca résonne comme une mauvaise blague, un gag dont on attend tous la fin. Mais lorsque ça touche à sa fin et qu'on allume la radio, on le sait: ce n'était pas un stupide gag. C'était vrai, et ces gens sont morts. Et toi, t'étais barricadée dans tes toilettes à pleurer et pleurer de peur que quelqu'un ne surgisse pour te tuer. Et t'es en vie. Et c'est sensé être une chance. T'en peux plus de cette tristesse ambiante. T'as perdu quelque chose que t'avais déjà plus depuis longtemps. Le seul gramme d'innocence que tu traînais encore dans le coeur, fini, envolé.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
      Tu croyais que c'était la fin des drames et des faits divers. Plus de cris, plus de pleurs pour un temps. C'était pas comme si ça avait déjà vraiment cessé, fallait dire que dans toute la maison on sentait la fumée de la bombe dans chaque mot. Chaque inspiration était devenu un appel à l'aide. Mais on pensait bêtement que le temps nous aiderait. Pas à oublier, mais à accepter. Le temps n'en a été que plus cruel. C'était la panique. Littéralement. Chaque soir passé dehors était un véritable danger, l'impression d'avoir un poignard collé au cou, la lame fraîche glissant sur la nuque. T'étais pas là la plupart du temps. T'évitais Harvard, logique. Ta famille d'accueil se faisait du souci qui plus est, et quand les maisons ont été dissoutes, ils t'ont même proposé de revenir habiter chez eux. T'avais pas trop le choix après tout. Alors, tu sortais les chiens en espérant par ne sait-on quel miracle que le labrador te porte chance. Et non.  Y a eu des prises d'otage, le genre de choses qui n'arrive que dans ces séries américaines redondantes, avec la happy ending en moins. Tu te sens plus en sécurité ici. D'ailleurs, tu t'es jamais vraiment senti en sécurité. Mais tu le comblais par un sourire, sourire qui se cache difficilement désormais parmi les pleurs.


     
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas. Non, j'sais pas trop, appelons moi Pauline. et j'ai 16 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à facebook.  Le forum est très beau, et j'ai craqué sur le scénario qui rock des poney alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise la sublime Chloe Grace Moretz comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Even. Je fais environ 500 en moyenne, mais je m'adapte mots par RP et mon personnage est un /scénario crée par Liam W. Moore .

      Mot de la fin ?LIAM FAISONS DES BEBES

      Je souhaite
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

     
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Once upon a time

T'étais à l'époque qu'un bébé, mais maintenant que tu tiens cette photo dans tes petites mains tremblantes, t'aimerais te souvenir de ces moments passés. Et tu peux pas, c'est oublié, rasé de ta mémoire. Le seul moyen de te souvenir d'un lointain bonheur c'est de voir ce sourire naïf et puéril que tu tenais quand tu n'avais pas même un an. T'avais pas encore toutes tes dents et pourtant, ton sourire n'a jamais été aussi rayonnant. Alors tu gardes bêtement la photo sous l'oreiller comme si elle allait t'inspirer de nouveaux rêves. Non, ça fait longtemps que tu rêves plus. Maintenant tu penses, c'est peut-être mieux comme ça. Tu te tourmentes avec tes réflexions, tes doutes et tes questions sans imaginer un jour que ton sourire renaîtra. Au début, au tout de début de cette histoire, t'étais heureuse. La photo le prouve. Tes parents aussi. Ils n'étaient pas habillés des plus grandes marques, ils n'étaient ni classes ni tendances, juste heureux. Et amoureux, très amoureux. Tu le sais parce que tu te souviens de ces soirées passées blottie dans leurs bras, alors que du plat d'une de leur main ils caressaient tes cheveux blonds en bataille. Et ils te le disaient. A quel point ils t'aimaient, à quel point t'étais jolie, intelligente, et merveilleuse. T'étais leur trésor. Ca aurait dû leur suffire. T'étais la plus grosse richesse qu'ils pouvaient avoir qu'ils te disaient. Mais lorsque le coeur était plein, l'assiette restait vide.

T'as jamais pu t'enlever cette image de la tête, et tu le pourras sûrement jamais parce que c'était la première fois que tu voyais quelque chose comme ça. Et la première fois, on est toujours sidéré, et tellement ébahi qu'on ne peut même pas réaliser. Ce poing qui allait s'abattre sur la joue de ta mère, avant c'était une main. Une main douce et aimante qui te couvrait de caresses, et maintenant elle ne fait plus que preuve de violences. Fallait le dire, l'argent ça manquait. Tu t'imaginais toujours que le lendemain, ça cesserait. Le lendemain, tes parents seraient heureux comme ils l'avaient un jour été. Mais non. Rien n'y fit. Chaque jour, ta mère était ruée de coups alors que toi, impuissante, on t'enfermait dans ta chambre. Mais tu les entendais toujours. Les cris, et le bruit du verre qui se brise, les disputes, et les gros mots, les sanglots et les injures. C'était devenu la triste mélodie de ta vie. Heureusement, il y avait l'école. Tu t'y réfugiais dans les formules mathématiques, et les longues dictées aux mots complexes. T'aimais ça, t'y étais même douée. T'as toujours refusé de sauter des classes, t'avais peur de perdre tes amis. T'en avais aussi un peu des amis. Mais un peu. Tu les invitais jamais chez toi, et t'avais à chaque fois de la rancoeur et de l'amertume quand ils t'évoquaient leur séjour à DisneyLand. Chez toi, c'était ZombieLand. Et puis enfin, presque comme si c'était un soulagement, ton père s'est tiré. A tes seize ans, comme pour un cadeau d'anniversaire. Ca ne t'a jamais vraiment surpris. T'en étais presque heureuse, libérée pour ta mère qui avait tant souffert. Mais il s'est tiré avec tout ce qui leur restait de matériel. Et pas que. Il avait aussi pris avec lui l'espoir d'une nouvelle vie. Pendant un an, ça a duré. Ce petit jeu où t'enchaînais les petits boulots et que ta mère ne rentrait plus. Vous vous étiez battues, très fort. Mais un jour, elle a abandonné. Elle t'a laissé les sous restants, et elle s'est laissée mourir sous tes grands yeux remplis de larmes. Maman était morte, Papa n'était plus, t'étais seule dans la rue.

Qui a dit que les familles d'accueil étaient toujours terribles? Toi, mais c'est faux, maintenant tu le sais. La tienne, elle est gentille. Elle t'aime bien. Ils sont plus tôt riches en plus, ça te change des semaines passées à gratter chaque assiette pour y trouver une miette. Tu te sens pas très bien malgré tout. Comment tu le pourrais après tout? T'as vécu la mort de ta mère et le départ de ton père. Et t'as toujours la photo de ce bébé si heureux sous ton oreiller. Tu te sens pitoyable en quelque sorte et la seule chose qui te maintient encore à vie, c'est tes notes. Bosser ça a toujours été l'activité la moins risquée chez toi. Tu te taisais, t'ouvrais un livre, et t'apprenais tout ou presque. T'enchaînais les heures de travail et pas que. T'aimais t'amuser aussi, même si tu ne trouvais pas vraiment cela drôle. Tu traînais avec tes profs, tu flirtais même avec. Tu papillonnais des cils tout en te buvant un verre de rhum. Non, t'étais pas sage. Tu te défoulais dans l'alcool, tu jouais à la rebelle qui se foutait de tout. Et ta famille, elle continuait de t'aimer. Elle était suspicieuse face à ton comportement, mais elle pensait ne pas avoir son mot à dire. T'avais trop souffert pour qu'on t'interdise ce que tu voulais désormais. Ca aurait été mieux. T'allais foutre ta vie en l'air, en continuant tes conneries. Et enfin, tu l'as vu. Tout seul sur son tabouret pourri. Il débitait un nombre incalculable de blagues peu drôles, tout en se perdant dans sa boisson. Il était ivre, et pendant un certain temps il devint ton compagnon de beuverie. Il était drôle Liam. Oh oui, il te faisait rire. Il y a eu votre premier baiser, et tout ceux qui suivirent. Vous avez fait l'amour. Vous vous êtes promis tout l'amour du monde. Vous vous êtes offert des cadeaux. Vous avez dîné ensemble. Vous avez étudié. Vous avez joué. Et vous avez beaucoup ri. A la fin, t'as beaucoup pleuré. Ce matin là, il était onze heures. Vous vous étiez donné rendez-vous à un café. Il était beau ce jour là, sous le soleil pâle. Et toi, tu peinais encore à te réveiller en frottant nerveusement tes paupières. « Tu m'écoutes? Je crois qu'on devrait arrêter là. Je ressens plus la même chose. » . T'es sidérée, comme la première fois où t'as vu une agression. T'en crois pas tes oreilles. Rupture. Celui qui t'a aidé à changer, à ne plus te retrouver ivre morte un matin sur deux, à ne plus coucher avec les vieux inconnus barbants, c'est lui. C'est lui que t'as aimé de tout ton coeur. Et il... T'abandonne. Tu hausses les épaules pour mimer l'indifférence, mais ton regard est fuyant. Tu peux plus affronter ses charmants yeux clairs. Et tu pars, t'essaie de pas courir pourtant t'en meurs d'envie. Tu peux plus retenir les larmes qui coulent le long de tes joues. T'as encore merdé tes relations. Après tout, c'est peut-être ta faute. Mais tu peux pas. Tu peux plus revenir en arrière et refaire tes conneries d'adolescente. Tu dois rester responsable. Après tout, t'es à Harvard.

T'es à Harvard. Tu le répètes dans ta tête, et t'y crois toujours pas. T'étais forte en cours peut-être, tu bossais oui, mais Harvard..? Ca te semblait tellement surréaliste, c'était l'école dont tout le monde rêvait. Tu pouvais pas y entrer, ça te paraissait impossible. Toi, la fille sans famille, la fille alcoolique qui traîne avec des vieux barbus, toi, Lysandre, t'as été prise. A l'entretien, tu t'étais livrée. T'avais tout dit sur toi, tu t'étais confiée comme tu las jamais fait. Et étrangement, on t'a prise, t'en reviens toujours pas. A Harvard, il y a des grosses têtes, c'est certain, des vantards et des surdoués, et toi t'es là, paumée dans ce flot de gens qui ont un avenir. Tu t'es assez bien intégrée, du moins tu n'es pas le bouc émissaire de tes classes, c'est suffisant. Tu as tes quelques potes, tu sais t'amuser tout en te préservant un large temps de travail et révision. Ta vie sociale aussi plate soit-elle te permet de garder tes excellentes notes. T'enchaînes c'est tout. Maintenant que tu bois plus, que tu fumes plus, que tu couches plus avec n'importe quel inconnu, ça va mieux. Ta vie semble s'être stabilisée depuis toutes ces années dans le merdier. Non, là, t'as la faible impression de réussir, de te rattraper.
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bienvenue sur le forum :heaart:
N'oublie pas de mettre ton avatar dans ton titre comme le modele demande Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 3850463188
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Bienvenuuuuue Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 3850463188

Bon choix de scénario, Liam va être happy c'était du méga rapide, à peine posté, à peine prit Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 3997999705
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La belle Chloeee, très bon choix! Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche Vic
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Bienvenue officiellement Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 2511619667

Pour te remercier t'as droit à un bisous et même plus Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 1924519849

@Ashleigh H. Strauss la traumatise pas stp Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 387742012
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@Liam W. Moore je la traumatise pas non mais Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 3406960028 je l'accueille dignement et elle va plus vouloir partir parce que je suis trop gentille Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 3997999705
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 3850463188
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Bienvenue Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 2109348208
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Chloe ce choix de malade Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 4205929361 Bienvenue chez toiiiii !! Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 1946740601 Lysandre Carrington ► Chloe Moretz 2511619667
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