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Proches et reproches

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Encore une soirée… Il en fallait, encore et toujours. Des soirées, des verres, des filles. Tout et n’importe quoi, de l’ivresse et du sexe pour oublier le chaos ambiant du moment. Parce qu’il n’y avait toujours pas de Feryel dans mon lit. Je désespérais… Et elle me rendait dingue, la présidente quincy. Peut être que c’était pire de vivre avec elle en fait, puisqu’elle m’avait accueilli chez elle depuis les incendies. Ca rendait cette fixette, cette fascination qu’elle exerçait sur moi encore plus présente… Me voilà donc, à nouveau en sortie, cherchant à me distraire. Et quel meilleur moyen pour oublier une blonde que d’aller en draguer une autre ? Mon regard chercha donc une silhouette féminine intéressante, mes yeux scrutèrent alors cette demoiselle amenant mon verre à mes lèvres pour savourer la fin de mon scotch. Je le reposai vide sur le comptoir, me levant ensuite pour m’avancer vers la jeune femme, Lisa-Rose, jolie et élégante bizut de notre confrérie. Je ne savais visiblement pas ce dans quoi je me lançais. « Bonsoir… » soufflai-je en arrivant près d’elle, faisant signe au barman de remplir mon verre et le sien au passage : « Toi tu déprimes à cause de l’incendie ? Je connais un excellent moyen de retrouver le moral si tu veux… » ajoutai-je sur un ton allusif, en laissant alors l’une de mes mains baladeuses s’aventurer dans le bas de son dos, sans réfléchir à ce que je risquais de récolter avec de telles avances quelques indécentes.
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Tu n'en pouvais plus de cette atmosphère Barbie, tu ne détestais pas vivre à la Cabot House mais c'était complétement différent que de vivre à l'Eliot House et ta maison te manquait cruellement. Tout était partie en fumée et ton moral en avait pris un grand coup. T'avais besoin de l'atmosphère de ta maison pour être épanouie, pas de traîner avec toute ces filles aussi insignifiantes les unes que les autres. Trop de filles, partout, tout le temps. De quoi péter un câble. T'avais besoin d'un break et c'est de cette façon que tu te retrouves en ce début de soirée, seule accoudée au bar du People's Republik. Ce n'est pas vraiment ton genre de sortit boire un verre toute seule, tu détestes les gens saouls et tu détestes perdre le contrôle. Tu regardes ton verre de vodka et tu souffles de désespoir avant de l'amener vers tes lèvres et de le terminer. Mais tu ne restera pas seule bien longtemps. Un bonsoir se fait entendre à ta droite. Manquerait plus que tu te fasses accoster par un lourd, cerise sur le gâteau. Tu détournes les yeux et vois apparaitre Cole, votre vice-président à tes côtés. Tu le connais pas personnellement mais tu sais qui il est, comme tout le monde à Harvard. Tu te retrouves donc en compagnie d'un Cole qui te fait resservir un verre, aux mains un petit peu baladeuse et qui te propose de coucher avec lui en guise de bonjour. Pardon ? T'es pas sûre de comprendre ce qu'il se passe exactement mais commence par remettre sa main à sa place, c'est à dire autre part que sur ton corps avant de lui répondre sur un ton légèrement dédaigneux C'est à ça que joue notre vice président pendant que l'Eliot House n'est plus ? Tu te permets de boire une gorgée de vodka fraichement resservie avant de poursuivre. Franchement auprès d'une Mather ou d'une Cabot, je veux bien... C'est quasiment toutes des filles faciles. Mais une Eliot? Tu secoues la tête légèrement. C'était vraiment stupide de sa part d'avoir cru que tu allais marcher dans le truc. C'était d'une vulgarité. Je dis pas que t'es pas un canon, ça serait mentir de prétendre le contraire. Mais franchement... Je suis limite déçue là. Quoi ? C'est vrai... Il est quand même plutôt canon le Cole avec son petit air de mauvais garçon mais alors ses manières... Et puis il est clairement tombé sur la mauvaise nana là. T'es vraiment pas du genre à écarter les cuisses à la première proposition indécente.
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Besoin de compagnie. Et de compagnie de luxe s’il vous plait. Ce soir ne faisait donc pas exception, me voilà sorti à la recherche d’une nouvelle proie, s’endormir dans des bras différents à chaque fin de soirée, voilà l’habitude que j’avais repris, m’enivrant de ces nuits sans lendemain, de cette passion sans avenir, de ces étreintes sans histoire et sans sens… Mes yeux se stoppèrent sur sa silhouette. Je devais être un très mauvais VP. Si je reconnais Lisa-Rose là bas, assise au comptoir, j’ignorais tout de son histoire, de ses liens pourtant étroits avec certains de mes meilleurs amis comme Noah. Je voyais la blonde et je me disais –tiens, elle, elle est sublime. Il me la faut.- et je m’avançai donc vers elle, me lançant dans mon charabia habituel, me risquant même à des gestes bien indécents… Un très mauvais vice président donc, qui se souciait bien peu de l’image qu’il renvoyait et du malaise qu’il pouvait provoquer chez cette demoiselle. De malaise, il n’y en eu aucun néanmoins puisque la jeune femme semblait tout en caractère et répartie. Ses doigts s’emparèrent des miens pour les remettre un peu sèchement à leur place, et c’est moi qu’elle remit en place ensuite, de son ton, de son air, affichant un dédain assumé. Mon assurance flancha un peu, surtout lorsqu’elle évoqua le fait que ce genre de drague ne devrait être réservée que pour les mathers et les cabots. Mon assurance flanchait donc, parce qu’à bien y regarder, mon glorieux et bien nourri tableau de chasse ne comportait presqu'aucune eliot depuis mon arrivée à Harvard. Bien sûr, j’avais eu la chance d’avoir Leevy, Gabrielle, Alexandra, et quelques autres bleues dans mes bras, mais uniquement par le passé, avant de quitter l’Angleterre. Depuis, y'avait bien eu ma coucherie avec ma bizutrice, mais il était vrai que aussi nombreuses qu’est été mes conquêtes, elles ne comptaient presque que des filles d’autres confréries. Mais je me repris, petit air pincé, j’avalai une gorgée de mon scotch hors de prix et reposai mon verre pour venir planter mon regard dans le sien, défiant : « Parce qu’il y a une technique d’approche spécifique pour conclure avec une Eliot ? Vas-y dis moi tout, je ne demande qu’à apprendre… » Eblouie moi de tes connaissances ma chère Lisa-Rose…  
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Désireuse de t'échapper de la Cabot House et n'ayant pas spécialement envie de compagnie, tu t'étais décidée à venir boire un verre seule. Ce qui n'était pas clairement dans tes habitudes, qu'on se le dise. Tu te souviens précisément de la dernière fois où tu t'es retrouvée seule face à de la vodka et en garde un souvenir quelque peu... mitigé. C'était juste avant ton départ d'Harvard et le moins que l'on puisse dire c'est que t'es pas tellement fière de ce qu'il s'est passé cette nuit là et que personne n'est au courant que la petite coincée de Lisa-Rose n'a pas fais que des choses catholiques après quelques shots de vodka descendu bien trop vite. Et même si t'as du mal à t'avouer qu'une partie de toi a peut être aimé ce qu'il s'est passé dans la foulée, tu mets un point d'honneur à ne plus jamais finir dans cet état là. Ne plus vouloir être soi même a quelques inconvénients parfois. Surtout quand c'est mélangé avec beaucoup d'alcool. Tu te retrouves bien vite en compagnie de Cole, le vice-président de ta maison, qui a apparemment décidé que tu finirai dans son lit ce soir. C'est peut être le fait que t'es blonde ou tu sais pas trop à quoi c'est du, mais c'est pas le premier et sûrement pas le dernier a pensé que t'écartes les cuisses aussi facilement que n'importe quelle autre fille sur ce campus. Mais c'est d'ailleurs loin d'être ton cas, ce que tu ne manques pas de lui signaler tout en remettant ses doigts assez sèchement à leur place et lui faisant comprendre que c'est pas comme ça qu'il réussira à te mettre dans son pieu. Tu passes peut être pour une fille prude qui ne sait pas prendre du bon temps mais tu t'en fous, t'as une certaine réputation à garder et c'est pas en commençant à t'envoyer en l'air avec le premier venu que celle ci restera intacte. Cole se tait quelques secondes avant de se retourner vers toi, une lueur de défis au fond des yeux. Te demandant ce qui selon toi est l'approche à avoir pour conclure avec une Eliot. Tu soutiens ton regard, un petit sourire en coin sur les lèvres. Tu devrais déjà commencer par arrêter les propositions indécentes à peine cachées, c'est vulgaire. Je suis pas en train de dire qu'il y a une technique d'approche spécifique pour conclure avec une Eliot comme tu dis mais je te rappelle qu'on a tous des réputations à avoir et que tu devrai être le premier à montrer l'exemple. On te demande ton avis, tu le donnes hein... T'es pas du genre à avoir ta langue dans ta poche et à passer par quatre chemins, que cela plaise ou non. Tu poursuis donc sur ta lancée. Je suis peut être partie un an mais je doute que toutes les filles de l'Eliot ai oublié ce point essentiel et qu'elles sont toutes devenues des Marie couche toi là en quelques mois, sinon on est vraiment descendue bien bas.
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 Elle me laissa donc songeur, la petite Lisa-Rose, en écartant mes mains, en me remettant à ma place, et en soulignant un fait dont je n’avais jamais réellement pris conscience : mon tableau de chasse ne comptait presqu’aucune Eliot depuis mon arrivée à Harvard. Et pourtant, je le prônais, dans ce règlement écrit avec Oksanna, que les couples Eliot étaient à rechercher et à valoriser. Enfin, ce n’était pas dit clairement, pas textuellement ainsi, mais d’une manière plus allusive. C’était ce que l’on souhaitait pour nos membres, qu’ils arrêtent de s’encanailler avec la racaille des autres confréries. Fais ce que je dis, ne pas ce que je fais. Parce qu’en terme de s’encanailler, j’étais le roi. Mais la blonde me rappelait que ce n’était pas de la bonne façon que je m’y prenais : trop direct, trop vulgaire. Allez, reprends toi Cole. Mon sourire charmeur réapparut sur mes lèvres, alors que je tentais une nouvelle approche. « Je montre l’exemple : j’attaque une cible plus raffinée en venant m’adresser à toi tu vois. » soufflai-je alors, flatteur, soulignant ainsi qu’elle était plus raffinée que celle qui avait pu précédemment passer dans mon lit. La demoiselle me révéla alors un fait que j’ignorais : ce n’était pas une petite nouvelle. Une bizut fraichement arrivée, comme j’avais pu le penser dans un premier temps. Si j’avais cru l’avoir facilement, la pensant naïve et influençable, je m’étais bien trompé. La jeune femme avait pratiqué la Eliot House par le passé, elle les connaissait donc, les travers tendancieux de notre maison. Et elle me rappela que les filles de notre confrérie n’avait pas la réputation d’être des –marie couche toi là- « Je te rassure, sur ce point rien n’a changé. Aussi belles qu’insaisissables… » qualifiai-je alors celles qui comptaient parmi mes meilleures amies au sein de nos rangs : Nina, Hippo, Ayma… « Je t’ai sous estimée sûrement… Excuse-moi. » L’idée de l’avoir dans mon lit ce soir s’effaçait, s’estompait, s’atténuait… Mais à défaut d’une conquête, je pouvais encore m’en faire une amie, surtout que son point de vue tranchant et son franc parler à mon égard me plaisaient au plus haut point. « Tu es donc une ancienne de la maison ? Je t’avais prise pour une nouvelle venue, je suis arrivé à Harvard pendant ton année d’absence. » Un hasard qui expliquait qu’on ne se soit pas croisés. « Tu étais partie où si ce n’est pas indiscret ? » 
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Jusqu'à ce soir tu n'avais jamais eu l'occasion d'avoir affaire à ton nouveau vice-président et tu découvrais là une des nombreuses facettes de sa personnalité, peut être pas celle que tu aurais aimé découvrir en premier. Sauf que si Cole ne sait pas encore qui tu es, il ne tardera pas longtemps à le découvrir. Tu n'es pas n'importe quelle blonde à mettre dans son lit et tu le lui fais bien comprendre. T'es le genre de filles à n'avoir aucun scrupule quand il s'agit d'ouvrir sa bouche et ça n'a pas l'air de tant le froisser. Bien au contraire puisque ça ne le refroidit pas pour tenter une approche différente. Tu ris légèrement avant de lui lancer un petit clin d’œil. Crois moi mon cher que j'ai bien conscience de cela. T'es loin d'avoir une basse opinion de ta personne, c'est même plutôt l'inverse, et connait parfaitement ta valeur. Donc pourquoi t'en cacher ? C'est déjà un petit peu mieux. finis-tu par consentir, même si ce n'est pas encore ça. Beaucoup moins vulgaire que sa première approche, ce qui est un très bon point pour commencer. Après tu te fous complétement de si son approche marche tout à fait avec d'autres filles, tout le monde est libre d'avoir une réputation de salope hein. Ravie de voir que cela n'a pas changé. Contrairement à la réputation des filles de la Cabot House, on ne parlera même pas de la Mather House, ça se passe de tout commentaire. Le nouveau règlement va en ce sens et ça serait stupide que la personne qui en est à l'origine ne montre pas le chemin à prendre à toute notre maison. Bon il y a bien certains points qui sont un peu extrême mais là n'est pas le propos. Tu penses notamment à cette stupide règle qui t'oblige maintenant à crécher chez les Barbies. Excuses acceptées lui réponds-tu avec un léger sourire. Tu vois pas l'intérêt à être rancunière là et commences à penser qu'avoir Cole dans ton cercle d'amis proches pourraient être une bonne chose. Exactement, j'ai déjà passé quatre années au sein de notre maison. Je suis revenue à temps pour participer à la petite expédition chez les Mathers. Sauf que t'oublies cinq secondes que t'étais pas à visage découvert ce jour là mais tu t'en fous, c'est pas à n'importe qui que t'es en train de parler là. D'accord! Je comprends mieux pourquoi on ne s'est jamais croisés jusqu'à aujourd'hui. Quelque chose me dis que tu n'es pas américain non plus, je me trompe ? Il a un petit accent que tu n'arrives pas à saisir de suite et t'es curieuse d'en savoir un peu plus sur votre vice-président. J'ai eu mon baccalauréat en droit et en administration des affaires et j'ai eu besoin de prendre un peu l'air, de quitter quelques temps les Etats-Unis. J'ai passé l'année dernière à faire le tour du monde. Une super expérience que tu ne regrettes pas du tout, cette année loin d'Harvard t'as beaucoup fais de bien même si ça t'as presque coûté ta relation avec Holden.
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 Passez les quelques secondes frustrantes et frustrées de son refus après le vent qu’elle venait de me mettre, ce moment où ses paroles doucement insinuèrent dans mon esprit le doute et la réflexion, je me repris. Comme un cavalier après une chute, il faut aussitôt remonter en selle, c’est ce qui ce disait. Je ne laisserais donc pas la petite blonde me mettre à terre. Elle avait cela dit piqué ma curiosité et marqué des points avec sa remarque. Alors me voilà, réceptif, à l’écoute, prêt à jouer le studieux élève pour comprendre là où je m’étais trompé, là où je faisais erreur, quand une Eliot j’escomptais mettre dans mon lit. Mon interlocutrice me rappela un peu l’image censée avoir chaque demoiselle de la maison, puis me livra donc l’absence de technique en soit. Elle commenta un instant le règlement qu’Oksanna et moi avions mis en place et le fait que si l’un des rédacteurs n’en suivait pas les préceptes, notre crédibilité risquait de tomber à zéro. Montre l’exemple, me soufflait-elle en quelque sorte. J’approuvais d’un hochement de tête, songeant simplement dans ma tête que pour mes petits coups d’un soir, j’allais devoir me montrer peut être plus discret désormais. Et quant au règlement, je repris, un peu gêné : « A ce sujet… Si on pouvait éviter de parler de notre début de conversation à Oksanna… » Evitons d’aller lui raconter le rentre dedans indécent que je pouvais faire aux jolies bizut, ça m’arrangerait… La blondinette avait piqué mon intérêt en tout cas, avec sa répartie et son caractère bien trempé, je me pris au jeu d’en apprendre plus sur elle, sincèrement, et cette fois sans arrière pensée derrière la tête. Elle m’apprit que son come back datait de septembre, qu’elle avait déjà quatre années à Harvard au compteur. Elle expliqua ensuite avoir participé à notre vendetta contre les verts et je fronçai les sourcils : « Ne me mens pas. C’est pas grave si t’as eu peur des rats, moi aussi tu sais, si j’avais pu, je me serais défilé… » fis-je avec une grimace en pensant avec dégoût à la cage des rongeurs qu’on avait été obligés de placer dans le coffre de ma voiture. Eurk. Ma position de VP ne m’avait pas permis de me défiler mais à mon visage on comprenait ma sainte horreur de ce genre de bestiole. « Je suis sûr que tu n’y étais pas, t’es pas le genre de fille qu’on oublie… » lançai-je alors, en la détaillant un nouveau, la lueur lubrique dans mes yeux faisant temporairement son retour, avant que je ne me reprenne, que je retrouve le fil amical de notre discussion. « Anglais. » répondis-je alors, conscient que mon accent britannique me trahissait. « Et toi ? » Charme, élégance, raffinement… Elle sentait l’Europe à plein nez, cette demoiselle, et puis son –non plus- était un précieux indice quant au fait qu’elle ne soit pas plus américaine que moi. « Le tour du monde carrément ? » Elle avait raison, fallait faire les choses en grand. Mon sourire charmeur/charmé revint étirer mes lèvres quand je lui soufflai : « En tout cas, je suis ravi que tu sois e retour cette année… » Dans mon lit ou parmi mes amis, il me la fallait cette petite Lisa-Rose. 
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Après avoir remis en place Cole, tu aurai pu mettre fin à cette rencontre et finir ton verre avant de quitter les lieux. Mais il s'avère que ton vice-président n'est pas du genre à abandonner après un petit échec de rien du tout et fini par te demander ton avis sur la question, à savoir quelle est la façon la plus appropriée de conclure avec une fille et plus particulièrement une Eliot. La vérité c'est qu'il n'y en a aucune. Tu te contentes juste de faire remarquer à Cole que votre maison est censée représenter certaines valeurs et avoir une certaine réputation. Quelque chose qu'il devrait avoir l'esprit en abordant une fille, d'autant plus une Eliot comme toi. C'est limite si tu lui dis pas de montrer l'exemple en amenant le règlement sur le tapis. Le but c'est pas de jouer les donneuses de leçons, au fond tu t'en fous un peu de ce que font les autres, tu veux juste pas que cela nuise à la réputation de votre maison. T'inquiètes pas, je suis pas du genre à cafter. Franchement, t'as autre chose à faire que d'aller voir Oksanna pour te plaindre du comportement de Cole. Un, t'es assez grande pour remettre en place qui compte. Et tu viens tout juste de le démontrer. 2, il s'avère que Cole est bien plus que sa tentative ratée pour te mettre dans son lit. Et tu préfères te focaliser là dessus, continuer cette conversation avec ton vice-président pour en savoir un peu plus sur lui. Tu finis par avouer que tu n'es pas qu'une simple bizut et que t'as déjà un certain passé ici. Et que t'es arrivé à temps pour participer à la petite mission chez vos ennemis de la Mather House. T'oublies juste le détail crucial que t'étais pas vraiment à découvert ce jour là et que seulement deux personnes sont au courant du pourquoi du comment et de ce que tu faisais là bas. Noah et Oksanna. D'ailleurs Cole ne te croit pas et penses que tu t'es défilée à cause des bestioles lâchées ce soir là. Tu te mords légèrement la lèvre, tu peux pas passer pour une menteuse, surtout quand c'est pas le cas. Tu finis donc par lui avouer ce que personne ne sait. J'étais bel et bien présente, c'est juste que je portais une cagoule ce soir là, difficile de me reconnaître par la suite du coup. T'éclates légèrement de rire avant de poursuivre. Oksanna est ma bizutrice et elle m'a donné une mission à accomplir ce soir là pendant que vous aviez autre chose à faire. Sauf que peu de gens savaient que j'étais de retour et que j'avais besoin d'anonymat, d'où la cagoule. Il n'y a que deux personne au courant de cela, enfin trois avec toi maintenant. Je compte sur toi pour ne pas en parler du coup. finis tu par demander. Pas que t'ai peur des représailles ou quoi, c'est juste que c'est censé resté secret, dans le cadre de ton bizutage. C'est donc pour ça que tu n'as pas eu le loisir de me remarquer ce soir là conclus-tu, faisant légèrement référence à sa nouvelle tentative d'approche. Tu finis par lui demander explicitement d'où il vient, ayant reconnu un petit accent qui n'a rien d'américain chez lui. Il t'avoue finalement qu'il est anglais. J'aurai presque pu le deviner, tu fais plutôt british quand on fait assez attention. Tu le détailles quelques secondes des yeux avant de poursuivre. Française. Enfin techniquement je suis née à New York mais mon coeur appartient à Paris. Tu ne te sens pas américaine pour le moins du monde, surtout que t'as été élevé les trois quart de ta vie en France. La conversation se poursuit tranquillement et vous en venez à discuter des raisons de ton absence. Ouais, je sais. Mais j'ai toujours eu cette tendance à voir et faire les choses en grand. C'était vraiment une expérience à part et je regrette pas du tout ma décision. Tu venais de passer une des meilleures années de ta vie et t'en avais plus appris sur toi qu'en ayant passé les quatre années d'avant à Harvard. Tu souris légèrement à la dernière remarque de Cole, tout en percevant le double sens de sa phrase. Tu décides de lever ton verre comme si tu trinquais tout en lui répondant. J'en suis ravie aussi et je dois t'avouer que notre rencontre se révèle être une agréable surprise. T'esquisses un léger sourire en coin sur tes lèvres avant de boire quelques gorgées de ton verre.

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  Petit rappel de ce que devraient être les valeurs de tous les Eliots, les miennes en première ligne. De quoi bien me remettre à ma place, dans mes chaussures et dans mon costard de VP des bleus. Peut être qu'elle avait raison, en tout cas, ses arguments et sa repartie avaient fait mouche. J'en demordais pas de l'idée que j'aimerais bien avoir la blondinette dans mon lit ce soir, mais pour le reste, pour le contenu de son son speech, je me remettais un peu en question. Devais-je envisager de me calmer ? De ne plus chasser aux comptoirs des bar et boites de nuit ? Ça ferait presque son chemin dans ma petite tête. Et en attendant, c'est son silence vis à vis d'Oks que je tâchais d'acheter.  Je ne fus pas mécontent de l'entendre me répondre que ce n'était pas dans ses habitudes de cafter. Bien. Deuxième bon point pour la blondinette piquante qui me plaisait décidément de plus en plus. Je m'attelais donc à récolter davantage d'informations à son sujet. Lorsqu'on évoqua l'épisode des rats chez ses vermines de Mathers, je crus qu'elle avait esquivé l'event et je ne lui en aurais d'ailleurs pas tenu rigueur, n'étant pas moi même un grand fan de ce genre de bestioles. Sauf que mon interlocutrice prit un air gêné, se mordant nerveusement la lèvre avant de reprendre la parole, m'expliquant qu'elle s'était cagoulée pour l'occas'  mission donnée par Oksanna. Je scellai ensuite symboliquement ma bouche de mon pousse et mon index, mimant ainsi que je serais muet à ce sujet. "Tu n'as pas peur des Mathers rassure moi ?" demandai-je un peu provoquant, curieux de découvrir la raison pour laquelle elle tenait tant a préserver ce secret. Et puis c'est sur un ton plus amical, que la discussion se poursuivit ensuite. Nos origines furent évoquées. Les miennes d'abord. Et lorsqu'elle souligna mon côté british, je m'amusai, un instant, à reprendre mon petit air de loveur : "C'est le charme à l'anglaise qui m'a trahi c'est ça ?" Ou c'était mon accent plus probablement. Au tour de Lisa-Rose de parler d'elle. Son prénom était déjà un indice en soit, je la voyais bien venir du vieux continent comme moi. Alors je ne fus guère surpris qu'elle me révèle ses origines frenchies. C'était dur de résister à la tentation d'un nouveau commentaire ambigu : "Tu sais ce qu'on dit sur les françaises ?" Allez crache la ta bêtise Cole. "Qu'elles sont les expertes des french kiss... Bon c'est une affirmation qui reste à vérifier." ajoutai-je ensuite, défiant. Oh que ça me plairait, une petite démo de ce talent français de la part de la demoiselle... Et c'est ensuite sur son année d'absence et comment elle m'avait occupée en faisant un tour du monde. "Et puis tu vois, même en revenant à Harvard, il y a moyen de voyager : classe anglaise et baisers à la française..." Ou plutôt les vents à la française. Je devrais m'estimer  heureux qu'on trinque déjà... Il y avait du mieux. Je levai mon verre, l'entrechoquant avec le sien avant de le porter à mes lèvres.

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Tu passes ton temps à tromper les apparences, jouer sur tout les tableaux. Ça commence par ton physique, qui laisse croire aux plus courageux que t'es une fille facile. Du genre à écarter les cuisses parce qu'on t'as payé un verre et fais deux/trois compliments. Et puis par ce joli prénom qu'ont t'as donné et qui laisse croire aux gens que t'es aussi douce que lui. Il suffit que t'ouvres la bouche pour qu'on comprenne rapidement à qui on a affaire. Tes silences, aussi. Tu passes le plus clair de ton temps à observer les gens, à les détailler, à les deviner. Tu préfères les laisser parler, évitant au maximum de parler de toi. Cole tombe dans le panneau. Cole se voit aussi vite averti : tu es bien plus ce que tu ne laisse paraître. Sa présence te plait, t'intrigue. Alors tu veux bien oublier le début de cette rencontre et poursuivre la discussion. Tu finis par lui avouer que tu portais une cagoule le soir de la vengeance chez les Mathers. Tu lui demandes de ne rien dire mais au fond, tu t'en fous un peu. Et tu te surprends à rire de façon ironique alors que ton vice président te demande si les Mathers te font peur. Est-ce que j'ai l'air d'être quelqu'un qui prends facilement peur ? Personne ne te fait peur ou du moins, plus maintenant. La seule chose qui te fait peur toi, c'est qu'on t'abandonne. Qu'on te laisse dans un coin. Et ça explique grandement ta façon de te comporter, ta façon d'agir. Vous en venez finalement à parler de vos origines et Cole reprends son masque de loveur, ce qui te fait sourire. Tu souris en coin alors qu'il te pose une question. Je suis impatiente de connaitre la réponse... souffla-tu, une petite idée derrière la tête. Et la réponse ne se fait pas attendre. Cole ne lâche pas facilement l'affaire et ça te plait presque. Alors tu réponds sur le même ton : Je suis sûre que tu en meurs d'envie. Mais tu ne m'aura pas aussi facilement Cole. Il n'y aurait aucun intérêt à la chose sinon... Et puis t'es pas de ces filles faciles qui se laisse avoir au premier sourire, au premier compliment. Toi t'aimes bien trop jouer pour ça. T'aimes faire languir, t'aimes faire attendre. Pour les baisers à la française on verra... En ce qui concerne la classe à l'anglaise, t'es plutôt d'accord sur ce point. Tu trinques avec lui avant de le détailler quelques secondes de ton regard bleu. Il était pas du tout désagréable à regarder le nouveau vice-président et tu te finissais pas te laisse prendre au jeu. Vous semblez être quelqu'un de persévérant monsieur le vice-président, ça me plait.
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