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CALAGE • Ne me montre pas du doigt si je veux tes mains d'abord.

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Coeur en sang, lucidité réduite, tu sais que t'es faible. Que t'as plus rien d'fort en toi, que tout ce que t'as traversé dernièrement t'as laissé sur le carreau à peine en vie, les yeux encore à peine ouverts. Alors t'essaye d'apprendre à te reconstruire, Tu cherches n'importe quelle solution pour essayer de remonter la pente, de re relever de ta chute mortelle, et c'est dans la tête de Caleb que t'aimerais les trouver, que t'aimerais qu'il t'offre une voie de sortie que tu penses inexistante. T'as du mal à assimiler sa réflexion, tu comprends que vous êtes pas dans le même monde, qu'il est ton opposé, que t'arrivera sans douter jamais à accepter sa vision des choses. Tu tentes de toutes tes forces, buvant ses paroles en fouillant à l'intérieur pour y trouver la paix que tu recherches mais en vain.. Il y a toujours ce mal au fond de toi, dans la poitrine qui t'inflige un supplice insupportable. - Alors t'as perdu le contrôle.. Que tu dis à demi hésitante. Tu viens humidifier tes lèvres, nerveusement. - Sinon tu serais pas ici ce soir.. T'aurais respecter la promesse que t'as faite à ton frère. Tu parles lentement, doucement, comme Si t'avais peur de ce que tu venais de dénoncer, comme si c'était mal ce que tu venais de dire. - Tu serais resté loin de moi. Que tu finis par dire sèchement en fermant les yeux. Si de ne pas perdre le contrôle était aussi facile, il ne serait pas venu, il ne t'aurais rien dit sur cette plage, il aurait pas cherché à te faire rester.. Et pourtant si. Tu te retourne enfin, affrontant son regard après lui avoir longtemps tourner le dos. Cherchant des réponses que tu n'doit peut être pas entendre, que tu ne veux p'tetre pas attendre mais tu demandes. Ta bouche n'écoute plus ta tête, la raison n'est plus. Tu serres d'abord les dents, baissant les yeux en soupirant de sa première réponse mais Tu les relèvent bien vite quand il continue. Ses mots font des ricocher sur ton coeur, le faisant trembler, battre plus vite sans ne laisser rien paraître parce que ça te convient pas. C'est pas ce que t'attend, c'est pas ce que t'as demandé. - C'était pas ça la question.. De savoir si je t'ai manqué ou pas. Tu répliques avec plus d'assurance qu'au début. Tes yeux ne décrochent pas les siens, trop envoûtant, envoûtée. - J'répète, tu ressens quoi pour moi ? Tu fais n'importe quoi, Tu te noie dans la débilité, rêvant sûrement beaucoup trop à penser qu'il peut ressentir n'importe quoi à ton égard. - Si je t'embrasse.. Ça t'aidera à me donner une réponse ? Tu demandes alors que ton regard dérape sur sa bouche quelques secondes avant de vite les remonter. Tu sais pas si c'est vraiment le but ou juste parce que t'en as envie, que t'en as toujours eu envie en fait.





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Parler ça fait souvent réaliser. Agir, encore plus. T’as déambulé jusqu’ici par motivation que l’alcool t’as amené, mais t’as pas écouté c’te putain d’voix qui te disait de faire pas arrière.  T’as choisi d’perdre le contrôle. De porter un réel intérêt envers Sage. De pas t’en foutre, pour une fois. Sa voix se montre beaucoup plus apaisante, malgré les révélations qu’elle t’ancre dans la tête. T’es toujours autant perdu, mais tu sais que tes propos se font de plus en plus sincères. T’as fini de jouer, ou du moins, pour ce soir, t’enlèves la carapace. T’es humain après tout, arrêtes de l’oublier. T’es pas fou, c’normal de ressentir.  « J’peux plus rester loin d’toi. » T’as les yeux braqués sur elle, et tu veux qu’elle le ressente au fond d’elle que tu t’fous pas de sa gueule. Que t’essaies pas de l’amadouer avec des paroles molles qui ne voudront plus rien dire demain.Tout te ramène à elle. « J’peux plus.. » Assumes. Tu répètes ces paroles comme si tu voulais qu’elle le comprenne vraiment, mais c’est aussi un peu à toi-même que tu t’le dis.  Tu sais qu’t’auras à dealer avec Mika plus tard parce que tout fini par se savoir, mais tu vis pas pour lui. Tu lui est d’une grande redevance, après qu’il ait pris la blâme à lui seul et qu’il est fait d’la prison, mais c’est plus du tout une raison pour t’empêcher d’voir Sage. « Ma place.. elle est près d’toi. » Tu mets une emphase dans ton ton sur le mot place. Ouais, auprès d’Sage, t’as toujours été toi. La famille, tu l’as pas choisi. C’te donzelle, ouais. Encore une fois, assumes. T’sais qu’elle le prend pas sentimentalement, t’sais qu’elle comprend que t’as toujours été apaisé par sa présence. T’es pas un sociopathe avec elle. T’es l’trou duc Italien, ouais, mais t’as jamais eu peur d’perdre ton identité. Elle t’prend comme t’es, sans poser trop de questions. Mais là, tu sais qu’tu peux pas y échapper. Tu finis par avoir un contact visuel et t’es un peu pris au piège avec sa question. Tu sais pas quoi dire, comme tu sauras toujours pas quoi dire demain. Et l’année prochaine. Parce que ta tête c’t’un labyrinthe impossible à comprendre. Déglutissant, t’as juste réussi à lui dire qu’elle t’a manqué. Et elle t’fait rapidement savoir que ta réponse, c’est tout sauf suffisant. Parce que t’évites toujours la vraie question. Tu sens l’ultimatum alors qu’elle s’impatiente, demandant à nouveau ce que tu ressens et t’as les yeux qui se noient dans les siens. Devine Sage, putain.


Si je t’embrasse.. Ton monde s’arrête. Dans ta tête du moins. T’es pas surpris par ses derniers propos. T’as senti qu’il y avait quelque chose. T’savais pas quoi, mais tu l’savais quand même. Tu réalises juste que t’attends d’avoir cette porte ouverte depuis longtemps. T’entends rien de ce qu’elle dit en dernier parce que dès que le silence se réinstalle t’es déjà en train de te rapprocher dangereusement d’elle. T’as assez parlé. T’as besoin de lui faire comprendre. C’est pourquoi tu profites de sa faiblesse -elle est couchée, tu décides donc de la pousser légèrement sur le dos afin d’embarquer semi sur elle, un genou entre ses jambes, un plus sur le bord du lit, tes bras qui te supportent appuyés à quelques centimètre auprès de sa taille-, comme si la soumettre à toi te donnerait l’assurance nécessaire pour continuer tes envies. « T’auras pas de réponse. » Ton visage se rapproche de plus en plus d’elle, t’sais pas si t’essaies de l’intimider, mais t’as besoin d’être en pouvoir. « Pas ce soir. » T’es à quelques centimètres de ses lèvres et t’sais qu’elle peut te repousser à n’importe quel moment. « Pas verbalement. » Parce que t’as pas les mots. T’as le souffle de plus en plus court et tes lèvres sont à une poussière d’effleurer les siennes.
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Tu l'cherche, tu veux savoir plus, tu veux entrer dans sa tête, connaître ses secrets mais à quel prix ? t'as peur de la déception, t'as peur de t'emballer, de trop aimer comme t'as cru pouvoir le faire pour au final ne laisser qu'un vide qu'on pourra plus combler. tu veux pas avoir mal, tu veux plus souffrir mais tu sais pertinemment qu'avec Caleb c'est tout c'que tu gagneras, c'est tout ce qu'il pourra te donner. que t'auras jamais assez, pourtant t'as cette petite voix dans ta tête qui te pousse vers lui, vers la mort assuré. ton coeur manque un battement à l'écoute de ses mots, puis un deuxième, un troisième. tu sais pas si tu dois y croire, t'essaye de lire la vérité au fond de ses yeux, t'as envie d'y croire. vraiment. c'est c'que tu voulais attendre le soir sur cette plage, c'est ce qu'il te dit aujourd'hui et bordel c'que ça te fait du bien. - Tu dis ça parce que t'as bu.. c'est la seule chose qui t'vient à l'esprit, le seul argument plausible pour tout expliquer, parce que comme ça, ça fait moins peur. c'est moins de responsabilité. et il termine par dire que sa place est près d'toi, t'es au bord de l'arrêt cardiaque. la bouche entrouverte, tu cherches les mots, tu cherches quoi dire parce que t'as du mal à assimiler, parce que ton cerveau bloque sur sa phrase qui passe en boucle dans ta tête. - Pourquoi moi ?.. tu sais bien que par rapport à Mika cette histoire pue la complexité, un putain de cul d'sac où t'as pas encore trouvé le moyen de te sortir. tu te noie dans ses yeux. putain Caleb l'effet que tu m'fait c'est trop douloureux.. Tu l'sens jusqu'aux bouts des ongles, tu l'sens piquer sur tout tes membres. cet effet trop vrai. tu repousses un peu plus tes limites, tu flirts encore un peu avec les flammes d'une passion inexplicable, surhumaine. tu l'pousse à te dire des choses qu'il ne comprend pas, qu'il ne sait, qui existe sûrement pas en fait. et il se redresse légèrement, te faisant basculer sur le dos, ton coeur s'emballe, beaucoup trop. bordel c'que t'es beau, c'que t'es conne à y penser, c'que t'es naïve de te laisser berner aussi facilement. la gorge sèche, les yeux indécollable de ses iris profonds, t'as l'impression que ton coeur va sortir hors de ta poitrine quand le contact de son corps vient faire fusion avec le tient. son visage est trop près, beaucoup trop près, franchissant les barrières de protection, tu t'sens fragile sous son emprise, sans force, aucun moyen de défense face à ses lèvres qui se remuent sous tes yeux, faisant ressortir un instinct animal. féroce. carnivore. - Montre moi.. que tu dis, brisant en million de morceaux la distance qui était encore pour n'en faire que poussière. tes lèvres s'emmêlent aux siennes, tes mains passent autour de sa nuque que t'attrape fermement. putain. il t'fait tourner la tête, tu fermes les yeux, savourant ce baiser comme si c'était c'que t'avais attendu depuis tout c'temps. comme si c'était tout c'qui compté.





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T’es pas con, tu sais que l’alcool te donne une motivation supplémentaire qu’tu voudras envoyer au diable demain. Seulement, peut-être qu’avec elle t’assumeras. Peut-être que tu vas te permettre de sortir du noir. Peut-être que dans ton coeur et dans ton esprit y’aura d’la lumière. Quoique, faut pas rêver. Tu t’es toujours dis qu’tu voulais pas de Sage. Pas sentimentalement, hein. Mais t’as compris plus tard qu’tu voulais pas la voir auprès d’autres non plus. Et puis s’en est suivi des regrets qu’t’as pas compris au début, de l’ennuie et à la fin, du dégoût. T’avais quitté la seule personne qui pouvait te foutre à nu. Vous comprenez l’sens, m’enfin, la seule qui pouvait t’voir sous ton vrai jour sans apporter le moindre jugement. Bref, elle a pas tort. Tu divagues sur ces confidences là parce que t’as bu. Mais t’peux pas t’empêcher d’vouloir lui faire comprendre que tu veux plus partir. Tu seras pas parfait, c’est sûr. Mais tu seras là. « J’le pensais avant d’avoir bu. J’le pense d’puis toujours Sage. » Bon, c’est assez précis pour elle cette fois? Tu peux pas y aller plus honnête que ça, t’as épuisé tes ressources de déclarations chaleureuses. T'as toujours su au fond d'toi qu't'avais besoin de ta place au chaud à ses côtés. Et puis la question fatidique, pourquoi elle. « Tellement cliché, mais c’parce que t’es toi. » Toi. T’accentues tellement sur le toi, qu’c’est comme si tu lui disais qu’elle était tout c’que t’avais eu d’bien dans ta vie. De vrai. Elle peut pas comprendre parce qu’elle ne te connais plus vraiment. Vous vous êtes abandonnées -non, tu l’as abandonné, rectification-. donc elle ne connaît que quelques fractions de toi qui sont restées avec les années. Elle sait pas qu’t’as pas goûté à la paix intérieur depuis qu’tu l’a laissé seule là-bas à cause de ton crétin d’frère. Et puis l’ambiance tourne drastiquement au flirt, au moment où tous les deux, vous comprenez qu’c’était comme inévitable. Qu’vous comprendrez jamais rien à Caleb & Sage si vous y goûtez pas. Ton corps est contre le sien que t’as presque oublié comment tu t’y es rendu, tellement ta spontanéité t’as surpris. Tu te montres imposant, besoin vital pour toi en ce moment. Ta respiration beaucoup plus faible, comme si t’avais envie d’être calme d’avoir cette proximité en contrôle. Tes lèvres au niveau des siennes, tu savoures l’image de c’que t’as toujours désiré. Montre moi. Ton coeur te déconcentre éphémèrement, alors qu’il cogne contre ta poitrine à folle allure soudainement, pendant que tes lèvres s’laisse aller. T’oublies qu’tu viens d’foutre à ta façon tes sentiments sur la table, t’as perdu pied dans l’monde intense qu’Sage te fait vivre en ce moment. Ta langue s’verrait déjà tracer ton envie contre son cou, mais tu peux pas te permettre de quitter son emprise. Tu dois savourer c’qui te sera permis. Supportant ton poids sur l’autre main, tu laisses ta main droite dessiner sa poitrine à maintes reprises avant d’la laisser glisser jusqu’au niveau de la ceinture, te frayant un chemin sous son t-shirt. Tu sens tes mains quelque peu plus froides que sa peau la faire réagir d’un léger soulèvement des hanches, tandis que ta bouche se perd contre la sienne dans un labyrinthe de sensations euphoriques. Tu perds le contrôle. Tu te recules d’un coup. C’vraiment pas romantique c’que tu viens de faire, mais t’as pas su faire autrement. Tu t’fous à côté d’elle, et t’as un sourire sur les lèvres. « Si j’avais su qu’t’étais autant douée, j’me serais laisser tenté avant. » Allez Sage, soit sympa, il s’perd là Caleb. Et vous étiez censé juste tester, non? Prends son humour, t’veux bien?
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Tu sais pas si c'est que tu vis, c'que t'entends là c'est réel ou juste une putain d'illusion que ton cerveau de procure pour te faire sentir mieux. Que t'es tellement mal que t'as besoin de planer pour te sentir apaiser. alors ses mots s'écrasent à ton cœur, palpitant, laisse ses traces dessus pour te rappeler à quel point ce sera douloureux à ton réveil. à son réveil. quand l'alcool n'aura plus effet sur lui, quand la nuit retombera et que tu te sentira de nouveau seule. tu l'sais tout ça, t'en as conscience tu t'fait pas trop de films sur les révélations de ce soir, t'as pas envie de déchanter. "parce que c'est toi" qu'il dit. le regard toujours perdu au fond de ses yeux, baignant dans la perdition, ton âme au naufrage, impossible à secourir ce soir. pas envie d'être secouru. - Et tu crois que moi c'est un bon choix p'tetre ? Tu t'trompes. tout c'que tu touches se brise, se casse, ne tient jamais la route parce que t'es incapable d'être stable. d'aimer correctement. t'aime mal, t'abime, tu détruis, t'abandonne et tu fais comme si rien n'existe pour oublier ta souffrance interne. il est là, t'as du mal à y croire jusqu'à ce que la moitié de son poids t'attaque de réalité. tu l'sens, tu peux respirer son odeur, son souffle qui caresse ton visage qui n'a plus ni goût ni couleur. la dernière étincelle s'est éteinte avec ton enfant, le reste de lueur qui flottait encore est bien loin maintenant. trop fade, trop amer, c'est dans son regard que t'essaye de retrouver tout c'que t'as perdu. c'est à ses lèvres que tu t'accroche, que tu t'attache, moment éphémère, unique moment probablement. t'en sais rien, t'es sûre que tu voudras recommencer, t'es certaine que ses lèvres vont te hanter toutes les nuits à venir, que tu rêveras encore et encore de son corps s'enflammant avec le tient. et tu profites, tu profites à t'en faire perdre l'esprit, couper le souffle, tu te réanime dans ses bras, tu reprends vie. il est comme une délivrance, la bouée de sauvetage au milieu de l'océan. tes mains sur sa nuque remonte jusqu'à sa chevelure, tes doigts s'y emmêlent, se démêlent, s'enroulent à sa crinière. le souffle saccadé, le contact de ses doigts froids contre ta peau chaude et nue, le contraste te fait trembler, frissonner. Et il recule. il coupe court beaucoup trop vite. tes lèvres te piquent, le réclame déjà de nouveau. il retombe près d'toi, tu peux pas t'empêcher de rire à sa connerie. - Quand j'suis arrivé ici j'avais encore aucune expérience.. T'aurais sûrement était déçu ! que tu avoue avec un mince sourire, nostalgique. tu sais pas si tu regrettes vraiment d'avoir fait ta première fois avec Artur, c'était ton meilleur ami, y'avait que de l'amour fraternel entre vous. c'était bien d'un autre côté, t'avais pas peur avec lui, t'avais confiance et maintenant ? il est plus là lui aussi. partit. - Mais maintenant que c'plus le cas.. que tu dis en lui lançant un regard en biais. sournois. limite pervers. t'as pas envie que ça s'arrête, pas maintenant, t'en veux encore. un peu plus, juste encore un peu. - J'peux te montrer comme ta façon de penser est fausse et que tu choisis pas d'perdre le contrôle ou non.. Tu te redresse, prend les manettes malgré la peur au ventre. t'atterris sur lui à califourchon, faisant glisser lentement tes mains sous son haut, ton regard accroché au sien. d'un geste nonchalant de la main tu fais passer tes cheveux sur le côté avant de te réfugier au creux de son cou. tes lèvres aiment la sensation de sa chaire, ta langue glisse sur son épiderme encore et encore. tu alternes entre baisers et morsures sensuelles, t'as envie de marquer ta trace au fer rouge, orné d'un mélange bleu/violet que ta bouche s'amuse à dessiner.





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“ L’amour n’est pas qu’un champ de bataille, avec des gens qui s’affrontent. L’amour est un champ magnétique, c’est attirance et répulsion sans arrêt.” Bon, faut pas partir en peur, l’mot amour est quand même un peu trop fat à utiliser pour le moment, mais tu sais qu’c’est un futur semblable à ça qui t’attends avec elle. L’élément qui t’manque depuis trop longtemps. L’truc que t’as jeté aux poubelles alors qu’t’aurais dû t’y attacher comme si ta vie en dépendait. Ta putain d’auto destruction va toujours te salir la vie, mais t’peux te permettre pour une fois d’te laisser aller. Comme avant. Liberté. T’en crave depuis trop longtemps. T’sais qu’avec elle tu vas l’avoir. Seulement si la jalousie entre pas en compte. « Peut-être pas l’meilleur choix. Mais l’meilleur choix qu’moi j’aurai pris par contre. » T’sais qu’elle finira par te casser les couilles. Que demain, c’sera la vraie merde. T’sais qu’elle est loin d’être parfaite. Mais elle t’voit. Toi. C’est suffisant. Ta vie d’erreurs tu peux plus la sentir. T’as face à toi ta rédemption, laisse la pas partir. Laisse la pas te détester. Elle en vaut la peine. Encore une fois, assumes.


Distance est un mot du passé. Le flirt se fait foutre à la porte rapidement alors qu’l’ambiance se fait sentir d’une férocité piquante. T’es envoûté d’cette proximité imminente, tu sais déjà qu’t’en fais ta nouvelle drogue. Tu profites d’ce désir mutuel en t’permettant d’approfondir le baiser, main contre sa peau. Tu te retrouves à côté d’elle beaucoup trop rapidement, t’as comme râté un truc dans ton cerveau. T’peux pas perdre le contrôle. C’est assez, c'était un test. Même si t’en redemanderais encore et encore. Idiot. T’la complimente, question de pas péter c’t’atmosphère qui t’plaît beaucoup plus que les précédentes. Elle réagit comme tu l’espérais, parfait. Oh donc y’avait jamais eu personne en Italie? Tu l’écoutes, mais ça t’marque. Regard centré dans l’sien, t’vois c’regard illuminé qui devrait t’faire peur, mais qui t’fait raté un battement d’coeur plus qu’autre chose. Elle va pas lâcher le morceau. T’vas céder connard. « J’demande qu’à voir.. » Que tu dis, alors qu’elle s’retrouvre à califourchon sur toi. Okay, tu veux perdre le contrôle, tu l'a choisis p’tit con. Fais pas semblant. Elle s’retrouvre au creux de ton cou, et t’perds un peu les pédales. Secret d’merde qui t’fait chier ; t’as toujours aimé les femmes qui savent comment t’fermer la gueule et t’prendre en charge. Nan, t’es pas soumis. T’es juste charmé par une adversaire de taille. So, tu t’laisses aller, t’aurais aucune volonté à la repousser de toute façon. Parce que t’y prends goût vélocement. T’la laisses faire jusqu’à que tes yeux se souviennent plus d’comment se contrôler, prenant de force son visage, amenant ta bouche à la sienne. Tu t’recules rapidement, yeux rivés dans les siens. « T’aurais pas dû faire ça. » Tu vas l’regretter. Qu’tu dis presque aussi. Mais tu réalises qu’ça sonne comme si elle allait regretter demain et t’veux pas aller dans c’sujet là. T’l’obliges à débarquer d’toi, parce que t’as besoin d’prendre le contrôle là, maintenant. Ouais, elle vient d’tout juste d’réveiller quelque chose en toi. Tu élimines toute distance, respiration forte mélangée au baiser qu’tu t’permets à nouveau alors que tu te retrouve  semi sur elle. Tes mains sont insistantes sous son haut cette fois, t’as besoin d’te débarrasser d’ce qui vous sépare.
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T'as peur. Délicieusement peur même mais t'as cette envie de voir plus loin, plus en profondeur ce que ce lien entre vous veut dire. C'que tu trouveras t'es incapable de le deviner, tu sais pas si ce sera bon ou mauvais, si ça vaut vraiment le coup de le savoir ou est-ce que tu trouveras simplement rien. Tu t'en tape toi, à cet instant, le seul truc qui compte c'est d'assouvir ton envie. De lui. De vous. T'as envie de tout casser dans ta chambre, t'as envie de tout détruire sous la force de vos corps qui s'emmêlent, qui s'entrechoquent, qui explosent. Tu veux pas qu'il parte, t'as besoin d'être avec lui ce soir, de voir encore un peu ton reflet dans son regard. De rêver le temps que tu peux dans son sourire, de planer sur ses lèvres. Tes lèvres à toi se baladent sur sa peau nue, t'en fait ton terrain de jeu, tu t'amuse à le titiller, le chercher parce que tout c'que tu veux c'est qu'il te trouve enfin. T'en as marre de jouer au chat et à la souris, c'est c'que t'as toujours fait avec lui, t'as toujours préféré te cacher dans des sarcasmes et des coups d'gueules. Pas ce soir, drapeau blanc que tu hisses. Une première fois, une dernière fois sûrement. Et tu prends goûts à son odeur, t'as du mal à te décoller de sa peau, à briser l'étreinte charnelle que t'as entamé. Il attrape ton visage entre ses mains, t'as le temps de capter son regard qu'une fraction de seconde avec que ses lèvres ne capturent de nouveau les tiennes. T'as gagné, tu l'comprend quand il t'embrasse. Tu savoures ta victoire, prolongeant ce baiser bestialement. - Au contraire.. T'as du mal à parler, ta bouche qui ne veut pas en rater une miette, la respiration désordonnée, tes mains qui se promènent un peu de partout sur lui. - J'aurais dû le faire depuis longtemps. Tu fermes les yeux, tu veux plus penser à rien, plus penser à c'que tu viens de dire ou même à c'que tu vas faire ce soir. Il retire ton haut, tu fais de même en lui enlevant le sien rapidement. Trop rapidement. Impatiente de croquer dans le fruit défendu. Tes doigts courent à sa ceinture, t'hésite quelques secondes avant de finalement la lui retirer aussi vivement. - Tu m'as manqué aussi. Tu réponds finalement, faisant allusion à sa révélation de tout à l'heure avant de courir à ses lèvres de nouveau. Ton corps commence à prendre feu, il se déhanche sous le poids du sien, ton coeur bat la chamade et tout devient hors de contrôle.





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